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𝟕. 𝐖𝐡𝐚𝐭 𝐚𝐫𝐞 𝐲𝐨𝐮 𝐭𝐡𝐢𝐧𝐤𝐢𝐧𝐠 𝐚𝐛𝐨𝐮𝐭


Delicate - Damien Race.


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— Hm...Regarde-moi...Embrasse-moi.

— Jena...

— Regarde-moi Nam, je veux te voir quand tu me fais l'amour encore et encore, je veux me rappeler de ton regard.

— Je te regarde Jena, je fais que ça bébé.

Sur ce lit, devant cette immense baie vitrée qui donnait une vue incroyable sur Séoul, dans cette chambre d'hôtel dont ils connaissaient maintenant le moindre recoin, ils s'abandonnaient pour la énième fois au plaisir de la chair. Leurs corps assis sur cet immense lit, enchevêtrés l'un à l'autre dégoulinant de sueur, ne faisaient qu'un.

— Prend les commandes Jena, je...Hmmm, putain...Oui, vas-y, guide moi bébé.

Assise sur lui, ses mains lui agrippant les cheveux, elle ondulait son corps lentement, sensuellement, alors qu'il lui maintenait les hanches avec force et délicatesse. Elle le voulait encore plus profondément en lui, elle voulait se sentir pleine de lui. Il voulait son corps fort et musclé plus que tout au monde, comme elle n'avait jamais désirée personne au monde. Jusqu'alors, un seul homme avait réussi à l'apprivoiser mais ses sentiments n'avaient jamais été aussi fort, son cœur n'avait jamais battu aussi fort pour quelqu'un et cet homme c'était lui,  c'était Namjoon.

Elle le dominait, elle le menait, lui, si imposant, si fort, si charismatique.

Oui à cet instant elle avait le pouvoir sur lui, elle pouvait le voir dans ses yeux remplis de désir pour elle.

— Je veux que tu n'oublies jamais cette nuit, je ve...Oh Nam, tu me fais tellement de bien, gémit-elle, quand il bascula encore son bassin pour atteindre son point sensible.

— Comment veux- tu que je t'oublie Jena, lui répondit-il, tout en lui mordillant la base de son cou, tu es si belle, si désirable bébé.

— Nam, prends moi encore, je veux pas que cette nuit se termine, j'ai besoin de toi, de ton corps, de...

Il ne la laissa pas terminer sa phrase, il l'a renversa, pour la plaquer sur le lit, la dominant de tout son corps. Il l'a regarda, de ce regard tendre et malicieux dont seul lui avait le secret, puis, lentement, tout en lui tenant les mains au-dessus de la tête, il laissa ses lèvres parcourir son cou, mordillant de temps à autre sa peau pour y laisser quelques petites marques violettes, lui déclenchant d'innombrables frissons sur la peau. Sentant qu'elle était réceptive, il sourit légèrement contre son corps, puis continua son chemin jusqu'à ses seins qu'il parcourut avec le bout de ses lèvres, pour mordiller leurs pointes qui s'étaient durcis à son toucher.

— Nam...Soupira-t-elle, tout en mouvant son corps contre ses lèvres.

— Qu'est-ce que tu veux bébé, hm...

Puis sa bouche continua son chemin pour atteindre son bas ventre, s'arrêtant sur le creux de son nombril, pour doucement y goûter, passant le bout de sa langue à l'intérieur, pour finir par mordiller le petit anneau qui s'y logeait.

— Prends moi, Nam, s'il te plaît j'en...Mon dieu...

Il relâcha les mains de Jena, pour laisser les siennes glisser le long de ses hanches afin d'atteindre ses cuisses et de les ouvrir délicatement. Elle était si belle, comment pouvait-elle penser un seul instant qu'il allait l'oublier. Jamais il n'avait ressenti un tel désir pour quelqu'un. Il pourrait lui faire l'amour pendant une éternité, qu'il ne laisserait pas de son corps, de son sourire, de son être tout entier, jamais.

— Nam, oui...Gémit-elle, tout en s'accrochant à ses cheveux pour renforcer la pression de ses lèvres et de sa langue contre son sexe.

Mais alors qu'il était entre ses cuisses et qu'il goûtait à sa partie sa plus intime, qu'il l'entendait hoqueter de plaisir à chaque mouvement de sa langue, il sentit comme une angoisse monter en lui.

Pendant quelques instants, il se perdit dans ses songes, repensant à la mission qui l'attendait et qui allait l'éloigner d'elle pendant des mois, peut-être même une année. Il sentit alors de la peur l'envahir, ce qui crispa son corps et sans même s'en rendre compte ses mouvements de langue trop insistant arrachèrent un petit cri de douleur à sa partenaire.

— Nam, j'ai mal, s'il te plaît...Arrête...Cria-t-elle en resserrant ses jambes autour de sa tête.

— Désolé, excuse-moi, je...Excuse-moi.

Il allait reprendre possession de son intimité, quand elle se releva légèrement et l'attira à elle. Il n'émit aucune résistance et se laissa doucement guider pour s'étendre de tout son poids sur son corps.

— Qu'est-ce qu'il y a cheri, dis moi ?

— Désolé de t'avoir fait mal bébé.

— Nam, qu'est-ce qui te tracasse ?

— Rien, je t'assure ça va, lui répondit-il, tout en dégageant une mèche de ses cheveux humide sur son front.

— T'es plus avec moi là, je le sens, à quoi tu penses ?

— A rien, juste un coup de fatigue, j'arrête pas en ce moment je...

— C'est cette mission, c'est ça ?

— J'ai pas envie de parler de ça là, pas maintenant.

— Quand alors, bébé, tu sais je...

— Jena, le coupa le jeune homme, je suis désolé...Je voulais vraiment que ce moment soit unique.

— Il l'est Nam, tous les moments que je passe à tes côtés sont uniques, n'en doute jamais.

Il laissa sa tête tomber dans le cou de la jeune femme, inspirant longuement son odeur. Il l'aimait tellement. Jamais il n'avait autant appréhender une mission. Elle allait être sa faiblesse, il en était sûr et ça risquait de mettre en péril sa mission. Il devait prendre des distances, arrêter de s'attacher à elle...

Depuis dix-huit mois qu'ils passaient du temps ensemble, il n'avait jamais autant ressenti cette angoisse de devoir se séparer d'elle. Ses missions ne duraient jamais plus d'un mois en général et très vite a son retour, ils se fixaient ces petits rendez-vous intimes. Ils jouaient à ses petits jeux sexuels. C'est comme ça que leur relation avait commencé, du sexe, dans un hôtel, dans un bar, dans les toilettes d'une gare ou dans encore bien d'autres lieux les plus loufoques les uns que les autres.

Mais depuis quelque temps, il avait bien senti que leur relation avait changé, ils se voyaient pour passer du temps ensemble, discuter, se promener et faire tout un tas d'autres choses, comme le ferait n'importe quel couple. Et sans se l'avouer l'un l'autre, ils sentaient bien que leur relation devenait plus sérieuse. Mais ils étaient bien trop fiers pour s'avouer quoi que ce soit. Il vivait une vie trop dangereuse et elle était trop libre. Leurs métiers étaient à l'opposé. Elle, elle respectait les règles, là loi, comme tout bon flic et lui, il les bravait.

Quel avenir pouvaient-ils bien avoir ensemble ?

Jamais ils ne parlaient de leur travail, c'était une règle qu'ils s'étaient fixé. Ils ne connaissaient que très peu de choses de leur passé respectif. Mais des deux, s'était elle la plus discrète sur son passé. Il ne savait qu'une seule et unique chose, qui était que sa beauté parfaite était le fruit d'un père chinois et d'une mère française.

Souvent, il essayait de lire en elle au travers des nombreux tatouages qu'elle avait sur une grande partie de son corps et qui il le savait retraçait une grande partie de son passé.

Oui, elle allait être son point faible sur cette mission parce que tout d'elle allait lui manquer, parce qu'il le savait là, alors qu'il était allongé sur son corps, qu' il l'aimait plus que tout au monde, sans jamais lui avoir avouer une seule fois.

— Nam ?

— Hm, dit-il fébrilement, le visage toujours enfoui dans la chaleur de son cou.

— Regarde-moi, s'il te plaît.

Il releva la tête et lui fit un petit sourire, laissant apparaître ses magnifiques fossettes qui l'a faisait tant craquer.

— Nam, tu te souviens, la première fois qu'on a fait l'amour ? Tu te souviens de ce que je t'ai dit ?

— Oui, dit-il en secouant légèrement la tête.

— Tu te souviens quand je t'ai dit que je n'aimais pas les hommes qui avaient des faiblesses ?

— J'en ai pas Jena, je suis juste un peu fatigué c'est tout, alors laisse tomber et continuons à faire l'amour, comme d'hab-

— Nam, c'était des conneries, je veux un homme avec des faiblesses, je veux un homme qui parfois à des fragilités, parce que ça veut dire qu'il aura besoin de moi. Alors oublie ce que je t'ai dit ce jour-là et ouvre-toi à moi.

— Jena, crois-moi...

— Nam, le coupa-t-elle, cette mission, elle est si dangereuse que ça, pour que tu te mette dans un tel état, dis-moi ? Jamais je t'ai senti aussi fébrile.

Il hésita un instant avant de lui répondre, et se lança, après tout qu'avait-il à perdre à lui montrer son angoisse.

— Oui, je crois que je pourrais ne pas revenir cette fois et pour la première fois de ma vie, j'ai peur.

Elle l'attira tout contre elle, et il se laissa faire, posant sa tête sur son bas ventre, pendant qu'elle lui caressait les cheveux.

— Jena, je crois que...Enfin, je...

— Nam, tu sais que tu peux tout me dire, tu peux avoir confiance en moi. Toi et moi ça fait un moment maintenant et je peux te le dire aujourd'hui, elle hésita un instant puis se lança, tu sais cette nuit quand je t'ai dit que j'avais trouvé l'homme de ma vie...

Namjoon se crispa, il s'en souvenait très bien. Il avait eu si mal quand elle lui avait annoncé qu'elle avait trouvé l'homme de sa vie, le futur père de ses enfants. Il ne voulait pas savoir, pas à cet instant, il ne voulait pas connaître le nom de celui qui allait être l'homme le plus chanceux du monde. Non il voulait pour cette nuit, la dernière très certainement, qu'elle lui appartienne encore.

— Nam, tu m'écoutes ? Lui susurra-t-elle à l'oreille en se penchant vers lui.

— Oui, Jena, je t'écoute.

— Cette nuit je t'ai dit qu'il ne savait pas encore que je l'avais choisi et...

— Attends, ne dit rien, attends, j'ai quelque chose à te demander avant, tu dois m'écouter.

— Mais Nam...

— Non, Jena, écoute moi, avant de me dire ça, écoute moi.

Il se releva, pour s'asseoir en face d'elle et lui prit les mains. Un peu déroutée par son attitude, elle plongea ses grands yeux dans celui de son amant.

— Cette mission, je vais la faire, ce sera la dernière, parce que je veux, enfin...

Pourquoi il n'arrivait pas à lui dire ? Non, ce n'était pas le moment, pas encore, peut-être même jamais parce qu'elle avait apparemment trouver l'homme de ses rêves, alors il dirigea ses pensées sur la mission.

— Jena, je suis en train de monter une équipe, avec des hommes de confiance, enfin j'espère que je vais pouvoir leur faire confiance. Mais il me faut quelqu'un, un lien avec l'extérieur, au cas où les choses tourneraient mal.

— C'est quoi cette mission Nam, pour que tu sois si angoissé ? Pourquoi tu me parles de ça maintenant, je voulais vraiment te dire quelque chose d'important.

— Jena, c'est important, écoute moi...Je veux que tu sois cette personne, celle sur qui je vais pouvoir compter si les choses tournent mal, parce que là on va jouer dans la cour des grands, sur le terrain de la mafia japonaise. Si ça tourne mal pour moi, je veux que tu sois celle qui les sauve, c'est la seule chose que je te demande, la dernière avant que tu fasse ta vie loin de moi.

— Mais ? Nam, je...

— Jena, j'ai besoin que tu m'écoutes, lui dit-il en posant son front contre le sien.

Alors Namjoon lui raconta la mission, toute la mission, donnant même des détails sur les hommes qu'il avait recrutés pour l'accompagner, pourquoi il les avait choisis et pourquoi il avait quelques doutes quant à la loyauté de certains. Jena l'écouta sans le couper, lui caressant de tant à autre le visage, pour le détendre et lui montrer qu'elle était avec lui. Il était si beau, si fort, si sûr de lui et pourtant elle pouvait pour la première fois sentir ses doutes, ses craintes.

— Il me manque deux personnes pour compléter mon équipe. J'ai mon idée pour l'une d'entre elle et je vais bientôt lui rendre visite, mais il me manque un poste clé, un faussaire, et j'ai pensé que peut-être dans tes missions tu avais rencontré ce genre de profil et que tu pourrais me proposer quelqu'un ? Une personne en qui on pourrait avoir confiance.

— Nam...Cette mission, ne l'accepte pas, c'est bien trop dangereux, tu ne sais pas dans quoi tu t'embarques, c'est un autre monde, c'est...

— J'ai déjà accepté, je ne peux plus faire marche arrière Jena, cet homme, il compte sur moi.

— Mais ce Lay, j'en ai entendu parler, il est dangereux, il a volé sa place. Il ne devrait pas être là où il est et rien que pour cette raison, il est dangereux, crois-moi. Tu t'attaque à plus fort que toi, ce monde...Son monde est pourri, monstrueux, il est sans foi ni loi...

Namjoon la coupa, elle semblait en savoir un peu trop pour un simple flic. N'avait-il pas été un peu trop imprudent en lui expliquant la mission ?

— Que sais-tu des Yakuzas, Jena ?

— Rien de plus que ce que mon père m'a raconté, mais...

— Ton père ? Mais quel lien avait-il avec la mafia japonaise ?

Elle hésita un instant, regrettant presque d'avoir été aussi bavarde à propos de sa vie, de son père.

— Il a payé de sa vie d'avoir été trop curieux, ne me pose pas plus de question, c'est une part sombre de ma vie dont je ne veux plus entendre parler.

— Il était flic lui aussi ?

— En quelque sorte, lui dit-elle, alors que des larmes commençaient à remplir ses yeux.

— Excuse-moi bébé, je ne voulais pas être indiscret, je comprends que tu veuilles pas m'en dire plus si c'est aussi douloureux, laissons ce sujet de côté et oublie cette satanée mission, oublie ce que je t'ai demandé, je suis à toi.

Elle sembla soudain réfléchir, caressant toujours les cheveux de son amant.

— Je crois que j'ai peut-être quelqu'un à te proposer, il est un peu instable, mais il est super entraîné et le faux ça le connaît, il faisait partie de la cellule des forces spéciales.

— Faisait ?

— Oui, il a connu un grand malheur dans sa vie, il y a quelques mois, mais tu pourras lui faire confiance, je le connais c'est quelqu'un de droit, même si parfois il à tendance à en faire qu'à sa tête. Je crois qu'il a repris un peu du service ces derniers temps, mais il a plus vraiment la même motivation. Il a besoin de prendre du recul avec sa vie d'avant, d'oublier et de se sentir à nouveau utile à quelque chose.

— Je ne pensais pas à un flic, Jena.

— Il est pas flic Nam, c'est un militaire des forces spéciales, un spécialiste dans l'art de faire du faux en tout genre, c'est un artiste. Il dirige cette cellule au sein de l'armée d'une main de maître malgré son jeune âge, il te ressemble un peu d'ailleurs sur certains points, lui dit-elle en souriant. C'est aussi un excellent soldat et un sportif hors pair, crois moi, il sera ton plus grand atout. Il traverse une période un peu noir en ce moment, je suis inquiète pour lui, et je suis sûr que cette mission pourrait l'interresser, le sauver même...

— Instable, tu dis ? Jena, Je suis pas sûr d'avoir besoin d'un mec instable, j'ai déjà quelques doutes sur l'un des membres à qui je vais demander de l'aide, alors...

— C'est ton homme, j'en suis sûr, fais moi confiance, je ne te le proposerai pas si j'avais peur qu'il te le fasse à l'envers. Rencontre-le et fais toi ton opinion. Je crois que je serai vraiment rassurée de le savoir à tes côtés, parce que encore une fois tu pourras lui faire confiance, c'est un homme de parole, il a été d'un grand soutien pour moi dans les moments difficiles de ma vie, je me dois de lui rendre la pareille.

— Toi et lui vous...

— Ne me pose pas plus de question, fais-moi juste confiance, rencontre-le et fais ton choix.

Namjoon, regarda Jena un long moment sans rien dire. Qui était-il vraiment pour elle ? Avaient-ils eu une histoire ? Tout en lui remettant une mèche de cheveux derrière l'oreille, il ferma les yeux pour effacer toutes ces idées de sa pensée. Ils les ouvrit à nouveau et lui fit un grand sourire.

— J'accepte de le rencontrer, mais à une condition.

— Laquelle ?

— Que tu me fasse l'amour toute la nuit.

La jeune femme, le poussa légèrement et il se laissa retomber sur le matela, l'emportant dans sa chute. Alors avec une sensualité incroyable, elle le chevaucha pour aussitôt accueillir sa virilité au plus profond d'elle, et avec une lenteur divine, elle se lança dans des va et vient passionnés, se cambrant à chaque coup de reins que Namjoon lui rendait. Submergée par l'émotion qu'il lui procurait au plus profond de son être, elle se mit à gémir de plaisir, ne le lâchant pas du regard, tant elle voulait le voir jouir aussi à son tour. Alors, tout en s'agrippant à ses épaules pour qu'il la remplisse plus profondément, elle s'approcha de son oreille pour lui souffler quelques mots, le souffle saccadé.

— Nam, Hmmm...Nam, tu sais, l'homme....

— Hm, de quel homme tu parles Jena ? Lui souffla-t-il à son tour la voix rauque et tremblante de plaisir.

— Celui que j'ai choisi, hmm...Nam, celui que je veux pour être le père de mes enfants...

— Hmm...Et ben...

— Cet homme...C'est t-toi Nam, celui que je veux c'est...Toi.

Namjoon, s'arrêta un instant, bouleversé par la révélation qu'elle venait de lui faire, puis il posa son front en sueur contre le siens et toute en reprenant lentement ses va et viens, lui susurra à son tour dans le creux de son oreille.

— Je t'aime, Jena, je t'aime tellement.

— Alors ne pars pas, ne me laisse pas, ne risque pas ta vie, je...

— Je t'aime, lui dit-il en la fixant du regard, je t'aime Jena et je te fais la promesse de revenir en vie, pour devenir le père de tes enfants.

— Promis ?

— Juré, je t'aime Jena, ouais...Je t'aime, mon amour.

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