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━━⋆ 𝐈𝐈. 𝟗. 𝐬𝐢𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐨𝐟 𝐞𝐭𝐞𝐫𝐧𝐢𝐭𝐲

II
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WE'LL COUNT
THE     STARS
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09

ATTENDS... NE ME DIS PAS QUE TU AS VRAIMENT DÉCIDÉ D'ABANDONNER TA FORCE AU MILIEU DE LA JUNGLE ?

— Bien-sûr que non, sinon pourquoi on serait là ?

Il comprit dans l'ironie de sa voix qu'effectivement, elle l'avait bien fait. Ander poussa un long soupire avant de lui emboîter le pas à travers cette jungle étouffante.

Pourquoi Nalah avait décidé de garder sa force enfermé et non de simplement y renoncer comme avait fait bon nombre de personne avant elle. Peut-être qu'au fond, elle n'avait jamais vraiment voulut y renoncer totalement, peut-être qu'elle avait gardé l'idée de la récupérer un jour, en cas de problème.

Mais maintenant, elle avait découvert que finalement, la force ne pourrait jamais vraiment la quitter puisqu'elle voulait dans ses veines. En décidant d'enfermer la majeur partie de ses pouvoirs, il ne l'avait jamais quitté, elle les avaient simplement affaiblit sans le savoir et aurait très bien pu s'en servir — enfin du peu qui voulait dans ses veines — avant de pouvoir résister à Rey et sa force de Jedi.

Finalement, Nalah ne savait rien d'elle juste avant de rencontrer cet ancien Sith curieux sortit de nul part, et pourtant elle lui avait donné sa confiance sans vraiment savoir pourquoi.

Maintenant qu'ils étaient partit pour deux bonnes heures de marches à travers la forêt, ils allaient avoir le temps de converser. Nalah ouvrit les hostilités :

— Pourquoi est-ce que je te fais confiance ?

— Parce que tu me fais confiance ? Sembla-t-il étonné de l'entendre.

— Oui, je te fais confiance, aussi étonnant qu'il puisse paraître, réfléchit-elle. Tu as assommé mon équiper, tu t'es battu contre moi pour ensuite me cracher au visage le fait que j'étais l'enfant des ténèbres et vouée à réaliser une terrible prophétie !

— Tu prends ça à la légère maintenant ?

— Tu préfères que j'en pleure ? Demanda-t-elle. Parce que crois-moi je suis insupportable quand je pleure, je vais devenir vite barbante.

— Es-tu certaine de ne pas avoir de problème psychiatrique... du genre, bipolaire ? Schizophrénie ?

Elle se tourna vers lui.

— J'entends des voix dans ma tête qui me force à m'enfoncer dans l'obscurité.

— Et tu passes du rire à la colère, sans problème, haussa-t-il les sourcils avant de continuer son chemin pour passer devant elle qui le suivit. Ouais, t'as des problèmes psychiatriques.

— Comment ne veux-tu pas en avoir avec tout ce merdier ? Pouffa-t-elle de rire. Ça aurait été plus étonnant si je n'en n'avais pas eu.

Nalah reprit les devants et continua d'avancer cachant sa douleur sous un sourire faux et quelques réponses cynique. Elle essuya une larme solitaire.

— Il te maintient les pieds sur terre, n'est-ce pas ?

Nalah se stoppa. Elle baissa la tête en lui tournant le dos, elle essayait tant bien que mal d'ignorer ses sentiments, ses émotions au fond d'elle qui ne demandait qu'à être expulsée une bonne fois pour toute.

Elle renifla avant de se rendre compte à quel point être loin de lui, seule, la faisait totalement dérailler.

— Et je lui ai demandé de me ramener les étoiles, rit-elle nerveusement en relevant la tête vers le ciel qui frayait son chemin à travers le feuillage épais. Ironique non ? Le pilote qui maintient la fille au sol.

— Comment tu faisais avant ?

— Je merdais, reprit-elle son chemin. Je n'avais personne, aucun amis, aucunes connaissances, juste des ennemis et des gens que je volais. Alors c'était plus facile.

Il ne lui répondit rien, là laissant quelques secondes à ses pensées, mais elle en sortit rapidement.

— Assez parlé de moi, dis-moi d'où tu viens Ander Legastra ?

— Je viens d'une planète paumé a l'extérieur de la bordure. Je ne suis personne, je n'ai pas-

— Comment es-tu devenu Sith ? Tu ne m'as pas l'air d'être né là-dedans.

— Non, effectivement. Les parents étaient éleveurs de toute sorte d'animaux, on les engraissait pour les manger ou les vendre, on vivait de ça. Pendant un temps ça a marché, puis... les guerres ont éclatés, rien d'important à l'échelle de l'univers, mais le Premier Ordre, enfin quelques sbires du Premier Ordre ont décidés d'imposer leurs lois et...

— Une fille je suppose ?

Il releva la tête vers Nalah qui marchait devant elle mais lui avait accordait un léger sourire en tournant la tête, il rit nerveusement avant de continuer.

— Elle s'appelait Ellie, on s'entendait bien, on se connaissait depuis peu mais... les choses marchaient bien, mais elle était un peu comme toi.

— Belle, sauvage, intelligente ?

— Plutôt maline, suicidaire, courageuse et caractériel.

— Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

— Elle a été exécuté par le Premier Ordre alors qu'elle cherchait à en savoir un peu trop. Elle leur a tenu tête, et voilà.

— Je suis désolée.

— Suite à cela, j'ai décidé de faire ce qu'il fallait pour apprendre à aider les autres, les sauver et devenir plus fort.

— Tu as du confondre les Jedi et les Sith.

— Non, je voulais devenir Sith pour pouvoir un jour trouver le moyens des détruire de l'intérieur.

Nalah s'arrêta et lui fit face. Elle croisa les bras sur sa poitrine et fronça les sourcils.

— Et ton moyen d'arriver à tes fins, c'est moi.

— Je- Oui, au début... je voulais t'entraîner là-dedans pour juste te faire peter les plombs et que tu sois une vraie bombe puis... puis je me suis rendu compte que tu étais plus que cette prophétie. J'ai appris à te connaître, un minimum et... je l'ai vu en toi.

— Alors tu as renoncé à me laisser foncer dans le tas sans réfléchir, dit-elle en en essayant de ne pas montrer sa déception caché sous son air cynique.

— Je suis désolée de m'être-

— Non, stop. Ça va, j'ai assez entendu de fausse excuses ces derniers jours, ça suffit.

Elle était blessée, encore une fois, mais le malgré tout, le fait de le voir rester à ses côtés la réconfortait.

— Je te remercie de m'avoir dis la vérité, dit-elle en reprenant sa marche.

— Tu sais, si je suis encore là, c'est parce que je t'aime bien Nalah, avoua-t-il. Je t'aime bien et j'ai confiance en toi. Je sais que tu réussiras à avoir ce que tu veux, je sais que tu feras ce qu'il faut pour sauver tout le monde...

— Peut-être sans pouvoir me sauver, finit-elle avant d'esquisser un sourire. Je sais, c'est tout l'avantage d'être une bombe à retardement.

— Tu sais quoi ? Quand tout ça sera finit, je te mettrais une bonne raclait et je te montrerais ce que c'est de se battre comme un vrai guerrier.

— Je sais me battre !

— Comme une Sith ! Pas une guerrière.

— Je parie qu'elle t'en a mis plus d'une des raclées, n'est-ce pas ?

— Voilà la chose qui te différencies d'elle, sourit-il. Elle, elle savait se battre ! Elle ne faisait pas de la danse avec un bâton dans les mains.

— Tu sais ce où il va finir mon bâton ?

— Non mais tu vas me le dire, rigola-t-il.

— Au plus profond de ton coté obscure, mon grand ! Tu vas voir si je ne sais pas me battre !

Ils continuèrent de se chamailler pendant un long moment jusqu'à encore arriver au bon endroit.

Une maison, enfin une vieille maison abandonnée, recouvertes par la nature se présentait à eux. Nalah esquissa un léger sourire en chuchotant entre ses lèvres quelques mots incompréhensibles pour Ander.

— On est où au juste ? Tu as vécu ici ?

— Pas moi, sourit-elle.

— Oh, je vois. Ton pilote lui si.

— Il s'appelle Poe.

— Poe le pilote ? Rigola-t-il. A croire qu'il était destiné à être pilote. Personne ne s'appelle Poe à moins de devenir pilote.

— C'était son destin. Ses parents étaient résistants, elle pilote, lui pathfinder.

— Il y en a qui naisse du bon côté de la force, c'est tout.

Nalah poussa un soupire avant de s'approcher un peu plus de la maison abandonné. La dernière fois qu'elle était venue les chose n'avait pas été toute simple.

Au milieu de la jungle, il y avait cette maison recluse à l'écart de toute menace, au milieu de la cours de cette maison en L se trouvait un arbre au tronc gigantesque qui était un arbre de force offert par Maitre Yoda il y avait des années de cela pour les remercier du combat qu'ils avaient menés. Nalah savait que cette arbre était important aux yeux de Poe, Wedge Antilles lui en avait parlé plus d'une fois — puisque dès lors il fallait parler de son passé, Poe se taisait.

Elle eut donc l'idée de transmettre sa force à l'intérieur de cette arbre assez puissant pour tout maintenir, puisque la force qu'elle avait acquit suite à la disparition de Palpatine, était bien plus grande et bien plus puissante qu'une simple babioles aurait pu contenir. Nalah le savait alors, cette arbre que Poe connaissait trop bien , cette endroit, sa planète natte était l'endroit parfait pour cacher sa force loin de tout le monde, loin de lui l'idée qu'elle aurait laissé une chose si importante pour elle sur un lieu qui parlait plus au pilote qu'à elle.

— Un arbre de force, pouffa Ander. Bien vu.

Nalah s'approcha du tronc de l'arbre les bras en avant mais malgré tout hésitante. Ander posa une main sur son épaule ce qui la fit sursauter.

— Tu es sûr de toi ?

— Ai-je le choix ?

— On a toujours le choix.

— Et tu feras comment pour te venger si je refuse ? Demanda-t-elle en se tournant vers lui.

— On trouvera un autre moyen, sourit-il alors que Nalah se pinçait les lèvres. Tu es sûr de toi ?

— Il le faut, je dois sauver mes amis...

Il serra son épaule un peu plus fort avant de reculer pour la laisser faire. Ander n'était plus sur finalement de voir Nalah risquer sa vie pour qu'elle puisse enfin se venger de ce qu'il avait toujours attendu.

Aujourd'hui, il n'était plus vraiment sur de ce qu'il voulait. Il s'était attaché à son fort caractère, son côté directive et suicidaire qui lui rappelait la fille qu'il avait aimé. Devrait-il la retenir et la serrer dans ses bras ? Devrait-il la laisser faire ? Après tout, il n'avait pas son mot à dire. Et s'il la sauvait ? Se sentirait-il moins coupable de ne pas avoir su protéger Ellie ?

Il n'en savait rien. Il la laissa faire, prenant soin de détournant le regard.

Nalah posa ses mains sur le tronc gigantesque qui se présentait à elle. Elle prit une bouffée d'air avant de l'expulser, recommençant, encore et encore. Il ne lui fallut que quelques secondes pour qu'elle ressente l'immense puissance qu'elle avait décidé d'abandonner se pensant trop faible pour vivre avec ça. Était-elle plus forte à présent ?

Ses mains lui piquait jusqu'à la brûler mais elle n'avait pas le choix que les laisser, elle ne pouvait pas renoncer maintenant. Elle poussait quelques gémissement et se  mordait l'intérieur de la lèvre s'empêchant d'hurler à la mort. Plus cette force envahissait son corps, plus elle sentait ses veines la brûler, ses muscles prêt à céder et son âme prête à la quitter lui hurlant de ne pas l'avoir écouter.

Elle gémissait de douleur.

La sensation était affreuse, Nalah n'allait pas le supporter encore longtemps.

Elle su que le processus avait prit fin lorsque tout s'arrêta sur seul coup. Elle retira ses petites mains abîmé du trône d'arbre et recula, titubant en arrière, perdu, sans aucun repère; elle tomba face contre terre, se tenant le crâne.

Elle se tenait la tête comme une hystérique, comme si elle souffrait. Elle souffrait du silence, elle n'entendait plus jusqu'à ce que ses affreuses voix se mettent à hurler dans sa tête. Elle parlait en même temps, toutes, elles chuchotaient ou hurlaient, elle n'en savait rien.

Elles étaient encore là, toutes ses affreuse voix qui la quémander, la forçant à rejoindre le côté obscure toujours plus profondément, toujours plus sombre et menaçant. Ses voix étaient ce qu'elle redoutait le plus, mais elle avait la capacité des faire cesser, elle avait réussit à exterminer leur suprême leader, alors elle était capable de toutes les supprimer une par une par la simple force de sa pensée.

— Vous allez tous disparaitre ! Hurla-t-elle en se tenant le crâne.

Nalah donna un coup de poing contre le sol, ses yeux étaient clos et son visage crispée, on pouvait deviner le combat intense qu'elle menait contre elle-même, elle avait envie de se sauver, elle ne céderait pas. Nalah ne céderait plus jamais, elle devait arriver à ses fins, par tout les moyens. Elle s'en sentait capable, elle devait le faire.

Elle serra les poings, réduisant toute ses voix au silence pour l'éternité.

Lorsque le calme revint dans sa tête, tout ce qu'elle entendait à présent était les battements de son coeur qui reprenait petit à petit un rythme normal. Elle inspira puis expira à plusieurs reprises, les bons plans d'Antilles.

Elle fut ramenée à la réalité par cette petite brise qui lui chatouilla la joue avant de soulever ses cheveux brun et de la faire respirer de l'air pur.

Elle ouvrit les yeux et se tourna vers Ander qui était resté l'écart les poings serré et les yeux clos ne souhaitant pas la voir souffrir. Regrettant son choix aussi.

— Nalah ?

Elle le regarda droit dans les yeux, laissant un large sourire naitre jusqu'à rire, un rire de soulagement. Ander ne comprenait pas ce qui lui arrivait, elle s'approcha de lui et le serra dans ses bras heureuse.

— J'ai réussi. J'arrive à me contrôler ! Jubila-t-elle avant de le lâcher et de le secouer dans tout les sens. Ander ! Je suis toujours maître de moi-même !

Il esquissa à son tour un sourire et la serra à nouveau dans les bras sans vraiment savoir pourquoi, mais il en avait envie, alors autant le faire tant qu'il était encore temps.

Un bruit sourd se fit entendre, un bruit de moteur qu'elle connaissait bien, suivit de plusieurs autres qui ne lui était pas inconnue. Elle leva les yeux au ciel.

Des lasers fusaient dans les airs.

Son sang ne fit qu'un tour, le X-Wing de Poe. Elle serra les poings en le voyant se faire poursuivre par trois chasseurs noir.

— Des chasseurs du Premier Ordre, grogna Nalah avant de partir en courant dans la forêt.

— Hé ! Hurla Ander. Où est-ce que tu vas ?!

Nalah avait déjà parcourut une longue distance rapidement grâce à sa force. Elle se laissait guider par la colère, plus elle entendait les tires dans le ciel et les aller-retours de Poe qui essayait d'échapper à ses chasseurs noirs,elle fulminait et montait en puissance.

Nalah s'aida de la force pour se propulser au sommet de la colline la plus proche qui surplombait la forêt.

Lorsqu'elle avait enfin une vue sur toute la forêt et le combat dans les airs, le chasseur de la Résistance se fit toucher.

Nalah se mit à hurler son nom comme s'il pouvait l'entendre, le voir tomber à toute vitesse contre la terre lui fit l'effet d'une bombe, le bruit sourd du chasseur cloué au sol, fit exploser cette bombe. On venait de lui enfoncer un poignard dans la poitrine.

Nalah serra les poings avant de se laisser submerger par la colère. Elle leva les mains et stoppa les deux chasseurs en une seule fois, elle arrivait à les retenir tout les deux en en même temps avant de vriller les poignets, les faisant exploser sous la pression de sa force.

Elle se sentait plus puissante que jamais et elle en était consciente, mais elle était aussi consciente du danger que Poe encourrait — s'il n'était pas déjà mort dans le crash.

Grâce à la fumé qui émanait du crash, Nalah pu partir le retrouver en courant. Elle courait aussi vite que possible, esquivant les arbres, s'aidant parfois de la force pour accélérer le pas. Maintenant qu'elle était maître de elle-même elle n'allait pas se priver de ce pouvoir.

Par chance le chasseur ne s'était pas écraser trop loin.

Nalah arriva sur le lieu du crash; le chasseur était réduit en morceau, une épave irréparable éparpillée partout en train de brûler. L'espace d'un instant elle le pensa mort, elle cru ne pouvoir jamais le revoir, revoir ses yeux brun, son sourire enjoliveur et à la fois exacerbant.

Elle s'était perdu dans ses pensées, ce qui avait laissé le temps à Ander de la rattraper. En arrivant sur le lieu du crash, il courut jusqu'à la carcasse du vaisseau où se trouvait le corps du pilote de navire dans le cockpit, inconscient.

Nalah était tétanisée. Elle avait plus peur de le perdre que d'elle-même.

— Il est inconscient, hurla Ander, bien qu'elle ne réagit pas, il hurla une nouvelle fois. Nalah !

Elle sursauta, essuya ses quelques larmes jusqu'à s'approcher d'eux.

Poe était allongée sur le sol inconscient, le visage ensanglantée. La premier chose qu'il lui vint à l'esprit, il était mort.

— Nalah ! Tu vas te reprendre oui ?!

Le voir comme ça, aussi mal en point, si peu... non, elle ne pouvait pas. Elle saisit son visage entre ses mains enfin, elle le caressa, étalant le sang de son arcade et de sa pommette sur ses mains et son visage à elle aussi.

Elle tremblait. Elle avait peur.

— Il ne respire plus.

Il ne respire plus.

Cette phrase résonnait dans sa tête, à ce moment là, elle posa ses mains partout sur son corps fondant en larme avant de s'écrouler toute tremblante et vulnérable sur son corps sans vie. Elle sanglotait, elle tremblait, elle haletait. Elle avait peur.

Nalah était terrorisée.

Elle ne savait pas ce qu'elle faisait, elle n'avait pas dans l'Indre de faire quoi que cela soit autre que de le pleurer, mais malgré elle, sa présence et surtout la force que ses sentiments dégagés avait simplement fait le travail.

— Tu es là...

Elle se redressa, le vue troublé par les larmes qui avaient envahit ses yeux brun. Il respirait, il souriait même.

Ander s'assied sur le sol soulagé de le voir respirer et de ne pas devoir endurer la mauvaise humeur de sa nouvelle amie.

Nalah laissa un sourire grandir sur ses lèvres, un sourire incontrôlable et naturelle. Poe aimait la voir sourire de cet terre façon. Faiblement, il releva une main sale et ensanglantée qu'il porta à sa joue pour la rassurer.

— Je suis là, sanglota Nalah en attrapant sa main qu'elle serra contre sa joue puis contre sa poitrine avant de se pencher au dessus de lui. Je suis là... Je serais toujours là.

Elle posa sa tête contre sa poitrine se laissant envahir par un nouveau torrent de larme et de tristesse incontrôlable.

Elle pleurait parce qu'elle avait peur, elle avait peur de le perdre par sa faute et elle ne le supporterait pas, ça elle le savait.

Poe faiblement posa une main à l'arrière de son crâne pour la réconforter. Il était celui dans le mal et il arrivait à se soucier d'elle plus que de sa propre vie.

— Pardonne-moi, pardonne moi pour tout ce que je t'ai fais. Poe, je suis désolée. Je ne voulais rien de tout ça, je- Je me fiche d'être Nalah Los, d'être une Palpatine, d'avoir la force de n'importe quel côté, ou de n'être qu'une simple humaine... je me fiche de tout ça tant que je suis quelqu'un pour toi. Tant que je sais que je peux exister à tes côtés.

— Nalah...

Elle se redressa pour s'approcher de son visage abimé, même comme ça elle arrivait à le trouver beau, elle arrivait à le trouver parfait.

Il caressa sa joue une nouvelle fois d'une main faible et fatiguée avant de laisser couler une larme.

— Tu es tout ce que je désire dans cette galaxie.

Sa main tomba lourdement contre le sol, laissant Nalah seule contre ses démons.

14.03.20
3292 mots.

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