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Garder le Secret 5/7 🍋 ✔️

Son cœur soupira.

Un murmure silencieux, une cicatrice brûlante au fond de la chair. La chaleur émanant de ses lèvres qui l'embrassait, son âme accrochée à la sienne. Posée sur un coude, Jaya avait succombé à ses charmes, à ces chemins mouillés qu'il dessinait sur ses cuisses jusqu'à son antre fertile. Il s'arrêta à la limite interdite. Un œil profond sur elle, Vadim la faisait languir. Il aimait tant la voir s'agiter lentement de frustration, se cambrer face à l'envie qu'il agaçait en elle.

Il voulait donc jouer ainsi...

Vadim s'immobilisa face à sa féminité, un ressort au cœur quand Jaya glissa ses doigts fins comme des brindilles dessus. Doucement, au ralenti, elle caressait ces parties les plus charnues sous ses yeux envieux, ces petites aspérités chaudes et humides. Elle aussi pouvait faire naître le plaisir et cette sensation qu'elle n'avait éprouvé qu'une unique fois, seule dans cette chambre, lui vola un soupir lascif.

Était-ce une invitation ? Le blond convoitait ses petits doigts espiègles pour prendre leur place. Elle le provoquait d'un air angélique, le défiait, l'incitait à s'en approcher et la torturer. Une brebis aux crocs de loups. Il déglutit.

Une douleur pulsa à son entrejambe face à ce magnifique spectacle. C'en était trop. Sa contenance s'envola au même titre que sa retenue jusqu'alors présente en minimes pointes.

La prenant par les hanches, Vadim la tira légèrement, mais brusquement vers lui pour poser sa bouche sur le bord du paradis. S'écroulant dans les draps, Jaya gémit, fauchée par cet intense plaisir qui déchaîna ses entrailles. Son rythme cardiaque accéléra. Elle ressentait son impatience, son manque, sa langue chafouine, il en salivait contre sa chair.

Le monde féerique de son mari lui ouvrait ses portes, écrit à l'infini, une étoile qui brillait pour inonder de sa lumière celui qui la touchait. Une détresse sans précédent, le bassin qui se tordait de millions de bonheurs. Un mets précieux, vital, qui la percutait. Vadim savait où frapper pour faire mouche, il connaissait son corps par cœur.

Elle l'aimait tant, sans relâche, sans concession et de tout son cœur de femme.

— Vadim, ne t'arrête pas... Je t'en supplie...

Plus qu'un coup de foudre, il frémit sous cette voix. Un sentiment étrange, une alchimie dévorante, un puzzle incomplet lorsqu'il ne la comblait pas. Son ventre se resserra.

Allumeuse, irrévérencieuse, capricieuse, impulsive, elle était tout ça en même temps, mais d'autres fois rien de tout cela. Charmante, douce, désinvolte et insupportable. Tant d'adjectifs pour décrire cette bombe à retardement qui démolissait son cœur estropié. Il aimait avoir subi ce croche-patte dans leur couple pour mieux s'élever ensuite avec elle.

Il l'aimait à s'en briser l'âme.

Les jambes posées sur ses épaules, Jaya s'agrippa aux cheveux cendrés de Vadim, tremblante et gémissante entre ses dents. Gesticulante, harassante, sensuelle, il la maintint en place en glissant sa main aventureuse jusqu'à son sein qu'il empoigna pour qu'elle ne lui échappe pas. Elle la serra entre ses doigts, renforçant la pression qu'il exerçait déjà dessus. Du feu dans les artères, elle s'écorchait la voix.

Bientôt, il ne sentirait plus sa langue.

Délicate, sauvage, amoureuse, un premier orgasme puissant la fit tresaillir.

La sphère dans son bas ventre explosa, la déhancha sur le matelas, parsemant ses tripes d'un sublime lâché de papillons. Ses cris se perdirent au ciel. Elle peinait à reprendre son souffle, en l'air, mais aplatie au sol.

Son magicien avait fait des merveilles et n'était pas peu fier de l'admirer dans cette divine transe de soupirs.

— Ah, Vadim... Tu vas finir par me tuer, à cette allure...

Il sourit contre sa cuisse où il déposa un baiser.

— Mourir de plaisir... En voilà une mort magnifique. Je serais tenté pour ma part.

Joueuse, féline, excitante, Jaya se redressa, suivant le mouvement du corps de son mari fondant sur elle. Il ne comptait pas s'arrêter là. Capturant ses lèvres avec fougue, la brune se sépara légèrement de lui pour caresser du bout de son pouce son menton et ses lèvres pleines d'elle. Son regard fiévreux lui donna une décharge électrique ; un miroir du sien.

Elle voulait aussi lui faire plaisir, là, tout de suite.

Le forçant à s'allonger à son tour, Jaya prit le dessus sur lui. Fragile, intrépide, dominatrice, sa bouche grignota la sienne avant de descendre le long de son torse qu'elle embrassa, sans oublier de titiller ses tétons chauds. La chair de poule émergea sur la peau dorée. Elle désirait lui faire comprendre à quel point il lui était précieux. À quel point elle l'aimait, lui et tout ce qui le constituait, et que son corps de dieu était né pour être recouvert de ses baisers.

Sous l'emprise de son odeur, l'océan en bouffées, Jaya s'humecta les lèvres quand elle arriva à la limite de son pantalon. À travers la toile, elle voyait et sentait nettement la montagne de désir qu'il entretenait à son égard.

Elle l'embrassa à travers le tissu, le gorgeant de frissons.

Un regard échangé, une hésitation vite balayée.

Deux petits doigts habiles et elle fit sauter le bouton. Elle voulait une chance de le faire parvenir à ses besoins bestiaux. Le guider un instant, lui prouver comme elle avait appris auprès de lui. Il était un instrument à manipuler avec dextérité, sans pudicité. Avec impureté.

Elle tira lentement sur le bas de son époux qui, malade d'impatience, l'aida à s'en débarrasser pour exposer cette imposante virilité qu'elle toucha doucement et stimula. Son pouce caressa son extrémité arrondie recouverte de liquide pré-séminal. La douleur de sa tendresse engorgea les poumons du prince qui s'embrasa quand sa langue le rencontra. Empoisonné, son venin le faisait suffoquer sous cette braise ardente. Il trembla, exhalant un soupir d'aise, quand sa muse forma des cercles s'imprimant dans son corps palpitant. Il en perdait le nord, s'échouait au sud incroyablement.

Vadim ferma les yeux en s'accrochant au sommet de son oreiller ; un maigre salut dans son délicieux supplice. Ces joues infernales se creusaient autour de lui, attisant le feu de forêt dans sa poitrine, le gémissement d'une passion qui l'engouffrait.

— Est-ce que tu aimes, Vadim ?

Il sourit à ces mots ; elle déteignait bien trop sur lui. La petite biche autrefois effarouchée se révélait bien effrontée aujourd'hui. Il allait la braconner si fort qu'elle n'allait pas pouvoir se lever durant des jours.

Fini de jouer... La bête entrait dans l'arène.

Se relevant, le courant dans les veines, Vadim la saisit par les hanches et la retourna violemment sur le matelas. Fou de désir, il recouvrit le bas de son dos de baisers, mordilla sa hanche, sa fesse. Ses deux poignes encerclèrent les dunes de chair où, entre leur cœur, il vint déposer ses lèvres encore si affamées.

Une claque s'abattit sur sa cuisse ; elle rougissait, cela émoustillait la jeune femme.

À moitié couchée sur le ventre, la croupe en l'air, Jaya mourrait d'envie de le caresser, toucher encore cet homme si cher, mais il l'en empêcha en la fessant de nouveau. Une plainte lui déchira l'âme, cinq doigts immenses sur sa peau blanche.

— Ne bouge pas... Ce soir, c'est moi qui te touche.

Ses mains puissantes, badines et avides, posées sur la cambrure alléchante de ses reins, cette merveille était à lui. Entièrement à lui.

Jaya en frissonnait de bonheur. La colère était passée, seul restait un amour nimbé de passion. Ses poignes se crispèrent aux draps. Qu'attendait-il ? Être prise en main avec fermeté, elle ne rêvait que de ça. Mordant sa lèvre inférieure, elle se cambra contre lui, aguicheuse, se frottant subtilement contre le membre endurci. C'était la vue la plus excitante aux yeux de Vadim.

— Dis-moi ce que tu veux, Jaya... Dis-le et je le ferai.

Il voulait qu'elle lui révèle toute l'étendue de son désir. Quand son mari la commandait ainsi, elle abdiquait immédiatement, comme manipulée par sa voix rauque. La timidité prenait purement des chemins dévoyés.

— Je te veux en moi...

Un frisson le parcourut. Il l'aimait tellement quand elle exprimait ses besoins ainsi.

— Ne te retiens pas... Fait-moi mourir de plaisir, Vadim.

Ses désirs seraient des ordres. Enroulant une pleine poignée de ses cheveux dans sa main, le dominant démarra au quart de tour, butant avec davantage d'ardeur à chaque poussée. La bouche de la brune s'ouvrit toute seule dans un long râle, submergée par une nouvelle vague de joie. Vadim bavait devant ce tableau érotiquement obscène. La taille fine de Jaya indécemment arc-boutée, la coulure démoniaque de ses reins s'ouvrant sur ce globe fessier empourpré de la marque de ses doigts. Il y plongeait impitoyablement, enivré par ses gémissements savoureux.

Et elle adorait l'avoir dans la peau. Le plaisir roulait dans son corps à tel point qu'elle ne réalisa pas immédiatement qu'il ne bougeait plus et que ses propres hanches se cognaient souplement d'elles-mêmes contre lui. Vadim s'en mordait les lèvres.

— Tu me rends fou, Mëyrtania. Je brûle pour toi...

Ce n'était pas un acte tragique, mais d'amour. Un besoin pour le corps humain, un besoin pour eux deux.

Un besoin qu'il voulait pousser à son paroxysme.

Oui, il en voulait plus, ce qu'il avait sous les yeux attisait sa soif de goûter un tout autre plaisir. Brusquement, il se retira, ne laissant à sa moitié le temps de répliquer qu'il cueillit d'un doigt entreprenant une fleur de cyprine qu'il déposa généreusement plus haut. Jaya se figea quand il taquina cet endroit proscrit, les yeux ronds et l'arrêt au cœur. Elle se retourna vivement.

— Qu'est-ce que tu fais ?

— Shhh... Ne te contracte pas... Détend-toi...

Anxieuse, pantelante, ratatinée, elle se montra cependant docile. La princesse déglutit, un souffle douloureux coincé dans la poitrine. L'index caressait cette entrée postérieure, plus secrète et infoulée. Un sens développé qui se décuplait de manière troublante. Vadim bourgeonnait d'audace.

C'était une sensation encore inéprouvée pour elle. Aurait-elle l'aplomb de la tenter ?

— Est-ce que... ça fait mal ?

— Ça dépend si tu es crispée... Dans la sodomie, la force ou le rejet n'apporte que la blessure, du moins, au début.

Sa voix n'était qu'un chant érotique à ses oreilles, tant et si bien qu'elle ne bougeait plus du tout, osant qu'à peine respirer. La sodomie ? Quel drôle de mot... Elle n'aurait jamais cru ce genre de pénétration possible, elle n'arrivait tout simplement pas à se la représenter, jusqu'à ce qu'elle se retrouve avec une première phalange à l'intérieur. Elle hoqueta, toute blême.

C'était un concept obscur qui allait avec cette partie encore plus obscure du corps.

— Laisse-moi y entrer, je t'en supplie...

Il avait soufflé ces mots contre sa peau incandescente. Le marqué sema des baisers doux comme des plumes sur ses omoplates, crevant d'avoir sa réponse. La poupée pervertie mordilla nerveusement sa lèvre quand il remua son index plus chaudement, plus profondément.

— Ça ne rentrera jamais plus...

— Tu veux parier ?

Elle ne bougeait plus face à cette bravade, ne préférant pas parier avec lui. Elle se savait perdante d'avance. Ce serait une nouvelle expérience, une découverte probablement inoubliable. Ses sens la guidèrent vers la pointe agaçante, un dard empoisonné qui l'attirait inexorablement. Oui... Jaya était prête à mordre cette aventure à pleines dents.

C'était un accord en bonne et due forme pour Vadim. Bien largement suffisant.

— Ne bouge surtout pas...

Elle ne comptait aller nulle part.

Jaya retint un souffle quand il se fraya un chemin, lentement, si lentement qu'elle le sentit passer centimètre par centimètre. Un souffle mourut dans sa gorge. Crispée, elle serra les dents.

— Vadim, doucement... Ça ne va jamais entrer...

— Oh si, ma belle... on va faire en sorte que ça entre.

Il continua son avancée et la pointe entière s'y faufila enfin, frémissante d'impatience devant son agréable résistance.

— Tout doucement... Détend-toi...

Le maître de soirée laissa échapper une perle de salive de ses lèvres, tombant tel un onguent entre les deux pleines lunes, afin de les lubrifier avec soin et atténuer la douleur. Loin de lui l'idée de lui causer une blessure.

Puis il força légèrement plus, entamant la longueur.

Une toute autre sensation, plus pénible, plus embarrassante et mystérieuse s'empara d'elle. Un râle suspendu à ses lèvres, un hoquet incontrôlé dans sa croix.

Une toute autre dimension du plaisir pour lui. Plus intense, plus exigu, laissant son esprit embrumé par un désir brut. Il glapit :

— Oh, putain d'Ymos !

Jaya extériorisa d'un son aigu et désarticulé ce pêle-mêle de sensations inconnues lorsqu'il arriva au fond. Les vulgarités de son époux ne l'atteignaient pas, seul le déchirement douloureux de sa peau occupait ses pensées immédiates. Elle mordit intensément sa babine, gardant ce mal en elle jusqu'à l'apaisement total. Immobile, Vadim la jaugea en l'attente d'une réaction, puis lui sourit.

— Qu'est-ce que ça fait ?

— C'est... étrange... et déroutant... et toi ? Qu'est-ce que tu ressens ?

Son sourire s'agrandit tandis qu'il bougeait doucement pour l'habituer.

— C'est... très serré... les sensations sont incroyables.

Il se pencha pour caler un baiser chaud sur sa nuque, puis sa tempe.

— Tu aimes ?

Elle frémit, puis lui jeta un œil furtif et voilé par dessus son épaule.

— Continue et tu le sauras.

La tentation incarnée...

Elle savait comment faire avec lui... et il allait la faire mourir de plaisir.

Le combattant, coinçant un râle sourd entre ses dents, balança ses hanches plus puissamment, sombrant toujours plus profondément dans un univers de plaisir cru et insensé. Le lit grinçait, sur les rotules, brisé par cette glorieuse union. Jaya n'y croyait tout simplement pas. C'était hors de tout ce qu'elle avait pu imaginer, si douloureux, mais... si plaisant à la fois. Bien plus lorsque Vadim y ajouta sa touche personnelle sans l'avertir.

Les doigts prétentieux du mâle se pressèrent sur le bouton épargné pour le stimuler, provoquant les spasmes et les hurlements d'agonie de Jaya. Une si profonde et délectable agonie. Il ne la laisserait pas ainsi, il voulait qu'elle jouisse en cœur avec lui. Qu'ils saisissent les étoiles à l'unisson. Des étoiles bleues qu'il parsema sur elle du bout des doigts, lui volant frisson sur frisson.

— C'est ça, déchaîne-toi, ma belle... Clame ton plaisir. Clame-le pour moi.

Elle tenta d'étendre sa main, avide de le toucher, vers l'arrière pour se raccrocher à lui, mais d'une prise ferme sur la nuque, il lui plaqua la tête contre le matelas, l'empêchant de bouger ne serait-ce qu'un instant. Ses doigts étincelants glissèrent le long de sa colonne vertébrale pour rejoindre son pubis.

Tel un poison, le Risen entra dans son corps déjà assailli à un rythme obsédant.

— Ô seigneur ! Seigneur !

Il lui asséna une nouvelle fessée. Sa voix se fit encore plus rauque :

— N'appelle pas le seigneur, Jaya. Je n'aime pas partager.

Leurs peaux se rencontrèrent avec davantage d'ardeur. C'était bien trop de sensations à la fois, son corps ne suivait plus.

— Vadim ! Doucement... moins f-fort, c'est trop...

— Tu voulais mourir de plaisir, mon amour... J'exauce ton souhait.

Son souffle au creux de l'oreille, il donna encore d'amples et profondes poussées, déchaînant la jeune femme qui poussa un cri aigu et écartela les draps entre ses doigts rejoints sur le matelas. Cette exquise souffrance la dévorait et la rongeait de l'intérieur. Des larmes éperdues humidifiaient ses joues, de mal et d'excitation. Un boutefeu secoué à plaisir, jusqu'à en faire trembler les murs de la chambre. Elle soutint la cadence malgré son esprit lui criant d'arrêter, allant à la rencontre de ses coups de reins.

Si la mort avait ce goût là, elle n'en aurait plus jamais peur.

Plaçant sa main à son cou pour la ramener à lui, Vadim se pencha et l'embrassa, croqua cette peau pécheresse comme un fruit. À genoux tous deux, il sentit les mains félines de la brune glisser sur ses cuisses musclées et y prendre appui pour mieux intercepter les assauts. Ses deux doigts caressèrent ses lèvres carmin, puis pénétrèrent sa bouche ; elle les mordilla, les suçota dans son excitation hors du commun. Par dessus son épaule, ses yeux luisaient d'une lueur lubrique.

Elle était sa sucrerie, cette bien désobéissante gâterie réservée juste pour lui.

Il glissa un murmure à son oreille :

— Tu la sens ?

Oh oui, elle le sentait... Ainsi, elle le sentait à son maximum.

— Elle est toute proche... Elle possède tout ton corps...

Elle serait bientôt là... la jouissance...

L'orgasme...

Agrippé à l'un de ses seins, il continuait à la stimuler sans trêve, la couvrir d'étincelles, jusqu'à ce qu'elle se raidisse, convulse et chante la mélodie fiévreuse de son amour. Elle explosa entre ses doigts, éclatée en mille morceaux.

Pour la seconde fois.

Sa prière singultueuse monta au ciel et saccagea le cœur du dominateur. Elle retomba sur le matelas, épuisée, ses bras tremblants ne la soutenaient presque plus. L'orgasme lança ses hordes qui piétinèrent ses entrailles sans ménagement. Transporté par la vision de sa compagne défaite, il pulsa sans faiblir, l'allongeant brutalement sur le flanc pour continuer en lui permettant de reposer son corps martyr.

En nage, Vadim plaqua une main sur sa cuisse diaphane qu'il remonta légèrement, puis pressa son torse lourd contre la poitrine de sa femme. Ses yeux de biche noyés de larmes, Jaya l'embrassa si passionnément qu'elle s'en ouvrit les lèvres.

Enfin, elle pouvait le toucher, caresser irrésistiblement cet animal fou.

Fou d'amour, fou de passion, fou de fièvre.

Chaque fois qu'il la regardait de cette manière, chaque fois qu'il s'extasiait par ce qu'il voyait, les yeux de Jaya s'emplissaient de larmes. Ce n'était plus la douleur désormais, celle-ci était bien loin. Il ne restait qu'un amour indéfinissable au mariage de leurs deux corps.

Des larmes de bonheur.

— Je t'aime tellement, Mëyrtania... tellement, putain...

— Je t'aime bien plus encore...

— Je ne crois pas...

Son sourire coquin se réverbéra sur elle. Ce serait un combat infini avec lui. Autant lui montrer sur le point physique, dans ce cas. Un baiser sur l'ourlet de ces lèvres sauvages, une goutte de sueur entre les seins, ses bras autour de son cou. Elle l'aimerait jusqu'au bout de la nuit, de la vie, au creux de cette délicieuse petite mort. Le monde s'était arrêté de tourner pour eux, le temps n'existait plus.

Une nuit parfaite, comme ils aimaient tant les partager.

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