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Chapitre 28




Trois silhouettes cagoulées arpentaient les couloirs sur la pointe des pieds.

Leurs regards, fuyants, trou de lumière incertaine dans un tricot charbonneux, épiaient les alentours dans la crainte continuelle de croiser un semblable. Ils trouvaient du soulagement dans la contemplation des lieux déserts, le silence était devenu religion. Seules leurs respirations entrecoupées osaient profaner le mutisme qu'ils s'étaient imposés, et malheur à celui qui aurait l'idée d'éternuer ! Les deux individus progressant devant le troisième, s'étaient déjà retournés vers lui à plusieurs reprises en fronçant les sourcils à l'entende de son souffle exagérément bruyant, le menaçant d'un regard ténébreux au point que celui-ci se soit confondu avec leurs cagoules. Le coupable, qui était également le plus jeune du groupe, avait alors levé ses mains en l'air en signe de paix, pestant à voix basse contre ses aînés qui, selon lui, espéraient secrètement qu'il périsse asphyxié.

Il fallait dire que la chaleur était étouffante sous ces cagoules. Le petit génie qui les avait confectionné avait dû oublier deux encoches, et pas des moindres puisque ni sa bouche, ni son nez n'avaient la possibilité de se défaire de cette prison charbonneuse. Et si ce n'était pas encore assez concret pour vous : oui, il crevait là dessous.

-Sehun, chuchota le plus petit des trois d'un ton venimeux, je te jure que si tu n'arrêtes pas tout de suite de respirer comme un asthmatique au bord de l'évanouissement, je te couds la bouche.

Le dénommé s'arrêta brutalement, le couinement de ses chaussures sur le sol arrachant un juron au seul homme qui avait jusqu'alors gardé le silence.

-T'es pas sérieux Kyung...

-Mon métier c'est en partie de recoudre des cadavres, répliqua le surnommé, crois-moi que j'ai la main pour ça.

Le bruit qui produisit la salive de Sehun lorsqu'elle s'engouffra dans sa gorge nouée par l'anxiété, eut raison de la patience du chef de l'expédition. Agacé, celui dont on croyait deviner une beau halée, dissimulée sous son masque de voyou, frappa durement la tête de Sehun, la claque résonnant sèchement dans le couloir.

-Qu'est-ce que tu comprends pas exactement dans "Secteur sous haute surveillance merci de la boucler ?". Ce sont les quartiers du général, on peut se faire chopper à tout moment !

Les murmures étouffés de Jongin, car oui c'était bien lui, se répercutèrent sur le visage dissimulé de Sehun qui, incommodé par la proximité du plus âgé, eut la bonne idée de répondre :

-Merde, t'as mangé quoi ce matin ? Même sous ma cagoule je peux te dire que tu pues de la gueu-

Néanmoins, le plus jeune n'eut pas le loisir de conclure sa phrase, la main gantée de Kai se plaquant violemment sur sa bouche un peu trop active, tandis que des bruits de pas résonnaient de plus en plus distinctement.

Rapidement, Jongin attrapa le bras de Kyungsoo pour le tirer dans un angle mal éclairé du couloir, Sehun se retrouvant obligé de suivre le mouvement, toujours emprisonné par la poigne du plus grand. Ils durent se compresser les uns aux autres pour êtres assurés que rien ne soit visible aux yeux des nouveaux arrivants, pas même la pointe de leurs chaussures. Ecrasé contre le mur, le corps de Sehun reposant sur son torse tandis que celui de Kyungsoo était recroquevillé sous son aisselle, Kai pouvait entendre les pulsations affolées de son coeur. Les tambourinements étaient si imposants qu'il était persuadé que Sehun puisse les ressentir, dos à lui.

-T'as rien entendu ?

Le silence qui suivit cette interrogation aux allures de menace, fut si long que les trois garçons crurent qu'ils avaient été découverts.

-Non, je ne crois pas.

-T'es sûr ? Insista l'autre, sa voix grave laissant imaginer une carrure de colosse pour la moins effrayante. Le bureau du général est juste là, si quelqu'un rentre dedans alors qu'on était en service, c'est la sentence assurée.

À nouveau, les lieux furent submergés d'un blanc total, un vide sonore si imperturbable qu'ils se demandèrent si le temps n'avait pas suspendu son cours. Cependant, lorsque les claquements des Rangers résonnèrent à nouveau, s'amplifiant au rythme des foulées, Sehun ne pût s'empêcher de fermer brusquement les yeux, redoutant ce qui allait arriver. Il pouvait comprendre dorénavant à quel point une malheureuse respiration pouvait revêtir l'allure d'un vacarme inquiétant. Celle de Jongin venait s'échouer au creux de ses oreilles, affolée, une expiration brulante qui semblait retentir dans une assourdissante cacophonie. Tout aussi audible, les battements de coeur sourds de Kyungsoo qui paraissaient faire écho aux grincements des chaussures du militaires qui ne tarderait pas à être à leur hauteur, comme une réponse, un radar dévoilant leur position.

Les cliquetis discrets que produisirent l'arme de Jongin, lorsqu'il la serra un peu plus fort contre lui, lui arrachèrent un sursaut de surprise. Alarmé, il comprit que son ami se préparait à tirer, en prévision du moment où le militaire se retrouverait juste à leur hauteur.

Les yeux exorbités, la respiration sifflante, Sehun eut l'impression que son estomac avait effectué une rotation complète lorsque la chaussure de l'homme se dessina derrière le mur. Dans son dos, Jongin tendit son arme, Kyungsoo émit un glapissement étouffé et, soudainement, le mur les séparant de l'affrontement lui parut aussi fin qu'une feuille de papier.

Cette fois-ci, Sehun avait définitivement arrêté de respirer. Il avait l'impression de monter en pression, sa tête était en proie à des bourdonnements incessants, une sorte de bouilloire sifflante dont les gémissements aigus lui écorchaient les tympans. Chaque vrombissement produit par son organe vital lui semblait être le dernier, le traître qui irait les dénoncer auprès des oreilles sur le qui-vive du milliaire.

Et, finalement, le verdict :

-Y'a personne ici, t'es parano mon pote.

Les bruits de couinement des semelles résonnèrent à nouveau, s'effaçant progressivement jusqu'à ce que le silence ne regagne pour de bon le secteur C. Plusieurs minutes passèrent, durant lesquelles les trois jeunes hommes réprimèrent violemment leurs soupirs de soulagement, craintifs que les patrouilleurs soient encore dans les parages.

Finalement, ce fut au bout de cinq minutes pendant lesquelles pas un geste ne fut esquissé, que la voix hésitante de Sehun s'éleva, pareille à un murmure, déclarant sur le ton de la plaisanterie :

-Quand Chanyeol saura tout ce que j'ai fait pour lui, il aura intérêt à me la donner cette foutu promotion.





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Baekhyun n'avait plus prononcé un mot depuis que le général lui avait révélé ses origines. Son regard perdu fixait le vide dans une quête de sens désespérée, un échappatoire qui lui permettrait d'oublier cette réalité. Hélas, le général ne devait pas avoir jugé utile de l'équiper d'une vue capable de percevoir les éléments les plus petits peuplant l'environnement. Autrement, il se serait égaré dans la contemplation des atomes constituant la matière, observant la manière dont les électrons gravitaient autour du noyau, comme Chanyeol avait semblé se mouvoir autour de Baekhyun. C'était ce qu'il était, un atome. Un ensemble essentiellement constitué de vide. Un atome qui n'en était même plus un, privé de son électron, dépourvu de sa neutralité, de son identité.

Il avait beau avoir conscience que son coeur battait, que ses lèvres laissaient passer une trainée d'air chargée en dioxyde de carbone, l'ignorance qui subsistait sur ce qu'il était l'empêchait de pleinement concevoir qu'il soit vivant. Qu'était-il au juste ? Un amas de chair assemblée selon le bon vouloir du général ? Une conscience constituée de toute pièce et programmée pour répondre à son bon vouloir ? Un automate dont on aurait saisi le libre arbitre ? Ou tout simplement, un organisme génétiquement modifié inhumain, voilà un pléonasme, et "Baekhyun" en était un deuxième.

Chaque pensée lui faisait l'effet d'un coup de poignard. Il avait la terrible impression qu'aucune de ses réflexions de lui appartenait, que tout avait été saisi à l'avance, inscrit dans son ADN à l'encre indélébile. Penser, cette preuve irréfutable de son existence, était devenu à ses yeux la manifestation d'un corps étranger, le rappel horripilant que si les songes lui étaient accordés, c'était parce qu'il avait été créé de A à Z.

Trop focalisé sur sa lutte intérieure, Baekhyun ne se rendit pas compte que le général s'était dirigé vers Jongdae.

Ce dernier, encore déboussolé par le spectacle auquel il venait d'assister, ne réagit pas immédiatement lorsque son supérieur se planta face à lui, son regard horrifié tournée vers le corps inanimé de l'argenté.

Les yeux de Baekhyun avaient arrêté de remuer, demeurant fixes et imperturbables, comme si son esprit avait abandonné les commandes de son corps pour se retrancher le plus profondément possible derrière sa prison de chaires. Il était terrifiant de faire face à cette enveloppe amorphe, le physique de Baekhyun ne faisant qu'accentuer la vision angoissante d'une poupée désarticulée, brisée par son propriétaire.

Mais probablement le général le préférait-il ainsi.

-N'est-il pas magnifique ? Souligna celui-ci.

Le regard qu'il portait sur Baekhyun était celui d'un collectionneur. Quiconque aurait eu l'audace de s'aventurer dans son esprit empestant la perversité, aurait eu une vison toute autre que celle de Jongdae concernant grisé.

Là où le jeune homme voyait un regard brisé, le général contemplait deux billes dont l'immobilité permettait de mieux capter leur couleur prodigieuse. Ce qui était une peau immaculée à la chaleur humaine, devenait de la porcelaine gelée. Un être prodigieux aux aptitudes intellectuelles hors du commun, était réduit à l'état de trophée, une décoration accessoire pour mieux sublimer ce qui devait être, pour le général, le clou de l'exposition.

Son propre génie.

Jongdae ne se rendit même pas compte que Xiumin avait posé sa main sur son avant-bras pour calmer ses tremblements. L'unique chose qu'il percevait était son ami, dévasté, étendu sur une table métallique comme s'il était sur le point de se faire disséquer. Un être humain auquel on refusait l'humanité par soucis de vanité, l'ignorance même d'une conscience pour la glorification immonde d'une matière entièrement modelée.

C'était répugnant.

-Chen, reprit le général d'un ton faussement amical, j'espère que votre lien avec B-1 ne vous empêchera pas de faire votre travail correctement.

Le dénommé sursauta violemment, dardant un regard apeuré en direction de son supérieur.

-Ne vous inquiétez pas, Chen sait faire la différence entre travail et amitié, s'empressa de répondre Xiumin lorsqu'il comprit que son protégé n'était pas en état de converser.

-Je ne parlais pas de ce lien là.

Jongdae ferma douloureusement les yeux, des spams incontrôlables traversant son corps meurtri par l'impuissance, priant pour que le général mette fin à son discours.

Il ne pourrait supporter d'être humilié devant l'homme qu'il admirait plus tout. Il avait accepté de voir son ami souffrir le martyre, il s'était rendu complice, par le biais de son inaction, d'une mise à mort psychologique. En acceptant de jouer le jeu jusqu'au bout, Jongdae avait entaché ses mains de l'esprit massacré de Baekhyun, il avait contribué à sa perte, il l'avait tué. Malgré tout, la perceptive de devenir un meurtrier pesait bien léger lorsque, parallèlement à son rôle en tant que simple spectateur, il mettait au courant ses alliés des moindres évènements ayant lieu dans la zone B-1.

Jongdae n'était pas particulièrement brave, la témérité ne faisait guère partie des qualités que la hasard avait consenti à lui accorder. En réalité, le jeune homme se plaisait à dissimuler sa peur panique derrière une langue bien pendue, un soupçon de sarcasmes, et une attitude désinvolte empêchant son interlocuteur de remarquer que ses jambes tremblaient plus qu'il n'agissait. Certes, le scientifique était peut-être froussard, peu sûr de lui, et du genre à parler beaucoup pour ne pas faire grand chose au final, mais il y avait bien une chose qui ne le définissait en aucune manière : la traitrise. Lorsque Jongdae s'attachait à une personne, l'élue ou la victime, tout dépendait du point de vue, pouvait être assurée de ne jamais le voir se détourner. S'il existait bien une chose que Chen exécrait, c'était le manque de loyauté, il était d'ailleurs étonnant qu'il n'ai toujours pas remporté une médaille pour sa fidélité incorruptible.

Seulement, si les âmes honnêtes comme celles de Jongdae avaient été récompensées pour leur droiture, alors celui-ci n'aurait jamais eu à subir les perfidies du général.

-Je ne comprends pas, avoua Xiumin, sceptique, si vous ne parlez pas de leur amitié, alors de quoi s'agit-il ?

Le sourire mauvais qui étira les lèvres du général acheva de faire comprendre à Jongdae que son plus terrible secret allait être révélé contre sa volonté.

Le coeur au bord des lèvres, l'injustice lui martelant la poitrine tel un cruel rappel à l'ordre, il se souvint avec amertume que son rôle ne lui permettait pas la moindre objection. Evidement, il ne faisait pas le moindre doute que le comportement de l'homme était inacceptable, le fait qu'il semble prendre du plaisir à l'écraser et éparpiller les morceaux de sa dignité ne contribuait qu'à le déshumaniser un peu plus.

Jongdae, remarquant que le général gardait volontairement le silence, comprit qu'il attendait qu'il réagisse avant de lâcher la bombe. Probablement espérait-il qu'il le supplie, qu'il implore sa clémence. Sans le moindre doute, il aurait aimé que le scientifique se jète à ses pieds, le regard assombri par le désespoir, en lui demandant de garder le silence en échange de sa dévotion la plus totale.

Malheureusement pour lui, et cela pas même le plus terrible des secrets ne parviendrait à le changer, Jongdae possédait un amour propre terriblement borné.

-Je suis étonné qu'il ne vous en ai pas parlé, j'avais cru comprendre que vous vous étiez rapprochés.

Il eut envie de lui faire remarquer que cela ne le concernait en aucune façon, mais la main que posa Xiumin sur son épaule suffit à le calmer instantanément.

-Nous sommes tous libres d'avoir nos secrets, répliqua ce dernier.

Le général lui offrit un sourire indulgent, un air qui l'agaça particulièrement, ayant l'impression de faire face à un père s'amusant de la naïveté de son enfant.

-Certes, mais il aurait été plus honnête de sa part qu'il vous explique les circonstances de sa venue au monde, et le rôle qu'il a joué auprès de Baekhyun.

Jongdae ferma les yeux, se préparant silencieusement à endurer l'impact.

-Après tout, ricana le général, c'est toujours bon de savoir que notre ami est un réalité une expérience génétique ratée, dont les quelques modifications phénotypiques mineures lui ont permis d'apprivoiser B-1, un mois plus tôt.

Et, la seule chose qui perturba le silence engendrée par la révélation fracassante d'un homme qui n'en avait que l'apparence, fut l'affolement des machines retranscrivant le rythme cardiaque de Baekhyun.

Car désormais, il comprenait que l'odeur de Jongdae, cette fragrance familière qui lui avait inspiré confiance lors de leur rencontre, était aussi sale que l'était son corps.





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-Qu'est-ce qu'on cherche déjà ?

Sehun avait ponctué sa phrase en ouvrant un énième tiroir, sa cagoule empestant la transpiration négligemment jetée au sol.

Derrière lui, de grands yeux menaçants observaient son travail au dessus de son épaule, tandis qu'une voix glaciale résonnait au creux de son oreille, lui arrachant un sursaut :

-Des preuves, n'importe quoi qui nous permettrait de montrer que Chanyeol est innocent.

-Bordel Kyungsoo, gémit Sehun, la main sur le coeur, refais plus jamais ça !

Mais, voyant que le plus petit n'avait que faire de son avertissement, préférant feuilleter les dossiers éparpillés sur le bureau, il ajouta à voix basse, grommelant d'un air boudeur :

-De toute façon c'est complètement con. Jamais le général ne laisserait des preuves de sa malhonnêteté, encore moins dans son bureau.

Il reprit néanmoins ses recherches, peu enjoué à l'idée que le médecin légiste décide de lui faire regretter son manque de volonté. Ennuyé, il laissa ses doigts retracer les lignes du rapport qui lui faisait face, soupirant lorsqu'il se rendit compte qu'il s'agissait seulement du récapitulatif des patrouilles de la semaine. Rien ne faisait mention d'une activité suspecte où d'évènements notable, le bunker n'avait jamais connu une période aussi prospère, fait ironique lorsqu'on était conscient de ce qui se déroulait derrière certains murs en béton.

Sehun passa une main agacée dans sa chevelure, son regard fatigué terminant de décortiquer les feuilles avant qu'il ne décile de refermer le dossier. Il se devait d'être rapide et efficace, Kai qui était resté devant la porte pour les informer de l'arrivée de leurs ennemis, pouvait lancer le signal à tout moment, et il était inenvisageable de repartir les mains vides.

Sehun savait qu'il n'avait pas le droit de se plaindre. Chanyeol était en isolation depuis deux jours, et Baekhyun subissait une torture psychologique insoutenable. C'était sans compter Jongdae qui devait supporter la situation en gardant le silence, ou bien Junmyeon qui s'efforçait de tout coordonner à distance et d'élaborer l'entièreté de la stratégie. On aurait pu dire que le plus âgé lui refilait le sale travail, mais la vérité était que la pression endurée par le médecin était mille fois plus pensante que l'anxiété qui lui courrait dans les veines depuis qu'il avait pénétré dans le secteur C.

-Sehun, fit soudainement la voix de Kyungsoo, faut absolument que tu viennes voir ça.

Intrigué, car il n'avait pas souvent l'occasion de déceler autre chose que l'indifférence chez le petit homme, l'interpelé s'empressa de le rejoindre, ses grandes jambes réduisant la distance qui les séparait en un instant.

D'une main tremblante, Kyungsoo lui tendit un dossier plus épais que les autres, quelques feuilles s'envolant lors du processus, sur lesquelles Sehun put lire en petits caractères :

"Climatologie : les prévisions pour l'année prochaine

Il semblerait que les températures aient continué d'augmenter cette année encore. Quant aux radiations, elles ont atteint un niveau favorable à la poursuite de la vie sur Terre. Bientôt, l'année prochaine si on continu à observer une telle amélioration, l'homme pourra regagner l'extérieur"


-Sehun...Ce document, reprit Kyungsoo, ses yeux écarquillés refusant de se détacher du texte.

Son doigt se posa brutalement en bas de la page, indiquant au plus jeune la raison de sa stupeur.

-Il date d'il y a 25 ans.

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