🔞 ๛ sunghoon × sunoo ꗃ
( 🔞 ; pas de lemon, mais contenu mature très explicte, sensible et peut-être perturbant)
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19h47 dans un immeuble au centre de Seoul. Kim Sunoo, grand directeur adjoint et trésorier d'une organisation criminelle dissimulée sous une entreprise de recherche technologique nommée BlueFrog, comptait sagement ses billets les pieds croisés sur son bureau, les transformant en liasses.
C'était un peu une routine pour lui, ce n'est pas comme si il avait un chez lui ou une famille à rejoindre pour passer la nuit. Ce business était toute sa vie, et dans ce genre de milieu, il est préférable de n'avoir aucune attache.
*toc toc toc*
- Entrez.
La porte s'ouvrit, laissant avancer un de ses agents, Lee Heeseung, traînant avec lui un homme ligoté et bien amoché. Il avait les cheveux argenté et une chemise "hawaïenne" verte et orange, ainsi qu'un short blanc et des chaussures de marque.
« aucun style » releva t-il en grimaçant silencieusement.
- Voici, monsieur. Annonça Heeseung.
- Qui est-ce ?
- Park Sunghoon, monsieur.
- Je vous ai demandé, qui est-il.
- C'est l'homme qui vous doit de l'argent, monsieur. Le chauffeur.
- Oh, tiens donc.
Sunoo ne cacha pas son amusement et eu un ricitus alors qu'il décroisait ses jambes pour admirer le captif de plus près. Il se leva et s'approcha, sa démarche féline n'en restant pas moins intimidante.
Le auburn s'accroupit à son niveau et d'une main, lui saisit la mâchoire pour admirer son visage abîmé. Malgré sa lèvre ouverte et son énorme coquard, Sunoo ne put s'empêcher de remarquer sa beauté. Leurs yeux se croisèrent et il y eu quelque chose, des mots, échangés entres les iris brunes et les prunelles ébènes.
« quel visage d'ange... »
- C'est lui ? Questiona-t-il soudainement. L'homme qui était censé conduire mes agents a un lieu donné ? Qui a profité d'un moment d'inattention pour me subtiliser de la marchandise, provoquant l'assassinat de deux pères de famille et salissant ma réputation, me faisant passer pour quelqu'un de déloyal qui ne sait pas où placer sa confiance... c'est lui ?
- Oui monsieur.
Sunoo se leva doucement, son geste s'accompagnant d'un rire nerveux, et giffla l'argenté avec assez de force pour pour qu'Heeseung soit obligé de le lâcher. Le cœur de ce dernier s'était secrètement affolé, pas habitué à voir son supérieur user de la violence physique ; ce n'était pourtant qu'une gifle.
- Park... Sunghoon. Il est habillé comme un clown, un type comme lui nous a volé du fric ? C'est une vaste plaisanterie.
Il marqua une pause et agrippa sa victime par le col.
- Où est l'argent fils de pute ?
Il ne répondit pas, complètement déstabilisé par la peur et sonné par tout les coups qu'il avait déjà prit.
- Répond enculé ! Tu veux mourir !?
- J-J'ai acheté des chaussures...
Le trésorier le lâcha et éclata de rire avant de s'arrêter en hochant la tête.
- Où est l'argent Heeseung ?
- Nous avons récupéré une majorité des biens mais la somme qu'il manque est effectivement dans ces chaussures, monsieur. Pointa le brun.
- Okay... okay...
- Que souhaitez-vous faire, monsieur ?
- Ôtez le de ma vue.
- Dois-je m'en débarrasser ?
Soudainement l'argenté se mit à ramper aux pieds du auburn, suppliant.
- Pitié, pitié je vous rembourserai, je ferai tout ce que vous voudrez mais pitié, laissez moi la vie je vous en supplie...
Sunoo haussa un sourcil, étonné de le voir si pitoyable. Généralement les hommes qui arrivent dans son bureau sont remplies d'ego et de fierté, ils préfèreraient mourir que de se mettre à genoux devant lui.
- Lèche moi les pieds et tu auras la vie sauve.
Le Park n'hésita même pas un instant et sortie sa langue pour venir carreser le pur cuir de bœuf de son soulier vernis. Surprenant agréablement le propriétaire dont une étrange lueur illumina les pupilles.
- Heeseung.
- Oui monsieur ?
- Laissez le se laver, habillez-le convenablement, et ramenez-le moi.
Le brun hocha la tête et saisit Sunghoon par ses liens pour le traîner hors du bureau. Le captif était silencieux, de toutes façon que pouvait-il dire ? Il valait mieux pour lui qu'il fasse profil bas.
Heeseung l'emmena dans une pièce qui ressemblait à une suite de luxe et le guida jusqu'à la salle de bain où il procéda à sa libération.
- Si tu essais quoique ce soit sache que ça se finira mal pour toi. Prononça-t-il en le détachant. Déshabille toi.
L'argenté soupira discrètement et s'exécuta. Étant vulnérable, se dénuder devant un inconnu n'était pas la chose la plus rassurante, mais au fond de lui il était prêt à tout subir si ça voulait dire qu'il aurait le droit de vivre.
- Lave toi, je vais te préparer des vêtements. Annonça finalement l'homme en quittant la pièce avec ses vêtements sales.
Rassuré, le blessé entra dans la cabine de douche et ouvrit l'eau, laissant le liquide froid brûler ses plaies ouvertes. Après s'être lavé, il resta un moment sous l'eau les yeux fermé avant de revenir à lui dans un sursaut, réalisant qu'il était observé depuis il ne savait combien de temps par le grand brun.
- Tu as terminé ?
- Oui. Souffla Sunghoon, presque inaudiblement en fermant le robinet.
On lui tendit alors une tenue qu'il enfila immédiatement sans se questionner et suivit Heeseung, qui le tenait en laisse les poignets menottés, jusqu'au bureau où ils se trouvaient précédemment.
*toc toc toc*
- Entrez. Répondit-on derrière la porte.
Et en entrant, ils tombèrent sur le fameux trésorier et un autre homme charismatique, la chevelure courte et ébène à l'instar de ses sourcils sévères.
Les deux hommes mirent une pause à leur conversation pour observer les nouveaux arrivant, l'argenté particulièrement, qui ne portait rien qu'une nuisette de dentelle, des menottes à fourrure, et un collar auquel était relié la laisse avec laquelle Heeseung le tenait, tous de couleur blanche.
Sunoo sourit brièvement avant de constater que le noiraud reluquait également son otage ; ses sourcils se froncèrent légèrement.
- Jongseong veuillez nous laisser maintenant.
- Bien entendu, monsieur Kim. Prononça-t-il en s'inclinant respectueusement avant de sortir, non sans déshabiller l'argenté du regard au passage, le faisant baisser les yeux, embarrassé.
Sunoo ne manqua pas une miette de la scène et sentait déjà bouillir son sang.
- Merci Heeseung tu peux disposer toi aussi. Ne me dérangez plus jusqu'à demain 8h.
- Compris, monsieur. Il s'inclina à son tour puis lâcha la laisse et disparus en fermant les grandes portes du bureau derrière lui.
Sunghoon releva la tête et rencontra le regard lubrique du auburn, dont le rictus ne lui disait rien de bon. Sa petite tenue ne le mettait à l'aise, mais très certainement en valeur aux yeux de son vis-à-vis.
- Au pied. Ordonna calmement le trésorier avec dédain.
Et il s'exécuta, s'approchant à une distance raisonnable du siège pour se mettre à genoux à ses pieds.
- J'espère que tu sais que tu n'es pas tiré d'affaire, Park Sunghoon ; tu m'as attiré tant de problèmes. Prononça-t-il en relevant délicatement le visage pâle de l'homme d'un doigt sous le menton, cherchant son attention.
- Je ferai tout ce que vous voudrez, si vous me permettez de rester en vie. Souffla sa victime en fuyant son regard.
- J'y compte bien. Maintenant ferme ta grande gueule et suce moi la bite.
- P-Pardon ?
- Obéit, sinon c'est mon flingue qui éjaculera au fond de ta gorge.
Les jours se suivaient et aucun ne se ressemblaient. Sunghoon se faisait malmener, et même si au départ il trouvait que c'était à juste raison, les punitions étaient de plus en plus osées et il ne pouvait pas y faire objection. Il se consolait à se disant que son maître n'était pas violent et qu'il devait s'estimer heureux de pouvoir dormir et manger à sa faim quitte à se faire jouir dessus.
- Sunghoon. L'interpella Sunoo, les yeux rivés sur les documents posé sur son bureau.
- Oui maître ?
- Bureau.
- Oui, maître.
L'argenté se leva du sol et prit place entre le trésorier et le meuble de chêne, avant d'y allonger le haut de son corps, le fessier exposé face à son bourreau.
Sunoo se leva de son siège et déboucla sa ceinture, ouvrit sa braguette et sortie son sexe de son sous-vêtement pour le prendre sans attendre. Le captif serra les dents et s'agrippa durement au bureau pour supporter la douleur.
Douleur à laquelle il ne s'était pas encore habitué mais qu'il finissait toujours par oublier, même s'il lâchait parfois quelques larmes. Et alors qu'il laissait doucement exprimer son plaisir timide, on frappa à la porte.
- Entrez. Autorisa Sunoo au milieu de son affaire.
C'est son fameux collègue, Park Jongseong, qui pénétra la pièce.
Sunghoon était extrêmement embarrassé, il s'était déjà fait baiser par le auburn devant Heeseung, à plusieurs reprises, mais jamais devant d'autres personnes ; et cet homme avait déjà laisser paraître par ses regards insistant son intérêt pour lui, alors se trouver ainsi en position de faiblesse devant lui le mettait vraiment mal à l'aise.
- En quoi puis-je vous aider Jongseong ? Questiona Sunoo, agacé, pour récupérer l'attention de son interlocuteur.
Le noiraud se râcla la gorge et fit voyager ses yeux de l'otage gémissant à son maître au bord de l'énervement.
- Le grand patron veut nous voir. Tous, sans exception ; et apparemment vous ne répondez pas au téléphone.
- Je vois. Répondit-il le plus simplement du monde en poursuivant ses entrées et sorties de Sunghoon derrière le bureau, un sourire narquois scotché au visage. J'ai droit à un peu d'intimité ou bien tu veux voir mes couilles au microscope ?
Jongseong pesta et s'en alla immédiatement, donnant dos à la scène avant de fermer les portes.
L'argenté n'avait pas pu s'empêcher de remarquer l'air inquiet de son maître en le voyant revenir de sa réunion. Au départ il voulu se persuader qu'il s'en foutait, après tout il était la petite chose de cet homme opulent, ils n'avaient aucune attache ; mais voir ce masque intrépide tomber et laisser place à une expression douce et anxieuse l'avait fait craquer.
- Maître ? Osa-t-il à l'heure du couché en observant l'homme se vêtir de son pyjama de soie.
- Mh. Répondit immédiatement Sunoo, distrait.
- Tout va bien ?
Le trésorier haussa un sourcil avant de soupirer. Son expression devenait presque candide, c'était une facette encore jamais découverte auparavant qui se dévoilait à lui.
- Tu peux venir dans le lit avec moi Sunghoon ?
Le concerné se leva de son matelas au sol dans le coin de la chambre et atteint le grand lit où il grimpa, vite rejoint par le aubrun qui à sa plus grande surprise se blotti contre lui. Ce n'était pas la première fois qu'il avait le droit de monter dans le lit, mais ce n'était jamais pour de simples activités telles que des calineries.
Il se figea d'abord, pas sûr de ce qu'il devait faire, puis osa glisser sa main dans ses mèches rouges pour lui caresser la tête. Sunoo ferma les yeux et prit une grande inspiration.
- Je pense mourir bientôt.
Sunghoon se figea de nouveau, le cœur serré à l'idée que la personne avec qui il a passé ces derniers mois ne disparaîsse pour toujours.
- Ne t'arrêtes pas.
Obéissant, il reprit ses mouvements dans la chevelure de son maître.
- Ça doit te faire plaisir de savoir que je risque de mourir.
- Pas vraiment.
- Tu peux être honnête. Je n'ai pas été tendre avec toi, tu as raison de vouloir ma mort.
- La mort n'a rien de réjouissant. J'ai beau être votre esclave je reste reconnaissant que vous ayez choisit ça plutôt que de me tuer.
- "Reconnaissant" ? Répéta Sunoo en pouffant de rire, amusé par le ridicule de cette réflexion. Pourquoi tiens-tu tant à la vie ?
- Parceque c'est une expérience unique dont je voudrais expérimenter tout le possible. J'essaie de faire tout ce dont j'ai envie et de foncer ; ça me pousse souvent à agir sans réfléchir et je suppose que c'est pour ça que je me retrouve ici. Mais je ne regrette pas, la souffrance, l'humiliation et la peur font partie de la vie. Je n'ai pas encore atteint le point où j'ai envie que ma vie s'arrête.
Il y eu un silence. Sunoo ne savait pas si il était impressioné ou effrayé de voir l'argenté prendre son sort avec autant de recule.
- Tu es Bouddhiste Sunghoon ?
- Mh, non. Mais j'avoue que c'est une belle philosophie.
Et il en ria, Sunoo avait rit avec franchise pour la première fois depuis qu'il le connaissait. Sunghoon trouva ce rire adorable, cela n'avait rien à voir avec le dictateur auquel il avait eu affaire jusqu'à aujourd'hui, et cette partie là du aubrun lui plaisait énormément.
- Je pars demain matin Sunghoon. Nous avons une rencontre "amicale" avec un groupe rival, et tout porte à croire qu'il y aura des coups bas.
Le captif hocha la tête pour montrer qu'il comprenait. C'était ça, la raison pour laquelle il pensait qu'il mourrait bientôt.
- J'aurai un gilet pare-balle mais ça ne suffira certainement pas, ces gens sont des bâtards, ils visent majoritairement la tête. Aussi je voudrais que si on t'annonce ma mort, tu t'en aille loin d'ici et vive une vie honnête.
- Comment pourrais-je ?
- J'ai déjà demandé à Heeseung de s'en assurer. Insista-il en se redressant pour lui tapoter le torse du doigt. Il veillera sur toi pour moi Sunghoon, promet moi que tu le fera.
- Oui maître.
Sunoo lui sourit et caressa tendrement sa joue avant de se pencher pour l'embrasser. Il ne l'avait jamais embrassé comme ça, avec tant d'attention, de douceur ; Sunghoon ferma donc les yeux et profita du moment.
« je suppose que l'on est tous des moins que rien devant la mort. »
Le lendemain, Sunoo était parti, et depuis deux jours, pas de nouvelles des agents partis sur le terrain. Heeseung veillait à ce que Sunghoon mange, boive, et dorme en paix jusqu'au retour du plus jeune.
Puis le troisième jours, plusieurs agents revinrent mais aucune trace de Sunoo. On ne savait pas s'il était mort ou non, il avait simplement disparu et son corps était introuvable.
L'argenté était vraiment inquiet, Heeseung insistait pour qu'il respecte sa promesse et s'en aille vers une vie meilleure, mais il refusait de faire quoique ce soit tant que le aubrun n'était officiellement déclaré mort.
Les jours passèrent et Heeseung fatiguait, monter la garde devant le bureau de son supérieur nuits et jours commençait à avoir raison de lui. Et alors qu'il était à deux doigts de céder au sommeil, une silhouette apparue et lui flanqua un coup inattendu qui le mit immédiatement au sol.
Réveillé par le bruit, Sunghoon sursauta en entendant le bureau s'ouvrir et décida d'aller voir. Il ouvrit la chambre et vit une ombre debout à l'entrée.
- H-Heeseung hyung ?
- Oh ça non beauté. Répondit immédiatement une voix familière qui effraya l'argenté.
Il recula de suite et tenta de fermer la porte de la chambre à clef, seulement, le noiraud fut bien plus rapide et poussa violemment la porte, le jettant au sol dans la foulée.
L'homme le saisit par les cheveux et le força à se lever puis à s'allonger sur le lit du trésorier ; il s'assit immédiatement sur son bassin pour l'empêcher de se redresser et maintenit ses poignets contre le matelas.
L'argenté était bien plus fort que ce qu'il pensait et son agresseur ne s'attendait pas à ce qu'il se défende si bien. Lorsqu'il se mit à hurler il lui pressa la bouche, libérant un de ses poignets, permettant à Sunghoon de lui purger le bras jusqu'à lui arracher de la chaire avec ses ongles.
- ARGH !! Espèce de salope !! Jura-t-il, le relâchant pour se tenir le bras.
Sunghoon se releva du lit et en se retournant, près à se battre il sursauta, tombant face à la bouche d'un flingue. Il se raidit de suite, tétanisé.
- Si tu veux pas que je te bute, tu vas sagement te déshabiller complètement et te laisser baiser c'est claire ?
La mâchoire de l'argenté se mit à trembler, il se sentait idiot, ressassant les paroles de Sunoo lui demandant de disparaître des environs s'il ne revenait pas. Mais il lui manquait, le auburn lui manquait terriblement, alors il se mit à pleurer silencieusement, les lèvres serrées. Peut-être que si il imaginait qu'il s'agissait de son maître ce ne serait pas si douloureux.
Et alors qu'il s'attendait au pire, la détonation d'une arme à feu retentit, effrayant le captif qui hurla, les mains sur les oreilles, avant de sentir le cadavre de son assaillants s'échouer contre son dos, très vite dégagé par une personnalité familière.
- M-Maître... v-vous...
Sunghoon ne pouvait pas alligner deux mots, et il n'en avait pas besoin, son trésorier l'avait prit dans ses bras, bien vivant, avec tout ses membres.
- Je suis vraiment désolé Sunghoon, je suis désolé de l'avoir laissé te faire du mal. Prononça-t-il en lui prenant le visage en coupe pour chercher des hématomes.
- I-Il ne m'a pas fait du mal, il n'en a pas eu le temps maître, vous êtes arrivé à temps.
- Dieu merci, j'ai vu qu'Heeseung êtait mal en point j'ai cru mourir en t'imaginant subir les attrorcitées de ce pervert... comme si je n'en était pas un moi aussi...
- Maître je vais bien, vous n'avez rien à vous reprocher d'accord ? Je suis tellement heureux que vous soyez en vie j'ai eu si peur. Tenta de le rassurer l'aîné dans une seconde étreinte.
- Après tout ce que je t'ai fais ?
- C'était de mon plein gré-
- C'est faux Sunghoon, c'est faux. Gronda le auburn en le prenant par les épaules, agacé. Arrête de me trouver des excuses, s'il te plait. Dorénavant tu es libre.
- N-Non je...
- Je ne veux plus jamais que tu subisses les choses que tu as subit ici Sunghoon, tu dois partir.
- Je ne vous abandonnerai pas ! Rétorqua l'argenté.
- Je suis un monstre ! Un criminel !
- Mais je vous aime quand même !
Un ange passa. Malgré la noirceur de la pièce, les iris brunes et les prunelles ébènes parlaient encore entre elles.
- Je vous aime tellement Sunoo, je ne veux pas partir. Je veux faire ce qu'il me plaît sans réfléchir, et ce dont j'ai envie, c'est vous.
Leurs lèvres se fondirent ensemble sans préavis. Ô comme ça leur avait manqué d'être ensemble. Il était doux comme un premier baiser mais restait passionné. Le cœur des deux amants frappaient dans leurs poitrines à l'unisson, ils s'aimaient c'était indéniable. En se séparant, ils eurent tout deux un sourire indécrochable entre les joues.
- Alors... reste.
- Merci maître...
- Mais, je ne veux plus que tu te vois comme mon esclave. Je suis un trésorier, et parce que je te chéri comme la plus précieuse des merveilles, tu es mon trésor, Sunghoon.
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