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Chapitre 9


-Il est midi passé Chanyeol, quelque chose t'a retenu durant ta ronde ?

La voix moqueuse du général fouetta violemment le corps jusqu'alors figé du caporal-chef qui, stupéfait, fut seulement capable de répondre :

-Qu'est ce que vous faites là ?

Le plus âgé quitta le tabouret sur lequel il s'était précédemment assis, profitant de sa taille avantageuse pour le fixer avec supériorité.

-On ne répond pas à une question par une autre question, souligna-t-il avec agacement.

-Vous êtes chez moi, je pense que je mérite quelques explications.

Chanyeol repoussa avec hâte les paroles qui menaçaient depuis quelques minutes de s'échapper de sa bouche, préférant se renseigner tout d'abord sur les raisons de la présence de son géniteur dans son espace personnel avant d'exiger qu'il lui dise où se trouvait Baekhyun.

Il ignorait depuis quand le petit argenté s'était volatilisé. Aussi, il ne serait guère judicieux d'exposer son incompétence au regard critique du général s'il advenait que, par le plus grand des hasards, sa présence ne soit aucunement liée à la disparition de Baekhyun.

-Chez toi ? Rétorqua finalement son père en s'asseyant calmement sur son lit. Dois-je te rappeler que je suis le général de ce bunker et que par conséquent, tout m'appartient ?

Il tapota négligemment un oreiller avant de s'allonger sur le matelas, laissant ses chaussures salir les draps jusqu'alors d'un blanc immaculé.

-Voyons Chanyeol, aurais-tu oublié ce qu'est le respect ?

-Vous posez beaucoup de questions pour un homme qui n'apprécie pas y répondre, remarqua effrontément le jeune homme en fixant rageusement la saleté recouvrant désormais le tissu.

Le message était clair, mais horriblement déplaisant.

-Et contrairement à vous je ne me contenterai que d'une seule interrogation maintenant. Qu'est ce que vous faites là ?

-Attention, prévint le général en souriant mesquinement, je pourrais te prendre au mot et n'accepter de répondre qu'à une seule question comme tu dis.

Les lèvres du géant se tordirent en un rictus identique, trahissant les liens du sang qui les unissaient, à son plus grand malheur.

-Faites donc.

Son père lui lança un regard scrutateur, cherchant probablement à deviner quelles pensées dissimulait son masque quelque peu fêlé. Néanmoins, malgré les brèches creusées dans son regard noir inquiet et ses mains tremblantes, le secret caractérisé par l'esprit complexe du caporal-chef demeurait regrettablement entier.

-Je suis venu t'informer que ton jugement aura lieu dans un mois, avoua-t-il finalement lorsqu'il se rendit compte que son inspection ne le mènerait à rien.

La surprise déferla dans son être, se mêlant habilement à un soupçon d'appréhension. Chanyeol avait l'impression que ces deux saveurs au goût particulier avaient formé un mélange homogène, curieux cocktail que son ventre trouvait particulièrement désagréable à en juger par la manière dont il se tordait.

Et, malgré la fragilité nouvelle de ce masque qu'il portait en permanence, celui-ci tint bon et aucun morceau n'alla s'écraser au sol pour révéler son visage tourmenté, force instaurée par une volonté qui se voulait implacable.

-Kai sera jugé en même temps que moi je suppose, constata-t-il simplement.

Il savait comment fonctionnait son père, il ne lui accorderait pas le plaisir de lui donner raison en lui posant une question.

-En effet, répondit le plus âgé en fronçant les sourcils de mécontentement, l'heure vous sera donnée le jour même.

-Une idée du colonel Park j'imagine.

Chanyeol reconnaissait sans mal les méthodes de son supérieur.

-C'est pour éviter que vous prévoyiez quelque chose au moment du jugement, répondit le général en lui adressant un sourire aimable.

Le soldat à la chevelure ardente ne lui accorda aucun regard, celui-ci étant focalisé sur la porte de la salle de bain fermée qu'il venait à l'instant de remarquer.

Perplexe, il se souvenait pourtant l'avoir ouverte avant d'aller en patrouille pour que Baekhyun puisse se rendre aux toilettes, sans avoir à se soucier du mécanisme d'ouverture.

Il fit quelques pas en direction de la salle d'eau, ignorant les paroles du général qui se faisaient de plus en plus tranchantes.

-On préfère s'assurer que les coupables ne disposent d'aucune indication, au cas ou.

Les mots continuèrent à s'abattre violemment sur son dos, tandis que sa main s'approchait de l'écran digital.

-Qui sait ce que deux meurtriers pourraient faire dans ce genre de situation, souffla dramatiquement son géniteur en esquissant un sourire mesquin.

Chanyeol se figea, sa main retombant mollement le long de son corps.

Mais alors qu'il allait lui demander de répéter sa phrase, voulant le défier d'oser prononcer à nouveau ces absurdités en le regardant droit dans les yeux, la raison se saisit violemment de son interrogation pour l'envoyer tout en bas de sa liste des priorités.

Son père cherchait à gagner du temps.

La provocation était un pari risqué, il devait très certainement en avoir conscience. Néanmoins, bien qu'il sache que Chanyeol serait toujours disposé à lui répondre intelligemment sans se laisser dominer par ses émotions, il n'était pas sans ignorer que celui-ci chercherait également à l'attaquer, prolongeant inévitablement leur confrontation.

Le caporal-chef s'était laissé abuser par sa fierté un peu trop prononcée. Trop aveuglé par sa haine et son désire de remporter la bataille, il en avait oublié la guerre.

Il l'avait oublié.

-Où est Baekhyun ? Demanda-t-il sur un ton qui n'admettait aucun refus.

L'expression hautaine qui s'empara des traits de son géniteur lui fit grincer des dents.

-Nous avions pourtant dit une seule question, fils.

Cette fois-ci, ce fut au tour de Chanyeol de sourire.

-Et la voici. Je vous prierais donc d'y répondre.

Le général ne put refréner la progression de ses sourcils qui montèrent plus qu'il ne l'était humainement possible, plissant comiquement son front alors que sa bouche formait un "o" loin d'être discret.

-Tu avais dis "maintenant", comprit-il finalement.

-Oui, confirma le plus jeune, et de ce fait la question que j'ai posé au début de notre conversation ne compte pas, je l'ai juste réitéré.

Bien qu'il ne laissa rien paraître, Chanyeol jubilait intérieurement. Il n'était pas chose aisée de duper le général du bunker, s'avancer dans son domaine de prédilection était d'ailleurs un risque fou, insensé.

Et si son père avait toujours brillé dans l'art du débat, Chanyeol lui, avait toujours apprécié jouer avec les mots.

Son adversaire en faisait dorénavant l'humiliante constatation.

-Très bien, excepta le plus âgé en ruminant douloureusement sa défaite, tu as été fin sur ce coup, ça mérite une récompense j'imagine.

La satisfaction de Chanyeol disparut aussi vite qu'elle était apparue, laissant derrière elle un fugace sentiment de bien-être, vestige d'une victoire futile.

Son père était parvenu à retourner la situation à son avantage en donnant à son triomphe un goût amère, bien loin de la félicité qu'un succès était censé apporter. Sa réussite venait d'être banalisée, dépouillée de toute sa prestance, réduite à l'état d'une récompense. Le général, à travers cet acte qui n'avait de bonté que l'apparence, venait de lui rappeler qu'il n'était qu'un soldat mangeant dans le creux de sa main, un fils susceptible d'être récompenser comme puni, un homme soumis au bon vouloir d'un être supérieur.

Théoriquement, son père s'était engagé à lui fournir une réponse à son unique question. Pourtant, la tournure de sa phrase suggérait une acceptation qui n'avait pas lieu d'être, une concession indulgente d'un père qui voulait féliciter son fils après qu'il ait fait une bonne action, bien que cette dernière demeure sommaire.

Chanyeol comprenait à cet instant, qu'il s'agissait de la plus grande force de son géniteur.

Même dans uns situation de faiblesse, il parvenait à reprendre l'avantage en incitant inconsciemment son adversaire à penser qu'il avait accepté de perdre.

Cependant, le général venait à l'instant d'abattre une carte qu'il conservait habituellement dans son jeu, preuve qu'il avait été acculé et détrôné.

Cette tactique ne fonctionnait guère avec lui, il ne voyait ici qu'une veine tentative, teintée d'hypocrisie, pour regagner un minimum de contenance.

C'était pathétique.

-Je ne veux pas de votre récompense, seulement la réponse à la seule question que je vous pose, comme convenu, rétorqua-t-il en insistant soigneusement sur le dernier mot.

Le plus âgé lui lança un regard meurtrier, délaissant son air conciliant pour adopter son éternel sourire hautain.

-Il semblait vouloir passer du temps dans la salle de bain... Il fallait le voir y courir à toute allure après qu'il m'ait aperçu ! Mais, étant respectueux j'ai préféré lui accorder un peu d'intimité.

-Vous l'avez enfermé, réalisa Chanyeol en reculant inconsciemment, sa main cherchant la surface gelée de l'écran.

-Tout de suite les grands mot ! S'exclama le général en ricanant. Je n'ai juste pas profité de son corps comme tu dois probablement le faire en laissant la porte ouverte...Bien que ce ne soit pas l'envie qui en manque, crois-moi.

Le grand rouge retint au dernier instant la plainte emplie de dégoût qui s'était vicieusement hissée au bout de ses lèvres. Cet homme le répugnait, bien plus encore que les scientifiques.

-Dégagez de ma chambre, j'ai des droits et Baekhyun aussi. S'il a fui en vous voyant c'est pour une bonne raison. Vous êtes mauvais, et il l'a senti sans même vous connaître.

Le général quitta le lit en arborant un regard énigmatique, le gratifiant de ces dernières paroles avant d'exécuter sa volonté :

-En es-tu certain ?

Mais avant qu'il ne puisse répliquer, la porte de sa chambre se referma, bousculant ses idées qui lui hurlaient avec force de retrouver son précieux protégé.

Ramené à la réalité par les cris de sa conscience, il appuya fébrilement sur une touche de l'écran, ouvrant la porte de la salle de bain avec une lenteur pesante.

Hésitant, il pénétra d'un pas incertain dans la petite pièce, avisant dès son entrée la petite forme recroquevillée en dessous du lavabo.

Le coeur martyrisé par la culpabilité, il s'abaissa au niveau de Baekhyun, portant une main tremblante jusqu'aux bras qui dissimulaient cette frimousse qu'il savait être adorable. Il ne pouvait empêcher son esprit de lui renvoyer les visions atroces de ce même visage ravagé par les larmes, lui offrant un terrible aperçu de ce qu'avait probablement vécu le petit argenté en étant enfermé dans cet endroit exigu. Il ne pouvait qu'imaginer sa détresse, son incompréhension et ses craintes. Baekhyun avait jusqu'à peu connu l'immensité de l'infini au loin, l'absence de restrictions d'une Terre laissée à l'abandon, l'inexistante des murs ternes en béton.

Son seul rempart avait dû être ce que l'on appelait l'océan, mais n'y avait-il pas plus belle frontière ?

-Je suis là Baekhyun, chuchota-t-il en lui caressant les cheveux, il ne te fera rien, tu es en sécurité avec moi.

Il essaya de faire abstraction des sillons tranchant ses joues rougies, traces humides des perles salées qui les avait ravagé avec une froideur désagréable.

-Il ne reviendra plus, je te promets que c'était l'unique et dernière fois.

Chanyeol repoussa le malaise qu'avait engendré cette phrase, préférant consoler l'être tremblant se blottissant inconsciemment entre ses bras.

Car à cet instant précis, il l'ignorait.

Il ignorait à quel point il était dans l'erreur.


°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°


Lorsque Jongin frappa finalement à sa porte, Chanyeol fut rassuré de constater qu'il avait réussi à calmer Baekhyun et que ce dernier jouait distraitement avec sa couverture en laine sur son lit.

Seulement, il ne pouvait oublier le fait que le plus petit avait été traumatisé par l'arrivée soudaine du général dans son petit cocon réconfortant. Celle-ci avait brisé la sécurité instaurée par la simple odeur du géant inscrite dans les meubles, rendant probablement les futurs interactions avec des inconnus plus compliquées.

Chanyeol ne pouvait s'empêcher d'appréhender le moment où il ouvrirait cette maudite porte, exposant involontairement Baekhyun au monde extérieur. Sa chambre était devenue un second bunker, plus petit mais accueillant, un abris uniquement conçu pour eux.

Finalement, jugeant que Jongin était une personne digne de confiance et qu'il saurait se faire apprécier de l'argenté, il trouva le courage d'ouvrir l'unique accès à leur havre de paix.

-Tu caches quelque chose ou quoi ? S'écria le jeune soldat lorsqu'il put enfin le rejoindre. J'ai jamais vu quelqu'un mettre autant de temps avant d'ouvrir un porte.

-Moins fort, tu vas lui faire peur, grogna le caporal-chef.

Se souvenant soudainement qu'en effet, son ami dissimulait véritablement quelque chose dans son espace privé, Kai oublia bien rapidement son agacement.

Gagné par une brusque montée de curiosité, il examina rapidement chaque recoin de la pièce avant de se figer, lorsque son regard rencontra un visage inconnu mais indéniablement plaisant.

-Tu es Baekhyun ? Questionna-t-il en contemplant les oreilles frétillantes adorablement perchées sur sa tête.

Le concerné s'accrocha un peu plus fortement à sa couverture, cherchant inconsciemment la présence du caporal-chef à ses côtés.

Il ignorait qui était cet homme à la peau plus foncée que la sienne et, bien qu'il ne se sente pas particulièrement menacé par sa présence, il ne pouvait s'empêcher de songer qu'il devait être comme celui qui l'avait enfermé plus tôt.

Jusqu'à présent, cette espèce ne lui avait témoigné qu'une hostilité effrayante, Chanyeol n'était pas comme eux et c'était pour cette raison qu'il lui faisait confiance. Il pouvait sentir que le plus grand n'appréciait pas ceux qui lui ressemblaient, qu'il était l'un des rare à qui il pouvait témoigner de l'affection. Quant à Jongdae, il était spécial tout simplement.

-Arrête de le fixer comme ça, tu l'effraies, reprocha le géant en s'asseyant à quelques millimètres du petit argenté, passant un bras protecteur autour de ses hanches.

Baekhyun poussa un petit cris satisfait, ravi de sentir le corps rassurant de son protecteur lui bruler agréablement la peau.

La main de Chanyeol s'était glissée sous son pull qu'il apprenait petit à petit à supporter, pour s'ancrer dans le creux de ses reins, accueillant les frémissements roulant sur l'épiderme crémeux du grisé dans sa paume bienveillante.

Baekhyun ne pouvait qu'apprécier l'attention touchante du caporal-chef, la sensation étonnante de leurs peaux intimement liées dans un geste dénué de désir sexuel, le plaisir immense éprouvé à l'idée de se perdre à jamais à travers cette chaleur réconfortante.

N'étant pas totalement comblé par ce simple contacte, il décida de s'assoir sur les genoux du plus grand, nichant son nez dans le cou de son sauveur pour inspirer cette odeur qui menaçait de définitivement lui faire perdre pied.

Elle emplissait ses narines telle le sirop d'érable qu'il venait à peine de découvrir, sucrée et musquée à la fois, reflétant le caractère du grand rouge qui pouvait se montrer doux tout en conservant une fermeté qui lui était propre. Baekhyun était habitué à cette senteur. Elle imprégnait les murs, le lit, le pull qu'il portait, et le corps contre lequel il se complaisait.

L'inconnu qui lui avait posé une question quelques minutes auparavant n'existait plus, tout comme ses craintes chassées à coup de parfum et de tendresse.

Il était en sécurité et serein, c'était là le paroxysme de la satisfaction.


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-Il s'est endormi, constata Jongin.

-Evite de parler trop fort dans ce cas, chuchota Chanyeol en contemplant d'un oeil fasciné le faciès paisible du petit être.

La proximité aurait dû être embarrassante, il n'était guère habitué aux câlineries et gestes tendres et pourtant, il ne pouvait se résoudre à éloigner ce corps fragile de ses bras.

Baekhyun venait à nouveau de défier ce qu'il pensait pourtant être établi, envoyant valser d'un coup de nez contre son cou, d'une inspiration contre son épiderme, la gêne qui lui avait toujours collé à la peau comme un répulsif envers tous contacts.

À moins que le corps de Baekhyun soit lui aussi recouvert d'un produit qui, opposé au sien aurait crée ce magnétisme qu'ils ne semblaient pouvoir briser ?

-On est venu me voir pour me dire que notre jugement aurait lieu dans un mois, informa Kai.

-Je le sais déjà.

Le plus jeune acquiesça silencieusement, son regard dirigé vers le visage endormi de l'argenté.

-Il est mignon.

-N'y pense même pas, menaça le géant en renforçant sa prise autour du corps de Baekhyun.

Un rire bref résonna dans la chambre, brisant l'ambiance qui était devenue oppressante.

-Je ne pense à rien !

-Oublions, soupira le caporal-chef, nous devons parler de choses bien plus importantes.

Kai délaissa son air amusé pour une expression plus sérieuse, conscient que son ami était loin d'avoir tord.

-On a rien fait.

Chanyeol lui lança une oeillade entendue, nullement surpris par la remarque du plus jeune.

-Je sais qu'on a rien fait, mais ces hommes ne sont pas morts tous seuls, tu vois où je veux en venir ?

-Quelqu'un est véritablement coupable, exposa Jongin en réfrénant difficilement le sentiment d'injustice qui lui martelait le coeur, et il continu à déambuler dans les couloirs comme si de rien n'était.

Le géant, tout aussi révolté que son camarade, dut se plonger dans le tableau dépeint par le visage reposant de son petit protégé pour lutter contre une perte de contrôle inopinée.

-Pas seulement, rajouta-t-il entre ses dents serrées, cet individu à réussi par je ne sais quel subterfuge à nous rendre coupables. Si on est convoqué, c'est probablement car le rapport du médecin légiste a été falsifié pour nous incriminer.

-Comment est-ce possible ? S'étonna Jongin en écarquillant les yeux. Le médecin légiste est censé rédiger son rapport en présence d'un membre haut placé pour prévenir ce genre de cas justement.

Chanyeol attrapa soudainement l'appareil enfoncé dans sa poche, tapant distraitement un message sur la paroi en verre, les sourcils froncés par la concentration.

-Qu'est ce que tu fais ?

-Je prends rendez-vous, répondit calmement le plus âgé en se relisant pour être certain de ne pas avoir fait d'erreurs déplaisantes.

-Tu crois que c'est le moment ? Râla le soldat.

Le jeune homme à la chevelure flamboyante lui offrit un sourire moqueur, savourant la révélation qu'il détenait du bout de la langue.

-Avec le médecin légiste, crut-il bon d'ajouter.

Une sonnerie interrompit la réponse que son vis-a-vis était sur le point de lui fournir, révélant un message qu'il allait se faire un plaisir de partager.

-Nous le verrons demain, après la première patrouille.

-Peut-on savoir quel est son nom ? Demanda le plus jeune. Et arrête de sourire comme ça, tu fais peur.

Chanyeol demeura silencieux l'espace d'un instant, profitant pleinement de la sensation vertigineuse éprouvée à l'idée de détenir une information exclusive.

Puis, las de ce petit jeu qu'il avait lui même insaturé, il répondit avec nonchalance :

-Do Kyungsoo.


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Ce chapitre est nul, je suis désolée de vous servir un écrit d'une si piètre qualité.

Alors alors, je constate que vous avez bien eu peur lors du chapitre prétendent. C'était amusant de vous voir paniquer, tout en sachant que Baekhyun n'avait pas été enlevé mais juste enfermé dans la salle de bain.

D'ailleurs, ce message posté le 12 août aurait peut-être pu vous aider :

"Ce moment où ton chien a disparu, que tu le cherches de partout avant de te rendre compte que cet imbécile était juste coincé dans la salle de bain, sans jamais donner signe de vie. x)"

(Je précise quand même que mon chien m'a réellement fait le coup x))

C'est en constatant votre enthousiasme que j'ai décidé de poster ces fameux messages mystérieux sur mon profil. Vous avez donc un petit aperçu de ce à quoi pourraient ressembler les spoils.

Ce chapitre est bien plus riche en dialogues, j'ai laissé tomber la description que j'apprécie tant pour faire avancer l'histoire, mais je ne compte pas lui dire adieu.

À bientôt ~

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