Chร o cรกc bแบกn! Vรฌ nhiแปu lรฝ do tแปซ nay Truyen2U chรญnh thแปฉc ฤ‘แป•i tรชn lร  Truyen247.Pro. Mong cรกc bแบกn tiแบฟp tแปฅc แปงng hแป™ truy cแบญp tรชn miแปn mแป›i nร y nhรฉ! Mรฃi yรชu... โ™ฅ

๐žฬ๐ฉ๐ข๐ฅ๐จ๐ ๐ฎ๐žโ”‚๐ฅ๐š๐œ๐ฌ ๐›๐ฅ๐ž๐ฎ๐ฌ

โ› ๐ซ๐ข๐ž๐ง ๐ง'๐ž๐ฌ๐ญ ๐ฃ๐š๐ฆ๐š๐ข๐ฌ ๐š๐œ๐ช๐ฎ๐ข๐ฌ ๐šฬ€ ๐ฅ'๐ก๐จ๐ฆ๐ฆ๐ž ๐ง๐ข ๐ฌ๐š ๐Ÿ๐จ๐ซ๐œ๐ž

๐ง๐ข ๐ฌ๐š ๐Ÿ๐š๐ข๐›๐ฅ๐ž๐ฌ๐ฌ๐ž ๐ง๐ข ๐ฌ๐จ๐ง ๐œ๐จ๐ž๐ฎ๐ซ ๐ž๐ญ ๐ช๐ฎ๐š๐ง๐ ๐ข๐ฅ ๐œ๐ซ๐จ๐ข๐ญ โœ

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...


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D Eย  ย R O U G Eย  ย S A N Gย  ย E Tย  ย D Eย  ย N O I R Eย  ย C O L รˆ R E .ย 

dans cet รฉtau de rรฉtines ร  la vraisemblance carnage, l'inimitiรฉ se faufile en sillons dans les coeurs souffreteux. malheureux oisillon dรฉplumรฉ de l'รฉgide familiale, flagelle sur sa branche devant le corbac qu'houspille et menace.ย 

tu ne saurais le reconnaรฎtre sous cette chlamyde obscure. et toi aussi, tu ne te reconnais plus. les pompes de l'ainรฉ font piailler les morceaux de verre รฉpars sous la semelle, traรฎnant son parfum d'ire autour de toi.ย 

ton รขme รฉrodรฉe humait les relents et alors, sous le plumage d'รฉbรจne, dรฉcouvrait le monde.

se rรฉvรฉlaient alors les notes du manque sur la partition de la haine.

guiboles ancrรฉes dans le bรฉton par cette promiscuitรฉ (in)attendue, mรดme toise l'animal, l'insanitรฉ dissรฉminรฉe dans la pupille.ย 

l'autre targue nรฉvrose quand nรฉcrose est celle qui s'est installรฉe depuis longtemps, cette nรฉcrose chthonienne dรฉvorant l'sentimentalisme de l'enfant.ย 

mais il a oubliรฉ comment on la rappelle du vide.

โงผ - je te dรฉteste, c'est si dur ร  avalerย ?ย โงฝ

la langue effleure patronyme mis en exil dans les contrรฉes de l'enfant, puis c'est ton coeur qui s'effrite, organe encimentรฉ dans ce modeste argile de lassitude.ย 

tu sens la puissante tourbe de la haine t'opprimer le poitrail, darde fรฉrocement une lame qui ose.ย 

le solitaire qui se gargarise de l'inepte, รฉchauffe l'รขtre endormi. soudainement, tu n'aspires plus la paix. la paix. c'est l'effondrement du triptyque sous le feu follet de l'ire du tabac roulรฉ. paupiรจres braquรฉes sur les dรฉsormais dรฉbris, le cerveau en barillet s'attarde sur quelle balle tirer.

dรฉchรฉance de l'astre-roi, bise nocturne siffle contre les volets sans dรฉrober l'attention des noctambules enfiรฉvrรฉs. dans la forteresse musicale, un dรฉcor dionysiaque ร  l'obsolescence programmรฉe, dont dรฉjร  s'entame la dรฉcrรฉpitude au glas sourd d'une fraรฎche matinรฉe qui s'alloue encore le nom de nuit. la dรฉbรขcle s'รฉpuise, et mรดme fouille les sinuositรฉs d'un appartement, se trouble devant la majestรฉ indรฉcente des nantis, mรฉprenant un pieux pour des chiottes โ€” presque convaincue d'y trouver le mรชme genre de parasites. bernรฉ par l'obscuritรฉ et les hypothรจses confuses, les serres ont appuyรฉ sur la porte des soupirs obscรจnes et des dรฉsirs impรฉrieux qui froissaient sans รฉgard les draps d'une inconnue.

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je ne tomberai pas. j'ai atteint le centre.

j'รฉcoute le battement d'on ne sait quelle divine horloge

ร  travers la mince cloison charnelle de la vie

pleine de sang, de tressaillements et de souffles.

je suis prรจs du noyau mystรฉrieux des choses

comme la nuit on est quelquefois prรจs d'un coeur.


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โ› ๐จ๐ฎ๐ฏ๐ซ๐ข๐ซ ๐ฌ๐ž๐ฌ ๐›๐ซ๐š๐ฌ ๐ฌ๐จ๐ง ๐จ๐ฆ๐›๐ซ๐ž ๐ž๐ฌ๐ญ ๐œ๐ž๐ฅ๐ฅ๐ž ๐'๐ฎ๐ง๐ž ๐œ๐ซ๐จ๐ข๐ฑ

๐ž๐ญ ๐ช๐ฎ๐š๐ง๐ ๐ข๐ฅ ๐œ๐ซ๐จ๐ข๐ญ ๐ฌ๐ž๐ซ๐ซ๐ž๐ซ ๐ฌ๐จ๐ง ๐›๐จ๐ง๐ก๐ž๐ฎ๐ซ ๐ข๐ฅ ๐ฅ๐ž ๐›๐ซ๐จ๐ข๐ž โœ

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