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𝑙𝑖𝑘𝑒 𝐼 𝑎𝑙𝑤𝑎𝑦𝑠 𝑑𝑜










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L'AMOUR POUVAIT PENDRE DIFFÉRENTE FORME, DIFFÉRENTS GOÛTS, DES CHOSES BIEN PARTICULIÈRES À CHACUN. C'était un peu comme les baisers. Des baisers sucré, parfois sauvage, brutal mais passionné. Des baisers fougueux. Des baisers volés. Des baisers cachés. Les meilleurs baisers de toutes une vie étaient les plus inattendu.

Mais les baisers volés à droite à gauche, entre deux couloirs, entre deux allers retours de la piscine à la cuisine, à l'abris des regards indiscrets avaient un tout autre goût. Ils étaient plutôt épicés et addictif. Addictif à y revenir sans cesse sans pouvoir sans passer un jour.

Puis il y avait les sourires échangés. Discret, communicatif, coquin. Parfois échangés, parfois cachés. Leurs goûts étaient différents. Les souries échangés avaient un goût plutôt amer, un goût qui restait dans la bouche, à la fois si proche mais si lointain. Ils étaient frustrant et pourtant réveillaient les milliers de papillons qui se trouvaient dans le ventre. Alors que les sourires cachés avaient un goût mielleux mélangés avec un peu d'admiration secrète, un peu de désir et tout ce qui provoquait des étoiles dans les yeux de celui qui se cachaient.

Les yeux, sûrement ce qu'ils y avaient de plus sincère. C'était le moyen de communication le plus simple, le plus sincère et surtout le plus discret. Les regards il y en avaient des centaines, tous différents et pourtant ils avaient tous le même goût en commun : celui de l'amour. Celui qui reste coincé au fond de la gorge bien que indescriptible, on l'aimait. On aimait ce goût au point de toujours vouloir l'atteindre.

Si Ali pouvait comparer Ashton à un goût il serait une glace à la menthe, enfin plutôt un thé. Oui, c'était ça. Ashton serait un thé à la menthe glacial. Ce goût que tout le monde apprécie, un goût qui universellement parlant est agréable. À la fois doux, épousant parfaitement le palais, a la fois irritant, légèrement piquant, laissant derrière lui ce goût amer pour un long moment. Un thé, car lorsqu'elle le voyait, elle était instantanément prise de bouffée depuis chaleurs, se remémorant honteusement le nombre de baiser volés, de regards échangés et de sourire prit au piège.

Deux semaines qu'elle y avait prit goût. Deux semaines qu'elle consommait à ne plus pouvoir s'arrêter. Deux semaines non-stop sans se lasser. Deux semaines, pour toute une vie.

Encore et encore leurs lèvres se cherchaient. Parfois brutalement, parfois sauvagement suivis de petit gémissement de plaisir, parfois furtif, ou encore maladroit, mêlés à des éclats de rires aigus à l'image d'Ashton ou à cet espèce de « krkrkr » que faisait Ali en essayant de rire discrètement. Des moments partagés, des moments gravés à jamais mais surtout un bonheur immense et méritait.

— S'il te plaît, reste, chuchota Ashton entre deux baisers.

Ali souriait contre ses lèvres, ce qui le faisait sourire à son tour, quitte à m'entasser ses lèvres. Il embrasserait tout son corps de toute façon.

— Je ne peux pas, dit-elle calmement en replaçant les cheveux brun du batteur.

— Reste...

Ashton tentait le tout pour le tout, embrassant ses lèvres, ses joues, son nez, son front ce qui provoquait des éclats de rires sincères de la part d'Ali jusqu'à ce qu'elle attrape sa tête entre ses mains pour le faire stopper et se concentrer rien que sur la discussion. Elle le tenait éloignés de ses lèvres pour pouvoir parler sans être tentait.

— J'ai toute la vie pour rester, sourit-elle.

— Alors ne perdons pas plus de temps.

— Ash...

— Combien de temps encore on va devoir jouer au chat et à la souris alors qu'on pourrait simplement s'afficher ensemble, heureux. Parce qu'on est heureux, pas vrai ?

— On est heureux, dit-elle. Je te le promets.

— Alors qu'est-ce qu'on attends ?

— On était censé réfléchir, dit-elle en le repoussant pour avoir de l'espace.

— Ah, ça c'est pas ma faute ! Sourit-il.

— C'est bon, ça va ! Roula-t-elle des yeux. T'étais bien content que je vienne te sauter dessus.

— Ça m'a pas déplu, effectivement.

Ali se frotta le front avant de le regarder appuyé contre le dossier du canapé, les bras croisés sur son torse, un sourire jusqu'aux oreilles.

— Je te propose un truc, ajouta Ashton.

— Dis-moi ?

— On attends, encore à condition que tu reviennes habiter avec moi.

Ali se doutait qu'il lui redemanderait à un moment et sa réponse était déjà toute faite. Ashton se mordait la lèvres inférieur ce qui déstabilisait grandement Ali qui essaya de rester sérieuse à distance du batteur.

— Reviens chez nous.

Son cœur rata un battement.

— Tu sais très bien comment ça va se finir.

— Et alors ? C'est pas à ça qu'on est censé aboutir à la fin de cette phase de test ?

— Si, mais-

— J'en ai marre de te savoir chez Calum ! Avoua-t-il ce qui fit rire Ali. Vous êtes tellement proche tout les deux ! Vous m'énerver, vous êtes vraiment cul et chemise.

— Monsieur est jaloux, se moqua-t-elle.

— Non, mais tu dors chez lui, tu manges chez lui, tu regardes des films avec lui, tu passes la plus part de tes soirées avec lui et même quand on est tous ensemble, tu passes tout ton temps avec lui ! Vous êtes vraiment les pires, rigola Ashton. Sérieux, c'est pas censé être ton rôle ça, c'est pas toi qui est censé autre aussi insupportable. C'est connerie sur connerie lorsque vous êtes ensemble !

— J'ai trouvé mon âme sœur j'y peux rien, sourit-elle face à un Ashton dépité bien que souriant.

— Et l'amour de ta vie ? Tu y penses à lui ?

— De temps en temps ça m'arrive !

Ashton rigola puis tendit les bras pour attraper la brune vers lui. Ali rigolait de le voir jaloux de ne pas pouvoir profiter d'elle. Il passa ses bras autour de sa taille avant de la dévisager :

— Je suis contente de te voir si heureuse, avoua-t-il.

— Calum rend tout le monde heureux !

Ashton roula des yeux et s'apprêtait à la lâcher lorsqu'elle le rattrapa pour le serrer contre elle comme une enfant.

— Tu y est peut-être aussi pour quelque chose.

— Tu vas me rendre fou, c'est pas possible.

Ali explosa de rire, suivit de Ashton et son rire légendaire. Alors qu'ils ricanaient ensemble à voix haute dans la maison, ils finirent par attirer Luke qui entra dans la pièce avec un simple salut qui surprit les tourtereaux qui se séparèrent presque immédiatement plaisant presque leur culpabilité.

— Luke, sourit Ali.

— Comment ça se fait que tu sois encore là ? Demanda-t-il.

— Je- J'allais partir.

— T'es pas obligé, rigola le blond. T'es plus chez toi que je suis chez moi, hein.

— C'est faux ! Luke, ne dis pas ça. C'est pas un bout de papier signé qui dira le contraire.

Il sourit de toute ses dents avant de diriger vers le frigo pour prendre un verre d'eau.

— Et sinon, c'est quand que tu reviens habiter ici à plein temps ? C'est pas que j'en ai marre de faire la baby-sitter avec toi Ash, mais tu sais j'ai quelqu'un d'autre que toi dans ma vie sentimentale.

Ashton haussa les sourcils se trouvant con, Ali explosa de rire en même temps que Luke fier de ce qu'il venait de dire. Ash faussement vexé leva les mains au ciel avant de s'apprêter à partir. Ali le retint par l'avant bras pour le ramener contre elle.

— En tout cas Ali, je suis vraiment heureux de t'avoir retrouvé. Il nous manquait notre petite lumière.

Ali posa sa main libre —celle qui ne retenait pas Ashton— sur son coeur.

— Merci Luke... Vraiment.

Le chanteur lui fit un clin d'œil avant de se retirer et laisser Ali et Ashton. Ashton s'approcha d'elle, mais le téléphone d'Ali se mit à vibrer. Un message de Calum visiblement impatient de son retour. Ashton savait pertinemment que ce n'était pas ce soir qu'il la convaincrait à revenir alors il capitula et décida de la laisser rentrer.

— Le devoir m'appelle, sourit-elle.

— J'espère que tu accourras à mon secours comme à celui de Calum.

Ali enfila sa veste puis attrapa son sac avant de ranger son téléphone dedans. Les clefs de voiture —celle de Calum— dans la main et son sac à main dans l'autre, Ali s'approcha doucement de Ashton déposa un doux baisers sur sa joue avant de lui souhaiter une bonne nuit aussi douce et merveilleuse bien que sans elle.

Cette relation qu'ils avaient réussit à construire, cette chose qu'ils avaient été si particulière et si compliqué que personne à part eux ne pourrait comprendre.

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