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CHAPITRE 42 : LE SOUFFLE DU RÉVEILLON


CHAPITRE 42 : LE SOUFFLE DU RÉVEILLON



    Akane respira un bon coup. Elle vérifia une dernière fois le contenu du plateau avant de se tourner en direction de Fuyumi, une expression anxieuse collée au visage. L'adolescente passa sa main dans ses cheveux, et finit par soupirer.


-  Je... Je ne pense pas que ce soit une bonne idée, bredouilla-t-elle. Je ne suis pas une super cuisinière, tu penses que...

-  Akane, la coupa la grande sœur de Shoto en décollant ses yeux de ses documents. Vas-y, je suis sûre qu'il sera touché par ce petit-déjeuner que tu lui as préparé. Bon, bien-sûr il ne laissera rien paraitre mais... Tu sais comment est mon frère !


La brune esquissa un faible sourire avant d'hocher de la tête. Elle n'était pas du tout à l'aise chez les Todoroki. Elle s'était réveillée à une heure très matinale, incapable de retrouver le sommeil dans cette chambre qui n'était pas la sienne. Alors, elle avait pris la peine de réfléchir sur son avenir en fixant le plafond d'un air absent. Puis, elle avait profité du fait que personne ne soit encore réveillée pour prendre sa toilette. Sa chambre possédait une salle de bains qui semblait illustrer le luxe à l'état pur. Toute la pièce brillait par sa propreté, et dans un tel décor Akane n'avait pas pu se permettre de se vêtir comme à son accoutumée. De ce fait, elle avait opté en ce jour pour un joli pull à col roulé dont la couleur bleu marine s'accordait à sa jupe en jeans qui s'arrêtait au niveau de ses genoux. Ses collants opaques noirs faisaient émerger ses jambes petites et fines. Pour ajouter une petite touche décalée à sa tenue, elle avait opté pour de jolies chaussures blanches qui étaient "très tendances" pour reprendre les mots de Takara.


-  Bon, j'y vais, dit doucement Akane en empoignant le plateau. Le pauvre, il s'est endormi dans la salle d'entrainement...


C'était en apercevant la porte de la salle d'entrainement entrouverte qu'Akane avait remarqué que Shoto s'était assoupi sur le tatamis, un cahier et un stylo à ses côtés. Dans un premier temps, elle avait pouffé avant d'admettre qu'il ressemblait à un jeune enfant inoffensif plongé ainsi dans son sommeil. Puis, elle avait eu envie de lui faire plaisir, de le réveiller tout en douceur en prenant conscience du fait qu'il devait être épuisé et que le tatamis de la salle d'entraînement n'était pas un matelas pouvant être qualifié de confortable.

Alors, elle avait pris la peine de lui confectionner un petit-déjeuner "à la française". Le plateau laissait voir des tartines à la confiture de fraise, deux bons jus d'orange et quelques fruits.
Elle ouvrit la porte à l'aide d'un léger coup de pied, avant d'entrer dans la pièce. Elle s'arrêta à quelques pas de Shoto dont la respiration était paisible et régulière. Elle posa le plateau, et au moment de le réveiller elle fronça des sourcils en apercevant ce petit carnet qui était non loin de lui. Pendant un instant, elle fut très tentée d'en lire le contenu, ne serait-ce que pour prendre connaissance de son écriture. Elle se retint, et posa sa main sur l'épaule du jeune homme avec délicatesse.


-  Shoto... Shoto, réveille-toi...


Il ne cilla pas. Akane en profita pour l'observer de plus près. Les traits de son visage semblaient détendus et lui procuraient une certaine sérénité. Il paraissait plongé dans un monde onirique des plus secrets et apaisants. Sa cicatrice autour de son œil gauche était loin d'être affreuse pour Akane. En réalité, cette dernière chérissait cette marque rouge jusqu'au plus profond de son cœur. Un sourire naquit sur ses lèvres lorsqu'elle prit conscience de la place qu'occupait le jeune homme dans sa vie. Cependant, celui-ci disparut aussitôt. Elle ne devait pas se bercer d'illusions. Il était le fils d'Endeavor, destiné à un avenir des plus brillants. Il aurait beaucoup mieux à faire que de rester à ses côtés, elle qui n'était ni plus ni moins qu'une simple adolescente perdue. Cependant, elle s'efforça de chasser les pensées pessimistes de son esprit, et décréta qu'elle devait profiter tant qu'il était encore là, juste en face d'elle.


-  Shoto !


Ce dernier remua. Il ouvrit les yeux avant de les frotter avec ses doigts. Il loucha sur le décor autour de lui, et Akane se retint de rire en voyant ses cheveux ébouriffés et la façon dont son sweat allait de travers.


-  Hmm... Qu'est-ce que j'ai encore fait, dit-il en un soupir.


Lorsque ses yeux se posèrent sur Akane, il esquissa un léger sourire et cette dernière décréta que sa journée commençait plutôt bien.


-  Le  petit-déjeuner c'est pour... Moi ? demanda-t-il.

-  Oui. Enfin, pour nous. Dépêche-toi de manger Shoto tu as cours dans vingt minutes, mentit-elle en espérant que son petit tour allait fonctionner.


Comme prévu, le jeune homme était tellement épuisé qu'il ne remarqua même pas que la brune prenait un malin plaisir à lui mentir. Ses yeux vairons s'écarquillèrent et il entrouvit les lèvres.


-  Quoi ?

-  Tiens, je...


Elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase, Shoto venait de se redresser d'un bond. Il attrapa ses affaires en un geste, et ne semblait même plus se préoccuper de son bras encore bandé. Akane le suivit et le regarda foncer dans sa chambre, plongée dans un fou rire incontrôlable. Le jeune homme retira son sweat, il ne prit même pas la peine de fermer la porte de sa chambre tandis qu'il était torse nu et qu'il décrochait sa chemise blanche de son cintre. Il l'enfila en vitesse, et ne ferma pas les boutons, et ne mit même pas sa cravate. Il extirpa son pantalon, prêt à l'enfiler. Mais quelques secondes plus tard, il suspendit son geste, avant de redresser lentement la tête vers Akane qui ne cessait de rire. L'adolescente en avait mal au ventre, et des larmes lui coulaient des yeux.


-  Par... Pardon ! dit-elle. Je voulais dire que tu as cours dans environ vingt jours.

-  T'es vraiment la reine des imbéciles !


Elle sursauta en sentant la chemise blanche de Shoto lui percuter le visage. Ce dernier la regardait en secouant la tête, néanmoins incapable de dissimuler le sourire sur ses lèvres.


-  Oh une chemise de Yuei gratuite pour moi ! Et pas n'importe laquelle, celle de Shoto Todoroki ! plaisanta Akane en observant la chemise que le jeune homme lui avait lancé à la figure, et qu'il portait il y a quelques temps de cela.

-  Rends la moi.


Akane esquissa un sourire malicieux.


-  Viens la chercher !


À peine eut-elle dit ces mots, qu'elle partit en courant en espérant pouvoir se cacher. Malheureusement, en quelques secondes deux bras se resserèrent autour de sa taille, et elle vit ses pieds se décoller du sol.

-  Lâche-moi Shoto !

Elle rit en essayant de se libérer de son étreinte.

-  Hors de question ma petite Isayo, fallait y penser avant de faire cette petite blague.

-  C'est bon je te la rends !

Shoto reposa l'adolescente au sol avant de la fixer dans les yeux d'un air amusé.

-  Je veux autre chose...

-  Tu peux toujours rêver, répliqua-t-elle aussitôt en le poussant amicalement.

Le garçon recula, et enfila sa chemise.

-  T'es sûre ? Tu sais très bien ce que je veux Akane...

-  Roh c'est bon ! Pardon Shoto ! Bon allé, maintenant je te propose qu'on aille manger ce petit-déjeuner que j'ai moi-même confectionné !

Le garçon esquissa un sourire. Elle sentit son cœur s'emballer, et ne pût s'empêcher de s'estimer chanceuse. Pour une fois.

-  T'es sûre que je ne vais pas avoir une intoxication alimentaire ?

-  Ah, très drôle.

Akane le fusilla du regard, et la réaction du jeune homme se résuma à lui ébouriffer les cheveux.


" Il faut que je te parle. "


Asta avait conscience de l'effet brutal que pouvait susciter cette phrase chez n'importe quel individu. Elle s'abattait sur nous comme un coup de poing imprévu, et provoquait la naissance de nœuds terribles dans l'estomac. L'appréhension nous habitait, et on en venait à faire l'inventaire de tout ce qu'on aurait pu faire de mauvais. Puis, on attendait le verdict avec impatience.

Asta avait conscience de l'effet brutal que pouvait provoquer cette phrase, et pourtant, en ce jour de réveillon il avait envoyé un message à Akio Uchida disant la simple chose suivante :

" Akio, il faut que je te parle. "

Le grand blond n'avait pas attendu une seule seconde pour lui donner rendez-vous. Asta culpabilisait, il s'en voulait et était convaincu d'être sur le point de briser son amitié avec Akio. Les doigts du jeune homme étaient resserrés autour du gobelet contenant un chocolat chaud. Pendant quelques instants, il se mit à espérer qu'Akio ne viendrait pas, qu'à cette heure si matinale il n'avait pas su quitter son lit. Mais tout s'évapora lorsqu'il vit le frère de Takara entrer en trombe dans le café. Ses cheveux blonds décoiffés tombaient sur ses beaux yeux violets, sa jolie silhouette était recouverte d'une doudoune noire, et une écharpe rouge lui couvrait le bas du visage.
Asta lui fit signe de la main, et il se précipita en sa direction.


-  Qu'est-ce qui se passe ? s'enquit le blond en retirant son écharpe.

Asta haussa les épaules et baissa les yeux. Il ne pouvait pas le regarder.

" Pourquoi lui dire ça le jour du réveillon ? "

-  Oh ! Tu m'as fait une frayeur pour rien ? dit-il ensuite en secouant légèrement le bras d'Asta.

-  Bon. Prépare-toi Akio.

Son ami s'approcha et tenta en vain de trouver son regard, mais Asta parvenait à l'éviter avec succès. Il inspira un bon coup. Il était un acteur. Un acteur des plus prodigieux.

-  Tu me fais peur Asta... Je t'en supplie dis-moi qu'il n'y a rien de grave.

-  Akio..., commença-t-il. Toutes les choses de ce monde ont une date limite pas vrai ? Par exemple, la loi exponentielle en maths m'a permis de constater que les lampes ont une durée de vie d'environ huit-cent heures. Les chats, les chiens ont des espérances de vie se situant entre douze et quinze ans, voir plus. Même le soleil est voué à disparaitre un jour.

Le blond ne cilla pas, il fronça des sourcils et ses yeux se mirent à briller lorsqu'ils entendait les doux mots d'Asta.

-  Et, je ne suis pas une exception à la règle. Il y a quelques temps de cela, on m'a diagnostiqué un cancer. J'ai une leucémie qui grandit de plus en plus en moi. Aujourd'hui elle ne m'a pas encore ravagé, mais je la sens... Je la sens me détruire à petits feux. Ce matin, j'ai saigné des gencives. Je commence à avoir mal de partout... Je... Akio, je vais me faire hospitalisé dès demain.

C'était dit. Enfin. Asta souffla. Il osa regarder Akio, qui demeura les yeux grands ouverts. L'adolescent déglutit. Il plongea sa main dans sa chevelure, puis plaqua ses mains contre ses yeux.

-  Asta... Non, je ne peux pas le croire... Pas toi... Toi qui a toujours eu espoir tu...

Il ne termina pas sa phrase.

-  Akio, ne t'en fais pas je...

-  C'est impossible ! Là maintenant, c'est une partie de mon monde qui vient de recevoir un coup des plus douloureux.

Sa mâchoire se contracta. Non, il ne voulait pas le voir pleurer.

-  Tu mérites de vivre. T'es la personne la plus formidable que j'ai rencontré. Tu m'as aidé sans même me connaître, et ce geste témoigne du fait que tu es tellement...

-  Je dois y aller, le coupa Asta.


Il s'empara de sa veste, et quitta le bar. Il ne pouvait plus entendre cette tristesse dans la voix d'Akio. Il aurait pu continuer, faire semblant et tout aurait été parfait. Au moins pour une journée. Mais non, il avait préféré lui dire la vérité.

Il marcha dans le froid, et en regardant derrière lui il ne fut pas surpris de voir son ami s'élancer en sa direction. Il était rapide !


-  Asta !

Le jeune homme s'arrêta.

-  Je pense que je devrais y aller par...

-  J'ai jamais cru aux meilleurs amis ! Jamais... Ou du moins, j'ai cessé d'y croire après avoir été témoin de plusieurs choses. Mais toi Asta... C'est dingue hein, mais tu l'es. Tu me rends heureux avec ton sourire ! Tu me rends spécial, tu me donnes envie d'avoir toujours de l'espoir !

Les yeux violets d'Akio lui transperçaient le cœur. Il sentit un nœud se former au niveau de sa gorge. Il voulait respirer à fond, procurer à son corps le bol d'air frais qu'il réclamait mais c'était malheureusement impossible. Il avait conscience qu'il allait fondre en larmes, et franchement, il trouvait ça moche.

-  Akio je... Ne me sors pas des belles paroles comme ça, parce que je t'assure que c'est moche quand je pleure !

Et il rit. Asta riait tout en fixant son ami qui le contemplait avec un regard empli d'admiration. Le jeune brun aimait ce sentiment qui l'étreignait à cet instant même. Mais ce qu'il aima par dessus tout, ce fut lorsque le blondinet à ses côtés ébouriffa sa chevelure brune, lorsque les flocons de neige chatouillèrent avec malice les fragments de sa peau. Ce qu'il aimait par dessus tout c'était la présence que lui offrait Akio, ce soutien infaillible, ce regard attristé mais qui conservait néanmoins une lueur d'espoir et qui semblait lui promettre une chose unique, le cadeau le plus merveilleux qu'il ne cessait de convoiter :  l'éternité au sein d'un espace temps limité.

-  Je vais juste te demander de relever un petit  peu la tête... Parfait !


Akane ferma le dernier bouton de la chemise blanche de Shoto, car ce dernier avait eu du mal à l'atteindre à cause de son bras droit qui n'était pas totalement rétabli de son combat contre Sirius. Le jeune homme sentait son cœur cogner contre sa poitrine lorsque les petits doigts d'Akane touchaient involontairement la peau de son cou. Il se rappela intérieurement que ce n'était pas le moment de flancher, il se maudissait de faire preuve d'autant de vulnérabilité.

Les yeux vairons d'Akane se posèrent sur les siens, avant de se baisser en direction du sol.

-  Bon..., bredouilla-t-elle... Je vais te laisser enfiler le reste de ta tenue, te coiffer et tout ça. Passe une bonne soirée.

L'adolescente semblait gênée et Shoto eut presque envie de rire. En la voyant sur le point de partir, il sentit un étrange sentiment le saisir à la poitrine. Il voulait absolument trouver des mots qui sauraient la convaincre de rester ne serait-ce que quelques microsecondes, le temps qu'il grave ce regard si doux qu'elle possédait en ce moment, dans un coin secret de son esprit, le repère de ses merveilleux souvenirs.

-  Rappelle-moi ce que tu fais ce soir ? demanda-t-il.

Elle fit volte-face, et haussa les épaules pour laisser sous-entendre que ce n'était rien de vraiment intéressant.

-  Je vais juste tenir compagnie à des enfants malades, finit-elle par dire.

-  Ce n'est pas rien. C'est héroïque, lui dit Shoto. C'est beaucoup plus utile que ce... Ce bal, termina-t-il en effectuant une légère grimace sous le regard amusé d'Akane.

-  On a tous besoin de  nous quelque part, et toi tu dois être là-bas.

-  Si tu le dis... Passe un bon réveillon.

Elle lui sourit. C'était un sourire faible, presque inexistant, mais il les reconnaissait très bien.
Lorsqu'elle quitta sa chambre, il laissa le soupir logé au fond de lui s'échapper. Ce qu'il ressentait en la voyant était à la fois merveilleux, mais aussi torturant. Il se jugeait irrespectueux vis à vis d'elle, car pour lui il n'avait plus aucun doute : cette envie qu'il avait de la garder auprès de lui était presque interdite. Il passa sa main dans sa chevelure, et espéra qu'il pourrait au moins l'oublier durant cette soirée, ou du moins, s'éloigner de son magnifique souvenir.

Il sortit de ses pensées en voyant l'heure affichée par l'horloge murale. Shoto compléta sa tenue, avant de se positionner devant son miroir afin de coiffer ses cheveux comme convenu. Il se sentait presque superficiel, mais il n'avait pas le choix. Comme lui avait rappelé Fuyumi, il représentait les Todoroki au sein de ce bal huppé.
Quelques minutes plus tard, alors que le soleil venait déjà de se coucher il quitta la demeure au sein de laquelle il avait grandi pour monter dans cette voiture noire qui lui était destinée, et qui avait pour seul but de le ramener dans le lieu de la réception.
Il regarda pendant quelques secondes le beau paysage nocturne qui défilait sous ses yeux. L'ambiance du réveillon se faisait ressentir dans chaque coin de rue. Pendant quelques secondes il essaya d'imaginer à quoi pourrait ressembler cette fête lorsqu'on la fêtait en famille, entouré de personnes auxquelles on tient.

Il chassa rapidement ses dernière pensées, décrétant qu'il était inutile de rêvasser sur ce qu'il ne possèderait jamais. Il s'empara de son masque de bal aussi sombre que l'obscurité, et d'un geste il l'enfila en espérant qu'un miracle inespéré saurait lui changer les idées en cette nuit de réveillon.




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Prépare-toi petit loup, y a une note d'auteur assez longue qui suit. À mon avis tu devrais lire... À mon avis... Enfin bref !

Tout bien réfléchi je suis une véritable forceuse... Vous me comprenez, je ne pouvais pas laisser ce chapitre que j'avais commencé depuis bonne lurette ( mais quelle expression ! ) inachevée. Alors je l'ai terminé, mais je vous l'accorde il ne se passe vraiment rien de spécial... Bon, j'ose espérer qu'Asta vous a un tout petit peu émus quand même !
Enfin bref, peu importe, sachez que c'est l'avant dernier chapitre de cette partie deux. Puis, normalement en juillet ou du moins, en fin juin je devrai débuter la partie trois, et la terminer, parce qu'elle est déjà complète sur brouillon, j'en connais les grandes lignes quoi.

Je fais cette note d'auteur pour vous dire merci avant tout ! On a passé le cap des 30k et franchement c'est super beau ! Je vous avoue que mon rêve c'était d'achever l'histoire avec les 20k mais là... C'est juste wow ! Je me demande bien jusqu'où vous allez mener Akane et Shoto...

Bon, vous vous en doutez que voilà, pour les 30k il faut quand même marquer le coup ! Du coup, n'hésitez pas à me dire si vous avez des idées que je pourrai concrétiser d'ici la fin du mois de juin si je suis vivante d'ici là ! J'avais pensé à inaugurer un livre bonus de La Malédiction des Héritiers au sein duquel je pourrai transférer la rubrique artistique ! On pourrait tous y participer, ce serait un espace de création pour moi mais aussi pour vous si vous êtes partants. On pourrait y mettre des anecdotes sur les personnages, des FAQ, voir même, des petits textes bonus issus de votre imagination ! Enfin bref, je veux vraiment qu'avec la TeamShoto on créé quelque chose qui donnerait encore plus vie à cette histoire qui est gravée dans mon cœur !

N'hésitez pas à me dire votre avis ! Je vous souhaite plein de bonheur, vous souhaite la paix, vous fais de gros bisous et vous dis à très bientôt !

P.S : Go chercher le modèle de la robe d'Akane !

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