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Face-à-face - Partie 3

Shiganshina, Mur Maria, 8 août 852, quelques instants plus tard

« Maintenant, toi... », grogna Antoine. Il resserra encore la corde qui liait les poignets de Bertolt. Annie, appuyée contre le mur des cachots, se contenta de regarder son ancien camarade à genoux sur les dalles inégales et humides. Lorsqu'il lui lança un regard désespéré, elle baissa simplement le menton, muette comme une tombe.

Elle s'était déjà confrontée à lui une fois, lorsqu'il avait tenté d'attaquer le district ouest de Maria. Elle et Antoine l'avaient sorti de sa nuque juste avant qu'il n'explose la porte, et l'avaient saucissonné tout aussi sec. Cependant, il n'avait pas encore été torturé. Et, même si la semi-géante avait déjà entendu les cris étouffés de Reiner, elle n'avait pas hâte d'être témoin de ceux de Bertolt.

Il s'était échappé alors que Mikasa s'entraînait sur elle, et qu'Isaac gardait l'extérieur de la base. Sasha et Historia n'avaient pas pu arrêter Bertolt lorsqu'il s'était défait de ses liens lors de son seul repas de la journée, durant ce court, très court instant où elles avaient été distraites par la course de Conny dans le rez-de-chaussée. Voici ce qu'on leur avait rapporté. Du reste, les recrues avaient reçu l'ordre de ne pas poursuivre le noiraud, et les élites avaient tenté d'y aller avec des pincettes.

Car, avec une seule blessure, Bertolt pouvait tout exploser à la ronde.

L'aurait-il fait pour autant ? Le Bertolt qu'avait connu l'ex-ennemie, certainement pas. Celui séquestré depuis des jours... peut-être bien. Heureusement, Antoine, cet être ô héroïque, l'avait arrêté. Et était revenu en le portant sur le dos. Suivi par un Livaï aux aguets, et une Marion dont l'expression lugubre n'avait rien soufflé de bon à Annie.

Puis, leurs regards s'étaient croisées. La blonde y avait lu de la peine, de la déception, de la colère. Partie causer avec Kenny. Qu'avait-elle entendu, chez ce marchand de thé de pacotille ? La plus petite n'en avait aucune idée. Son amie était simplement allée voir Carla. C'était tout. Isaac avait repris son poste, Annie avait accompagné le jeune Chaillot, Bertolt se retrouvait au milieu de sa cellule. Entouré d'outils qui lui rappelaient de très mauvais souvenirs.

« Leonhart », appela alors une voix grave et neutre. Mike descendit la dernière marche de l'escalier tout droit menant à ces cachots de seconde main, et entra là. « Changement de poste. Ton entraînement est fini. Va garder Marion. » Elle posa son poing contre son cœur, et partit. Ses iris glace se posèrent une fois, une dernière fois, sur l'autre titan, avant qu'il ne disparaisse de sa vue.

Ce couloir à la porte des prisons explosée n'allait décidément jamais changer. Annie s'attarda brièvement, très brièvement, sur les recrues qui s'attelaient à réparer les dégâts de Wilson. L'une d'elles se retourna pour étirer son dos dans un long soupir ; la semi-géante manqua de s'arrêter sur place.

Cette bleue. Elle détailla, les paupières plissées, son visage rond, aux joues rosies et autre menton triangulaire. Ses lèvres légèrement en cœur, et la fluidité des deux mèches châtain l'entourant, n'arrangèrent pas le constat qui la frappait : elle lui faisait penser à Petra Ralle, l'exploratrice qu'elle avait tuée dans la Forêt des Arbres Géants – et qui s'était diablement bien battue, assez pour lui faire une frayeur.

Cependant, quelque chose clochait, chez elle. Son long nez fin, la forme en amande de ses yeux bruns, la dimension svelte de son corps, et sa taille qui devait bien frôler le mètre quatre-vingt-dix... A cette vision se superposa la silhouette d'Emilie Walmsley. Cette dernière était arrivée seconde de leur promotion, une anomalie qu'Annie n'avait pas raté. Et pourtant, la nana n'avait pas semblé venir du vingt-et-unième.

Elle avait devant elle un mélange de l'ancien membre de l'escouade de Livaï, et d'une Résistante dont Marion gardait précieusement la lettre.

La plus jeune posa alors ses iris brunâtres sur elle, et se raidit illico. La façon dont ses traits tournèrent au lugubre blasa Annie. Elle était habituée à ce qu'on la fusille du regard de la sorte ; cependant, elle dut bien hausser un sourcil en voyant de la fureur brûler dans les pupilles de la nouvelle. Elle ne fait pas partie des promos que j'ai à moitié massacrées. Qu'est-ce qu'elle me veut ? J'ai si mauvaise réputation ?

La blonde replaça simplement sa mèche platine derrière son oreille, et prit la direction des chambrées sans un coup d'œil de plus. Cet instant-là avait certes été un poil troublant, mais elle allait s'en remettre. Même si deux anciennes ennemies se réunissaient chez une seule personne. Et qu'autre chose de plus inquiétant avait piqué son intérêt.

Et alors qu'elle gravissait les marches de pierre inégales, et observait la lucarne éclairant brièvement la pauvre rampe sur laquelle reposait sa main, cela lui revint à la face. Alma Ralle, devina-t-elle, l'œil rond. Marion en a parlé...

Elle la revoyait encore, la mine fermée et sombre que la scientifique avait tiré en l'évoquant. Puis, elle s'était assise dos à elle et Livaï, et n'avait pas caché la lettre de Leah qu'elle avait relue encore et encore et encore, jusqu'à en tomber de sommeil. Ce rituel s'était installé depuis quelques temps, et persévérait. Annie ne savait pas quoi en penser. Soit, cette Alma avait un lien avec Petra Ralle et Leah. Du reste, cette dernière chose qui lui échappait ? Elle n'arrivait pas à mettre le doigt dessus.

Elle continua donc son chemin, en ignorant le binoclard au carré brun et raide qui croisa son chemin. Si, elle repéra simplement des taches de rousseur et un nez façon triangle rectangle. Taches de rousseur. Marion. Ordres de Mike. Elle pénétra donc le corridor, dans lequel elle l'avait d'ailleurs tuée, Marion. Elle revoyait ses prunelles au vert vide de toute vie. Le frisson qui la parcourut la poussa à accélérer la cadence. De leur dortoir à deux paillasses et un bureau s'échappait du français : elle en abaissa la poignée, et entra sans frapper, comme toujours.

Livaï était assis sur sa chaise, thé dans une main, papiers dans l'autre. Ses yeux cernés et égéens regardaient la scientifique du coin de l'œil. La scientifique, affalée sur son matelas raide. La lumière chaude de fin d'après-midi filtrait au travers de ses boucles. Elles recouvraient presque sa longue entaille rose, et son cache-œil médical.

Agenouillée devant elle, Carla, toute équipée du nouvel équipement brun et moulant des Murs... Ou, du moins, de l'une des tenues qu'ils avaient pu fabriquer. La sœur de Marion travaillait déjà à s'habituer au propulseur de gaz en bas du dos : elle n'allait pas en plus changer la position de ses fourreaux de lames. Autant bosser avec la nouvelle version dès le début. Elle devait d'ailleurs ramener ses lourds cheveux bruns en une queue-de-cheval pour ne pas qu'ils s'emmêlent à ses lames, et ne gênent les recharges de manette de commandement.

Puis, Annie remarqua la pâleur de la face de Marion elle-même, et bloqua sous la confusion.

Parler avec Kenny, son bourreau. Elle n'allait bien évidemment pas en sortir toute émoustillée. Cependant, ce qui flottait dans son œil restant était indescriptible. Ses mains tremblantes, sa sœur les tenait dans une douceur ferme ; sa voix suivait ce geste. Mais la châtaine, elle, ne pipait mot. Elle se réfugiait presque derrière sa coiffure ondulée et sèche, peu importait le nombre de fois que la pseudo-mère d'Eren la remettait en ordre pour mieux la confronter.

Chez la blonde, les rouages de ses articulations se remirent lentement en route. Elle referma définitivement le battant ; et, sous cette ambiance quasi tombale, elle s'assit sobrement sur son lit, face à la fenêtre. Elle étudia les bâtiments à colombages de la rue annexe. Personne n'y vivait, pour le moment.

« Annie, excuse-moi », appela subitement la brune. Elle se tourna vers elle dans une neutralité exemplaire. Neutralité vite mitigée par les appels de phares que lui lançait l'expression de Marion. Celle-ci leva d'ailleurs mollement une main, se mit sur ses pieds, chancela sous les pupilles aux aguets du caporal-chef, et s'avança vers elle.

« Carla et toi... », énonça-t-elle en anglais. Elle se laissa tomber juste à sa droite ; les paupières d'Annie s'écarquillèrent légèrement. « Je veux dire... Antoine, et Livaï, c'est mort pour quelques jours, sauf leur respect... Isaac, bon... Marcel, peut-être ? Hansi est occupée. Peu importe. Peu importe... », murmura-t-elle d'une voix brisée. Elle posa la partie intacte de son front sur son épaule, et agrippa lentement sa veste. L'ex-ennemie resta figée un instant, le souffle court.

« Annie... Tu le pensais vraiment, quand tu as dit que tu serais toujours avec moi... ? » L'intéressée déglutit avec difficulté. Elle ressentait presque les larmes qui coulaient sur la joue de l'autre. Oui. Mon père n'est plus là. Tu es le seul autre monstre, ici. Néanmoins, elle était trop lâche pour déballer cette esquisse de confession.

Elle posa donc simplement sa paume dans le dos de Marion, et baissa le menton. Pur acquiescement. Et la française de renforcer sa prise sur elle, probablement ignorante des battements que le cœur d'Annie rata. Elle sentait son torse chaud, tout près, presque collé contre ses côtes, puisqu'elle avait passé son bras autour de ses épaules sans même s'en rendre compte. Elle eut envie de reculer, mais ses muscles refusèrent d'obéir à sa retenue. Les choses n'étaient peut-être pas si mal, de cette manière.

Les secondes se firent siècles. Les iris glace de l'américaine étaient interminablement fixées sur ses propres genoux ; pourtant, elles voyaient sans mal l'avant-bras de la scientifique enserrer subtilement ses reins. Avec lenteur, avec timidité, ses doigts fins et chauds épousèrent doucement sa taille.

Annie ferma les paupières. Son index se décolla de sa cuisse musclée, hésita au milieu des draps, glissa enfin sur la main de Marion. Celle-ci sursauta presque imperceptiblement. Elle le sentait, puisque ses cheveux venaient de chatouiller son long nez. Et alors que la blonde manquait l'infarctus toutes les secondes, elle finit par laisser sortir un bref soupir, et raffermir ce contact frêle.

On y répondit. Il s'assura, des deux côtés, chez l'ex-ennemie comme chez l'espoir de l'humanité. Leurs paumes se mêlèrent à l'abri des regards, leur souffle hésita sans rien montrer de leur timidité, la châtaine enlaça un peu plus son amie. Ce fut le point d'équilibre. Il n'en fallait pas plus. Leurs corps échangeaient juste assez de leur chaleur, de leurs palpitations également.

Les exploratrices n'étaient pas une, mais le monde ne se réduisait plus qu'à elles deux.

***

Mike était adossé contre le mur humide des cachots. Il observait, bras croisés, les moindres mouvements d'Antoine. Son chignon épais et noir se défaisait déjà, et ses deux longues mèches se balançaient de droite à gauche de son torse solide. Il se promenait devant la cellule de Bertolt, et posait là, soigneusement, chaque pince, chaque lame, chaque écarte-orifice qu'on avait daigné prêter au Bataillon.

Tout cela, sous les yeux au kaki terrifié du semi-géant.

Ces instruments se trouvaient de l'autre côté des barreaux, mais l'aura effroyablement nonchalante du jeune Résistant faisait presque disparaître ces derniers. Il posa son dernier outil – drôles de ciseaux recourbés, pensait le chef d'escouade –, et se releva sans reculer d'un millimètre.

« Bien, Bertolt », commença-t-il en anglais. Mike le sentait de là, son rictus faussement candide. Il se mettait un masque, il en était obligé. Lorsqu'on s'était posé la question « à qui devrions-nous confier Bertolt ? », il avait fallu réunir un cerveau conséquent et une force considérable. Ils avaient nommé, Antoine Chaillot. L'intéressé n'avait pas aimé l'idée, loin de là. Il avait tiré une de ces têtes, lorsque Hansi lui avait demandé cela...

Cependant, il s'exécutait désormais, et avec brio. Le long visage au long nez du noiraud était plus pâle qu'un linge, et ce n'était pas dû au manque de nourriture ou de soleil. On avait piégé l'intégralité de ses mains : ses bras étaient étirés au possible d'un bout à l'autre de son corps par deux chaînes. Ses jambes, quant à elles, s'étaient vues purement et simplement saucissonnées.

En-dessous de tout cela, des bandages, afin d'éviter toute friction, toute égratignure susceptible de lui offrir une chance de se transformer. De toute manière, son corps, recourbé et subtilement écartelé de la sorte, était incapable de bouger d'un iota. Tenter de s'arracher un membre était vain. Et, enfin, il y avait ce bâillon de qualité supérieure, duquel gouttait un peu de salive.

De cette façon, il n'y avait guère que la tête du pauvre américain pour être à peu près libre de ses mouvements, malgré le casque qui en recouvrait le crâne, front mis à part. A l'arrière, au-dessus de la nuque, une corde était attachée, et détendue jusqu'à une poulie derrière. Puis, elle glissait sur les pierres inégales et à peine nettoyées des déchets humains de l'ennemi, pour voir sa seconde extrémité écrasée sous la botte d'Antoine.

Celui-ci avait également quémandé du sel, simplement du sel, « juste un petit paquet de sel ». Ce qu'il comptait en faire allait relever de la surprise. Dans tous les cas, comment diable arrivait-il à parler de la sorte ? Mike le savait déjà. Bertolt, non, mais il devait s'en douter.

« Je ne suis pas mécontent de cet attirail », soupira-t-il. Il remit ses cheveux derrière son oreille, et garda une position sobre. « Enfin. Je te poserai des questions fermées. Un « oui » vaudra un bel acquiescement, et pour un « non », tu secoueras simplement le menton de droite à gauche. Oui, je sais, j'ai été assez clément pour laisser ta nuque libre de ses mouvements. Je te souhaite tout de même du courage pour dormir... », songea-t-il. « Mais ce n'est pas le sujet. Voyons voir... »

Il sortit une petite feuille de la poche intérieure de sa veste dépourvue de tout blason. Tandis qu'il la lisait, il leva une main gantée. « Ah, et ne t'en fais pas pour la nourriture. On t'en filera lorsque tu t'évanouiras. Tu ne peux de toute façon pas mourir de faim, ou ça serait assez laborieux pour toi... Enfin, ce n'est pas le sujet. Je divague, décidément. Prochaine instruction... »

Petit silence. Si Bertolt laissa échapper un long gémissement désespéré, Mike fronça les sourcils. Ceci n'était pas prévu. Il se retint de s'étouffer lorsqu'il entendit un « Eh bien, c'est fini pour moi ! » sortir énergiquement de la bouche du plus petit. « Seau d'eau, seau d'eau... » Il rangea son memo, repéra le seau d'eau en question, s'approcha de l'une des deux torches éclairant faiblement l'endroit, et la lâcha dedans.

Le châtain cligna des paupières avec confusion ; il retrouva l'intégralité de son impassibilité au coup d'œil grave dont le gratifia discrètement son collègue. La seconde flamme s'éteignit dans un second « plouf » aussi élégant que son prédécesseur, et un noir complet tomba sur les prisons. « Si un garde t'appelle, geins un coup », précisa une dernière fois Antoine. « C'est mieux, si tu veux boire ou picorer un truc. »

Il rejoignit ensuite la sortie, offrit une brève éclaircie à cette pièce au glauque multiplié par cent, laissa le plus grand passer, et fit un signe de la main à Bertolt. Puis, il ferma le battant. Ce fut tout. Les deux se retrouvèrent là, au pied des escaliers droits montant au rez-de-chaussée. En face, la porte de pin de la chaufferie : ce fut avec stupeur que Mike vit Antoine s'y engouffrer, revenir avec une autre lumière, et l'accrocher sur un support de ferraille.

... Qu'est-ce qu'il planifie ? Il allait avoir la réponse plus tard, conjectura-t-il. Sasha et Historia, gardant l'endroit en haut des marches, pouvaient peut-être en entendre un brin. Si les prunelles ciel de la seconde restaient attentives aux allées et venues des recrues, la brune, elle, observait les alentours avec un peu plus de nervosité. Réaction naturelle : ils avaient littéralement une bombe enfermée en-dessous de leurs pieds... et plongée dans une nuit artificielle.

Là Mike comprit-il où Antoine voulait en venir. Le bougre. Que le soleil soit là ou pas, des gardes se promenaient toujours dans la base. Pour ce qui était des repas, Bertolt ne pouvait presque rien en entendre, avec ce qui recouvrait ses oreilles. Et la dernière phrase du jeune homme était particulièrement fourbe : « Si un garde t'appelle ». Il lui avait indiqué qu'il pouvait entendre... sans préciser la portée actuelle de son ouïe.

Les voix des sentinelles des cachots allaient être étouffées par la porte, au contraire de sa séquestration ante-fuite, où ils se trouvaient dans la même pièce. Mais Bertolt ne pouvait pas savoir à quel point on les percevait mal avec le battant fermé, puisqu'il n'avait jamais expérimenté cela auparavant. Il n'allait pas se rendre compte qu'elles allaient être les seules choses à être capables de briser le silence étouffant dans lequel Antoine le plongeait – en plus de l'obscurité ! – ; sans intensité sonore étalon, sans avoir entendu ce que cela donnait sans heaume... Qui était capable de deviner que la capacité de ses tympans était désormais considérablement réduite ?

En bref, Bertolt n'allait rien entendre de la vie du Bataillon. La seule chose qui allait l'y accrocher, ça allait être les pions postés là. Nuit et jour. Également les repas qu'on allait lui apporter. Nuit ou jour. Mais lorsqu'ils ouvriront le battant, il verra si le soleil est levé, non ?

Non. Non, Antoine remonta les escaliers, glissa quelques instructions à Sasha et Historia, les invita à descendre, demanda à Mike s'il voulait bien le suivre, et laissa les deux exploratrices en bas, de part et d'autre de la torche. Puis, il ferma la porte. Elles aussi, elles se trouvaient dans une nuit artificielle. Le sas qui séparait le prisonnier de l'extérieur n'allait rien indiquer de plus au tortionné.

Il se retrouvait dans une cage quasi-insonorisée, privée de toute présence humaine, et intemporelle.

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