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𝟏𝟖┃𝐥𝐚 𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐟𝐢𝐞̀𝐫𝐞

▌ 𝗗𝗜𝗦𝗧𝗥𝗜𝗖𝗧 𝗦𝗨𝗗, 𝗞𝗔𝗡𝗨𝗞𝗜. 06/12. 10:00.▌





Cela faisait une éternité, semblait-il, que Blue reposait dans un silence mortel. C'était comme si les profondeurs de ses peurs incontrôlées revenaient le hanter, alors qu'il était enlacé par l'infâme zéphyr qui soufflait les alentours. Tandis que l'appréhension gagnait peu à peu du terrain, l'homme se laissa submerger par les tragiques cauchemars qui avaient l'habitude de lui troubler les pensées.

Le criminel cligna des yeux. Bientôt, sa vision fut secouée par les nuées méphitiques qui s'échappaient des hautes cheminées, et il ne lui fallut qu'un instant pour embrasser l'envie qui le prit ; il sortit une cigarette, puis l'alluma.

Là-haut, depuis la montagne la plus escarpée de la ville, les bâtiments étaient à peine perceptibles et se ressemblaient tous. La bruine, elle, n'aidait pas. Jetant des ombres dorées sur le sol, adoucissant l'atmosphère de sa lumière délicate, le soleil montrait qu'il allait bientôt sombrer.

Blue n'avait pas envie de bouger et se sentait plus lourd que jamais. Une étrange léthargie s'était installée dans ses membres, l'emmenant proche d'un état qu'il n'avait plus frôlé depuis des mois. Mais c'était l'heure, maintenant ; c'était l'heure de prendre ses responsabilités, et de tenter le tout pour le tout.

Pendant quelques minutes, son corps resta figé et ne produit pas un geste, tandis que ses yeux céruléens restèrent fixés sur le centre de Kanuki, comme si elle flottait dans l'atmosphère malsaine qu'il commençait à connaitre par cœur. Puis, avec une volonté qu'il pensait évaporée depuis un siècle, il se leva sans jeter un œil de plus à la triste ville qui lui faisait face.

Un regard lancé vers la montre hors de prix qui décorait son poignet lui indiqua qu'il était temps. Ses prunelles se remplirent alors d'une flamme incandescente.

─ Cette fois-ci sera la bonne. Je te le promets, Hina.

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▌ 𝗗𝗜𝗦𝗧𝗥𝗜𝗖𝗧 𝗖𝗘𝗡𝗧𝗥𝗘, 𝗞𝗔𝗡𝗨𝗞𝗜. 06/12. 14:00.▌




D'un geste vif, Hina repoussa l'énorme couverture bleutée qui lui écrasait le bas du corps. Même à travers cet état languissant, une partie d'elle-même lui criait de ne pas fermer les yeux. Autour d'elle sévissaient toujours les preuves accablantes de sa crise de rage soudaine, et elle se promit d'y remédier plus tard.

Ce fut d'un pas trainant qu'elle se dirigea vers la porte d'entrée, entrainant au passage son sac à dos bien usé. Elle avait pris soin de le remplir du strict nécessaire, comme toujours ; un peu de nourriture, ses fichus médicaments et son gloss préféré. La jeune femme aurait préféré se laisser choir dans le modeste canapé qu'elle possédait, mais il était temps d'aller chercher son fils à l'école.

Reproduire les erreurs qu'elle avait faites serait fatal, elle le savait pertinemment. Tandis qu'un doute méprisable lui tiraillait les côtes, Hina descendit les escaliers de son immeuble sans faire attention à ce qui se trouvait devant elle. La moquette du couloir étouffa le bruit que produisirent ses grosses bottines à chaque pas, épargnant ainsi aux voisins de se plaindre du tapage inopiné.

Après avoir passé l'entrée abimée, elle progressa entre les ruelles incendiées qui entouraient le bâtiment. Un tourbillon d'images et de souvenirs enflammés assaillit alors son esprit. Le rythme de sa respiration hasardeuse, incontrôlable. La gerbe de flammes éclatantes qui avait fait flamboyer l'alcôve. Le sourire fou de Dabi, son agresseur. À ce moment-là, elle pensait ne pas s'en sortir. C'était comme si elle avait été destinée à une mort certaine. Et pourtant, la vie lui avait été laissée.

Tirée soudain de sa réflexion, Hina scanna les véhicules accidentés, poubelles abandonnées et papiers carbonisés qui tapissaient le sol. Un épais couvert de nuages l'empêchait de percevoir correctement les alentours, d'autant plus que la brume avait décidé de se montrer ; retrouver sa fidèle moto fut donc un casse-tête.

Le chemin se déroula sans trop de problèmes, puisqu'elle prit soin de ne pas se préoccuper des alentours. En temps normal, la réparatrice aurait laissé son regard vagabonder sur le paysage dans le but de ressentir ces petits frissons incontrôlables qui lui prenaient souvent ; malgré sa routine épuisante, elle demeurait attentive aux changements qui bouleversaient la ville.

Lorsqu'elle s'arrêta devant l'établissement scolaire de Yoshiki, la boule d'anxiété grandissant dans son estomac disparut. Dans les semaines qui suivraient, tout allait changer. Elle savait pertinemment que la Ligue des vilains ne se trouvait pas ici par hasard, d'autant plus que le carnet qu'elle avait volé ne présageait rien de bon. Une partie d'elle espérait tout de même que ce ne fut qu'un mensonge. Mais au fond, elle savait. Elle savait que le jeu était sur le point de commencer.

Cette diabolique impression fut nettement confirmée lorsqu'elle franchit les portes face à elle. Le regard empli d'incompréhension que lui lança la secrétaire fit courir d'affreux frissons sur l'entièreté de son corps, et l'infernal sentiment redoublant d'intensité la figea sur place lorsqu'elle prit la parole.

─ Tu n'es pas à l'hôpital ?

La réalisation vint l'assaillir d'un coup fatal. Elle avait été piégée, et pourtant, elle s'était pensée au-dessus d'une chose pareille. Elle s'était crue plus forte qu'elle ne l'était, en réalité. C'était comme tous les autres qu'Hina s'était laissé avoir, se précipitant dans l'embuscade qu'on lui avait tendue, telle une bête misérable. Tout d'un coup, un accès de rage la submergea ; les crépitements produits par ses poings résonnèrent dans toute la pièce, surprenant au passage la secrétaire, qui n'avait pas l'air de comprendre ce qu'il se passait. En proie à une cuisante humiliation, elle s'enfuit jusqu'au parking. Sa tête allait exploser face à la multitude d'informations qui s'imposait à elle.

Chacun de ses muscles était tendu à vif, au point où elle avait l'impression d'être maudite. Une pression monstrueuse l'empêchait de respirer correctement. Depuis quand avaient-ils prévu de lui enlever son fils ? Les avait-elle croisés en arrivant jusqu'ici ? Retrouverait-elle Yoshiki un jour ? En y repensant, Hina était perdue.

Son poing comprimait le cuir de sa combinaison sans se soucier de l'abimer. Alors qu'elle contemplait tristement le sol sans savoir quoi faire, le coin de sa bouche se tordit soudain en un rictus indéchiffrable. Son seul moyen de garder contenance, remarqua-t-elle, serait de mettre au courant le héros numéro trois. Mais ce dernier avait quitté son appartement sans même lui jeter un regard de plus, il y a quelques heures.

À peine consciente de ce qu'elle faisait, désirant plus que tout faire le vide dans son esprit, Hina se dirigea vers le parking où elle avait abandonné sa moto. Tandis qu'elle tendait sa main instable vers son sac à dos pour attraper son téléphone portable, une montée d'adrénaline la prit. La brume fut soufflée par un soupir désespéré. Dans le silence perturbant néanmoins entravé par la sonnerie répétitive de l'appareil, le corps de la jeune femme se figea, attendant une réponse. La voix rauque que le héros avait prise pour enregistrer son répondeur résonna par la suite tout autour d'elle, rendant ses jambes plus engourdies qu'elles ne l'étaient à l'accoutumée.

Hina ne parvenait pas à oublier le léger parfum qui avait envahi tous ses sens lorsqu'Hawks l'avait serrée dans ses bras. Cette odeur s'imposa à elle, plus puissante que toute autre sensation. Une vague de regret l'envahit alors, lui faisant perdre immédiatement le contrôle de son corps ; chancelante, elle tenta de retrouver son calme. Mais la passion qui l'avait prise, à ce moment-là, était bien trop impétueuse pour être oubliée. Des images explosives lui revinrent en tête : ses pleurs incontrôlables, la musculature du héros numéro trois pressée contre la sienne, ses mots doux et apaisants, sans oublier le baiser désespéré qu'ils avaient partagé. Tous les deux seuls au monde, loin de tous les problèmes.

Elle tenta de le joindre plusieurs fois, et à chaque fois, ses appels restèrent sans réponse. Sa respiration s'accéléra, enserra ses poumons d'une bien étrange façon. Sentant une nouvelle fois ses veines frémir d'une frénésie soudaine, se retenant de hurler de rage, Hina se décida à enfourcher sa moto.

─ J'ai pas besoin de l'aide de ce héros de merde, je retrouverai mon fils toute seule !

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▌ 𝗣𝗟𝗔𝗡𝗤𝗨𝗘 𝗗𝗘𝗦 𝗖𝗛𝗥𝗢𝗠𝗔𝗧𝗜𝗖𝗔, 𝗞𝗔𝗡𝗨𝗞𝗜. 06/12. 19:19.▌





La nouvelle vie de Yoshiki commença dans le noir complet. Ce fut durant quelques instants qu'il se débattit, paniqué, avant de réaliser que lutter ne servirait à rien ; ses mains et ses pieds étaient attachés ensemble, et rien que le fait d'essayer de bouger lui étirait les membres au point où il avait l'impression que tous ses muscles avaient été remplacés par des épines de fer. Une fatigue qu'il n'avait jamais ressentie auparavant assiégeait son petit corps, l'empêchait de réfléchir de façon normale. Enfin, lorsqu'il eut assez de lucidité pour comprendre ce qui était en train de lui arriver, il redevint l'enfant qu'il avait toujours été.

Les pleurs résonnèrent tristement contre les murs de l'entrepôt dans lequel il avait été jeté. Chaque sanglot fit plus mal que le précédent, rendant ses tentatives de reprendre son souffle vaines. Ses poumons lui faisaient un mal de chien, et tout ce qu'il voulait, c'était revoir sa maman.

─ Maman ! Maman !

Où était-elle, à présent ? Était-elle en sécurité ? Ou alors, pleurait-elle toutes les larmes de son corps en l'imaginant perdu à tout jamais ? Il n'était pas capable de répondre à cette question, et c'était certain qu'il risquait de ne jamais pouvoir le faire. Mais une petite partie de lui espérait dur comme fer qu'elle lui vienne en aide, ou qu'elle le serre dans ses bras en lui murmurant que cela n'était qu'une blague pour l'effrayer un peu.

─ Maman...

Le grincement métallique qui résonna dans toute la pièce le fit sursauter, et avec une horrible impression qui ne le quitta pas, le petit garçon tenta de reculer... seulement pour heurter un peu plus la sensibilité déjà accrue de sa peau, en s'écorchant les mains sur le sol. Dans sa tête, tout se bouscula. Il imagina son agresseur - cet homme aux cheveux roses, si semblables à ceux de sa mère – dans toute sa splendeur. Son sourire maléfique. Sa main dure sur son épaule. Et puis le vide, un vide saisissant qui l'avait englouti sans même lui laisser la chance de comprendre ce qui lui arrivait.

D'un coup, Yoshiki dut faire un effort pour réprimer la panique qui l'envahissait alors que la lumière parvenait enfin jusqu'à lui. La peur d'être blessé et de ne jamais revoir sa mère le fit frémir, et ce fut tout ce qu'il lui fallut pour craquer : les hurlements stridents qui franchirent la paroi de ses lèvres furent destructeurs.

Ils cessèrent néanmoins dès qu'il aperçut la jeune femme qui se trouvait devant lui. La scène était spectaculaire : sa chevelure sombre déferlait dans des mouvements incontrôlables et rejoignait le bas de son dos, tandis qu'un maquillage sophistiqué faisait scintiller chaque détail de son doux visage. Une partie de lui aurait pu jurer qu'elle portait des lentilles, comme sa mère le faisait parfois, parce que les motifs dans ses yeux étaient tout sauf naturels ; et bon sang, elle dégageait une gentillesse si pure qu'il aurait pu lui faire confiance aveuglément.

Il n'était cependant pas si bête que ça.

─ Est-ce que tu vas bien ?

Yoshiki ne lui répondit pas et se contenta de détailler le gloss chatoyant qu'elle portait, parce qu'il lui semblait que sa mère le possédait également.

─ Tu dois avoir faim, murmura-t-elle en lui tendant une barre de céréales. Mange, vite ! Il ne faut pas qu'on nous attrape.

Et en fait, ce fut à ce moment-là que Yoshiki se rendit compte qu'il allait mourir de faim. Il engloutit d'un coup ce qu'elle lui tendit, sans faire attention à la bave qui s'échappa du coin de ses lèvres au moment où il le fit.

─ Dépêche, Cyan ! S'ils reviennent à la base, on est morts !

─ Chut, Yellow, tu parles trop fort ! se plaignit une voix masculine qui fit vibrer les murs autour d'eux.

─ Ta gueule, Black ! Tu fais plus de bruit que moi !

Évitant de faire attention aux émanations fétides qui provenaient de ses vêtements sales, restant concentré pour ne pas perdre le fil de la conversation qui se déroulait dans le couloir, Yoshiki fut surpris de remarquer qu'il se trouvait dans une salle de stockage. Les murs étaient remplis de conserves et semblaient être sur le point de craquer à tout instant, tandis que la pièce paraissait sinistrement plongée dans l'obscurité. De nombreux tuyaux dépassaient du béton, s'entremêlaient jusqu'au sol, offrant à la pièce une atmosphère bien particulière qu'il aurait été difficile de reproduire artificiellement.

La femme devant lui soupira, et lui adressa un regard empli de pitié. La mâchoire durement crispée, elle luttait contre l'envie de le libérer, qui menaçait de mettre sa vie en danger. Mais se dresser contre Red n'était pas simple ; il lui fallait être plus méthodique.

─ Je ne suis pas d'accord avec le plan de Red. Personne ne l'est à part lui, en fait. (Elle jeta un regard triste vers ses membres attachés.) Enlever un marmot ainsi, c'est trop. Je suis désolée de ne pas pouvoir t'aider plus que ça. Mais je te promets, je vais t'apporter de la nourriture tous les jours et le plus souvent possible.

Le petit garçon la coupa.

─ Où est ma maman ?

Cyan regarda de nouveau le petit garçon, et cette fois, leurs yeux se croisèrent. Pendant un petit instant, un étrange fil translucide et brillant parut s'étirer entre eux. Puis il se détourna, et le fil cassa sans prévenir.

─ Tsuki veut se venger d'elle. C'est pour ça qu'il t'a enlevé. Mais pour l'instant, ça va. Elle va bien, normalement. Mais je ne sais pas si ça sera toujours le cas dans quelques jours, vu ce qu'il va se passer.

─ Qu'est-ce qu'il va se passer ? murmura-t-il timidement.

Le visage de Sachiko se tordit dans une drôle de grimace avant qu'elle ne reprenne la parole, l'air incertain.

─ Je ne sais pas trop. Mais il veut la faire souffrir, lui faire du mal. Il dit qu'elle lui a gâché la vie, mais je ne comprends pas comment. (Yoshiki fronça les sourcils.) Ils ne se sont jamais rencontrés, du coup ce n'est pas logique. Je ne comprends pas grand-chose, en fait.

Yoshiki ferma les yeux et se détruit au travers de la vision qui lui vint, où il désirait de toutes ses forces avoir le pouvoir de surmonter les difficultés qui s'imposaient à lui ; s'il avait eu la force de combattre cet homme, il ne serait surement pas ici. Mais il était faible. Il n'était qu'un fichu gosse qui aurait souhaité revoir dans les yeux de sa mère tout l'amour et toute l'admiration qu'elle lui portait.

─ Je veux ma maman.

─ Je sais.

Le silence qui suivit fut insupportable. Cyan lui tendit tout de même quelques fruits secs, qu'il se contenta d'avaler sans faire le moindre bruit.

─ Tu sais, avant, il n'était pas comme ça. J'habitais près de chez lui quand j'étais petite, déclara-t-elle en souriant. On jouait souvent ensemble, et on rentrait tout le temps tard. À chaque fois, il était rempli de bleus. Et c'est au bout d'un an que j'ai fini par comprendre ce qui lui arrivait. Tu te rends compte ?

Yoshiki ne comprit pas le sous-entendu, mais se contenta de hocher la tête lorsqu'elle pinça les lèvres.

─ Je savais ce qu'il se passait avec son père, mais je n'ai jamais osé le dire. Si j'avais prévenu la police, rien de cela ne se serait passé. Peut-être que Red n'aurait jamais vu le jour. Peut-être que tout aurait pu se passer autrement.

L'enjeu se dressant face à eux devint cependant très clair au moment où Yoshiki comprit que son grand-père était responsable de la plupart de ses maux. Les crépitements qui envahirent sa peau et firent bouillir ses veines lui donnèrent envie de se rebeller, de hurler à quel point toute cette situation était ridicule, mais garder contenance était plus important que tout ; c'était ce que sa mère lui répétait souvent, quand les émotions réussissaient tant bien que mal à le posséder.

─ Maintenant, je me rends compte que j'aurais peut-être dû lui venir en aide. Tout est de ma faute.

À ce moment-là, Yoshiki se promit de résoudre ce problème tout seul. Il allait rendre sa maman fière de lui.





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Hina découvre que Yoshiki a été enlevé, et est maintenant sûre qu'aucun héros ne peut l'aider. Bravo, Hawks ! Ignorer délibérement les appels des gens, alors que c'est littéralement ton boulot de t'occuper d'eux, c'est pas cool ! Mais bon, il faut bien que l'histoire avance... Hina est donc déterminée à retrouver son fils toute seule ! Un peu d'aide ne serait néanmoins pas de trop... :)

J'espère que vous êtes rassurés pour Yoshiki ! On va dire que le fait d'être soutenu par Cyan, Yellow et Black est un bon point. Sachiko a un grand coeur, et laisser un enfant dans cet état est impossible pour elle ! Vous découvrez également un nouveau point de l'enfance de Red... vous comprenez un peu mieux certaines de ses actions... pauvre chou.

J'espère que ce chapitre vous aura plu ! Tout avance très vite, et la catastrophe ne va pas tarder ! On se retrouve la prochaine fois ! :D

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