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« 2659.

La civilisation humaine a dû s'exiler sur la planète H20:Hcl car la Terre, à cause de la pollution, se tuait à grand feu. Cette nouvelle planète était déserte, mais grande. Les humains pouvaient y respirer et certaines plantes test arrivaient à y pousser.

Bien sûr, ce furent d'abord les riches qui purent accéder à cette nouvelle planète. La construction avait été rapide, un record, pour pouvoir accueillir le plus de personnes possible. Les premières constructions étaient sommaires, ce n'étaient que des dortoirs, le temps de pouvoir construire de véritables logements.

Les derniers à arriver furent également les moins bien logés. Ils habitaient loin du « centre ville », dans des habitations bâclées par manque de patience, et dans certains cas, de matériel. Les vaisseaux amenaient plus d'êtres humains que ce que le nouveau gouvernement avait estimé.

Ces personnes, qui n'avaient plus rien à perdre, seulement leur vie, furent réquisitionnées pour construire les bâtiments. Ces personnes ne recevaient aucun mérite, mais beaucoup d'insultes. Que ce soit sur la Terre ou sur H20:Hcl, elles étaient traitées de la même manière, ces personnes.

Puis le gouvernement s'organisa, on reprit plus ou moins rapidement une vie normale, cette fois sans reproduire les erreurs passées. Mais les ressources étaient limitées, et tout le monde se battait pour les avoir. Peut-être qu'on reproduisait les erreurs passées après tout.

Le gouvernement créa une armée qui se devait de faire respecter les mesures que prennaient les hauts gradés. Le gouvernement disait que c'était pour le bien des habitants, que tout le monde serait égal. Le peuple se fit berner ainsi pendant quelques années. Puis les riches, qui avaient dû payer pour venir sur cette nouvelle planète, commencèrent à s'énerver d'être égal à ces personnes inférieures.

Alors l'État prit des mesures pour satisfaire les riches, et les « être inférieurs » ne firent aucune remarque, parce que de toute façon, on ne les écouterait pas. Ils étaient simplement un peu plus les esclaves de la société. Finalement, qu'est-ce que ça changeait ? Au moins ils n'étaient pas morts sur Terre.

Mais la première génération d'habitants sur H20:Hcl commença à accueillir la deuxième, qui ne connaissait pas la Terre, qui ne connaissait pas ce passé pire que ce présent. Et à juste titre la classe inférieure tenta de se rebeller. Ce fut un échec évidemment, on envoya en prison tous ceux qui n'avaient pas réussi à s'échapper à temps. Et quand ils rentraient, ils étaient différents. On ne savait pas ce qui se passait dans ces prisons, mais ceux qui en ressortaient aimaient le gouvernement, le trouvaient tout à fait juste, et dans la grande majorité des cas, ils voulaient contribuer au respect des lois. L'armée connut une vague de recrutement symbolique, pendant quelques mois, avant que tout revienne dans l'ordre.

Mais il y avait quelques personnes qui avaient réussi à s'échapper, et dont la police ne connaissait pas l'identité. Ces personnes se retrouvaient dans des souterrains pour planifier de nouvelles manifestations afin que l'égalité des classes soit remise en place. Cependant, depuis cet évènement, la classe inférieure était bien plus surveillée qu'auparavant, et les riches se sachant en danger, dénoncaient n'importe qui.

Les tensions s'accentuaient, le gouvernement et par extension, l'armée étaient de plus en plus strictes, les riches exultaient d'avoir enfin la paix, et la classe inférieure, qui représentait pourtant la majorité, était exclue de la société, sauf quand on avait besoin d'eux pour travailler. Certains rebelles se rassemblaient toujours dans les sous-sols pour des assemblées générales, afin d'établir un plan d'action. Ils étaient peu, c'était ridicule par rapport à l'armée. Et ils perdaient des alliés chaque jour, arrêtés par l'armée avant de faire partie de cette dernière.

Beaucoup d'idiots commettaient de petits crimes, attirant davantage l'attention et la haine sur la classe inférieure. À tel point que le gouvernement mit en place des cartes d'identité avec une puce pour pouvoir tracer la classe inférieure. Bien sûr, cela rendit les riches particulièrement heureux.

[...] »

Changbin balança les feuilles qu'il tenait plus loin dans la pièce. Il trouvait ce texte ridicule, quand bien même il expliquait la situation de sa classe sociale. Est-ce que l'auteur se rendait compte d'à quel point c'était humiliant ? On aurait dit un riche qui observait une expérience fascinante de haut. Et pourtant, le nom correspondait bien à un habitant de la zone 3, qui habitait de l'autre côté de la surface explorée.

Il regarda les feuilles éparpillées sur le sol, le texte qui décrivait sa réalité avec une distance froide, moqueuse et académique. Chaque mot ressemblait à une attaque personnelle, malgré la véracité des événements décrits. Ce récit, qu'un de ses collègues avait trouvé abandonné, le laissait amer. Il en avait assez d'être vu comme un délinquant, une menace à la richesse, alors qu'il cherchait seulement l'égalité. Il ne voulait pas voir une énième étude qui retraçait leur histoire de manière si biaisée. Cet homme qui avait écrit ça cherchait sûrement les bonnes grâces du gouvernement, en montrant qu'il était différent de ses pairs. Oh non, au grand jamais il n'oserait comploter contre les riches, encore moins contre le gouvernement, enfin ! Ce n'était pas faux. Ce nom n'était pas familier à Changbin, qui pourtant connaissait chaque visage et chaque nom des personnes qui franchissaient les portes du souterrain.

Changbin se leva, secouant la poussière de ses vêtements usés, et sortit de la petite pièce qui lui servait de bureau. Il déambula dans les sombres couloirs souterrains de leur cachette. Là où le peu de personnes souhaitant du changement se regroupait. Les sous-sols étaient humides, et labyrinthiques, mais pour ceux qui y venaient, c'était un refuge. Une brèche dans le système de surveillance, un lieu où bien que l'air soit lourd, il y faisait bon respirer. Les murs furent un temps couverts de graffitis, de slogans de révolte et d'espoir, de messages de résistance contre le gouvernement, mais après un contrôle surprise du gouvernement, il avait été jugé plus sûr de laisser les murs vierges de toute trace de non conformité.

Il atteignit finalement une vaste salle où se rassemblaient les autres membres de la résistance. Ils étaient une trentaine ce soir-là, certains, principalement les nouveaux, avaient toujours cette lueur d'espoir, cette détermination évidente dans le regard. Ceux qui étaient là depuis plus longtemps avaient plus ou moins perdu cette flamme. Cela faisait des années qu'ils parlaient de changement, qu'ils alimentaient leur espoir, qu'ils planifiaient des révoltes sans que jamais rien ne devienne concret. C'était à se demander si ce n'était pas une cause perdue.

Changbin s'assit à côté de Chris, qui menait plus ou moins chacune de leurs réunions sans pour autant en être le chef. Il regarda l'assemblée, déplorant le fait qu'ils étaient encore moins nombreux que la semaine précédente. Enfin, il prit la parole, après un soupir qui démontrait leur fatigue à tous.

— Vous avez tous, ou presque, lu l'article qu'un de nos « compère » prévoit de faire publier. Celui-ci doit être un premier jet, jeté là car la version finale est probablement complètement éditée. On peut s'attendre à une publication dans quelques semaines... Ce qui veut dire qu'on doit tous faire profil bas pendant quelque temps. Ne faisons rien d'idiot, ne tentons pas de montrer à nos employeurs que nous valons mieux que ce que dit l'article. Rien ne nous assure qu'il va être lu, de toute façon. Autant faire comme s'il n'existait pas.

Un murmure dubbitatif parcourut la salle. Les rebelles savaient qu'ils devaient être discrets, mais comment, lorsqu'on les attaquait de manière si lâche ? Ce serait tellement simple de remettre ce traître à sa place, de faire entendre leur voix... Mais n'était-ce pas précisément ce qu'attendait l'auteur de l'article ? Les provoquer pour prouver ses dires ? Chris avait donc sûrement raison. Bien que cela soit frustrant, ils ne pouvaient pas faire l'erreur de s'abaisser à l'attente de leurs ennemis.

Changbin regarda l'assemblée, soulagé de voir que le raisonnement de Chris faisait chemin dans les esprits de leurs camarades. Il n'était pas rassuré concernant quelques membres, qui étaient des têtes brulées mais si ce n'était que quelques individus épars qui causait du raffut, ça ne serait pas aussi important qu'une trentaine de personnes réunies et organisées. Et puis... Même trente ce n'était pas un grand nombre. Ils auraient juste l'air d'une classe en sortie. Des enfants qu'on n'avait pas besoin de prendre au sérieux.

— Écoutez, reprit Chris, sa voix se faisant plus douce mais toujours ferme. Je sais que c'est difficile. Mais nous devons rester forts et unis. Notre temps viendra. Pour l'instant, nous devons survivre et nous préparer.

Quelques personnes hochèrent la tête, d'autres lâchèrent des soupirs résignés, et les derniers grommelèrent dans leur barbes plus ou moins existantes.

— Nous devons être intelligents. Continuons à nous réunir mais surtout, restons vigilants. Si quelqu'un entend parler de mouvements inhabituels ou de nouveaux articles, faites-le savoir immédiatement. On ne va pas s'attarder des heures aujourd'hui, comme nous nous sommes réunis hier. Merci à ceux qui ont pu venir dans ce délai assez court. Si vous le pouvez, faîtes passer le mot aux absents.

L'assemblée acquiesça, les murmures se calmant tandis que chacun comprenait la nécessité de cette stratégie. D'habitude, il y avait plus de dialogue, chacun pouvait prendre la parole à son goût, mais ce soir c'était inutile. Tout le monde était d'accord, il avait juste fallu quelqu'un pour s'en assurer. Un à un, les membres de la résistance quittèrent la salle, chacun retournant à sa routine quotidienne, prêt à reprendre la lutte le moment venu.

Changbin resta quelques minutes de plus, échangeant quelques mots avec Chris et d'autres membres de la résistance. Puis il quitta la salle, arpentant le labyrinthe de couloir jusqu'à la porte qui le mènerait le plus proche de son domicile.C'était un des atouts de ces sous-sols, il y avait plusieurs entrées répartis dans certains quartiers de la zone 3, permettant un accès plus facile et rapide.

Une fois de nouveau à l'air libre, Changbin prit le temps d'apprécier le calme de la ruelle dans laquelle il venait d'arriver. Lorsqu'il la quitterait, il serait de nouveau submergé par le bruit de la ville, des commerces de nuit, des gens qui cherchaient à trouver le positif de leur situation dans les verres qu'ils s'enfilaient ou la nourriture qu'ils engloutissaient. Même s'il trouvait cela désolant, Changbin aimait cette ambiance. Après tout, il y avait grandi. Il n'avait connu que ça pendant ses vingt-neuf ans d'existence.

Il se mit enfin en route, slalomant entre les promeneurs et les quelques vélos qui forçaient le passage, avant d'enfin tourner pour arriver devant la porte de son immeuble. Cela faisait longtemps que l'interphone ne fonctionnait plus, et que le digicode avait été arraché par un des habitants qui ne se souvenait plus du mot de passe. Jamais personne n'était venu réparer les dégâts et personne n'en avait quoi que ce soit à faire.

Son immeuble était composé de quatre étages, et il vivait au troisième, avec aucun espoir de calme après les longues journées à travailler. Sa voisine du quatrième marchait constamment avec des talons aiguilles, et ne semblait jamais s'arrêter de faire les cent pas dans son appartement. Les voisins du deuxième avaient eu leur premier bébé il y a quelques mois et celui-ci ne faisait évidemment pas ses nuits, et Changbin dormait donc au même rythme que le bébé et ses parents. Puis, les voisins d'à côté semblaient jamais assez fatigués pour faire l'amour. Et puis, comme ce n'était pas suffisant, les bruits de la rue lui parvenaient. On était dans la zone 3 en même temps, il ne fallait pas s'attendre à une bonne isolation.

Mais Changbin s'y était habitué, tant bien que mal, à tout ce bruit constant. Il dévérouilla la porte d'entrée, la refermant aussitôt à clé une fois le pas de la porte franchie. Sans attendre, il se dirigea vers la salle de bain, et se déshabilla. Peu de temps après, l'eau coulait sur son corps, le relaxant presque immédiatement. La fatigue s'abattit d'un coup sur lui, et il n'avait qu'une hâte, retrouver son lit. Une fois sa douche terminée, il ne prit la peine que de mettre un sous-vêtement et se brosser, avant de se glisser sous ses draps.

Dans le tiroir de sa table de chevet se trouvait un petit carnet, qui lui servait de journal intime. Il y nota tout ce qu'il avait fait aujourd'hui, sous forme de liste et de catégories. La première catégorie était tout simplement le travail, et la seconde était l'organisation. Il avait suggéré plusieurs fois de leur trouver un nom, mais aucun d'eux n'était inspiré, alors ils ne se nommaient pas vraiment, et c'était plus simple quand quelqu'un se faisait prendre par l'armée.

Une fois qu'il eut tout noté, il éteignit la faible lampe de chevet et se coucha, l'esprit tourné vers les défis à venir. Malgré la fatigue, il ne put s'empêcher de repenser à l'article. Il sentait la colère et la frustration bouillonner en lui, mais il savait qu'il devait rester concentré.

Le matin arriva rapidement. Changbin se leva avant l'aube, comme à son habitude. Il prit un petit-déjeuner qui se constitua de pain, de bacon et d'œuf, se préparant pour sa journée de travail. Il était maçon, un emploi physique et épuisant, mais c'était la seule façon de passer inaperçu et d'être plus ou moins libre. L'État avait besoin de maçons, avait besoin, tout simplement, de personnes pour construire leurs nouveaux bâtiments, leurs nouvelles prisons.

Lorsqu'il sortit les rues étaient déjà animées, les gens se pressaient pour se rendre à leur travail. Changbin rejoignit le flot de travailleurs, tous marqués par la même résignation. Très peu avaient le luxe d'avoir un véhicule, alors la majorité devait prendre les transports en commun, ou marchait. Changbin faisait partie de cette dernière catégorie, préférant largement pouvoir respirer l'air assez frais du matin, sans être collé à des inconnus.

Après une heure de marche, il arriva à la « douane », présentant sa carte d'identité et son habilitation à travailler dans l'enceinte des murs de la zone 2. Ce fut rapide, et bientôt il arriva sur le chantier du moment. Il n'eut que le temps de dire bonjour avant que leur patron ne les mette au travail, en aboyant des ordres par-ci par-là.

En fin d'après-midi, Changbin rentra enfin chez lui, épuisé mais satisfait du travail accompli. Alors non-loin de son quartier, il remarqua une silhouette recroquevillée à l'entrée d'une ruelle. Il regarda autour de lui, remarquant que les habitants de ce quartier restaient à distance de cet homme. Il s'approcha, se demandant pourquoi encore personne ne s'était regroupé autour de lui. Étonnement, un homme recroquevillé dans une ruelle était une vue assez rare, et si c'était le cas, au moins quelques grand-mères ou grand-pères s'approchaient par curiosité.

Changbin comprit rapidement pourquoi tout le monde gardait ses distances. L'homme recroquevillé là était un soldat. Mais il était blessé, et non assistance à soldat était un crime du même niveau que de ne pas être d'accord avec le gouvernement. Changbin ne voulait pas que des problèmes leurs tombent dessus, surtout pas aussi près d'une des entrées du sous-sol, alors il s'approcha davantage du soldat.

Celui-ci était appuyé contre le mur, respirant difficilement. Son uniforme était taché de sang - le sien ? ou pas ? - et son visage portait des traces de griffures. En entendant Changbin s'approcher, il releva la tête, et rien que cela sembla lui coûter de grands efforts.

— À l'aide... Il murmura, incapable de parler plus fort.

— Qu'est-ce qui s'est passé ? demanda Changbin, incapable de réfléchir correctement.

Cette situation n'avait rien d'ordinaire, et Changbin ne s'y connaissait pas du tout en soin. Il connaissait quelqu'un, cependant, qui était infirmier et aussi dans les rangs de l'organisation, mais il n'avait aucun moyen de le contacter et c'était imprudent d'emmener ce soldat dans les sous-sols. Pourtant il le fallait bien.

Le soldat se vidait de ses forces, ça se voyait. Était-il en train de mourir ? Probablement. Sa tête retomba, il semblait perdre conscience. Au bout de quelques minutes, le soldat ne bougeait plus, et Changbin se demanda s'il était mort, ou juste évanoui. Mais il voyait son torse se soulever faiblement. Rien n'était encore perdu. Et il n'avait plus le choix, il devait l'emmener dans les sous-sols.

Changbin chargea le soldat sur son épaule comme un sac à patate, puis sprinta dans la rue pour atteindre l'entrée la plus proche. Quelle chance qu'il soit si proche de chez lui. Changbin savait qu'il allait pouvoir trouver l'infirmier et Chris dans les sous-sols, le bureau de Chris étant leur repère pour faire... Ce qu'ils avaient à faire.

Mais pour le moment il fallait qu'il dépose le soldat sur une table dans l'infirmerie avant d'aller chercher les deux autres. C'était étrange, il ne savait pas vraiment ce qu'il faisait ni pourquoi il le faisait mais voilà qu'il venait de tous les mettre dans de beaux draps. Une fois le soldat sur le lit, il sprinta en direction du bureau de Chris, ne toquant même pas avant d'entrer.

— Hum... Venez. Tous les deux. Urgent. Infirmerie, et il n'attendit pas avant de repartir. Le sang sur son tee-shirt devait être suffisamment alarmant pour que Chris et Minho le suivent.

Alors que Changbin expliquait la situation à Chris, Minho s'afférait avec le peu de matériel qu'il avait réussi à voler à l'hôpital dans lequel il travaillait. Au vu de l'expression de son visage, la situation devait être critique, mais le soldat respirait encore alors il devait y avoir de l'espoir.

— Pourquoi ? demanda Chris, son visage grave. Pourquoi tu l'as amené ici de tous les endroits qui existent dans cette zone ?

Il était en colère, ou juste surpris, mais à juste titre. L'adrénaline commençait à descendre et Changbin réalisait davantage la connerie qu'il venait de faire.

— Je sais pas. J'ai paniqué. Je l'ai vu là, à mis chemin entre le portail qui mène dans la zone 4 et l'entrée à côté de chez moi... Il a sûrement un traceur alors si je le remettait dehors ils auraient vu le trajet, ils auraient su quelqu'un l'a remis dehors et ils auraient remonté jusqu'à mes empreintes. Ici au moins c'est une zone blanche, rien ne fonctionne...

— On sait à quoi ressemblent les traceurs au moins ? Ça se trouve ces fous les implantent sous leur peau ?

— Je suis presque sûr que c'est pas le cas.

— Il n'y a rien sur lui qui ressemble à un traceur en tout cas... En fait, il n'a rien sur lui à part ses vêtements... Minho intervint, en s'écartant enfin du lit. Il a perdu énormément de sang, mais j'ai réussi à arrêter l'hémorragie. Le sang sur son torse ne doit pas être le sien, il est blessé seulement à la jambe. Je suis pas médecin mais bon j'ai eu une formation sur les hémorragies... Je sais pas s'il est stable, va falloir le surveiller jusqu'à ce qu'il se réveille. Hum...

Un silence s'installa alors qu'ils regardaient tous le soldat, se demandant s'il allait survivre. Ils savaient tous que ça les arrangeait si ce n'était pas le cas, mais ils ne pouvaient pas se permettre qu'un soldat meurt dans leur sous-sol. L'armée allait sûrement se mettre à sa recherche quand ils se rendraient compte de sa disparition, alors le temps leur était compté.

— S'il se réveille, on peut l'utiliser comme otage. Lui soutirer des infos, suggéra finalement Changbin, sans quitter du regard le soldat inconscient.

Bonjour!
voici la première partie de mon histoire pour le défi littéraire de kimgoldess. j'espère qu'il plaira à la personne dont j'ai reçu le formulaire, et agélament à vous autres ! pour l'instant, la suite n'est pas écrite ( :( ) et je ne peux absolument pas vous faire une estimation, sachez juste que tout est bien dans ma tête, et qu'un jour je réussirais à écrire :)
ce projet est un très gros projet pour moi, qui me demande beaucoup plus de réflexion et de recherche que les autres, et qui surtout n'est pas un petit projet, mais j'ai tès hâte de le mener à terme :)
sur ce, à une prochaine fois <3

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