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𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟏 : 𝐒𝐡𝐚𝐦𝐬










𝐒𝐚𝐛𝐚𝐡




— Sabah ! 

Recroquevillée derrière les lourds rideaux de soie brodés, je plaque ma main contre ma bouche, retenant chaque souffle. À travers l'épais tissu, j'entends le bourdonnement incessant du palais, une effervescence que rien ne peut contenir. Les couloirs résonnent de l'activité des serviteurs préparant le mariage imminent du prince, le fils bien-aimé du sultan, mon grand frère Mohamed Al-Nasser al-Din.

Le palais tout entier est plongé dans une frénésie de préparatifs : des femmes aux voiles colorés glissent rapidement, leurs bras chargés de tissus précieux et de plateaux garnis de toute sortes de fruit et nourritures. Des musiciens s'accordent pour la fête, et dans l'air flotte le parfum capiteux de l'encens.

Mais ici, derrière ces rideaux épais, je cherche à me dérober. Shams, ma fidèle servante, ne doit pas me trouver. Elle serait furieuse de savoir que je me cache en ce moment si crucial, alors que tout le monde au palais a un rôle à jouer pour cette soirée historique. Le mariage du prince est un événement grandiose, unissant deux grandes familles, la famille royale Al-Nasir al Din et la famille issue de la noblesse Kadirov.

Ce mariage ou plutôt cette alliance sera célébré avec faste, sous les regards des émirs, des dignitaires, et des invités venus de l'ensemble du royaume et des contrées voisines.

Je retiens mon souffle lorsque des pas rapides se rapprochent. C'est elle, je le sais. Shams ne me laisse jamais longtemps tranquille. Je peux presque sentir sa présence, derrière le rideau. Elle se déplace avec assurance malgré l'effervescence autour d'elle, un chaos auquel elle semble parfaitement habituée après toutes ces années passées à servir ma famille.

Le rideau s'ouvre brusquement dans un bruissement vif. Shams se tient là, sa silhouette imposante pour moi, malgré sa petite stature, sa tête encadrée par la lumière du couché de soleil. Son regard, plus lourd de reproches que jamais, me transperce, une lueur d'impatience dans ses yeux clairs.

Derrière elle, j'aperçois des femmes en train de disposer des plateaux de pâtisseries, des dattes farcies de miel, des coussins richement brodés dans ma chambre. Les festivités sont sur le point de commencer, et moi, je me cache ici, comme signe de rébellion.

Je lutte pour réprimer un sourire. Il y a quelque chose d'inexplicablement délicieux à me dérober à ce monde de protocoles et de cérémonies, même pour quelques instants. Mais je vois bien que Shams ne partage pas cette légèreté. Ses traits sont tendus, et la pression des événements visibles sur son visage.

— Sabah, combien de fois vais-je devoir te rappeler de ne pas te comporter comme une enfant ? Sa voix résonne dans la pièce, chargée de frustration.

Je pose délicatement un doigt sur mon menton, prenant un air songeur, tout en percevant son soupir d'exaspération qui accompagne ma réponse.

— Hmm... Je laisse échapper un léger rire avant de répondre d'un ton théâtral. La cinquième fois depuis le début de la journée peut-être ? Ou bien était-ce déjà la dixième ? Oh, je suis désolée, ma chère, j'ai perdu le compte.

Mes yeux pétillent d'amusement, et je suis consciente de l'agacement que je provoque avec mon comportement espiègle.

J'adore l'embêter, c'est l'un de mes passe temps favori

Je soupire et décide enfin de sortir de ma cachette lentement. Le mariage du prince n'est pas seulement une question de fête, c'est un moment politique crucial, où chaque geste est observé, analysé, jugé. Je le sais bien. Et même si je tente de me soustraire à mes devoirs, je ne peux échapper à ce que cette journée représente. Les alliances qui se forment, les regards échangés, les sourires masquant des intentions secrètes... tout cela fait partie de ce monde auquel j'appartiens, que je le veuille ou non.

Ma jupe encombrante entrave chacun de mes pas, me faisant avancer avec une certaine maladresse jusqu'à ce que j'atteigne finalement ma coiffeuse. Dans un soupir de soulagement, je m'assois sur le tabouret rembourré, sentant le tissu doux et frais sous mes doigts.

Les pas pressés de Shams résonnent dans la chambre, un écho de son inquiétude que je peux ressentir d'ici. Ils s'arrêtent brusquement derrière moi, créant une certaines tension silencieuse dans l'air.

Je rencontre son regard dans le miroir, remarquant les différentes expression qui traverse son visage. Son regard intense, est empreint de stress sûrement à cause de l'événement de ce soir.

Elle prend alors la brosse avec tranquillité, ses doigts agiles caressent doucement les poils, prête à entamer la tâche familière qui témoigne de sa loyauté sans faille envers moi.

— Shams ? Dis-je doucement

Sa main glisse avec une douceur la brosse à travers mes cheveux, chaque mouvement me rappel le lien que l'on a tissé dès mon plus jeune âge. Chaque coup de brosse m'évoque des souvenirs doux et précieux de notre enfance partagée, où Shams prenait toujours soin de moi avec une tendresse maternelle.

— Oui ? Tu sais que je déteste quand tu fais ça avec ta bouche, cela signifie qu'il y a quelque chose qui te tracasse.

J'arrête de me ronger les ongles, consciente de son attention perspicace, et pose mes mains sur ma jupe. Mes doigts se perdent parmi les paillettes qui scintillent délicatement, qui m'offre une distraction alors que j'essaie de rassembler mes pensées.

— Est-ce que... pourrais-tu m'aider pour ce soir ? Dis-je timidement

Son visage reste impénétrable, mais à travers le reflet du miroir, je peux discerner une lueur d'inquiétude fugace dans ses yeux sombres. Elle dépose finalement la brosse avec délicatesse sur la table avant de saisir le pot d'épingles à cheveux qui se trouve à côté.

Je remarque comment elle se concentre sur sa tâche habituelle, elle sépare mes cheveux avant de commencer à le faire une tresse, puis une fois finit elle pince chaque épine avec précision, ses gestes empreints d'une habileté acquise au fil des années.

Le silence dans la chambre devient de plus en plus lourd, accentué par une chaleur croissante qui s'empare de moi. Chaque seconde qui s'écoule semble étirer le temps, se qui créer une atmosphère chargée d'incertitude, tandis que nous nous enfonçons dans nos pensées.

— Sabah... Tu sais ce que je pense de tout ça... C'est risqué. Tu te souviens de la dernière fois où un sevrant a failli découvrir la vérité ?

Pendant qu'elle ajuste avec précaution une mèche de cheveux qui obscurcit mon visage, une pointe de métal de l'épingle effleure ma peau, me faisant sursauter.

— Aïe !

Un sourire espiègle se dessine sur ses lèvres alors que je masse doucement l'endroit où la pique a atterri. Dans ses yeux, je peux lire à la fois une certaine inquiétude et une tendre complicité, comme si cette petite taquinerie était sa façon de dissiper les tensions qui nous entourent. 

— C'est pour te remettre les idées en place. Dit-elle en souriant

Je prends une expression boudeuse, croisant les bras avec un soupir théâtral alors que Shams termine de placer les dernières épingles dans mes cheveux. Le résultat est tout simplement parfait, comme à chaque fois. Même si la coiffure est restée la même depuis que je suis petite, je ne me lasse jamais du résultat impeccable que seule Telila sait obtenir.

Mes doigts effleurent distraitement les plis de ma jupe tandis que mes pensées dérivent vers la personne qui détient mon cœur, me faisant sourire malgré moi.

— Je sais... Mais il revient tout juste de chez lui... Et ça fait tellement longtemps...

Le regard inquiet de Shams me ramène brusquement à la réalité, me rappelant les risques que nous pourrions courir en nous aventurant jusqu'aux Pyramides. Son souci pour ma sécurité contraste avec mon désir d'aventure et de romance et d'irresponsabilité, créant un dilemme intérieur en moi...un peu difficile à surmonter.

Pourquoi il faut toujours que la vie soit difficile ?

Il faut toujours que ce soit noir ou blanc jamais d'entre deux, c'est quelque peu agaçant

Je ferai attention, je te le promets. Dis-je d'un ton suppliant, cherchant à apaiser ses inquiètudes.

— Tu as reçu quelque chose de Kairouan ce matin. C'est sur ton lit. Me dit-elle d'une voix calme, détournant habilement la conversation vers un sujet plus léger.

Son changement de sujet me fait sourire, reconnaissant sa tentative de me distraire. Mais rien qu'en entendant le nom de Kairouan, une excitation inextinguible m'envahit, faisant naître un immense sourire sur mes lèvres.

C'est sûrement Salma.

Je me précipite vers l'autre espace de la pièce, mes pieds glissant sur le sol en mosaïque. D'un geste rapide, j'ouvre les rideaux en faux cristal qui séparent ma chambre, laissant entrer une douce lumière tamisée qui illumine l'espace. Mon regard se pose immédiatement sur l'immense lit drapé dans des tissus luxueux aux teintes chatoyantes, signe de raffinement et de richesse.

Au centre du lit, trône un tableau blanc orné d'une calligraphie élégante où mon prénom s'étire en lettres arabes. À côté, une lettre soigneusement posée attire mon attention, et je m'empresse de l'ouvrir, impatiente de découvrir le message qui m'est destiné.

"À ma chère Sabah,

C'est avec une immense gratitude que je t'envoie ma première création en calligraphie, réalisée grâce au matériel que tu m'as si généreusement offert. Chacun de tes gestes de soutien et d'encouragement compte énormément pour moi, et cette œuvre est le témoignage de toute l'inspiration que tu m'apportes. Merci infiniment pour ta bienveillance et ta générosité sans limite.

Avec toute mon affection,

Salma."

En lisant ces mots, une vague de chaleur m'envahit, le cœur battant au rythme de notre amitié. C'est une belle œuvre, une œuvre chargée d'émotions, qui vient réchauffer mon âme en ce jour de festivités.

Un autre petit tableau repose délicatement sur le lit, représentant une ville qui, à en juger par les détails minutieux, doit être Sousse, la ville d'origine de Salma. Les ruelles sinueuses, les bâtiments blanchis à la chaux, les dômes caractéristiques : chaque coup de pinceau évoque l'essence même de cette cité méditerranéenne, comme si la toile avait capturé la lumière et l'atmosphère de cet endroit plus qu'envoûtant.

La simplicité de la peinture révèle une profondeur insoupçonnée. À travers chaque détail, je peux presque entendre les récits passionnés de Salma sur sa ville natale, les souvenirs d'enfance flottant dans l'air. En contemplant le tableau, une sensation familière m'envahit, comme si j'arpenté de nouveau les rues pavées et admiré les monuments historiques de Sousse aux côtés de Salma.

Chaque coup de pinceau semble imprégné de l'amour de Salma pour sa ville, et à travers ce tableau, je ressens la chaleur du soleil méditerranéen, le parfum enivrant des épices dans les souks, et le murmure apaisant des vagues caressant les côtes.

J'aimerai tant y retourner

— Sabah ? Viens, nous devons y aller.

La voix de Shams me tire de ma rêverie. Je dépose doucement le tableau sur mon lit, prenant une dernière inspiration pour m'imprégner de sa beauté avant de rejoindre Shams qui m'attend dans l'autre pièce. La réalité reprend doucement le dessus, mais les souvenirs évoqués par la peinture de Sousse restent gravés dans mon esprit, m'enveloppant de leur chaleur même lorsque je quitte la chambre.






❁ 






S'il y a bien une chose que je déteste, ce sont les fêtes grouillantes de monde, où je suis forcée de saluer des femmes dont je ne connais même pas les noms, et de me plier à des conventions sociales qui me semblent à la fois étrangères et étouffantes.

C'est une cauchemar.

Au milieu de cette agitation, la mariée trône majestueusement, son visage resplendissant de bijoux scintillants qui captent la lumière des lanternes suspendues. Entourée de femmes vêtues de robes colorées, elles jouent des instruments de musique aux sonorités enjouées et entonnent des chants joyeux, leurs rires éclatants résonnant dans l'air. Le contraste entre leur allégresse et mon sentiment de malaise est saisissant, comme un tableau vibrant de couleurs vives peint sur une toile sombre.

Je choisis de rester en retrait, assise discrètement sur un coussin richement brodé, préférant observer plutôt que de participer activement à ce mariage dont l'atmosphère m'étouffe. Mes mains tapotent distraitement au rythme de la musique, mais mon expression trahit une légère indifférence, mêlée à une pointe de résignation. La chaleur de la salle me pèse sur les épaules, accentuant le malaise qui grandit en moi.

Est-ce de l'hypocrisie ? Je crois bien.

À mes côtés, Shams est là, fidèle et rassurante, son visage rayonnant d'un sourire compatissant. Pourtant, nos rôles semblent irrévocablement définis par les limites sociales qui nous entourent. Elle s'efforce de briller dans cette ambiance festive, mais je sais que son regard, tout comme le mien, scrute la scène avec une certaine distance. De temps à autre, elle s'éclipse pour aider en cuisine, apporter les plats,  son dévouement à la tâche et son sens du devoir la poussant à agir. Je l'admire, mais cela ne fait qu'accroître mon sentiment de solitude.

Je me sens seule, comme une étrangère dans ce monde de rires et de musique. Une vague d'angoisse me submerge.

Sortez-moi de là... je vous en supplie.

Les murmures et les éclats de voix m'entourent, mais je me sens comme prisonnière de cette bulle de convention et de faux-semblants. Les regards échangés, les sourires forcés, tout cela me paraît si éloigné de ce que je suis. Je rêve d'un endroit où l'on ne juge pas, où l'on ne s'inquiète pas de plaire aux autres, mais où l'on peut simplement être soi-même.

Je ferme les yeux un instant, imaginant une échappatoire, un lieu où l'air est léger et les rires sincères. Mais à chaque battement de cœur, la réalité m'appelle, me ramenant à cette fête qui ne m'appartient pas.

Pourtant, malgré mes efforts pour rester impassible, je ne peux pas ignorer les regards scrutateurs des autres femmes, empreints de mépris et de jugement, qui se posent sur moi lorsque je suis près de Shams. La nature de notre relation semble être le sujet de leur curiosité malsaine et de leur désapprobation tacite, alimentant ainsi un sentiment de frustration et d'incompréhension en moi.

Je ressens un profond désir de m'échapper de cet endroit étouffant, de fuir les regards scrutateurs et les conventions sociales qui semblent étouffer mon être.

— Votre majesté.

Je tourne la tête vers Shams qui dépose gracieusement un plateau de fruits devant moi. Je lève les yeux vers elle, une pointe de gêne teintant mon regard.

— Arrête de m'appeler comme ça, je suis mal à l'aise. Dis-je maugréant.

Elle se penche légèrement vers moi, ses mots empreints d'une implication que seul nous pouvons comprendre.

— Je ne peux pas, vous le savez très bien. Dit-elle en chuchotant

Un soupir de frustration m'échappe alors qu'elle s'éloigne pour distribuer des plateaux de fruits à chaque convive. Pendant ce temps, ma jeune sœur Hayat, assise en face de moi, me toise avec un mépris palpable, ses yeux lançant des flèches de désapprobation et de jugement.

— Nous ne devons pas entretenir de relations amicales avec nos servantes, Sabah. Déclare ma sœur d'un ton péremptoire, son regard empreint de désapprobation.

Je la regarde prendre un raisin avec une nonchalance feinte, tandis que je reste silencieuse, luttant contre l'envie de lui répondre avec la même froideur.

« J'espère que tu vas t'étouffer avec », murmure-je entre mes dents, réprimant à grand-peine ma colère face à son arrogance.

La relation entre Shams et moi remonte à ma plus tendre enfance. Sa mère, fidèle servante de la mienne, était bien plus que cela : elle était sa meilleure amie, sa confidente, une véritable partie intégrante de notre famille. Shams, quelques années plus âgées que moi, est rapidement devenue ma complice, ma confidente, ma sœur de cœur.

Malgré les interdits sociaux et les conventions rigides que je ne cautionnais pas depuis mon plus jeune âge, notre amitié s'est épanouie, solidifiée par les épreuves et les rires que l'on a partagées.

Bien que Yasmine la mère de Shams soit souvent cantonnée à la cuisine, elle trouve toujours le temps de veiller sur moi, de prendre soin de moi comme si j'étais sa propre fille.

Shams elle-même, malgré son statut de servante, est bien plus qu'une simple employée pour moi : elle est une part essentielle de ma vie, de mon histoire, de mon être. Il est donc impensable d'imaginer entretenir avec elle une relation autre que celle qui nous lie depuis l'enfance, une relation faite d'amour, de confiance et de complicité, défiant ainsi les conventions sociales qui cherchent à nous séparer depuis quelques mois.

— Et puis, regarde, Baba, Mohamed et moi, nos relations avec nos domestiques sont basées sur les conventions sociales. Tu ne peux pas te permettre d'être amie avec des gens inférieurs à toi. Lance ma sœur d'un ton condescendant, ponctuant ses paroles par l'ingestion d'un autre raisin.

Il ne lui faut que quelques secondes pour s'étouffer avec le dernier, et un sourire discret étire mes lèvres alors que je la regarde avec un mélange d'amusement et de satisfaction.

— Je suis fatiguée, je vais me retirer dans ma chambre. Félicite la mariée de ma part. Ajouté-je poliment, saisissant l'occasion pour m'éclipser de cette atmosphère oppressante.

Lorsque je me lève, un soupir de soulagement s'échappe de mes lèvres. Je ne sais pas depuis combien de temps je suis assise sur ces coussins, mais cela fait un moment. Je remets derrière mon oreille quelque mèche de cheveux. Les regards inquisiteurs des femmes présentes dans la pièce se posent sur moi alors que je quitte le salon sans leur accorder un regard.

Dans les couloirs, la musique résonne toujours tandis que les femmes de la cuisine apportent les derniers plateaux de dattes et de fruits secs. Je les salue poliment avant de poursuivre mon chemin. En passant devant la pièce réservée aux hommes, mon regard croise celui de mon frère, entouré d'autres hommes que je connais de vue.

Le calme s'installe à chaque pas que je fais, me rapprochant de ma chambre. Une fois à l'intérieur, un soupir de soulagement m'échappe alors que je laisse retomber mes épaules, libérée de l'atmosphère étouffante qui régnait dans le salon. Les murs de ma chambre, familiers et réconfortants, m'accueillent comme un refuge, un havre de paix où je peux enfin retrouver un semblant de calme.

Je m'installe sur le bord de mon lit, laissant mes pensées vagabonder dans les méandres de mes réflexions. La situation avec ma sœur et nos différents d'opinion sur les relations avec les domestiques résonnent encore dans mon esprit, et elle suscite une multitude de questions et de remises en question sur ma propre position dans cette société rigide.

Etre une princesse c'est pas facile...















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Coucou mes marshmallows j'espère que vous allez bien ???

So it's gossip time ! 🌸

Alors vous pensez quoi de ce petit chapitre ???

J'ai pas fait de présentation pour notre deuxième protagoniste parce que je vous avoue que j'ai un mélange de flemme et aussi je suis fatiguée mdrrr, mais si vous voulez que je le publie dite le moi en commentaire.

Sur ce n'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensez ,si vous avez aimé, si vous avez détesté, n'oubliez de votez et commentez aussi c'est gratuit et ça tue personne quand à moi je vous fais des gros bisous et je vous dis à très bientôt prenez soin de vous !!!

Kiss !!!! 💋










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