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CHAPITRE 7 : LE DÉBUT DE LA FIN


CHAPITRE 7 : LE DÉBUT DE LA FIN



   —   Relève-toi, l'entraînement ne se fait pas allongée comme une crêpe. 


   L'adolescente serra des dents et tenta tant bien que mal de faire abstraction du point de côté qui commençait à faire son apparition, et menaçait de torturer son corps dans les secondes à suivre. En apercevant les prunelles intimidantes de son père au dessus d'elle, Akane se décida aussitôt à se relever. Elle épousseta ses vêtements, avant de lever un regard incrédule vers son géniteur. Elle entrouvrit ses lèvres, mais aucun son n'en sortit. Après un petit effort elle parvint enfin à prononcer la phrase suivante :


   —   Mais Seigneur, comment t'as fait pour me faire tomber aussi rapidement ? Tu m'as littéralement coupée le souffle ! 


   Un léger sourire étira les lèvres de son géniteur lorsqu'il entendit sa dernière réplique. 


   —   Là est le pouvoir immense de l'air. Il est rapide et puissant. Par contre, tu devines bien qu'il faut avoir une certaine condition physique pour pouvoir user convenablement de cet alter. 


   L'adolescente hocha la tête, encrant dans son esprit toutes les paroles que lui disait son père. 


   —   Dis-moi Akane, qu'as-tu ressenti les fois où tu as tenté d'utiliser cet alter  ? 


   La première réaction de la jeune fille fut de froncer les sourcils. À sa connaissance, elle avait tenté d'utiliser son alter contre ce vilain ignoble qui avait voulut l'attaquer près du Dröm Party. Mais ce n'était pas celui que lui avait transmis son père qu'elle avait tenté d'utiliser, mais celui de sa mère : le feu. Par conséquent, la seule fois où elle avait réellement mis en action ses capacités, c'était contre le fameux Todoroki Shoto. Or, son père n'était pas présent à ce moment-là. De ce fait, comment pouvait-il poser une telle question avec autant d'assurance ? 

   Akane se gifla aussitôt mentalement, se reprochant de pousser un peu trop loin ses pensées. Alors, elle se focalisa de nouveau sur la question de son père, et se souvint de cette sensation qu'elle avait ressenti en attaquant Todoroki. 


   —   Je... Je..., bredouilla-t-elle. J'ai senti que je ne maîtrisais pas cette immense vague d'air qui affluait dans ma main. C'est comme si le coup était parti seul, comme ça, fit-elle en mimant le geste avec son bras. J'étais incapable de décrire une trajectoire, j'aurais pu faire des dégâts considérables. Pour être plus précise, je dirais que j'avais l'impression de posséder dans ma main une onde sismique de magnitude dix. 


   —   C'est bien ce que je pensais, dit son père en un murmure en s'asseyant sur l'herbe du jardin. Tu ne dois faire qu'un avec cet élément. L'onde sismique doit être toi, et si tu es à même de te contrôler, alors tu en feras de même avec ton pouvoir. Tu dois te sentir aussi libre que l'air. 


   Akane ferma les yeux, et laissa la brise fraîche de l'extérieur s'engouffrer dans ses cheveux lâchés. Elle inspira, et pensa à la voix de son géniteur. 



   —   Je dois me sentir aussi libre que l'air, répéta-t-elle. 

   —   Exactement, affirma son père. Concentre-toi Akane, tu peux le faire. 


   À cet instant, la jeune fille sentit l'air se faufiler dans les veines de sa main droite. Elle se sentit légère, et libre comme une plume. Elle inspira une fois, avant d'expirer. 

   " Ne pas faire de dégâts." 

   Lorsqu'elle ouvrit les yeux, elle contempla sa main droite. Ses pupilles brillaient de mille feux alors qu'elle observait cet afflux d'énergie se disperser autour de son bras. À cet instant, son pouvoir ne semblait pas avoir le dessus sur elle. C'était elle qui le maîtrisait. 


   —   Maintenant envoie cette décharge sur moi, lui dit son père en se redressant. 

   —   Quoi ? Mais non, je ne peux pas ! s'affola-t-elle. 

   —   Ne te sous-estime pas Akane, et n'aies pas peur. Alors vas-y. 


   La jeune fille comprit qu'elle n'avait pas d'autres choix. Le cœur battant à vive allure, elle osa dresser sa main. Malheureusement, l'immense énergie qu'elle parvenait à contrôler jusque-là, s'échappa contre sa volonté et fila en direction de son géniteur. Akane laissa échapper un cri d'effroi en même temps qu'elle tomba sur le sol, déstabilisée par la vitesse de sa propre attaque. Heureusement pour elle, son père contra le coup avec une aisance presque déconcertante. Le bouclier invisible qu'il avait crée en un geste de bras fit office de barrière et de frein à la vague d'énergie. 


   —   Je... Je suis désolée, lâcha Akane essoufflée. J'ai encore fait n'importe quoi, c'est pas possible ! 


   Elle se mordit la lèvre inférieure en sentant sa gorge se serrer. Cela faisait plus d'une semaine qu'elle s'entraînait chaque jour après les cours, et ses progrès demeuraient encore trop faibles à son goût. 


   —   Je suis désolée papa, mais je ne suis pas digne de posséder de tels pouvoirs..., murmura-t-elle. 

   —   Tu te trompes. Je crois en toi Akane, et je sais que viendra un jour où tu me surpasseras. Tu n'imagines pas à quel point tu es chanceuse. Tes alters sont des trésors, et crois-moi, nombreux sont ceux qui aimeraient les posséder. Ils sont beaucoup plus spéciaux que tu ne le crois. Alors maintenant redresse-toi, et n'abandonne jamais. 


   L'adolescente sentit une sensation inconnue se loger dans son cœur. Les belles paroles de son géniteur lui donnèrent la force de se redresser, pour ne pas décevoir celui qui croyait en elle. Elle se sentit forte, et comprit que peu importe le nombre de fois où elle allait tomber, elle finirait par se redresser encore plus déterminée.


   —   On continue papa ! hurla-t-elle en serrant les poings. 



   Ken Isayo regarda la jeune fille qui se postait devant lui en haussant des sourcils. 



   —   Si telle est ta volonté, alors il n'y a pas de soucis !






   La nuit venait de tomber à Melbourne. 

   Blottie contre l'immense ourson en peluche que lui avait offert Mike pour son anniversaire, Akane répondit aux nombreux messages que ses amis lui avaient laissé sur les réseaux sociaux qu'elle s'était sentie forcée de créer en n'ayant plus de téléphone. Takara désespérait et ne voulait pas procéder au recrutement d'un nouveau bassiste pour One For All. L'adolescente sentait ce vide se créer en elle lorsqu'elle communiquait avec ses meilleurs amis. Elle les avait délaissés...


   " Pourquoi t'es partie ? Pourquoi avoir déménagé, et quitter le pays du jour au lendemain ?" 


   Akane ne savait quoi répondre aux questions de Mike. Ses doigts hésitèrent quelques instants au dessus du clavier de son ordinateur. Elle se contenta de répondre vaguement, avant de se déconnecter et de se consacrer à un tout autre sujet. L'Ombre Vengeresse

   Après avoir tapé des mots-clés sur internet, elle tomba sur une vidéo récente parlant du "silence mystérieux de l'assassin". N'hésitant pas une seconde de plus, Akane cliqua et visualisa l'extrait de journal télévisé. 


   " —   Depuis une semaine, l'assassin le plus recherché de Tokyo semble avoir mis en pause ses activités, commença une journaliste. Nul ne sait la raison de cela, mais selon Endeavor, l'arrestation de cet individu est plus que nécessaire. D'après ses dernières paroles dites aux médias, il est possible que nous croisions au quotidien l'Ombre Vengeresse. Il pourrait être notre voisin ou encore notre patron. "


   L'image de la journaliste disparut pour laisser voir le fameux Endeavor. Le grand homme au costume noir orné de flammes se positionnait devant un auditoire, et donnait une conférence. 



   " —  L'individu que nous recherchons semble posséder une manière de penser particulière, et ses idéologies au sujet de la justice semblent radicales. Tout laisse à penser que selon lui, le crime n'est plus si mauvais lorsqu'il touche le mal en lui-même.  L'atténuation exceptionnel de la criminalité dans le monde ne lui suffit pas : il veut son éradication. On ne pourrait déterminer concrètement si c'est un homme ou une femme. Pour aller plus loin, j'irai même jusqu'à dire qu'on ignore s'il possède un alter ou pas. " 


   Akane laissa échapper un souffle de surprise. Pour elle, nul doute ne pouvait se faire sur le fait que cet homme possédait un alter. Il se déplaçait avec une rapidité hors-norme, et une telle vitesse ne pouvait être reproduite par une personne ne possédant pas de capacités surhumaines. 
Curieuse, l'adolescente poursuivit la vidéo. Un journaliste venait de poser une question, désireux de savoir qu'est-ce qui poussait le super-héros à affirmer une telle chose. 


   " —  Ces crimes sont d'une précision à couper le souffle. Il les réalise rapidement de telle sorte que sa victime n'ait aucune chance d'échapper au sort qui lui est réservé. Il ne porte qu'un seul coup fatal, qui semble être l'œuvre d'une arme tranchante. Notre criminel semble être expert au lancer de poignard. La qualité de ses armes dépasse tout ce que nous avons pu connaître jusque-là. " 


   Bien-sûr, le super-héros n'oublia pas d'achever sa conférence en précisant que viendra le jour où il mettra la main sur ce criminel. Akane referma son ordinateur, et laissa un million de pensées se former dans son esprit. 
Une voix à l'intérieur d'elle-même ne voulait pas que ce Vilain soit arrêté. Contrairement aux héros, l'Ombre Vengeresse assurait la fin de l'existence des criminels. Où étaient les super-héros lorsque sa mère se faisait assassiner ? Un super Vilain avait-il le droit d'être gracié ? Des individus aussi horribles ne méritaient-ils pas la mort ou encore, la prison à vie ? 

   Akane se mordit la lèvre en passant ses mains sur son visage. Pour l'adolescente, le duel entre les héros et ce mystérieux justicier n'était pas un combat clair entre le bien et le mal. 


   —   Je vais devenir folle, laissa-t-elle échapper en un souffle avant de quitter son lit. 


   Elle se dirigea, pieds nus, en direction de la cuisine. En descendant les escaliers elle passa près du nouveau bureau de son père. Le silence de la nuit lui permit de décréter que ce dernier entretenait une discussion avec son grand-père. Marchant à pas de loup, Akane rapprocha son oreille de la porte malheureusement laissée légèrement entrouverte. 


   —   Tu ne peux pas comprendre papa, dit Ken. 

   —   Bien-sûr que je ne comprends pas, et je ne comprendrai jamais ! s'impatienta le vieil homme. As-tu conscience qu'à cause de tes mauvais choix et ton passé, nous avons été dans l'obligation de tout laisser tomber à Tokyo ? Est-ce que tu réalises à quel point cela peut être dur pour Akane ? Ce n'est qu'une adolescente en pleine construction, et tu viens chambouler son monde. 


   Akane retint son souffle, plus que désireuse de savoir qu'allait être la réponse de son père. 


   —   J'ai fait des erreurs papa, et j'en suis conscient !  J'étais prêt à en assumer toutes les conséquences jusqu'à ce que je réalise qu'elles allaient s'abattre sur ma fille. Celle que j'ai toujours voulu protéger... 


   Un silence pesant s'installa dans la pièce. Akane attendait la suite avec impatience. Les membres de son corps tremblaient. Une vérité semblait sur le point de s'abattre.

   

—   Zachariel va te poursuivre Ken... Il ne te lâchera pas. Vous avez ce pouvoir, celui qu'ils veulent, celui que je t'ai moi-même transmis.

   —   T'as sûrement raison papa, mais si c'est moi qu'ils veulent je suis prêt à leur faire un comité d'accueil digne de ce nom. Mais, je crois bien que la Guilde veut coûte que coûte mettre la main sur ma fille. Et autant te dire qu'ils ont plus de chances de décrocher la lune. 




" Zachariel." 

"Guilde." 

"Ce pouvoir." 

   Ces trois mots ne cessaient de percuter le cerveau d'Akane. Elle ne pouvait s'empêcher d'y penser, et telle fut la raison pour laquelle elle avait passé une nuit rythmée par des réveils brutaux. Une ribambelle de scénarios tous plus sordides les uns que les autres s'étaient déroulés dans son esprit. 


   —   Tout va bien ? 


   Akane sortit de ses pensées en entendant la voix de son père qui était au volant de sa dernière voiture neuve. Assise à ses côtés, la jeune fille hocha la tête. 


   —   Ouais ça va, je suis juste un peu crevée et ça doit se voir avec les cernes énormes que j'ai, dit-elle en un soupir. 

   —   T'en fais pas, un peu de mathématiques te fera le plus grand bien ! 

   —   Je sais pas, grogna-t-elle en se blottissant dans son sweatshirt. Les maths et moi on n'a jamais été amis, et si en plus le prof a un accent anglais horrible, je peux te dire que là je suis complètement larguée. 


   Son père ne put s'empêcher de rire avant de lever les yeux au ciel. Établir de nouveau des liens avec son paternel était quelque chose de fabuleux pour Akane. Mais, il avait beau rire et sourire de temps en temps, il demeurait toujours aussi mystérieux. Collant son front à la vitre, l'adolescente se ressassa la conversation entre son père et son grand-père. Il fallait coûte que coûte qu'elle en sache plus. 


   —   Hé papa, tu vas toujours m'amener au lycée ? 

   —   Pourquoi une telle question Akane ? Roh et puis si tu désires tant savoir, oui. Hors de question que je te laisse sortir seule de bon matin. Va savoir de quoi grouillent les rues à cette heure-ci... 


   Akane avait d'emblée compris que son père mettait un point d'honneur à la protéger. Elle s'estimait bien-sûr chanceuse, or, désormais elle savait que s'il agissait de la sorte à son égard c'était pour la protéger d'un danger. En y pensant, Akane ne put s'empêcher d'imaginer une épée de Damoclés au dessus de sa tête. 

   Qu'est-ce que craignait tant son père ? 


   Elle n'eut pas le temps d'y répondre car à son plus grand désarroi la voiture venait de s'arrêter juste devant son nouveau lycée. Elle sortit du véhicule, salua son père et se dirigea d'un pas peu enthousiaste en direction de son cours de maths. 

   La journée paraissait longue pour Akane. Son cerveau était indisposé à écouter quoi que ce soit, les élèves de la classe continuaient de la fixer comme étant la nouvelle venue de Tokyo, et la nourriture au self demeurait toujours aussi infecte. Alors naturellement elle avait perçu la sonnerie signalant la fin des cours comme la merveilleuse mélodie de la victoire. 

   À sa grande surprise elle n'aperçut pas le véhicule noir de son géniteur devant l'établissement. Non sans avoir soupiré, l'adolescente s'installa sur un banc et positionna son casque sur ses oreilles. Elle se laissa transporter par la musique retransmise par son MP 3. Ses yeux vairons regardaient sans réel intérêt les élèves qui se prêtaient à des fous rires, se faisaient des câlins, et passaient leur temps à s'amuser à la sortie du lycée. À cet instant, Akane se rendit compte que sa basse lui manquait énormément. Tout comme ses amis. 

   Le temps passa et n'ayant toujours aucun signe de son père, Akane se décida à prendre le bus. Assez furieuse, l'adolescente s'installa en se demandant qu'est-ce qui avait bien pu pousser son père à la laisser tomber. En arrivant devant chez elle, elle prit soin de retirer son casque. Épuisée, elle traversa le jardin non sans avoir soupiré. Ce fut seulement lorsqu'elle positionna sa main autour de la poignée de la porte, qu'elle eut un mauvais pressentiment. L'atmosphère qui semblait régner au sein de la maison était similaire à celle qu'il y avait il y a neuf ans de cela, lorsque ce Vilain s'était introduit dans leur domicile. 

   Ce fut non sans avoir déglutit, qu'Akane osa enfin ouvrir la porte. 

   En un instant, un étau sembla se refermer autour de sa gorge, l'air qu'elle respirait lui paraissait toxique. Elle se mordit la lèvre inférieure, et avança d'un pas tremblant. À la vue du salon dévasté, Akane eut peur. Sa vue se mit à tanguer lorsque son nez reconnut cette odeur horrible. Cette odeur d'hémoglobine, cette odeur de sang. Des flashs incessants vinrent aussitôt torturer la jeune fille qui ferma les yeux et se boucha les oreilles à l'aide de ses mains. Elle avança alors qu'une peur terrible lui déchirait les entrailles. 

   Soudain, la jeune fille vit un objet brillant voler dans les airs. Ses yeux s'écarquillèrent lorsqu'elle repéra un poignard voler droit en sa direction. Elle fut incapable de bouger, le temps semblait figé, et durant quelques micro-secondes quinze ans d'existence défilèrent devant ses yeux. 

   Le poignard lui effleura la joue, et sa peau diaphane fut envahie par le sang. Après ça, l'arme tranchante alla s'enfoncer dans le mur en laissant entendre un bruit sourd. Bouche-bée, et tétanisée, Akane sentit son cœur louper un battement. 

  

 —  Toutes mes excuses pour avoir abîmé ton si joli visage Akane Isayo. 



   La voix rocailleuse de cet homme résonna en elle comme un coup de fusil. Un frisson parcourut le corps de la jeune fille qui se mit à reculer devant ce visage inconnu. 


   —   Qui êtes-vous ? parvint-elle à articuler d'une voix blanche. 

   —   Mon nom est Zachariel. Je suis surpris que ton père ne t'ait jamais parlé de moi, alors que nous sommes de si bons frères d'armes. 


   La blessure d'Akane lui brûlait la peau mais elle en avait que faire. À la manière d'une larme, son sang coulait sur sa joue.


   —   Qu'avez-vous fait ? grinça-t-elle entre ses dents. Qu'est-ce que t'as fait à ma famille sale ordure ? 


   Un sourire releva les lèvres de cet homme, dont le visage laissait voir des traces de combat. C'était un sourire sadique. Cruel.  


   —   Je suis juste passé faire un petit coucou à ton père, qui au passage est dans un sale état. Attends, j'ai dit "ton père" ? J'aurais aussi pu dire le criminel le plus recherché de Tokyo, alias, l'Ombre Vengeresse. 

   —   Vous n'êtes qu'un menteur et un criminel ! 

   —   Oh, me voilà outré ! Mais si tu ne me crois pas, va demander plus d'informations à ton père. Il est juste à côté, avec ton bon vieux grand-père. Tu m'excuseras mais j'ai dû le tuer, il devenait trop dérangeant. 







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