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NamJoon marchait d'un pas rapide dans les couloirs du manoir, tirant à bout de bras le jeune maître qui étrangement, ne protestait pas contre cet 'enlèvement' si soudain.

Et pour cause, SeokJin ne comprenait pas réellement ce qui se passait, si ce n'est que sa peau était en contact avec celle du jeune homme à ses ordres. C'était un peu tout ce qui lui importait à cet instant présent. Son agacement et sa jalousie éprouvés à l'égard de Jae-Hwa il y a quelques minutes de cela, lors de son repas, s'étaient complètement évanouis. Il n'y pensait tout simplement plus.

Lorsqu'ils arrivèrent enfin devant la porte de la chambre, SeokJin sembla se réveiller de son silence.

« NamJoon, appela-t-il. Qu'est-ce que tu fais ? »

Le majordome ne répondit pas et, à la place, ouvrit la porte pour presque jeter SeokJin à l'intérieur. Il le fit avec une telle fermeté que le beau brun en avait presque des idées tordues. L'image de son domestique le poussant furieusement entre ses draps pour lui faire sauvagement l'amour apparu dans son esprit, le faisant sourciller.

Pénétrant à son tour dans la pièce spacieuse, NamJoon referma rapidement le panneau de bois derrière lui et ne perdit pas de temps pour entamer la discussion.

« Il faut qu'on s'explique au sujet de– »

La bouche de SeokJin le coupa dans sa phrase.

NamJoon fronça tant les sourcils qu'ils se touchèrent presque, alors que de son côté, le grand brun s'était décollé aussi vite qu'il était venu, un sourire victorieux aux lèvres. Voir le trouble de son domestique suffisait à le satisfaire, même s'il avait à nouveau très envie de réitérer son geste, encore et encore.

Pourtant, SeokJin se contenta de s'étirer, comme si de rien n'était, avant de partir flâner dans la chambre, qui n'était autre que la sienne.

« Jeune maître vous ne pouvez pas–  »

L'autre ne l'écoutait pas. SeokJin soupira avant de se laisser tomber comme une masse sur son grand lit à baldaquin, s'y étendant comme s'il était seul dans la pièce.

NamJoon grommela, agacé d'être ainsi ignoré.

« SeokJin, marmonna-t-il. Je suis très sérieux.

– Mh. »

NamJoon l'appela encore, mais il fut tout bonnement ignoré, comme les fois d'avant, ainsi que les suivantes.

SeokJin était étiré de tout son long sur ses draps, froissant les tissus. Sa nuque, appuyée contre le bord du lit, laissait pendre sa tête vers l'arrière. Son visage était orienté vers la grande fenêtre, et ses bras, pendant à moitié dans le vide, donnaient l'impression qu'il désirait cueillir la lumière du soleil passant à travers la vitre et chassant toute l'obscurité de la pièce.

À le contempler ainsi, il faisait presque penser à la belle au bois dormant, dans une autre version bien entendu.

NamJoon se pinça les lèvres, s'approchant lentement, comme s'il avait peur de déranger. Pourtant, son objectif était bien d'avoir une discussion avec ce grand enfant, de justement se faire remarquer.

Le rose émit un son qui ressemblait vaguement à une plainte.

« Arrête de m'ignorer. »

SeokJin remua dans son lit, puis roula sur le flanc pour pouvoir observer d'un œil son majordome. Il mimait un désintérêt profond, et l'autre espérait secrètement que ce ne soit pas son réel sentiment à cet instant. À nouveau, le brun l'ignora, enfonçant sa tête dans l'oreiller moelleux.

NamJoon afficha une mine perturbée et affectée. Ce n'était pas dans ses habitudes, mais là, pour une raison inconnue, il détestait qu'on ne fasse volontairement pas attention à lui, que SeokJin ne fasse pas attention à lui, qu'il ne lui demande rien, qu'il ne lui dise rien. Pourtant, il n'était pas ainsi à l'accoutumée.

NamJoon se sentait plus bas encore qu'il ne l'était déjà.

Le domestique s'approcha plus près du lit, les poings serrés, et le ton qu'il employa fut presque implorant.

« Que dois-je faire pour que tu m'écoutes ? »

La curiosité de SeokJin fut piquée à vif. En cachant son empressement, il se redressa en position assise sur son lit. Son regard se posa sur NamJoon, alors qu'un faible sourire naquit aux coins de ses lèvres.

Puis, ne s'appuyant que sur un bras uniquement, il amena sa main libre à son propre visage pour tapoter son index sur ses lèvres.

NamJoon aurait voulu ne pas comprendre le message. Il aurait aimé ne pas avoir à faire ça, car il savait qu'il n'en avait pas le droit, même si au fond, cette situation ne lui déplaisait pas tant.

Peinant à déglutir, le majordome, tout de même nerveux, s'avança davantage vers le lit, réduisant la distance qui les séparait.

« Un seul, dit-il en voyant que SeokJin le fixait impatiemment. Il se devait de poser sa condition, même s'il doutait que l'autre l'accepte en fin de compte. Un seul et ensuite, tu écoutes ce que j'ai à dire. »

Le grand brun hocha vivement la tête, s'empressant de tapoter le matelas pour faire venir NamJoon à ses côtés.

Le domestique soupira avant de finalement obéir à l'ordre implicite. Le matelas s'affaissa sous son poids, les draps se froissèrent, et il fixait à présent son jeune maître avec une gêne qui ne paraissait pas lui appartenir.

Sans dire le moindre mot, SeokJin lui intima d'enlever ses chaussures, ce que le rose fit, puis à s'approcher plus près, ce qu'il fit également.

NamJoon fut en quelque sorte forcé à venir au centre du grand lit, en face de SeokJin qui, confortablement assis en tailleur, ne le lâchait pas des yeux.

Son accoutrement était celui qu'il portait à l'accoutumée; short jusqu'aux cuisses, chaussettes montantes, chemise blanche et bretelle. Le regard de NamJoon monta vers son visage, détaillant rapidement ses traits qu'il connaissait déjà par cœur. Le grand rose se mordit l'intérieur de la joue en pensant qu'il allait poser de son propre chef ses lèvres sur les siennes. Et ce, pour la deuxième fois.

D'un côté, il se sentait mal pour ses obligations, mais de l'autre, il avait l'impression d'être l'homme le plus chanceux de la Terre.

SeokJin amorça un mouvement vers l'avant, mais se ravisa. Ce geste, si indicible, aurait pu passer inaperçu si les iris de NamJoon n'étaient pas rivés sur sa personne, à suivre chacune de ses courbes.

Il voyait son impatience, l'envie d'être plus proche, de le sentir plus près de lui. Il le sentait même dans son souffle tremblant d'anticipation. Le majordome le comprenait parfaitement, car lui aussi avait cette envie qui rongeait ses entrailles, même s'il avait du mal à savoir pourquoi SeokJin s'entêtait à s'attacher à lui.

Après tout, il n'était qu'un domestique. Il n'avait rien, ne possédait rien. Pas le moindre domaine, pas le moindre bout de terre. Rien qui ne puisse lui donner une valeur quelconque.

Il était juste lui, avec ses souvenirs et ses connaissances en guise de bagage.

NamJoon ne pouvait pas se convaincre que c'était cela qui l'attirait. Ça sonnait bien trop faux à ses yeux, bien trop impossible.

Ce fut la voix de SeokJin qui le ramena sur Terre. Le jeune maître était toujours là, un sourcil arqué, faisant la moue.

« Tu comptes me faire poireauter encore longtemps ? »

Le visage de NamJoon prit feu avant qu'il ne marmonne quelque chose, se pinçant l'arête du nez. Puis, il se pencha enfin et posa ses lèvres sur celles du jeune maître.

Hésitant et maladroit. Tels étaient les deux mots qui définissaient parfaitement NamJoon en ce moment-même.

Le contact ne dura que quelques secondes, courtes et rapides. NamJoon amorça un mouvement pour se retirer, mais SeokJin le saisit par le col de sa chemise pour le garder près de lui. Leurs nez se frôlaient, son souffle caressait sa bouche alors que le châtain murmura ce qui sembla être un ordre.

« Avec la langue. »

NamJoon ne pouvait pas être plus écarlate que maintenant. Sa bouche était sèche, et il n'osait plus déglutir.

Pourtant, en parfait majordome aux services de son maître, il faufila ses doigts jusqu'à la nuque du châtain, agrippant ses mèches brunes avec un mélange de fermeté et de douceur.

Leurs bouches se rencontrèrent à nouveau, plus longuement cette fois-ci. NamJoon hésitait encore, jusqu'à ce qu'un imperceptible soupir ne lui parvienne, pure expression des sentiments de SeokJin.

Lui qui jusque-là pensait mal faire changea abruptement d'avis. Ce simple son le convainc à agir. Dans un élan de folie, le domestique glissa sa langue hors de sa cavité, afin de goûter, de connaître la saveur qu'avait les lèvres de son hyung.

NamJoon ne sut pas qui de lui ou de son aîné fit le pas suivant, tout ce qu'il savait, c'était qu'à présent sa langue glissait contre la sienne dans un échange lascif.

Il ne saurait pas non plus d'écrire avec exactitude tout ce qu'il ressentait durant ce contact, car les pensées de NamJoon s'emmêlaient encore et encore, tellement qu'il ne pouvait plus que se concentrer sur une seule chose. Il l'embrassa comme s'il s'agissait de la dernière fois, et peut-être bien que c'était le cas.

Dans un geste où se mêlait impatience et un brin d'hésitation, NamJoon ne se cachait plus. Sans savoir exactement comment, ses doigts s'étaient mis à courir le long de la nuque de SeokJin, lequel y répondait en se serrant davantage contre lui, aspirant les lèvres de son majordome de ses manières inexpérimentées.

NamJoon sentait à quel point l'autre était réactif, à quel point son corps se courbait vers le sien, à quel point sa peau frissonnait sous ses doigts. Tous ces détails ne lui échappaient pas, et ne faisaient d'ailleurs que l'encourager. Lorsqu'ils se décollèrent enfin, le souffle court, SeokJin fut le premier à réagir. Il passa une main dans ses mèches brunes, encore fébrile, puis étrangement, ne fit rien d'autre. Le jeune maître resta là, perdu et pantelant, fixant NamJoon avec une timidité évidente.

Le majordome prit quelques instants pour reprendre sa respiration et, bien évidement, un peu de contenance. Il lui fallut pas mal d'effort pour se souvenir de ce qu'il voulait à la base, la raison de tout cela.

NamJoon se racla la gorge, attirant facilement l'attention de l'autre, puisqu'elle était déjà entièrement consacrée à sa personne.

« SeokJin, commença-t-il, incertain. »

Là, le domestique n'osa pas continuer. Il faisait face à une situation des plus problématiques; comment était-il censé dire au jeune maître de ne plus jamais l'embrasser après ce qui venait d'arriver ?

C'était impensable. NamJoon ne pouvait pas, il n'y arrivait pas.

Un silence. SeokJin attendait, rongé par la curiosité, alors que l'autre réfléchissait intensément. Le temps s'écoulait au ralenti dans la chambre lumineuse.

Finalement, NamJoon allait lui donner autre chose qu'une morale déprimante. Un chose qu'il avait déjà eu à de multiples reprises, qu'il venait d'ailleurs d'avoir. À nouveau, le jeune homme se pencha vers son aîné, l'embrassant délicatement à la commissure de ses lèvres rougies.

SeokJin, les yeux mi-clos, posa ses mains sur les épaules de son majordome, jouant de ses phalanges pour débarrasser ce dernier de son veston. L'habit alla s'écraser plus loin sur les draps, tandis que les deux corps se rapprochèrent, que leurs bouches firent plus longuement connaissance.

Les mots étaient devenus désuets depuis un moment déjà. Ils étaient inutiles, plus personne ne les utilisait, puisqu'ils venaient d'être remplacés par le langage physique. NamJoon et SeokJin ne s'exprimaient plus qu'avec cela, et ils avaient beau n'être que des débutants dans ce domaine, l'un envers l'autre, la compréhension était quasi parfaite.

Si bien que, dans leur lente frénésie, la cadence finit par s'accélérer. Le matelas grinça à peine lorsque le dos de SeokJin rencontra la surface moelleuse, lorsque l'arrière de son crâne s'enfonça dans les plumes du coussin. Au-dessus de lui, le corps de NamJoon était positionné de sorte à ce qu'il ne soit ni un poids, ni trop loin.

Leurs lèvres partaient et revenaient, se rencontrant et se quittant, tandis que, de son côté, la paume de SeokJin s'était faufilée entre leurs torses. Ses doigts triturèrent un instant le premier bouton de la chemise de NamJoon, pour finalement arriver à le faire céder. Il fut rapidement suivit par les autres, et les pans de son vêtement furent séparés avec empressement, sans douceur, tant la brusquerie et l'impatience de SeokJin commandaient ses gestes.

Ses cuisses tremblantes s'écartèrent et ses jambes accrochèrent presque désespérément le bassin de NamJoon, tandis que ce dernier le poussa contre le matelas, l'enfonçant plus profondément dans les draps.

Le domestique non plus, n'était plus totalement maître de lui-même. Mais à cet instant précis, il s'en fichait. Personne ne pouvait lui en tenir rigueur, du moins pas maintenant.

NamJoon y mettait du sien, poussé par des envies plus forte que la raison. Il l'embrassait avec fougue, désireux de posséder sa bouche, sa peau, tout son être rien que pour lui. Il n'en avait jamais assez, comme incapable d'être rassasié.

NamJoon profitait, c'était indéniable. Il aimait, et ce serait mentir que de dire que SeokJin n'appréciait pas également.

Sa bouche descendit le long de son visage, de sa mâchoire, parsemant cette dernière de trace humide, jusqu'à atteindre son cou. Là, les lèvres de NamJoon s'attardèrent, s'appliquant à goûter le grain de cette peau offerte, à humer son parfum, à apprécier ce moment si intime.

Les lèvres du grand brun, n'étant plus occupées, étaient pourtant maintenues scellées. Cependant, sa gorge, elle, vibrait sous les soupirs, sous sa respiration rapide et saccadée. Il était dans le même état que ses draps blancs; saccagé.

Les mèches roses de NamJoon furent décoiffées par la main du jeune maître, passant furieusement dans ses cheveux pour finalement s'y accrocher. Leurs vêtements étaient froissés, les couvertures défaites. Plus rien n'était à sa place, pourtant le sentiment inverse régnait.

Aucun des deux n'entendit le premier coup à la porte, ni le second. Ce n'est qu'au troisième, bien plus violent que les autres, que NamJoon se décida à agir à contre-coeur.

Il émit un son qui ressemblait vaguement à une plainte, à un grognement, puis s'écarta de sa belle au bois dormant, laquelle n'était visiblement pas satisfaite de cet arrêt soudain et inexpliqué.

NamJoon eut quelques peines à se décoller complètement de SeokJin, et d'autant plus à quitter le grand lit à baldaquin. Le châtain se plaignait déjà, lui ordonnant –sans vraiment y mettre de l'autorité– à son majordome de revenir immédiatement.

Le domestique fut obligé d'ignorer SeokJin, puisque l'urgence du moment envoyait de l'adrénaline dans ses veines et ses muscles. Il se précipita vers la porte, reboutonnant prestement sa chemise alors que les coups devenaient plus brutaux contre le bois.

« J'arrive, dit-il avec empressement, alors qu'il ouvrait. »

Son expression se décomposa en apercevant Jae-Hwa.

La jeune femme se tenait là, bien droite, le regard neutre. Un sourire sympathique, figé, étirait ses fines lèvres rosées. NamJoon se demanda soudain si sa collègue ne s'était pas un peu plus maquillée, car il ne lui semblait pas que sa bouche était aussi brillante avant.

« NamJoon, commença-t-elle avec le sourire. Son ton n'était pourtant pas aussi jovial que son apparence. Tu m'as l'air un peu... Essoufflé. Tu jouais à un jeu avec le jeune maître ? questionna innocemment Jae-Hwa, jetant un coup d'œil par dessus son épaule. »

NamJoon sourcilla, se déplaçant pour empêcher la demoiselle de voir ce qu'il y avait dans son dos, ou plutôt dans la chambre.

« Non non, euh, enfin oui, bafouilla le rose, ne sachant que dire. »

Jae-Hwa arqua un sourcil. Ils s'étaient vus tout à l'heure, pourtant il paraissait s'être écoulé une éternité depuis leur dernière entrevue.

Soudain, deux bras enlacèrent la taille de NamJoon depuis derrière, et une tête se posa sur son épaule, celle de SeokJin.

« Jeune maître, annonça respectueusement la jeune femme en se courbant pour faire une révérence pressée. »

SeokJin afficha une mine ennuyée, limite dégoûtée, alors que NamJoon ne savait plus comment réagir.

Après tout, il y avait de quoi. N'importe qui, en voyant la scène actuelle, aurait suspecté quelque chose de louche entre le majordome et le châtain. L'état de leur vêtement ainsi que leur position proche, était une preuve nette et pratiquement irréfutable.

Le regard de Jae-Hwa alla de NamJoon à SeokJin, et son manque de réaction n'annonçait sûrement rien de bon.

Le domestique se racla la gorge, tentant également de se défaire de l'étreinte du jeune maître.

« Uhm, tu voulais quelque chose ? demanda-t-il à sa collègue, nerveux malgré lui.

– Et bien, je venais just–

– Si c'est pas important tu peux partir, interrompit SeokJin, amer. »

Jae-Hwa se crispa, avant de se tourner vers NamJoon et de répondre, sûre d'elle.

« On m'a chargé d'annoncer qu'il fallait te rendre immédiatement en cuisine, on t'y attend. »

NamJoon fronça les sourcils, mais avant même qu'il ne puisse commenter, SeokJin ouvrit encore sa bouche d'enfant effronté.

« Je ne lui permet pas. J'ai encore besoin de lui ici. »

Jae-Hwa haussa doucement les épaules, peu préoccupée.

« Il s'agit de la règle, dit-elle. Lorsqu'un nouvel employé arrive, les autres doivent également se rassembler afin de le prendre en charge.

– J'en ai rien à-

– Jeune maître, appela NamJoon d'une voix lasse. »

Le concerné se laissa faire lorsque le rose se tourna vers lui, se défaisant de son étreinte ferme.

« Je dois y aller, si vous avez encore besoin de moi plus tard, n'hésitez pas à me rappeler, annonça-t-il calmement, alors qu'il voyait bien l'expression perplexe du châtain. »

SeokJin se pinça les lèvres, puis jeta un coup d'œil à Jae-Hwa. Il réfléchit quelques secondes avant de finalement capituler.

« Bon, dépêche-toi, soupira-t-il. »

NamJoon s'inclina rapidement et, pressé, s'en alla, talonné par sa collègue. Cette dernière, avant de disparaître, lança un dernier regard à SeokJin.

Le jeune maître, seul sur le pas de sa porte, grinça des dents, déjà ennuyé.

Il n'aimait pas Jae-Hwa, vraiment pas.

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