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𝟐𝟏. build the guilt


    ELLE TREMBLAIT, CHAQUE PARCELLE DE SON CORPS TREMBLAIT. Mais particulièrement sa jambe droite, qui s'agitait frénétiquement, comme possédée. Dans un mouvement de rage, Blake y mit un coup de poing. A part lui faire un bleu, ça n'avait pas servit à grand chose.

Plus d'une heure. Ça faisait plus d'une heure qu'on l'avait séparé de JJ -avec qui elle partageait sa cellule, pour la faire s'assoir sur cette chaise grinçante, dans le bureau du Shérif Peterkin. Apparemment celui-ci avait un tas de choses à lui dire, mais ne semblait pas pressé de le faire. 

Blake était inquiète. Lorsque son père allait l'apprendre, il allait probablement la virer de chez lui -après lui avoir fait la leçon. Et ensuite ? Ou irait-elle ? Certainement pas à Miami. Rien que d'imaginer le rire tordu de sa mère en la voyant passer le palier, lui filait la nausée.

— Blake Kayden Knight, résonnait une voix grave. La fille d'Adam. Si je m'attendais à ça.

Le Shérif entra dans la pièce, coupant court à ses pensées. C'était une femme à l'air pas commode. Elle tenait un dossier, et jaugeait l'adolescente d'un œil perçant. D'une main, elle tira la chaise en face de Blake, s'asseyant dessus.

— En fait non, soupirait-elle. J'aurais dû mis attendre, à l'instant où je t'ai vu traîner avec les pogues.

Blake haussait les épaules, affichant un masque de détente.

— Disons, répondit-elle avec nonchalance. Que je sais m'entourer.

—  Je vois ça.

Son air hautain ne plaisait pas à la blonde, mais elle ravalait tout commentaire désobligeant. JJ devait passer après elle, pas question d'envenimer la situation.

— Résumons tu veux ? Fit-elle en ouvrant le dossier. Intrusion sur une propriété privée, et destructions de biens. C'est pas du jolie.

Blake marmonnait, tapant du pieds.

— Tout dépend tu point de vu. 

— C'est vrai, sourit amèrement la femme. Je me demande comment va se sentir ton père, en apprenant que son ado de dix-sept ans, a une nouvelle infraction, dans son casier judiciaire.

Merde. Ça c'était pas bon du tout. Le casier de Blake était remplis, de tout les petits crimes qu'elle avait effectué en Floride. Vol à l'étalage, dégradation de biens, enfin c'était assez garnis. Blake écarquilla les yeux, pendant une demi-seconde, mais ça suffit à Peterkin pour s'infiltrer dans la brèche.

— Mais on peut l'éviter.

Blake l'a dévisageait, s'enfonçant dans sa chaise, intriguée.

— Oh, et comment ? Dites moi tout Shérif, je sens que ça vous démange. 

Avec un sourire contrit, elle retournait le dossier, le faisant glisser jusqu'à Blake. Celle-ci baissa les yeux dessus, et ne parvint pas à retenir, un hoquet de surprise.

—  Tu les connais ?

Sur la table, dans le dossier, deux photos. Les photos des hommes qui les avaient poursuivit dans le marais, les même qui avaient retourné la maison de John b.

— Non, lançait-elle en écartant les images. Je les connais pas, enfin pas personnellement.

Le shérif secouait la tête, retirait les photos, et lui fit signe de jeter un second coup d'œil au dossier. Ce qu'elle fit.

— Oh putain, c'est dégueulasse.

Deux autres photos étaient glissés sous les premières. Les mêmes hommes, sans vie, couché sur une table d'osculation. Leur ventre avait été dévoré, arrachant une grimace Blake. En se penchant un peu plus, elle reconnu les morsures.

— Un requin, soufflait-elle.  

 — Plusieurs, confirmait Peterkin. On s'est servit d'eux comme appât, et j'ai de bonne raison de penser que le type qui a fait ça, en a après John B.

— Quoi ? 

Son estomac se liquéfiait, alors qu'une barre creusait entre ses sourcils.

— Si tu sais quoi que ce soit Blake. Il faut me le dire.

Depuis petite, on avait apprit à Blake à ne surtout pas faire confiance aux policiers. D'après son père -du moins à l'époque, c'était tous des vendus. Pourtant à ce moment là, elle ne vit pas d'autre option, son ami était en danger.

— Ouais, finit-elle par lâcher. Ils se sont introduits chez John B. Ils nous ont poursuivit, et lui là.

De son doigt -meurtrit par ses dents, elle pointa la dépouille de l'homme aux cheveux dans la nuque. 

— Il m'a tiré dessus. J'en sais pas plus. 

— Tiré dessus ?

Horrifiée, Peterkin se levait de sa chaise, examinant le corps de Blake.

— Il m'a pas eu, s'empressait-elle d'ajouter. J'ai juste eu une éraflure.  

Apaisée, la femme se rassit. 

— Très bien, je te remercie, ça nous sera utile. Tu peux y aller, ta mère attends dans le couloir.

Pétrifiée d'horreur, Blake se crispa sur sa chaise. Des pieds à la tête. Le nez derrière le dossier, Peterkin haussa un sourcil.

— Un problème ?

— No-, non.

Blake se redressait, tel un automate. Sa mère, sa vrai mère ? Qu'est-ce qu'elle fichait ici ? Qui l'avait prévenu ? Comment ? Elle plantait ses ongles dans sa peau, c'était un cauchemar. Quelqu'un -n'importe qui, devait la réveiller.



❃❃❃❃



    EN ARRIVANT PRES DE L'ACCUEIL -après avoir hésité devant la porte pendant une bonne quinzaine de minutes, quel ne fut pas son étonnement -et son soulagement, de ne pas voir la tignasse blonde de Becky. A la place, c'était celle -tirée à quatre épingles, de sa belle-mère, qu'elle rencontrait. Celle-ci faisait les cents pas, anxieuse au possible.

— Sienna ? 

La femme sursautait, faisant volte-face. Son visage était tiré, et elle ne portait pas de maquillage -ce qui l'a rajeunissait un peu, c'était pas rassurant. Elle portait toujours du maquillage. C'était son truc.

Craintive, Blake reculait, mais elle n'eut pas le temps de fuir. Sienna l'aperçu, et marcha vers elle, d'un pas rageur. Elle clos ses paupières, contractant sa mâchoire, prête à recevoir une gifle. Au lieu de cela, contre toute attente, la brune l'a tirait brusquement dans ses bras, lui écrasant la poitrine dans une accolade chaleureuse.

— Oh mon dieu Blake, tu vas bien ? Vacillait-elle. Tu n'as pas idée de la trouille que j'ai eu en décrochant le téléphone.  

Mal à l'aise -et un peu perdue, Blake restait immobile, les bras ballants. Sa belle-mère se détachait d'elle pour l'a regarder, les mains -tremblotantes, agrippées à ses épaules. Les yeux pleins de larmes, elle posait une main sur la joue de la blonde.

— La dernière fois que l'a police nous à appeler, c'était pou-

Elle s'interrompit, ravalant ses sanglots, mais l'adolescente avait compris. La dernière fois que la police avait appelé son père pour lui parler de ses enfants, c'était pour lui annoncer que l'un était mort, et l'autre inconsciente. Blake n'y avait jamais pensé -pas même une minute, mais Sienna avait subit cette perte, au même titre qu'eux, et devait en être traumatisée.

— Oublie ça, fit-elle en lui caressant la peau du gras du pouce.  On s'en fiche, tout ce qui compte c'est que tu ailles bien.

La bouche de Blake en tombait. Aussitôt les sourcils -fraichement épilé, de Sienna se froncèrent. 

— Parce que tu vas bien. N'est-ce pas ?

 — Oui oui, se rattrapait-elle en revenant à la réalité. Je vais bien.

Soupir.

—  Tant mieux. Allons nous en, je n'ai jamais aimé les postes de police.

Sienna zyeutait les officiers -qui s'activait tel des fourmis, de son œil couleur charbon, une moue écœurée aux lèvres, arrachant un très léger rictus à l'adolescente. 

 — Moi non plus.

Plaçant sa main dans le bas du dos de sa belle-fille, elle l'a conduisit jusqu'à l'accueil. Derrière l'îlot, se tenait une jeune policière, à l'air blasée. Avec un sourire de convenance, Sienna claquait sa paume sur le bois, tapotant ses ongles manucurés dessus. 

— Bonjour mademoiselle. J'imagine que j'ai des papiers à signer ?.

— Oui. Bougez-pas, je reviens.

Sans plus de politesse, elle s'éloignait. Blake, jetait des coups d'œil nerveux vers la porte du Shérif, les bras croisés sur sa poitrine. JJ devait être entrain de subir le même interrogatoire qu'elle. Pour une raison inconnu, ça ne lui plaisait pas. Elle n'avait pas peur qu'il balance quoi que ce soit -il était bien plus malin que ça. Par contre l'idée  -très possible, que Peterkin soit plus dur avec lui, parce qu'il venait du Cut, lui filait des crampes d'estomac. 

— Voilà pour vous.

L'officière était revenu, avec un papier, qu'elle tendit à Sienna.

— Signez ici s'il vous plait.

Pressée de déguerpir de cet endroit, la brune griffonnait le papier. Blake dans son dos, se posait des tas de questions. Bien qu'elle n'en sois pas particulièrement fière, ce n'était pas son premier coup. Pourtant, la policière n'avait pas parlé d'audience, ni de quoi que ce soit en rapport avec la justice. C'était plus que louche.

— Tenez, sourit Sienna papier en main. Bonne journée à vous.

 Elle se tournait vers sa belle-fille, qui l'a surveillait, méfiante.

— Tout va bien ?

— Je suis pas sûre, fit-elle les traits dur. Pourquoi je suis pas convoquée au tribunal ? J'ai bousillée un Malibu deux-mille-vingt.  

— Je me suis arrangée avec Cynthia, la mère de Topper. J'ai payé la moitié de ce que valait le bateau, ils ne causeront plus de problème.

Sienna parlait de la situation d'une voix posée, mêlée d'une certaine rancœur. Comme si c'était les Thornton les coupables, et Blake, la victime. 

— Est-ce que Adam est au courant ?

— Non. J'ai estimé que ça ne valait pas le coup de prévenir ton père. 

Avec un clin d'œil railleur, elle se détournait de la blonde, fonçant vers la porte. Blake observait  sa belle-mère, ahurie. C'était comme si elle la découvrait, pour la première fois. Peut-être -ce n'était qu'une hypothèse, qu'elle n'était pas aussi guindée et chiante qu'elle l'avait toujours pensé.

Comprenant qu'elle ne l'attendait pas pour s'en aller, elle se précipitait à sa suite. Au moment où Sienna posait la main sur la poignet, la porte s'ouvrit à la volée. Sur un homme, un grand homme. Son visage était cerné, et ses bottes pleine de poussière. 

— Je n'y crois pas, grommelait-elle. 

Il baissait les yeux sur la brune, un quart de seconde, avant de la bousculer pour passer.

—  Knight, saluait-il tel un homme de Cro-Magnon.

Sans un regard, Sienna dépassait le seuil, la mâchoire tressautant.

— Maybank. 

Blake ouvrit de grands yeux. Maybank ? Ce gars était le paternel de JJ ?  L'homme la frôlait, son nez se fronçait. Il puait le whisky, avec une légère odeur de cigare. Elle le suivit des yeux, n'arrivant pas à décrochait ses prunelles de son dos. Ce type était vraiment le père de JJ ? Ils n'avait rien à voir. 

Son fils dégageait ce truc -ce truc solaire, qui donnait envie à tout le monde de rester près de lui. Mais son père lui, c'était l'opposé. Rien qu'un léger contact physique avec lui, avait suffit à recouvrir la peau de Blake de frissons. Les poils de ses avant-bras, était dressés, comme si ils avaient sentit le danger. 

— Blake, tu viens ?

Heureusement que Sienna était là pour la sauver de sa transe. 

— Euh, oui.

Quand elles sortirent dans l'allée -pour rejoindre la décapotable, elle commença à se sentir nerveuse. Bizarre. Elle était en sécurité, c'était fini. Pourtant, elle avait une appréhension particulière. Peut-être parce qu'elle avait encore les jetons que son père ne l'apprenne ? Ou alors c'était parce JJ était coincé entre quatre murs, avec un homme qui ne lui inspirait aucune confiance. Ouais, c'était ça. 

Une fois devant la voiture, la main cramponnait à la portière, elle n'arrivait pas à l'ouvrir. Ses yeux étaient rivés sur la porte qu'elle avait traversé plus tôt. Blake se hissa sur la pointe des pieds, pour parler à Sienna, de l'autre côté de l'auto.

—  Dis, tu le connais bien le père de JJ ?

— Plutôt bien, admit-elle avec un gros soupir. Tout ce qu'il faut savoir sur Luke, c'est que ce n'est pas quelqu'un de fréquentable.  

Sans lui laisser le temps de poser d'avantage de questions -ce qui était assez suspect, elle s'engouffra dans sa voiture. En levant les yeux aux ciels, Blake en fit de même. Les sièges en cuir était rudement confortable, elle avait la sensation de s'assoir sur du coton. Maintenant, elle comprenait mieux la lubie d'Oliver.

Sienna introduisit les clés, d'un geste rapide -elle souhait s'en aller au plus vite, faisant vrombir le moteur. Sans pouvoir s'en empêcher, Blake jetait un dernier coup d'œil, par dessus le tableau de bord, vers l'office. Elle se figeait. 

Il était là, JJ venait de sortir, mains dans les poches. Son père -à sa droite, avançait les poings serrés. De ce qu'elle en voyait, il était remonté, et hurlait sur le blond, qui s'affaissait, les épaules basses, le regard obstinément vrillait à ses bottes.

Bizarrement, Sienna ne s'activait plus derrière son volant, elle aussi, concentrée sur eux. Ils contournèrent la décapotable, pour rejoindre leur propre véhicule. Une sorte de vieille voiture cabossée -si ont pouvait même considérer ce tacot comme une voiture. Elle était dans un sale état, à l'arrière il lui manquait même un phare.

Le père de JJ grimpait dans la voiture, arrachant pratiquement la portière conducteur. JJ, face à la sienne, se raidit. Une expression que Blake ne lui avait vu qu'une fois -a la déchetterie, passa dans ses yeux, un éclat douloureux et si perçant qu'il lui donnait des frissons. Ravalant péniblement sa salive, il s'engouffrait dans le véhicule. 

— Non, soufflait Sienna l'air terrifiée. Il n'oserait pas.

— De quoi tu parles ? Questionna Blake.

La femme tressaillit, elle avait complétement oublié sa présence. 

— Rien, rien du tout. Désolée, je m'étais perdue dans mes pensées. On y va ?

Malgré la désinvolture de Sienna, Blake voyait à ses épaules et à l'expression de sa bouche, qu'elle était tendu. Contrariée par son manque de réponse, et cette sinueuse impression que quelque chose allait mal tourner, Blake -avec un râle de frustration, se dégageait du véhicule. Ses yeux étaient rivés sur le la vitre arrière de la vieille bagnole des Maybank.

 Mais -alors qu'elle posait les deux mains sur la poignet, son corps se glaçait.

— Oh mon dieu, gémit Sienna, la main sur la bouche. 

Le cœur de la blonde cessa de battre, l'espace d'un instant, avant de repartir, à toute vitesse. Plus rien n'existait. Le monde autour d'elle, avançait au ralentit. Son souffle était bloqué. Non. C'était impossible. L'effroi déformait son visage.

Blake -au bord des larmes, assistait à une scène inqualifiable. JJ se faisait ruer de coups. Son père, son père le tabassait. Le sang avait giclé sur la vitre passager, le sang de JJ. Luke le cognait, ses phalanges plongeait dans sa mâchoire. Blake comptait. Une, deux, trois, quatre. La voiture tanguait, alors que le crâne de JJ se faisait bousculer. Ses paupières clignèrent. Cinq, six, sept, huit. 

Furieuse contre son inertie, elle s'assena une gifle mentale, revenant à elle.

— JJ !

Elle voulu se bondir à l'extérieur, mais elle avait beau tirer sur la portière, celle-ci restait obstinément fermée. Dans un geste rageur, elle envoyait son pieds dedans.

— Laisse moi sortir Sienna !

Celle-ci secouait la tête, le visage livide.

— Non ! On rentre. 

Sans lui laisser le temps de digérer l'information, elle mit le contact et appuya sur l'accélérateur. La voiture démarra en trombe, dans un crissement terrible. Sienna ne vérifia même pas la priorité avant de s'engager dans la rue. Si bien que, deux autres voitures pilèrent juste devant elles. 

— Mais t'es complément cinglé ? Scandait Blake. Ralentis bordel !

La voiture dérapait sur le bitume. La bile remontait dans la gorge de la blonde. 

— Putain, je vais vomir.

C'était une affirmation. Sienna lui lança un petit regard, et face à son teint blafard, elle pilait. D'un coup de volant assuré, elle grimpait sur la chaussée, déverrouillant les portes. En pinçant les lèvres, Blake sauta hors du véhicule. Essayant de trouver un coin isolé pour se soulager.

— Bon sang, s'exclamait Sienna en sortant derrière elle, la mine inquiète. Je suis désolée ma belle.

Penchée en avant, Blake se tenait le ventre.

— Tu peux me filer un mouchoir ?

— Oh oui, oui, bien sûr.

Illico, elle repartit dans le véhicule, fouillant la boite à gants. Blake jetait un coup d'œil à l'allée bondée devant elle, c'était maintenant ou jamais. Sans attendre, elle s'élançait dans la rue. Ses pieds lui faisait un mal de chien mais après avoir bifurqué plusieurs fois, elle était certaine que sa belle-mère ne l'a trouverait pas.

Cette fugue allait surement lui valoir un certain nombre de problèmes, mais pour l'instant, elle s'en foutait. Ça avait marché. Elle était libre. Alors certes, elle avait réellement envie de dégoupiller, mais elle était capable de se retenir. Tout ceci n'était qu'une distraction. 

Maintenant arrivait la partie B de son plan, retrouver JJ. Adossée à un mur de brique, elle extirpait son téléphone de sa poche. Son souffle était court, mais elle se rendit aussi compte que son cardio s'était amélioré depuis son arrivée sur l'île. Probablement un effet secondaire d'être poursuivis par des tarés, tous les deux jours.

Du pouce, Blake fit défiler ses contacts, avant de trouver le bon. Le bip de la sonnerie, s'élevait dans son oreille.

— Décroche crétin.

Sitôt dis, une voix rauque, et un peu enroué, surgit dans le combiné.

— Bex ?

— T'as enregistré mon numéro ?

— Tu m'as appelé quinze fois l'autre jours, tu te souviens ?

Ah oui. Il n'avait qu'a répondre, si il ne voulait pas se faire harceler.

— Bref, c'est pas la question, qu'est-ce que qui t'arrives ?

Avec une grande inspiration, Blake s'enfonça un peu plus loin dans la ruelle, tapant dans un caillou.

— John B, bafouillait-elle. J'ai besoin de toi.



- Gigi


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