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𝟏𝟔┃𝐮𝐧 𝐛𝐚𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐞𝐦𝐩𝐨𝐢𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞́

▌ 𝗗𝗜𝗦𝗧𝗥𝗜𝗖𝗧 𝗖𝗘𝗡𝗧𝗥𝗘, 𝗞𝗔𝗡𝗨𝗞𝗜. 06/12. 08:45.▌





Parmi tous les rêves d'Hina, il y en avait un qui la transportait plus que les autres. Elle et Takao, main dans la main, longeant les bords humides d'une plage, ruisselant de béatitude et d'euphorie. Un bonheur pur, simple, inutilement agrémenté d'accrochages puérils et d'eau salée. Elle n'avait jamais fait d'aussi beau rêve, et souvent, les journées qui suivaient se transformaient en un cauchemar éveillé, suintant d'un poison dépravé.

Son premier réflexe en ouvrant les paupières fut de rejeter ses couvertures bleutées au fond de son lit. Ayant ainsi provoqué son malaise matinal, Hina sentit le sang lui monter aux joues. Et il lui sembla que tout en elle, sa bouche, son cœur, la paume de ses mains, lui tiraillait plus qu'à l'accoutumée, comme une douce agonie dont on ne pouvait point se débarrasser. Son être résonnait d'un bourdonnement sourd, incontrôlable, alors qu'elle décidait enfin à se redresser. Les vertiges, eux, furent de plus en plus présents au fur et à mesure qu'elle avançait dans la petite chambre.

Agonisant détestablement, pulsant comme au premier jour, son corps lui échappait, semblait se jeter en avant - ses souvenirs incitaient son esprit à se charger d'infâmes moments qu'elle aurait préféré oublier. Alors que ses monticules de chair frottaient inconfortablement contre son t-shirt usé, la réparatrice s'approcha de son miroir et fut épouvantée par son visage blême et rempli d'éclaircies. Les stries provoquées par l'usage excessif de son Alter avaient maintenant envahi l'entièreté de son faciès, la rendant encore un peu plus délabrée. Il lui semblait même que ces cicatrices resteraient profondément enfouies à l'intérieur de son être.

Quoique désespérée, lâchant au passage un petit soupir, elle se lança dans une toilette soignée, se lava, se peigna la frange, en évitant le reste de sa chevelure, et sortit de son armoire le premier jean qu'elle trouva. Son cœur battait inlassablement contre sa poitrine lorsqu'elle l'enfila avec un pull cendré. Le visage de Takao s'imposa alors à son esprit, ainsi que leurs combats violents, les nombreux coups qu'il lui avait fait endurer. Hina se rendit compte que s'il n'était pas décédé ce jour-là, c'était lui qui aurait fini par lui ouvrir la tête à force de la meurtrir des pires façons possibles.

Pourtant, elle l'aimait. Elle l'adorait plus que tout. Les gens auraient pu croire qu'ils partageaient cet amour fou, et se languissaient presque pareil ; disons que la différence était assez frappante. Les sentiments qu'il avait ressentis ressemblaient, un peu, au début, à ceux qu'éprouvait encore Hina. Maintenant, elle comprenait bien que tout cela n'avait été qu'une illusion tragique dont elle avait été une partisane corrompue.

Après avoir quitté sa chambre, elle chercha longtemps la télécommande au fond des canapés. Les coussins furent tous retournés. Ce fut une dizaine de minutes plus tard qu'elle se rappela qu'elle n'en avait pas besoin, et se laissa presque tomber sur le sol devant la réalisation. Elle pouvait contrôler les appareils électroniques, bon sang. Et alors qu'elle levait le doigt pour utiliser son Alter, la lumière disparut. Les lampes s'éteignirent une à une, sans même lui laisser le temps de réaliser ce qu'il se passait.

─ Maman, qu'est-ce que tu as fait ?

Le bruit avait forcément réveillé son fils, qui tenait contre lui sa peluche raccommodée de toutes pièces. Il lui jeta un regard ahuri qui fit frémir ses entrailles d'une sombre façon, et s'approcha pas à pas dans le but de s'enquérir de son état.

─ Maman, tout va bien ? (Le petit plissa les yeux, et détailla les zébrures qui parcouraient son visage.) Qu'est-ce que c'est ? Tu es blessée ?

Quand elle tenta d'ouvrir la bouche, rien ne sortit. Et Yoshiki l'aida à se relever comme si tout allait bien, comme si elle ne venait pas de perdre le contrôle pour la deuxième fois. Sur le visage poupin du garçon s'inscrit une inquiétude admirable ; ses joues légèrement rosies par la fraicheur matinale le rendaient cependant plus éblouissant que tout. Une certitude s'imposa alors à elle : même s'il était le portrait craché de son père, il ne serait jamais comme lui.

Remplie de honte et de crainte de le décevoir, la jeune mère se releva, et se dépêcha à réunir toutes les affaires dont il aurait besoin pour aujourd'hui. Trousse, collations, jouets ; les objets furent rapidement réunis dans son gros sac à dos. Lorsque les souvenirs corrosifs tentèrent de refaire surface, Hina secoua la tête d'un coup sec. Elle ne pouvait pas se permettre de perdre contenance face à son fils.

─ Maman, regarde.

Elle ferma les paupières un instant pour ne plus voir le visage de son fiancé, avant de se retourner. Et le spectacle qui l'accueillit la laissa si perturbée qu'il lui fallut une bonne minute pour réaliser ce que Yoshiki venait de faire.

─ C'est comme ça que ça fonctionne, non ? demanda-t-il, tout souriant.

Hina n'était pas dupe, elle savait que son fils finirait par comprendre comment utiliser son Alter sans trop de difficultés. Mais réussir à contrôler une télévision après quelques heures seulement ? C'était fou, impensable. Elle aurait préféré que le processus ne survienne pas de sitôt, et que ce pouvoir déséquilibré le laisse tranquille pendant encore un moment. La fierté finit cependant par l'envahir. Cet émoi lui fit un peu de bien ; il lui présageait de bons moments à venir, un plaisant bruit de fond, dans le but d'étouffer le hurlement sinistre des mois qui avaient passé.

En franchissant la porte d'entrée, Hina s'arrêta un instant, mais les palpitations de son cœur, une force irrésistible et le trouble causé par ses sentiments, la relancèrent en avant. Yoshiki et elle prirent ainsi l'ascenseur jusqu'au rez-de-chaussée, où ils croisèrent un autre résident ; un homme assez joli, avec des cheveux bouclés et des bagues plein les doigts, qui ne leur adressa même pas un regard avant de s'enfermer chez lui.

La jeune femme ne fut plus qu'une tension infernale en franchissant les grandes portes menant à l'extérieur. Son regard sombre vint capter les débris brulés qui avaient été abandonnés çà et là, les marques de suie éparpillées un peu partout sur les murs délabrés. Et elle se dit qu'elle ne pouvait pas s'empêcher de penser à Dabi, parce que d'un côté, il lui rappelait un peu elle-même ; des êtres à l'obscurité grandissante, avides d'un but orgueilleux, possédant un esprit forgé par les catastrophes.

Ils n'étaient que des enfants maudits par le sort, emportés malgré eux dans un jeu d'Arcade enivrant.

─ Maman, il y a un truc qui vole et qui fait plein de bruit. (Yoshiki lui secoua la manche, complètement paniqué.) J'ai jamais vu ça !

Avec la main de Yoshiki serrée fermement dans la sienne, les cheveux soufflés par les bourrasques soudaines et irréelles, Hina leva la tête. Sous l'atmosphère répugnante, un mauvais pressentiment commença à ronger l'estomac de la réparatrice. Parce que pour la première fois en presque vingt-ans, un hélicoptère survolait la ville-poubelle de Kanuki. Il effleura le sol de si près qu'il fit virevolter les feuilles et les ordures environnantes. La voix basse de son fils emplit par la suite l'espace, épaissie par la stupéfaction, alors qu'ils se pressaient contre le mur pour échapper à l'ardeur de l'appareil.

Yoshiki fut libéré de l'étreinte d'Hina lorsque l'hélicoptère fut au bout de la ville. Ce fut dans l'ombre dentelée d'une ruelle barricadée qu'ils s'installèrent par la suite, suivis de quelques passants tout aussi perturbés, dans le but de s'abriter. Pendant une dizaine de minutes, la réparatrice fila sous les toits délabrés des maisons, faisant les cent pas et des petits ronds, sous le regard attentif de son fils. Et enfin, alors qu'elle se décidait à se caler contre lui, ses mots franchirent la paroi de ses lèvres comme des poignards tranchants.

─ Des hélicoptères, Yoshiki.

─ Comme dans les livres, maman ? siffla-t-il, les sourcils plissés. Mais ça existe vraiment ? Je pensais que ça n'existait pas.

─ Ils existent. Mais ils ne passent jamais par Kanuki. (Elle lui prit la main et l'amena en dehors de la ruelle.) Tu sais qu'on ne peut pas quitter la ville, hein ?

Yoshiki se sentit comme investi dans une mission importante. Il savait ce qu'il voulait lui dire ; il avait composé une réponse qui mènerait la conversation jusqu'aux informations qu'il voulait connaitre.

─ Oui, on est enfermés ici. Seuls les gens qui ont beaucoup d'argent peuvent franchir les barrières. Mais pourquoi est-ce que les pauvres ne peuvent pas partir ?

Le moindre bruit - ronronnement des voitures, bruits de pas, moto déchainée - lui faisait dresser la tête. Parler de ce genre de choses à la vue de tous était risqué. Si quelqu'un les entendait, les problèmes ne tarderaient pas à arriver.

─ Je sais pas vraiment comment te l'expliquer clairement, déclara Hina en accélérant le pas. Mais en gros, on est considérés comme radioactifs. On risquerait de contaminer les gens de l'extérieur.

─ Mais c'est n'importe quoi ! Alors pourquoi les riches peuvent rentrer et ressortir comme si de rien n'était ? C'est pas juste je trouve.

─ Parce qu'ils peuvent acheter un remède, tout simplement. Une semaine de quarantaine, une cure de médicaments, et c'est comme s'ils n'avaient jamais mis les pieds ici.

La conversation se termina alors qu'ils arrivèrent devant l'établissement scolaire de Yoshiki. Ses grands yeux enflammés d'incompréhension furent la dernière chose qu'elle aperçut avant que sa maitresse ne l'emporte à l'intérieur, inquiète par son retard inhabituel.

Des secondes plus tard, Hina se décida à faire demi-tour. Une partie de son cœur lui hurlait d'y retourner, de serrer son fils dans ses bras et de lui répéter que tout irait bien. Mais c'était trop tard, il était déjà loin. Des petits éclairs chatoyants lui échappèrent tandis qu'elle serrait les poings, emportée par un ressenti incontrôlable, par ses pulsions inexplicables. Elle marcha précipitamment, et ne fit pas attention aux gens pressés qui la dépassaient. Ses yeux fous furent si concentrés sur le défilement des dalles qu'elle ne se sentit pas heurter quelqu'un. Mais ses jambes se tordant et chancelant vers le sol souillé, elles, le firent.

Les scénarios déconcertants qui se jouèrent à l'intérieur de son esprit cessèrent. La rage monta d'un coup. Sa masse de cheveux roses et brillants fut secouée dans tous les sens, et son regard noisette fusilla son opposant. La colère fut alors remplacée par l'incompréhension, alors qu'elle détaillait l'homme qui lui faisait face, une main tendue vers elle. Une chevelure rubiconde couvrait un front d'une pâleur renversante. Quelques boucles indomptées s'échappaient d'un bonnet noir et effleuraient des joues légèrement rosies par le froid. Hina se figea alors que ses yeux se brouillaient de larmes traitres.

─ Vous allez bien ? Vous n'avez pas eu trop mal ? (L'homme s'alarma de son état et l'aida à se relever.) Je suis désolé, je ne regardais pas où j'allais.

Parfois, un doute l'envahissait : la vie était-elle aussi indulgente que les gens le disaient ? En tout cas, la réponse à cette question s'imposa à elle comme une vision d'horreur, un cauchemar éveillé. Les voix dans sa tête recommencèrent à lui susurrer toutes sortes d'infamies qu'elle tenta d'ignorer, et les fourmillements diaboliques qui prenaient parfois d'assaut son cou ravivèrent son envie de disparaitre.

─ Madame ?

─ C'est moi qui dois m'excuser. (Hina le coupa brusquement, et l'agitation dans son ton l'étonna elle-même.) Pardonnez-moi, je ne voulais pas vous bousculer.

Leurs regards se croisèrent, restèrent fixés l'un à l'autre pendant une bonne minute, avant qu'un petit sourire maladroit vienne lui déformer les traits. Et même si ce dernier ne ressemblait pas à celui de Takao, la réparatrice se dit qu'ils auraient tout de même pu être la même personne.

─ Orange, dépêche-toi ! C'est l'heure !

Hina eut à peine le temps de remarquer les mèches églantines et emmêlées sous la capuche de la personne qui l'accompagnait. En quelques secondes, l'étrange paire disparut dans la foule, et au fond d'elle, la jeune femme sentit qu'elle ne tarderait pas à les rencontrer de nouveau.

Après tout cela, ses bottines usées la portèrent jusqu'à chez elle. Le chemin jusqu'à l'ascenseur choisit de bien se dérouler. D'une main tremblante, Hina attrapa son téléphone portable et composa maladroitement le numéro de téléphone de son meilleur ami. Ce fut d'une manière décourageante que le répondeur de Daisuke résonna contre les murs, finissant d'alimenter le malheur irrépressible qui lui tiraillait les entrailles.

Ce fut d'une voix chevrotante qu'elle commença à se répéter à quel point elle avait honte, à quel point la vie commençait à l'épuiser. Il lui fallut une bonne minute pour réussir à ouvrir la porte de son appartement, tant son petit corps tremblait. Le sang commença néanmoins à couler dès que cette dernière fut refermée. Ses ongles rejoignirent une nouvelle fois son cou, pénétrèrent sa chair sans le moindre effort, alors qu'elle commençait à pleurer. Illuminée par les purs rayons du soleil qui traversaient ses stores, perdue dans un aveuglement fatal, la jeune femme s'obstina à s'arracher la peau. Et les voix qui lui chuchotèrent de mettre fin à ses jours finirent par la faire hurler.

Sa voix transperça le silence. Elle s'égosillait sans savoir pourquoi, comme s'il s'agissait d'un moyen d'appeler à l'aide. Respirer devint de plus en plus ardu, et son corps, son propre corps, lui faisait ressentir des choses qu'elle ne comprenait pas. Ces dépouilles de vers, entre ses doigts, étaient-elles réelles ? Ou était-ce encore une fois une illusion provoquée par l'affolement, qui était en train de la dévorer en profondeur ?

Elle fut soudain attirée dans une étreinte qui l'empêcha de continuer à martyriser son pauvre cou. Le souffle de la personne qui l'avait arrêtée était chaud et humide contre sa nuque. Un apaisement confus envahit tout son corps. En osant enfin lever la tête, Hina se roidit cependant, et le calme qu'elle avait durement acquis se brisa. Prise d'une horripilation torrentueuse lorsqu'elle reconnut qui la tenait dans ses bras, la jeune femme ne put s'empêcher de hurler.

Hina eut l'impression de revenir quelque temps en arrière, de redevenir la femme effrayée qu'elle avait été. Les ailes carminées du héros numéro trois l'entouraient comme une auréole et brillaient sous l'éclat du soleil, alors que ses cheveux ambrés retombaient comme un voile autour de son visage. Si proche d'elle et de son corps en feu, ses yeux mordorés paraissaient encore plus perçants que la dernière fois qu'elle l'avait vu.

─ Hina ? Qu'est-ce qu'il se passe ?

Et son charmant visage tordu par l'inquiétude n'aurait pas dû secouer ses entrailles de cette manière. Le balcon grand ouvert derrière lui laissait penser qu'il avait dû s'infiltrer dans son appartement en entendant ses cris désespérés, mais cela n'expliquait pas ce qu'il faisait dans les alentours.

Alors qu'il s'approchait de nouveau, peiné par ses cils remplis de larmes, Hawks se dit qu'il ferait tout pour mener à bien sa mission, que ce n'était qu'un sacrifice à effectuer pour le bien de l'humanité. La gravité les emporta alors sans prévenir. Ils tombèrent au sol sans une once de douceur, mais Hina, si petite, si frêle, était toujours compressée contre lui. Il resta alors sans bouger, à l'écoute de sa respiration saccadée, et la détailla comme si c'était la première fois. Et puis lentement, en faisant son possible pour ne pas la brusquer, il souleva l'une des mèches de sa chevelure brillante. À ce moment-là, le héros était au-delà de l'incompréhension, parce que les sentiments qui agitaient ses entrailles dans tous les sens n'étaient pas quelque chose de normal. Sa mission consistait à se servir d'elle pour mieux lutter. Et pour arrêter Red, il ferait tout.

─ Hawks ?

Sa voix brisée s'éleva dans la pièce comme une mélodie meurtrière, lui rappelant à quel point les enjeux devenaient risqués. Il n'avait plus qu'un désir : arrêter les atroces fourmillements qui agitaient son cœur dans tous les sens. La fournaise brulant à l'intérieur de lui finit cependant par redoubler d'intensité ; son visage rempli de larmes salées, barbouillé de maquillage chamarré lui fit tourner la tête. La pitié emplit ses gestes sans prévenir, alors qu'il passait une nouvelle fois ses doigts dans sa tignasse bouclée et emmêlée. Cette fois-ci, son odeur - si différente que cette fois-là, dans la ruelle - le dévora si fortement que se résoudre à la lâcher lui parut impossible.

Le temps sembla s'arrêter quand il se décida enfin à poser ses lèvres sur les siennes. Le contact l'électrisa, la figea sur place, et ses pleurs redoublèrent d'intensité. C'était humide, doux, désespéré. Les caresses qu'il offrit à ses bras firent naitre un sentiment qu'elle n'aurait jamais cru ressentir une seconde fois. La sensation déconcertante qui prit possession de son bas ventre le rendit plus que fou, et durant une longue minute, la luxure emplit ses veines.

Le visage maléfique de son frère jumeau s'imposa d'un coup à son esprit, et Hawks s'éloigna d'elle, piqué par un ignoble regret. Le regard empli de surprise qu'elle lui offrit l'attrista au plus haut point, empoisonna son cœur d'une douce agonie, mais le devoir était plus fort que tout.

─ Oublie ce qui vient de se passer. Je n'aurais pas dû faire ça.





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── Si tu as apprécié ce chapitre et que tu veux la suite, laisse un 𝗩𝗢𝗧𝗘 ou un 𝗖𝗢𝗠𝗠𝗘𝗡𝗧𝗔𝗜𝗥𝗘. Cela ne prend que quelques secondes !

Salut ! Je reviens vers vous avec un nouveau chapitre, et avec beaucoup de retard. J'étais en période de partiels, je n'avais plus le temps d'écrire depuis presque 2 mois. Mais voilà, maintenant c'est presque fini, et je vais essayer d'augmenter mon rythme de publication !

Il se passe vraiment beaucoup de choses dans ce chapitre. J'adore ce que j'ai fait, pour une fois ! Entre le mec qui ressemble à Takao, Hawks qui embrasse Hina " pour sa mission ", l'hélicoptère hyper louche, Daisuke qui répond pas aux appels, et les crises de nerfs...

J'espère que le chapitre vous aura plu ! :p

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