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Chap. 58: Maladie


•oOo•

NamJoon tournait en rond. Littéralement.

Debout devant la porte close, il marchait de long en large, les bras croisés sur son torse. Il était tard, presque une heure du matin, mais il n'était pas seul; HoSeok se tenait là lui aussi, l'air inquiet, surveillant du regard TaeHyung, aussi présent. Le jeune frère de SeokJin se rongeait les ongles, la tête pleine de question et les traits crispés.

NamJoon le comprenait bien car, après tout, cela faisait un moment déjà que le médecin –qu'il avait appelé à la hâte– s'était enfermé dans la chambre avec son patient, afin de ne pas être dérangé durant l'auscultation. Et du peu qu'il avait put constater, l'état de son jeune maître n'était pas des plus glorieux. NamJoon, après avoir fait venir le docteur, avait naturellement été prévenir la première personne de la famille à laquelle il avait pensé; TaeHyung. Quant à HoSeok, eh bien, il semblait que le plus jeune frère ne pouvait plus se passer de sa présence.

Soudain, la poignée cliqueta et s'abaissa. La porte s'ouvrit lentement sur un homme aux cheveux déjà totalement gris. Le médecin était habillé sobrement, et ses lunettes épaisses ne cessaient de tomber sur le bout de son nez. NamJoon se précipita vers lui aussitôt qu'il fut dans le couloir et qu'il eut refermé la porte derrière lui.

« Comment va-t-il ? S'empressa de demander le majordome, sans même retenir l'inquiétude dans sa voix. »

TaeHyung se précipita également, attentif à ce que le médecin allait annoncer. Le vieil homme ne parut pas très préoccupé.

« Il a juste attrapé une méchante grippe, dit-il. Il avait beaucoup de fièvre mais je lui ai donné de quoi la faire baisser. Il faut à présent le laisser se reposer. »

NamJoon fut soulagé d'entendre la nouvelle. Inconsciemment, ses épaules se détendirent et il souffla, lui-même surpris d'avoir été aussi à cran depuis tout à l'heure.

TaeHyung s'avança d'un pas en se triturant les doigts. Derrière lui, HoSeok restait en retrait mais semblait toutefois concerné, bien que silencieux. Le plus jeune parla d'une voix pleine d'espoir.

« Est-ce qu'on peut le voir ? »

Le vieil homme plissa ses lèvres déjà minces, puis secoua la tête, navré.

« Il vaut mieux le laisser tranquille pour l'instant. Vous pourrez lui rendre visite demain matin, expliqua-t-il, bienveillant. Il se tourna soudain vers NamJoon. Toutefois, j'ai cru comprendre que vous étiez son majordome, c'est cela ? »

Le jeune domestique hocha la tête; soit le vieil homme était perspicace, soit quelqu'un le lui avait dit. Le médecin reprit donc:

« Il faut tout de même veiller sur lui, au cas où la fièvre monte à nouveau. »

Un peu surpris, NamJoon ne sut pas trop quoi dire et regarda TaeHyung avec un air d'excuse. La voix d'HoSeok sonna curieusement entre eux, dans le couloir tout juste éclairé.

« Il faut aussi aller vous reposer, jeune maître, il est tard, dit le noiraud. NamJoon peut veiller sur votre demi-frère. »

TaeHyung ne le prit pas mal. Il hocha la tête, un peu triste toutefois de ne pas pouvoir voir son frère qui se trouvait si mal en point. HoSeok posa sa main sur son épaule et lui chuchota quelque chose au-dessus de l'épaule. Le jeune garçon fixa son domestique d'un air plus calme, avant de faire un signe à NamJoon.

« Prend bien soin de lui, dit alors TaeHyung. Il tenta de paraître imposant, ou du moins sévère. Ce à quoi il ne parvint pas vraiment. T'as pas intérêt à le laisser, t'as compris ?

Compris, répliqua NamJoon. Comptez sur moi. »

TaeHyung huma doucement, satisfait, puis cacha le bâillement qui le força à décrocher sa mâchoire. HoSeok appuya sur son dos pour l'inciter à quitter le couloir et à retourner dans sa chambre, ce que le garçon fit sans protester. Les deux garçons s'en allèrent alors, et leurs pas ne firent presque aucun bruit sur le tapis du couloir.

La voix du médecin attira à nouveau l'attention de NamJoon sur la présente situation.

« Je lui ai également fait une prise de sang, histoire de voir s'il n'a aucun autre problème. Nous aurons les résultats dans quelques jours, expliqua l'homme.

D'accord, acquiesça NamJoon, dont la seule hâte était de retourner auprès de SeokJin.

D'ici là, assurez-vous qu'il mange suffisamment et sainement. »

Le majordome hocha encore la tête pour valider ses dires. Puis il remercia le médecin et le vieil homme lui dit alors au revoir après avoir expliqué d'autres choses au sujet de la santé de SeokJin, lui souhaitant au final une bonne fin de nuit. Il s'en alla, sa sacoche sous le bras, et NamJoon se dépêcha d'entrer dans la chambre.

Il referma doucement la porte derrière lui, atténuant le plus possible les sons qu'il pouvait produire. Il s'approcha du grand lit, où la seule lumière se trouvait toujours être la lampe de chevet, posée sur la table de nuit. NamJoon vint s'asseoir sur le bord du matelas et observa le corps allongé là, bien plus paisible qu'avant.

SeokJin était couché sur le flanc, la couverture remontée jusqu'à ses côtes dénudées. Il transpirait toujours autant, mais il avait l'air bien moins tourmenté. Ses traits étaient fatigués et ses paupières closes, signifiant un sommeil léger. NamJoon sentit son propre cœur s'attendrir à cette vue, mais il sentit aussi un léger sentiment de culpabilité. S'il était aussi mal en point, c'était par sa faute, par négligence; il aurait dû mieux le couver durant leur séjour à l'étranger, même s'il savait que c'était en partie absurde de penser ainsi. Il guida doucement sa main pour écarter quelques mèches humides de son front, ce qui parut réveiller le châtain.

Éblouis par l'ampoule trop vive pour sa rétine sensible, SeokJin ouvrit à peine ses yeux bouffis. Mais lorsqu'il remarqua qu'il s'agissait de NamJoon à son chevet, il soupira mollement et tendit une main lasse vers lui. Le majordome la saisit, puis remonta la couverture jusqu'à ses épaules. SeokJin se débattit vaguement. Il agita les jambes pour écarter le drap, dévoilant tout le haut de son corps.

« Trop chaud, bafouilla-t-il, d'une façon à peine intelligible.

Tu as soif ? Demanda doucement NamJoon, prêt à lui apporter tout ce qu'il pouvait désirer. Dis-moi si tu as besoin de quoi que ce soit. »

SeokJin cligna des yeux lentement, comme si ce simple mouvement était compliqué pour lui. Puis il secoua la tête négativement. Il avait des cernes sous ses prunelles noisette, et NamJoon ne comprenait toujours pas pourquoi il ne dormait pas encore.

Sans se brusquer, le majordome se leva et partit en direction d'une commode qu'il approchait rarement. Il ouvrit l'un des derniers tiroirs, saisit une épaisse couche de tissu et la déplia pour être certain de ce qu'il tenait entre ses doigts. Il savait que l'autre le regardait sûrement; lorsqu'il tourna la tête pour y jeter un coup d'œil, il surprit son regard et esquissa un sourire. SeokJin soutint un instant la même expression, bien qu'il avait un peu de mal, faute de force. Il abandonna en frottant ses mains sur son visage épuisé, comme un petit enfant.

NamJoon revint près du lit et étala sa trouvaille à même le sol; un simple lit traditionnel, qui ne devait pas servir beaucoup et qui sentait donc un peu le renfermé. S'il devait veiller sur SeokJin et à ses besoins, autant se mettre à l'aise. Et il ne pouvait décemment pas dormir sur le même matelas que le châtain –même si la place ne manquait pas– au risque d'attraper lui-aussi sa maladie.

Dans le presque silence de la chambre, le majordome termina d'installer son lit de fortune, puis une fois cela fait, il s'en alla dans la salle d'eau attenante pour y chercher une lavette humide et froide ainsi que quelques serviettes supplémentaires, juste au cas où. Il retourna ensuite auprès du châtain, qui était tombé dans un état de semi-somnolence, son avant-bras posé sur ses yeux. Le poids de NamJoon sur le matelas ne le fit même pas réagir.

Mais lorsqu'il sentit une fraîcheur soudaine sur son torse, sa peau réagit bien plus vite que sa conscience. Il frissonna, crispant vaguement son corps courbaturé, et souffla d'inconfort. Il retira son bras de son visage pour voir ce que l'autre faisait, l'œil hagard mais alerte.

NamJoon passa et repassa plusieurs fois le tissu humide à divers endroits clés; sa nuque, ses épaules, son front. Il espérait soulager un peu SeokJin de son mal-être, et cela sembla fonctionner. Le châtain devint plus détendu et, après avoir observé de longs instants son domestique dans sa tâche, se contenta de fermer les yeux pour se reposer. Lorsque NamJoon estima qu'il avait suffisamment fait, il reposa tout sur la table basse, souhaita une bonne nuit au jeune maître –déjà endormi– et remonta la couverture jusqu'à son ventre. Il enleva ensuite ses propres chaussures ainsi que son veston, qu'il plia et laissa sur le côté. Tant pis, il allait dormir habillé pour cette fois. Ce n'était pas dramatique.

NamJoon s'allongea sur sa couche de fortune, au pied du lit à baldaquin. Il tendit le bras et éteignit la lampe de chevet, espérant que SeokJin dorme d'une traite et qu'il n'ait plus besoin de se réveiller jusqu'au petit matin.

[...]

Le lendemain matin, lorsque NamJoon revint dans la chambre qu'il avait momentanément quitté pour aller chercher à manger aux cuisines, la pièce semblait presque vide. Les rideaux avaient été tirés sur le côté afin de laisser la lumière matinale éclairer la salle, et ce, bien qu'il ne faisait pas spécialement beau dehors. Les nuages gris roulaient dans les cieux, libérant sans discontinuer une pluie fine. Un temps à rester à l'intérieur.

NamJoon obliqua vers le lit avec son plateau et ne fut pas très surpris de voir que SeokJin s'était réfugié sous les couvertures. Dérangé par la lumière, il s'était caché et ne ressemblait plus qu'à une grosse boule de drap sur le matelas. Le majordome posa sa cargaison par terre, faute de place sur la table de nuit, et s'en alla tirer l'un des rideaux, atténuant la luminosité.

Lorsqu'il revint vers le lit, SeokJin se découvrit partiellement, cachant cependant son torse dénudé. Il cligna successivement des yeux, le visage encore marqué par la fatigue, les cheveux gras et totalement en bataille. Sa peau était plus pâle que de coutume, bien qu'il avait bronzé lors du séjour. Mais il était déjà un peu mieux que cette nuit. Il fit une grimace en apercevant le regard amusé de son majordome.

« J'ai quelle tête ? Demanda-t-il, sûrement conscient qu'il n'était pas sous son meilleur jour.

T'es adorable. »

Le compliment gêna passablement le châtain, car il ne s'y attendait pas. Il tourna la tête vers le plateau posé par terre. Là encore, il fit la grimace.

« Du bouillon et du riz pour le petit-déjeuner ? Marmonna-t-il, dégoûté par l'idée. Où sont mes tartines et mon lait au cacao ?

Tu vomirais sûrement le tout si tu te risquais à avaler autre chose que ça, assura NamJoon, en s'asseyant sur le bord du matelas et en prenant le plateau sur ses genoux.

Berk. »

Le majordome ignora son interjection de dégoût et se retroussa les manches. Ses mains restèrent un moment immobile, sans savoir par quoi commencer en premier; bouillon ou riz ? Peut-être qu'il ferait mieux de lui donner ses médicaments avant ?

« Mâche-le pour moi, plaisanta SeokJin, à moitié réellement amusé, en pointant le bol de céréale. »

NamJoon fit une moue à peine perturbée par sa remarque. Il prit le bol dans une main et de l'autre, saisit la cuillère.

« Pour que j'attrape tes germes ? Non merci, dit-il clairement, à moitié sérieux. Ce n'était pas l'envie de lui faire un câlin qui manquait. »

Il planta le service dans les petits grains et amena une grosse cuillerée jusqu'à la bouche de SeokJin. Ce dernier plissa ses lèvres, y interdisant l'accès, l'air de dire qu'il n'avalerait rien. Mais au même moment, son ventre émit un long grondement. Embarrassé, le châtain s'empressa d'ouvrir la bouche et NamJoon lui fourra le riz droit dans le gosier.

SeokJin toussota, davantage parce que l'autre l'avait forcé que parce qu'il était malade. Il tapota sur son propre torse.

« Tu veux m'étouffer ? Marmonna-t-il en fronçant ses sourcils broussailleux.

Désolé, répliqua NamJoon, un peu confus mais sincère. »

SeokJin grimaça, mais derrière ses traits tirés, de l'indifférence pointait le bout de son nez. Il ne prenait pas cela trop au sérieux. À moins qu'il ne soit encore trop hagard à cause du sommeil. Il huma et haussa vaguement les épaules. Un léger sourire éclaira le visage de NamJoon et ce dernier continua donc de lui donner à manger, plus tranquillement ceci-dit.

Le jeune maître ne parvint qu'à avaler la moitié du bol de riz et très peu de bouillon. Ce fut à peine si le domestique réussit à lui faire boire la totalité du verre d'eau avec ses médicaments. SeokJin n'avait vraiment pas d'appétit, accusant ses papilles qui selon lui, paraissaient "endormies". NamJoon n'en était pas ravi, mais il s'était dit qu'il tenterait à nouveau sa chance le soir même. SeokJin ne pouvait décemment pas continuer à n'avaler que ce qui lui plaisait.

Le majordome écarta le plateau de côté, par terre, et disparut dans la salle d'eau attenante pour aller chercher de quoi débarbouiller SeokJin. Il trouva une petite bassine jamais utilisée sous le lavabo, qu'il remplit à moitié, et s'arma d'un gant de toilette. Avant de revenir, il en profita pour se rafraîchir un peu le visage; il ne se sentait pas très à l'aise dans ses vêtements, car il avait dormi avec une bonne partie de la nuit. Nuit qu'il n'avait d'ailleurs pas si bien passé, car même si le châtain ne s'était pas réveillé une seule fois, lui, et bien, il avait eu du mal à plonger dans un sommeil profond à cause de son inquiétude.

NamJoon retourna dans la chambre et posa la bassine au pied du lit, sur le sol. Il fit signe à SeokJin de venir par là et le châtain se traîna sur les couvertures comme s'il était brisé de partout. Il s'assit là, devant son domestique, les épaules voûtées. Il n'aimait pas trop être exposé ainsi; le haut de son corps n'était pas couvert, et des petits frissons coururent sur ses bras.

NamJoon tendit la main pour la poser sur la joue pâle de SeokJin. Ses doigts tracèrent le contour de sa mâchoire, puis allèrent se poser sur son front chaud, écartant les quelques mèches brunes. La fièvre avait baissée, mais elle n'avait pas disparue.

« Retourne-toi, ordonna tranquillement NamJoon. »

SeokJin soupira, fatigué mais aussi un peu agacé qu'on lui donne des ordres. Il se remit en tailleur sur le lit et se retourna à moitié, montrant son dos et ses larges épaules. NamJoon trempa le gant dans l'eau, l'essora et s'affaira ensuite à l'appliquer sur la peau du châtain.

Il passa le tissu froid et humide sur sa nuque, puis longea sa colonne. SeokJin se tendit. L'une de ses mains serraient le drap froissé.

« Dis, je... je pensais à quelque chose.

À quoi ? Interrogea doucement NamJoon, curieux. »

Un long silence courut, les séparant momentanément. Le majordome cessa ses gestes, alors qu'un once d'inquiétude naissait dans son cœur, en accélérant indiciblement les battements. Il ne s'attendait pas à ce que l'autre paraisse brusquement attristé, tout à coup. Le châtain était trop calme. Bien trop calme. Et il ne le regardait pas dans les yeux, préférant orienter son faciès à l'opposé.

« Si elle n'était pas morte, commença lentement SeokJin, d'une voix presque éteinte. Tous ces domestiques, ces majordomes... ils ne seraient jamais venus, et personne ne m'aurait abandonné. »

NamJoon déglutit. Elle ? Il songea directement aux portraits, accrochés dans le bureau de M. Kim. La femme qui tenait dans ses bras un enfant, la femme qui n'apparaissait plus sur les clichés récents.

« Tu... parles de ta mère, n'est-ce pas ? Demanda le majordome, presque timidement, sans oser dire quoi que ce soit de plus. »

SeokJin hocha la tête, atrocement lentement. Il amena une main à son visage, comme pour essuyer quelque chose qui coulait sur son front ou sur ses joues, mais la façon dont il se tenait ne permettait pas à NamJoon de le voir clairement. Il se cachait volontairement.

« Je ne me souviens pas d'elle, avoua le châtain, à mi-voix. Mon père n'en parle plus, et tout ce qu'il me reste d'elle sont des photos et une roseraie en sa mémoire... »

La main du majordome se posa sur sa nuque, là où sa colonne prenait naissance; sentir sa paume ici, ce poids silencieux, fut comme un encouragement pour SeokJin. Il avait quelqu'un qui l'écoutait, quelqu'un qui le soutenait.

« Mais le plus horrible dans tous ça, continua le grand brun. C'est que je me dis presque que c'est une bonne chose, qu'elle soit morte. Parce que sinon, je ne t'aurais jamais rencontré. »

SeokJin tourna son buste vers NamJoon et, les yeux brillants et débordant de larmes, il leva son visage vers lui. Il faisait pitié à voir, ainsi, si mal en point, si dur avec lui-même. Il se sentait coupable de penser ainsi, et cela se voyait.

« Je suis atroce, pas vrai ? »

Sa voix était étranglée, les mots presque trop déformés par l'émotion. NamJoon en fut saisit au cœur comme si on avait empoigné son organe vital et qu'on le serrait très fort entre ses doigts. Il secoua vivement la tête, objectant.

« Non, tu n'es pas atroce, répliqua-t-il ardemment. Tu ne peux pas t'en vouloir, alors ne pleurs pas pour ça, Jin.

M-mais–

S'il te plaît, interrompit NamJoon, profondément touché. Ça me fait mal de te voir comme ça. »

SeokJin se tu, bien qu'il ne put point arrêter ses pleurs par simple demande. Aussi continua-t-il de verser des larmes en silence, alors que son majordome en essuyait les traces sur ses joues de ses mains calleuses.

« Ne pleurs plus, marmonna NamJoon. »

Il voulut rajouter autre chose, d'autres mots plus tendres, mais il ne les trouva pas. Alors, pour s'exprimer autrement, il se pencha et prit SeokJin dans ses bras, entourant ses épaules en l'attirant tout contre lui. Le châtain se laissa aller, et ses larmes salées mouillèrent sa chemise lorsqu'il enfouit son visage dans le tissu, se fichant bien d'être ridicule ou non.

« NamJoon, sanglota SeokJin. Je... je... »

NamJoon appuya doucement sa main sur l'arrière de son crâne; les doigts du châtain s'agrippèrent alors au tissu de sa chemise tandis que les mots qu'il bafouilla se perdirent, comme étouffés. Ils n'atteignirent jamais les oreilles de son interlocuteur.

•oOo•

AYAAA
*coupe violemment le chapitre de sept mille mots en deux*

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