➥ 𝑫𝒂𝒃𝒊 𝒙 𝑨𝒚𝒖𝒎𝒊 𝑺𝒉𝒊𝒏𝒂𝒎𝒊 𝒙 𝑯𝒂𝒘𝒌𝒔 - 𝕞𝕪 𝕙𝕖𝕣𝕠 𝕒𝕔𝕒𝕕𝕖𝕞𝕚𝕒 ☛ PARTIE 2【𝑶𝑪】
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──── POUR CONTENIR MES PLEURS.
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Ses lèvres rosées se posèrent sur les siennes tandis que ses mains descendirent doucement le long de sa colonne vertébrale. Le lit craqua, le faisant ricaner et elle passa une main dans ses cheveux rouges. Elle sentit ses dents entrer en contact avec la peau de son cou et ne put s'empêcher de soupirer, intoxiquée par ses nombreuses et mielleuses caresses. Son souffle se coupa lorsque ses canines pénétrèrent à l'intérieur de sa chair et enfin, elle gémit. Toute sa frustration s'échappa d'un coup, s'envolant au gré de la tempête qui frappait actuellement Fukuoka. Pour une fois, elle le laissa faire. La jeune femme s'abandonna à lui, sans avoir peur de perdre son âme ou sa vie.
─ Renji, gémit-elle. Renji, Renji !
─ Oui, Ayumi ? sourit-il en passant sa grande main dans ses cheveux bruns. Qu'est-ce qui ne va pas ?
Renji plaqua ses deux mains au-dessus de sa tête et vint l'observer de plus près. Ses yeux brillaient et étaient tous les deux presque entièrement fermés. Son corps était recouvert de petites gouttes de sueur et il se permit de commencer à l'embrasser. D'abord, il commença par le milieu de ses cuisses et remonta doucement vers son ventre. La jeune fille crut se perdre et gigota dans tous les sens, alors qu'il glissait un doigt à travers sa culotte. Ce dernier caressa son clitoris et passa délicatement entre ses lèvres déjà complètement trempées. Renji sentit le sang affluer vers son sexe et dut se retenir de se frotter contre Ayumi, actuellement en train de se tortiller sous ses cajoleries.
─ Tu aimes ça, Ayumi ? demanda-t-il d'un ton faussement innocent.
La jeune fille ne lui répondit pas et se contenta de le fixer dans les yeux, perdue. C'était la première fois qu'elle ressentait quelque chose du genre. La première fois qu'elle laissait Renji la toucher. Et elle ne le regrettait pas.
─ J'ai quelque chose qui pourrait te plaire, ma chérie, annonça-t-il soudainement en arrêtant de caresser son entrecuisse. Écarte les jambes, j'arrive.
Il se leva, entièrement nu et ouvrit la commode située près de son lit. Son sexe entièrement redressé et suintant de plaisir fit déglutir Ayumi, qui roula sur le côté, excitée. Elle commença à se toucher sous les yeux remplis de désir de son partenaire. L'intensité des sensations qu'elle ressentait la fit s'accrocher aux draps carmin. Renji saisit enfin l'objet de sa convoitise et le présenta devant la jeune femme, qui déglutit. Un vibromasseur.
─ Je le gardais pour toi. Je veux te voir te tordre de plaisir devant moi, Ayumi, avoua-t-il en lui tendant d'un geste sensuel.
Il prit place une nouvelle fois dans le lit en se calant contre son dos, tout émoustillé. La jeune femme sentit la virilité de son partenaire faire des allers-retours contre elle et sourit. Il lui embrassa le cou durant de longues secondes avant d'attraper ses seins, qu'il massa sans retenue. Épuisée par les caresses de Renji, Ayumi se mit à le supplier d'aller plus loin. Son corps se souleva de lui-même lorsqu'il alluma le vibromasseur et le plaça sur son entre-jambe. Immédiatement, cela la fit lâcher de nouveaux cris qui parurent délicieux aux oreilles de Renji. Il la masturba de longues minutes en la retenant contre le matelas, fou d'elle, de ses hurlements de plaisir et de son corps frêle.
Renji ferma les yeux lorsque Ayumi se délivra enfin, après presque trois minutes. Elle tremblait de plaisir, la bouche légèrement entrouverte, détruite par le supplice que venait de lui faire subir son partenaire.
Ayumi se réveilla en sursaut quand son mari lui griffa brutalement le visage. D'un geste automatique, elle se releva et essuya son front rempli de sueur. Immédiatement, son corps se crispa, torturé par un mal dont elle ne connaissait pas la provenance et la femme jura. Que s'était-il passé ? Elle ne se souvenait plus de rien ! Seule la douleur qui persistait dans sa jambe lui indiqua que quelque chose n'allait pas. Lorsqu'elle tenta de se redresser, mal à l'aise dans sa couette, elle remarqua enfin qu'elle ne se trouvait pas chez elle. Les murs, d'un blanc cassé, lui donnèrent un très grand indice, et ses doutes se confirmèrent quand elle aperçut les différents appareils médicaux dispersés un peu partout dans la pièce.
Son souffle s'accéléra, et ses mains devinrent moites, alors que des médecins faisaient irruption dans la pièce, alertés par le capteur accroché à son bras. Ayumi leur jeta un regard effrayé, se demandant toujours ce qu'elle faisait là, et esquissa un violent mouvement lorsque l'un des docteurs posa une main sur son bras.
─ Madame, calmez-vous, s'il vous plaît. Vous vous trouvez actuellement à l'hôpital central de Fukuoka. Vous avez subi de graves dégâts durant l'attaque d'un vilain, hier soir. Je suis heureux que vous ayez soigné vos blessures grâce à votre Alter, sinon vous seriez morte à l'heure qu'il est. Je pense cependant que vous garderez quelques séquelles au niveau de la jambe : cette dernière a été la plus touchée, et a dû repousser pendant que vous dormiez.
Ayumi tenta de s'exprimer, mais fut interrompue par un des médecins, qui lui tendit quelques comprimés des deux mains en indiquant qu'il s'agissait d'anti-douleurs. Elle le remercia, avala ces derniers sans quémander de l'eau sous l'œil des trois hommes, qui en furent étonnés. Les cachets glissèrent durement le long de sa gorge, en éraflant sûrement son œsophage à cause de leur taille.
─ Nous avons prévenu votre conjoint afin qu'il puisse venir vous chercher, prévint le médecin qui l'avait déjà rassurée sur sa présence ici. Étant donné que votre guérison s'est effectuée plus vite que prévu, nous vous donnerons plusieurs médicaments afin que vous puissiez gérer de manière convenable l'état de votre jambe.
Ayumi écarquilla les yeux en entendant cela, et se recroquevilla légèrement sur elle-même. Renji allait venir. Tous ses efforts avaient été réduits à néant.
─ S'il vous plaît, ne le laissez pas entrer... je ne veux pas le voir, je ne veux pas voir Renji, finit par supplier Ayumi tout en serrant fortement les couettes contre elle. Il va me taper, s'il me retrouve... je ne veux pas que tout recommence ! S'il vous plaît, dites-lui que je ne suis pas ici !
Un des docteurs posa une main sur son épaule, et elle se dégagea violemment de son étreinte en laissant échapper un petit gémissement effrayé. Renji. Il allait venir et la tuer ! Pourquoi personne ne la croyait ? Merde, merde, qu'est-ce qu'elle allait faire ?
─ Vous êtes en état de choc, madame. Essayez de vous calmer jusqu'au retour de votre mari. Ce dernier prendra bien soin de vous, vous verrez.
─ Non ! Non ! Écoutez-moi, merde ! Il me fait du mal ! Je n'ai plus aucun contact avec mes amis et ma famille à cause de lui, putain ! Pourquoi vous faites semblant de rien ? Hein ?
Sous l'expression blessée de Ayumi, les médecins sortirent de la pièce. Elle était en train de rêver, non ? Venaient-ils vraiment de faire comme s'ils n'avaient rien entendu ? Allait-elle être obligée de revoir Renji, après tout ce qu'elle avait fait pour s'enfuir de chez elle ?
Non, non, Ayumi ! se dit-elle intérieurement en se levant du lit tout en ignorant la douleur qui lui vrillait la jambe. Tu dois te barrer d'ici avant qu'il ne vienne te chercher ! Dépêche-toi ! Tu ne dois pas te laisser faire à nouveau. Tu ne dois pas te laisser abattre ! Le cœur brûlant, elle chercha du regard son sac à dos et constata qu'il était posé dans un coin de la pièce. En boitillant, la femme se leva et le saisit pour le coller contre elle, paniquée. Elle retint son envie de vomir, tandis que ses entrailles se tordaient dans un ballet incessant. Lorsque la porte s'ouvrit, son pouls s'accéléra et tout commença à tourner autour d'elle. Sa respiration devint lourde, alors qu'elle sentit quelqu'un lui attraper la main. Elle se retourna, et perdit tout espoir, encore une fois.
Renji était là, en plein milieu de la pièce. Ayumi eut l'impression de ne plus l'avoir vu depuis un siècle entier, et décidément, ce dernier ne lui avait pas manqué. La femme n'arriva même pas à réfléchir quand il avança pour lui tirer les cheveux, plaquant au passage son corps contre le sien. Elle aimerait le repousser, effrayée et intimidée par l'aura à faire froid dans le dos qui se dégageait de lui, mais elle ne pouvait pas. Le couteau qui était présent dans sa main droite la persuadait de ne faire aucun geste brusque, si elle ne voulait pas en payer le prix.
─ Tu m'as manqué, ma chérie, murmura-t-il en abaissant son visage vers le sien. (Son haleine fraiche donna à Ayumi l'envie de vomir, et il la gifla, mécontent de son comportement, qui d'habitude, était obéissant.) Tu sais, hier, je t'ai cherchée partout. J'ai vraiment cru que je ne retrouverais plus jamais. Puis, il y a eut cette attaque, près de chez nous. Putain de salope, tu ne sais pas à quel point j'ai eu peur de t'avoir perdue. Hein, tu te rends compte ? Je me suis inquiété, et maintenant, pour t'être enfuie, tu vas payer. Dès qu'on rentre, tu me supplieras de t'épargner de ta petite voix de chienne. D'accord, Ayumi ?
Prise de terreur, la brune hurla. Renji lui frappa violemment le visage, et elle tomba sur le sol à cause de la puissance du coup. Lorsqu'il l'écrasa à l'aide de son pied, elle commença à sangloter et d'autres hurlements encore plus puissants sortirent de sa bouche.
─ Ferme ta gueule, putain ! chuchota-t-il dans l'espoir que sa femme se taise enfin. Je vais te tuer, Ayumi ! Je vais tuer toute ta famille si tu ne te tais pas, petite merde ! Je t'ai donné un ordre, alors tu dois l'écouter !
Lorsque la porte de la chambre s'ouvrit, fracassant au passage une partie du mur, la femme sursauta. Est-ce que quelqu'un venait la sauver ? Quand ses yeux aperçurent les grandes ailes rouges face à elle, ces derniers se remplirent de larmes. Quelqu'un l'avait entendue, bordel. On allait peut-être la sauver ! Elle ne serait pas obligée de repartir avec Renji !
─ Qu'est-ce que vous étiez en train de faire, monsieur ? demanda son sauveur, alors que l'une des plumes présentes sur ses ailes se détacha. On ne vous a jamais appris à respecter les femmes ?
─ Une femme ? ricana-t-il en retirant son pied du visage de sa conjointe. Tu penses vraiment que ce laideron est une femme ? Elle n'a que ce qu'elle mérite, pour m'avoir désobéi, et cela lui convient parfaitement.
Soudain, Renji s'approcha du nouveau venu, l'air menaçant, et brandit le couteau qu'il tenait vers ce dernier. D'un hurlement, il tenta de le poignarder, alors que les pleurs d'Ayumi résonnèrent dans la pièce. Après un soupir, l'homme aux cheveux blonds arrêta le mouvement comme si de rien n'était. Renji se figea, surpris, quand il se fit maîtriser en quelques secondes. Le visage collé au sol, le rouge hurla qu'il n'avait rien fait, et qu'elle méritait tout ce qu'il se passait.
─ Est-ce que ça va, madame ?
Ayumi ne remarqua pas qu'on lui parlait. Ses pensées étaient bien trop remplies de souvenirs pour qu'elle lui réponde. Sa rencontre avec Renji. Son premier baiser avec Renji. Sa première fois avec Renji. Son mariage avec Renji. Sa vie avec Renji. Renji. Son mari, l'amour de sa vie. L'homme qu'elle ne pouvait pas s'empêcher d'aimer à la folie.
Pour la seconde fois en quelques minutes, une crise de larmes lui prit, et son sauveur dût la serrer dans ses bras pour qu'elle se calme et remarque que tout était fini. Résignée, elle finit par caler sa tête contre le torse de l'homme aux ailes rouges, et se laissa bercer tout en sanglotant de temps en temps.
─ Est-ce que ça va mieux ? demanda-t-il au bout de quelques minutes, avec un petit sourire. Lève-toi, sinon tu vas te salir. Oh, attends, tu as mal ? Tu veux que je t'aide ?
Ayumi secoua la tête pour lui signifier que tout allait bien. La blague. En serrant les dents pour contenir la douleur qu'elle ressentait, la brune réussit à se relever bien qu'elle manqua de vaciller lorsqu'elle jeta un regard à Renji, qui la regardait depuis le coin de la pièce.
─ J'espère que tu te rendras compte de ce que tu as perdu, Ayumi. Tu ne trouveras jamais quelqu'un de meilleur que moi ! Je suis le seul qui peut t'éduquer correctement.
─ Je vais amener cet imbécile au commissariat le plus proche, si cela ne te dérange pas, finit par déclarer le blond en saisissant Renji par ses vêtements. Attaquer un super-héros sans raison est considéré comme une infraction grave, c'est dommage pour toi.
Un super-héros ? Cet homme était un super-héros ? Cela expliquerait le fait qu'il ait utilisé son Alter comme si de rien n'était pour arrêter Renji. Les yeux rouges à force d'avoir pleuré, Ayumi observa les deux hommes quitter la pièce. Qu'allait-elle faire, maintenant ? Devait-elle rentrer chez elle comme si rien ne s'était passé ? En jetant un regard sur le sol, elle remarqua qu'un trousseau de clé était resté sur ce dernier. Elle esquissa une grimace en remarquant qu'il s'agissait du sien. Renji l'avait sûrement apporté, persuadé qu'elle le suivrait sans résister.
Les jambes tremblantes, la femme se leva dans l'optique d'enfin partir, mais fut interrompue par une voix douce qui la fit sursauter. Le héros ailé était revenu, et la regardait d'un air étrange. Comment avait-il fait pour aller aussi vite ? Cela ne faisait même pas cinq minutes qu'il était parti !
─ Eh, tu comptais partir ? Ne t'inquiète pas, je vais te ramener chez toi en un clin d'œil, dit-il en passant une main dans ses cheveux. Enfin, je ne t'y oblige pas, hein. C'est comme tu veux. C'est juste que je me disais que tu aurais du mal à marcher, avec ce qui est arrivé à ta jambe... ce n'est pas pire qu'hier soir, heureusement.
Ayumi lui lança un regard interrogateur. Comment savait-il que sa jambe était blessée ? Elle recula, tout en faisant attention à ses faits et gestes, assez intimidée par sa présence. Il l'avait sauvée, mais elle n'était pas sûre de ses intentions.
─ Ah, c'est vrai, tu ne dois pas t'en souvenir, mais c'est moi qui t'ai sauvée hier. Je t'ai amenée à l'hôpital en même temps qu'un petit garçon, car les secours n'arrivaient pas.
Ses yeux s'écarquillèrent. Comment avait-elle pu oublier ? C'était lui, cet homme aux yeux cuivrés. Les vêtements qu'il portait n'étaient pas les mêmes que ceux d'hier, et la femme supposa qu'il avait passé la nuit ici, lui aussi blessé par le vilain. Elle fut cependant rassurée d'entendre que le petit garçon qu'elle avait tenté de sauver était vivant.
Pour finir, Ayumi accepta sa proposition. Elle n'était même pas sûre de pouvoir atteindre sa maison, car sa jambe lui faisait un mal de chien. La jeune femme le suivit jusqu'à l'accueil de l'hôpital, sac à dos en main, en ignorant les regards étonnés des autres patients. Hawks, c'est Hawks ! Regarde, maman ! entendit-elle, alors qu'ils passaient la porte d'entrée.
La luminosité changea d'un coup. La jeune femme tenta de s'en protéger, mais une aile rouge vint le faire à sa place. Après lui avoir dit son adresse, le héros éclata de rire sans raison et lui administra une tape amicale dans le dos.
─ On va y aller en volant ! J'espère que tu n'as pas le vertige, déclara-t-il en la retournant soudainement, sous les yeux éberlués de certains membres du personnel. Accroche-toi bien, on décolle, ha ha !
Ayumi n'eut pas le temps de répliquer : le vent souffla ses cheveux dans tous les sens, tandis qu'Hawks se soulevait dans les airs grâce à la seule force de ses ailes. Le bruit que produisirent ces dernières la firent halluciner, et bientôt, ils se retrouvèrent au-dessus des nuages. La jeune femme n'osa pas y jeter un œil, bien trop effrayée. Elle se contenta donc de garder sa tête collée à lui pendant tout le trajet, en espérant qu'il se finisse le plus vite possible.
Après quelques minutes qui lui parurent éternelles, le super-héros se posa enfin sur le sol. Avec toute la grâce d'un éléphant, Ayumi se dégagea de son étreinte et se baissa afin de le remercier. Qu'allait-il arriver à son mari, en fait ? Arriverait-elle à vivre normalement, maintenant ?
─ Pour... Pour Renji, qu'est-ce qu'il va se passer ? demanda-t-elle en se triturant les doigts, assez gênée. S'il vous plaît, ne lui faites pas trop de mal.
─ Il sera sûrement emprisonné. J'ai dit aux policiers ce qu'il s'était passé, et les violences conjugales sont fortement punies par la loi. (Ayumi se figea, et commença à trembler sous le regard de Hawks.) Je sais que c'est dur, mais ma parole compte plus que la tienne. Je suis numéro deux, et je ne peux pas laisser une femme souffrir. Ils te demanderont sûrement un témoignage dans les jours qui suivront. Pour te tenir au courant, peux-tu me donner ton numéro de téléphone ?
La jeune fille hésita longuement avant de lui avouer qu'elle n'en possédait plus. Renji avait brisé le sien il n'y a pas longtemps, pour l'empêcher de prévenir quelqu'un. Après avoir réfléchi quelques secondes, le super-héros lui tendit un téléphone qu'elle reconnut immédiatement. C'était celui de son mari. Un peu étonnée, elle le réceptionna et échangea le numéro du portable avec Hawks.
─ Ah, commença-t-il alors qu'ils arrivaient devant la porte de l'appartement de la brune, et si tu veux te changer les idées, on pourrait aller boire un verre ensemble !
Apeurée, Ayumi ouvrit brusquement la porte de chez elle, le regard fuyant, avant de lui dire que tout cela ne l'intéressait pas. Son cœur battit à la chamade quand il baissa la tête, un peu déçu, en déclarant :
─ C'est un plaisir d'avoir pu t'aider ! N'hésite pas à me contacter. Passe une bonne journée !
Et il l'abandonna là, sur le pas de la porte, après l'avoir saluée de sa main.
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(っ◔◡◔)っ ♥ Merci à tous ceux qui ont lu ce chapitre ! J'espère que vous avez apprécié ce dernier ! J'ai tenté de respecter au mieux le caractère d'Hawks. Si jamais vous trouvez que ça ne lui convient pas, faites-moi signe ! ♥
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