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ᴠᴇʀɪᴛᴀꜱᴇʀᴜᴍ

Pour un jour d'hiver, il faisait assez chaud. Le rideau de neige enveloppant l'école avait permis aux élèves d'aller s'amuser et faire des bonhommes de neige dehors, durant les vacances de Noël.
Harry, Ron, et Hermione étaient heureux de se retrouver durant une année de plus, afin de rattraper l'année de perdue à cause de la bataille finale contre Voldemort.

- Tu devrais peut-être laisser ce livre de côté et nous aider ? proposa Ron en faisant rouler une boule de neige dans ses gants.

Hermione avait le nez plongé dans ses bouquins tandis qu'ils étaient dans la cour de l'école. Harry et Ron étaient en train de faire des munitions pour une future bataille de boule de neige. D'autres étaient prêts à en faire partie, du genre, Neville, Ginny, Luna ou même encore le bon vieux Hagrid. Qui aurait pensé que le garde-chasse aurait voulu aussi s'amuser avec les jeunes sorciers ? Après tout, il avait aussi envie de passer un bon moment avec ses amis.

- Tu vois bien que je révise pour les prochains examens, laisse-moi réviser.

- Quels examens ? Ils ne sont même pas encore prévus ! pesta ce dernier.

- Ils ne sont pas encore prévus, mais il y en aura. Je préfère tout de suite mettre la main à la pâte plutôt que de m'y mettre à la dernière minute, vois-tu ?

- Oh, allez ! Hermione ! Pour une fois qu'on n'est pas en danger, que l'on n'a rien qui va chambouler nos vies, viens donc t'amuser avec nous, renchérit Harry.

Elle leva le regard de sa lecture et avait fini par céder et les rejoindre en soupirant.
Puis, après les quelques minutes qu'elle eut consacrée à ses parfaites boules symétriques, le jeu commença. Au départ, Hermione fut déçue de voir que ses boules furent les premières lancées et détruites. Mais elle avait été vite prise par l'envers du jeu et y prenait goût alors que les autres tentaient de lui lancer des boules dessus.

***

Personne, pas même dans un rêve, n'aurait cru qu'Il regarderait par la fenêtre tous ces individus en train de s'amuser. Personne. Pas même ceux qui savent tout, comme Hermione Granger. Et pourtant, un jeune garçon au visage pâle, cheveux blonds - presque blancs - observait non pas le groupe mais la belle brune qui riait à pleins poumons tout en jetant de toutes ses forces de la neige sur ses « ennemis ».

Installé sur le rebord de la fenêtre, il ne savait quoi faire à part songer à la manière dont il pouvait cesser de penser à cette fille. Il savait pertinemment qu'elle était totalement ce fruit défendu qu'il ne devait pas toucher. Par chance, personne n'était au courant de ce secret. Personne ne savait que cette fille était celle qui faisait vibrer les parcelles de son cœur. Mais comment avait-elle réussie à se frayer un passage dans les sentiments du jeune homme ? Même lui n'en n'avait pas la certitude. Est-ce son caractère bien trempé, sa manie de jouer Miss-je-sais-tout ? Il l'ignorait. Mais ce dont il était certain, c'était qu'il en était amoureux, malheureusement.

***

Lorsque le rouquin avait remarqué qu'il n'avait plus de munitions, il s'était penché en avant afin de ramasser de la neige et s'était mis à poursuivre la jeune sorcière qui criait alors qu'il était parvenu à lui en glisser dans ses vêtements. Elle s'était mise à grelotter avant de finalement essayer de faire pareil en courant après le rouquin qui était mort de rire en tentant de s'échapper. Les autres ne faisaient pas vraiment attention à la poursuite des deux et continuaient de se lancer des boules. Ginny et Harry avaient fini par s'allier contre le duo Neville et Luna qui eux aussi s'étaient alliés. Quant à Hagrid, celui-ci avait décidé de faire équipe avec un élève de première année qui venait de se joindre au groupe, un Serdaigle.

***

Un soupir d'agacement s'échappa des lèvres du jeune blond en voyant Ron parvenir à faire tomber dans la neige la brunette. Ces deux-là étaient plus qu'amoureux, et cela lui faisait mal. Mal que la belette avait réussi là où lui n'arriverait forcément jamais. Il savait pertinemment que c'était l'échec d'avance. Qu'elle ne l'aimerait jamais comme elle aime Ron.
Le jeune Serpentard détourna le regard, plutôt dégoûter de les regarder s'embrasser alors qu'Hermione venait de se rapprocher de son visage afin de lui dévorer les lèvres.

Impossible, se répétait-il.
C'était l'une des raisons qui le poussait à essayer de renoncer, malgré qu'il ait trouvé d'autres arguments comme le fait qu'elle soit une née moldue, une Gryffondor, l'amie de Harry Potter, son ennemi juré... mais il ne trouvait pas cela si convainquant, au point de finir par aimer les qualités de l'enjeu, se disant que c'est encore plus excitant de la savoir complètement opposée à lui. Que cela était totalement différent de toutes les autres relations auxquelles il devait s'attendre avec un tas d'autres filles qui étaient si banales.

Le cœur battant, il hésitait à regarder une dernière fois la belle sorcière, avant de finalement s'échapper au fond de la pièce en se disant que tout cela était ridicule. Ridicule de se creuser l'esprit pour une fille comme elle. Puis la seconde d'après, il se répétait toutes les caractéristiques de Granger qui le faisait craquer.
Il ne cessait de voir le sourire ravageur de la Gryffondor passer en boucle, dans ses pensées.
Et puis, il avait fini par se tenir la tête en se disant qu'il valait mieux arrêter de l'imaginer, Elle. Elle qui le haïssait, à cause de ses fautes du passé. Elle qui était son ennemie. Elle qui ne pourrait jamais l'aimer.

C'était dur de l'admettre, et pourtant, ces propos étaient justes. Mais une partie de lui-même ne voulait pas croire cela.

***

Plutôt heureux de son exploit en matière de potion, le jeune Rodrick Holydays, élève de Poufsouffle, s'avançait d'un air vainqueur en direction de la grande salle, là où se regroupaient la plupart des élèves à une heure si tardive, pour manger.
Sur son chemin, pas mal d'élèves le bousculait sans le vouloir, le faisant renverser quelques gouttes de son liquide précieux sur le sol. Le jeune élève étant assez maladroit - mais très doué en potion, alors qu'il n'est même pas en dernière année - avait quand même réussi à préparer une potion qu'il n'était pas censé apprendre cette année.
Plutôt presser, il voulut montrer cette merveille à son meilleur ami qui n'était rien d'autre qu'un glouton, et qui ne pouvait se trouver nulle part ailleurs que dans la grande salle.
Le jeune Rodrick fut soulagé de se retrouver dans la gigantesque pièce, après avoir survécu à tant de bousculades.

***

L'air pensif, il était bien trop préoccupé par la manière dont se dévoraient des yeux les deux tourtereaux alors qu'il ressentait de la haine envers Ron Weasley. Sa main resserrait la cuillère qui s'y trouvait par hasard, et Pansy lui fit remarquer cela :

- Malefoy, arrête de serrer comme ça cette cuillère ! Qu'est-ce qui ne va pas ?

Il baissa les yeux et vit qu'à l'intérieur de sa main, il avait carrément la trace du couvert sur celle-ci. Alors, il la relâcha et s'était précipitamment lever, afin d'éviter la question de son amie. Au même moment, un Pouffsoufle passa à côté de lui, mais pas n'importe lequel. C'était Rodrick.
Maladroitement, son breuvage se renversa sur la table des Serpentard, et quelques gouttes avaient réussie à se glisser discrètement dans le jus de citrouille du jeune blond qui ne remarqua que l'énorme tâche sur sa robe de sorcier.

- Espèce d'idiot ! grogna-t-il. Tu ne peux pas regarder où tu vas ?!

- Je... je, je suis déso, déso, désolé ! bredouilla Rodrick, avant de s'éclipser jusque sa table.

Drago revisitait la pièce du regard et en un fragment de seconde, il put remarquer l'attention qu'Hermione lui portait en le dévisageant.
Ce n'était pas un regard qui serait censé le faire sourire, pourtant, la manière dont elle le regarda, pendant quelques secondes, le fit ressentir une joie interne que personne ne pourrait comprendre.
Encouragé par cette joie, il s'était rassit et prit - sans vraiment réfléchir - son verre de jus de citrouille afin d'en boire le contenu.

- Quel crétin, ce Poufsouffle, reprit Blaise Zabini. Je me demande bien ce qui pousse encore la directrice à faire entrer des gens comme ça dans cette école.

- Elle ne vaut pas mieux que les Poufsouffle, Serdaigle et les Gryf... nan, ne parlons pas d'eux. Ils n'en valent pas la peine, et puis, de toute façon, je m'en moque éperdument de tout cela, ce n'est pas ça qui m'intéresse. Quoique... Hermione n'est pas mal, pour une Gryffondor.

Par chance, Drago n'avait pas dit sa dernière phrase assez fort, et le brouhaha lui avait sauvé la peau.
Son cœur s'était arrêté net lorsqu'il avait dit cela. Il ne trouvait d'autre moyen que trouver l'excuse d'aller se changer, afin d'éviter d'en dire davantage.

- Hm, ouais. Tu as raison.

Puis, Drago se leva.

- Où vas-tu ?

- Je vous laisse. Je vais aller me changer, je n'ai pas envie de rester habiller dans ces affreux vêtements durant le reste de la soirée ! Et puis, je n'ai pas envie de rester avec vous ! conclut-il avant de s'échapper en dehors de la salle.

Ses amis se lancèrent des regards curieux en l'observant se sauver.

- Qu'est-ce qui m'arrive !? murmura-t-il en se dépêchant de descendre les marches, en direction des cachots. Qu'est-ce qui m'arrive, par la barbe de Merlin !

Comment ai-je pu avouer ce que je pensais ! C'est étrange, songeait-il en pénétrant dans la salle commune, après avoir soufflé le mot de passe.

Par chance, personne ne s'y trouvait. Il fut donc soulagé de pouvoir se réfugier dans son dortoir et se changer tout en y réfléchissant.
Il ne se posait pas vraiment la question de ce qu'il devait porter - il avait opté pour un pantalon sombre et t-shirt de la même couleur -, c'est à croire que le noir est vraiment sa couleur préférée !

Après quoi, il s'était allongé sur son lit et ne cessait de se remémorer cette étrange scène.

***

Il n'était pas rare que Malefoy fît preuve de méchanceté avec les autres, mais de là à en faire tout un plat pour un simple accident... Hermione y pensait tout de même durant tout le repas. Bien qu'elle eût remarquée qu'il avait l'air si préoccuper, ces temps-ci.
Peut-être préparait-il un nouveau sale coup ?
Ça avait assez donné, l'année précédente ! Elle ne voulait en aucun cas revivre cette dure année d'épreuves pour affronter les ténèbres.
Harry, Ron, Ginny, Seamus, Luna, Neville et Dean abordaient le sujet des cadeaux qu'ils allaient offrir à leur famille, et personne ne semblait avoir remarqué que la brune n'était pas de la conversation.
Dans un sens, elle n'avait pas très envie de leur gâcher leur Noël et pensait qu'il valait mieux mener sa petite enquête de son côté, afin de ne pas éveiller les soupçons et être tout de même plus discrète que si elle devait se trimbaler toute sa bande d'amis.
Alors, d'un simple :

- Je reviens.

Hermione sortit de table et se dirigea vers les cachots.
Il était plutôt logique que Malefoy soit partit se changer dans son dortoir - vu qu'il avait plein de tâches sur ses vêtements.

Alors, la seule idée qui lui était venue à l'esprit était de l'attendre devant l'entrée de la salle commune des Serpentard.

***

Bien un quart d'heures s'était écoulé, puis il avait fini par se dire que cela semblerait louche de s'éclipser sans donner de raison valable à ses amis, alors, Drago était à nouveau sortit de la salle mais... quelqu'un l'attendait.

- Tiens, tiens, Granger ! Que fais-tu là ?

Hermione s'avança d'un air déterminé dans sa direction. Le cœur du jeune homme s'était mis à tambouriner dans sa poitrine. Impossible pour lui de résister à la posture qu'elle prenait.

- Je suis venue pour te poser quelques questions... Voilà, ces temps-ci, j'ai remarqué que tu te comportais bizarrement, voire, tu es limite comme l'an dernier, tu es...

- Préoccupé ? la coupa le Serpentard. Oui, mais ne t'inquiète surtout pas. Ce n'est pas en mal que je suis préoccupé, bien au contraire. Si tu veux savoir, tu hantes mes pensées. Je dirais même que tu es le centre de ces dernières.

Hermione ne s'attendait pas à ce genre de réponse venant de la part de Malefoy. Mais le plus étonnant était également le fait qu'il se surprenne à dire son secret devant la concernée.
Ça recommence, comme avant, pensa-t-il.

- Excuse-moi ? J'hante tes pensées ?

- Oui !

- Et je suis censée penser quoi de ça ? Drago, essayer de me draguer, ou je ne sais pas quoi, ne t'aidera pas à m'éviter. Je suis navrée mais ça ne marche pas. Tu sais bien que je suis en couple avec Ron.

- Et tu l'aimes ? Nan, parce que moi je t'aime. Weasley ne te mérite vraiment pas.

Là c'en était trop ! Il en avait trop dit !
Hermione l'avait giflé, et ce dernier n'y prêtait pas la moindre attention - trop surpris par l'aveu qu'il venait de lui faire.

- Comment oses-tu me dire ça ! Tu crois que je ne sais pas ? Les personnes comme toi aiment jouer avec les sentiments des gens ! Tu en es la preuve formelle ! Tu es un Mangemort, et je suis sûre que tu complotes de nouveau. Sûrement pour essayer de conquérir le monde... ou un truc dans le genre. Après tout, les méchants c'est vous.

- Crois-moi, j'aimerai te dire que tout ça est un mensonge, mais c'est la pure vérité ! Et puis, à ce que je sache, tu ne m'as pas dit que tu aimais la belette... Donc, pour moi, tu ne l'aime pas sincèrement.

- De quel droit tu te mêles de....

Elle n'avait eu le temps de continuer sa phrase. Drago en mourrait tellement d'envie.
Depuis le début, il ne comprenait vraiment pas la raison qui le poussait à dire tout ce qu'il ressentait et pensait, mais dans un sens, il avait finalement dit ce qu'il espérait ne jamais révéler. Alors, cela lui avait donné le courage d'embrasser la Gryffondor qui, malgré le fait que ce soit contre son grès, avait finalement enchaîné le baiser qui devenait torride.

Hermione ne se le serait jamais avoué. Mais, Drago lui plaisait, physiquement. Non pas qu'elle en soit amoureuse, mais elle ne savait pas vraiment pourquoi elle embrassait Drago, en cet instant. Sans doute parce qu'il embrassait bien ? Ou peut-être qu'elle avait fini par céder à ses pulsions ?
Dans tous les cas, elle n'arrivait pas à réfléchir durant leur baiser, sa tête s'était littéralement vidée de bons sens et logique.

- Wouaw, qu'est-ce qui vient de se passer, là ? prononça Hermione en s'écartant de lui, l'air perdu, rompant donc le baiser.

Un large sourire s'était formé sur les lèvres de Malefoy tandis que tout ce qu'il avait rêvé, il venait de le réaliser, mais comment ? Ça il ne le savait pas.

Il scrutait chaque parcelle du doux visage de pêche de la lionne, tandis qu'elle faisait de même en se posant davantage de questions du genre : Pourquoi ai-je fais ça ?

Ce qui était sûr, c'était que si Ron parvenait à l'apprendre, elle serrait bonne pour être larguée. Mais dans un sens, à présent, elle se fichait complètement de la réaction qu'aurait Ron et mourrait d'envie de re-goûter aux lèvres de Drago. Bien qu'elle en ignorât la raison, ce dernier embrassait comme un Dieu !
Comme si les lèvres de ce dernier étaient faites pour que ce soit Elle qui ait un contact avec elles.
Alors, elle ne se pria pas et les reposa sauvagement sur ses lèvres en veillant bien à le pousser contre le mur de pierre. Il fut heureux de sentir d'aussi près le parfum de la belle Gryffondor, mais reprenait la main en la mettant elle contre le mur. Il s'était mis à caresser sa joue qu'il trouvait douce et elle fit de même avec sa peau de porcelaine.
Il fallait l'avouer, cela n'avait jamais été aussi passionné avec son copain. Avec Drago, comment dire ? C'était bien plus sauvage et excitant... alors qu'avec Ron c'était bien trop superficiel et trop simple.

Ce ne fut que dès l'instant où un son de voix parvenait à leurs oreilles qu'ils cessaient de s'embrasser et se toucher. D'un air gêner, ils se regardaient avant que Hermione ne commence à faire semblant de se prendre la tête avec lui alors que quelques Serpentard arrivaient. Drago s'était pris au jeu et faisait pareil. Un sentiment au fond d'eux leur dictait de se dire les pires choses qu'ils pensaient l'un de l'autre. Bien que ce soit tout de même dur pour Drago vu que la potion agissait encore sur lui. Il avait plutôt tendance à dire ce qu'il pensait d'elle avant de l'aimer.
Les Serpentard s'étaient mis autour pour admirer la scène et ce fut Monsieur Rusard qui dut les séparer.

Cette fausse dispute semblait si réaliste que même les deux ont failli y croire, mais il valait mieux que tout le monde les voit se disputer que de s'embrasser. Cela aurait créé plus d'échos que de les voir se hurler dessus. Tout le monde sait pertinemment qu'Harry et Drago ne sont pas amis, donc les amis d'Harry ne le sont non plus pas.

Alors, avec un sentiment de manque, les deux se quittèrent à contre cœur.
Mais étrangement, se hurler tout ce qu'ils pensaient l'un de l'autre leur avait fait du bien. Bien que ce fût tout de même une fausse dispute. Drago en avait trouvé un certain plaisir, quant à Hermione, elle ne cessait de repenser à la manière dont ils s'étaient embrassés.

Ils avaient été convoqués chez la directrice McGonagall, et ils avaient vite cloué l'affaire en promettant qu'ils ne se bagarreraient plus dans l'enceinte du bâtiment.

***

- Je me demande ce qui t'es passé par la tête, Hermione ! fit remarquer Ron, tandis qu'elle essayait de se concentrer sur ce qu'elle écrivait sur son parchemin.

- Je te l'ai déjà dis ! Je le trouvais louche et le fait qu'il ait une fois de plus été méchant avec un élève de Poufsouffle m'a énervée, voilà tout. Je suis allée lui botter les fesses, tu devrais te réjouir que je ne sois pas une froussarde, avait-elle mentit en n'osant pas croiser les yeux de son copain.

- Elle n'a pas tort, affirma Harry. Elle est courageuse, notre Hermione.

Elle regardait d'un air insistant le parchemin jauni et ne cessait de penser que si elle n'était pas allée voir Malefoy, ils n'en parleraient pas pendant un millénaire ! Mais elle se tut et chercha de quoi changer de sujet.

- Vous n'auriez pas des devoirs à me faire faire ? J'ai besoin de me vider l'esprit.

Harry et Ron ne réfléchirent pas et s'étaient réjouis d'avance de savoir qu'ils allaient pouvoir s'occuper autrement - en jouant au Quidditch - et qu'ils laisseraient donc la jeune lionne dans ses sombres pensées.

- Merci encore ! On te laisse tranquille, alors. Nous allons nous entraîner, on a bientôt un match contre les Serdaigle. Vu l'attrapeur qu'ils ont cette année, j'ai plutôt intérêt à m'entraîner ! dit Harry avant de se presser hors de la salle, accompagné de son meilleur ami qui s'était contenté de saluer Hermione en lui faisant un chaste baiser sur le front.

Hermione soupira en les regardant quitter la salle commune.
Et puis, évidemment, l'image de Drago l'embrassant lui revint dans la tête, tandis qu'elle était en train de faire le devoir d'Harry. Sans cesse, elle se remémorait le goût sucré qu'avaient les lèvres du beau blond, et à quel point elle se rendait compte qu'il était attirant, en fait.

Elle avait fini les deux devoirs - de son ami et de son petit copain - bien trop rapidement. Elle n'avait donc trouvé d'autre moyen que s'autoriser une sortie dans le frais... mais, sur le chemin, qui ne venait pas à sa rencontre ? Drago ! Bien sûr !

La potion n'agissait plus sur lui. Les effets s'étaient dissipés dans la nuit.
Drago reprenait cet air si hautain qu'il avait sur les gens, d'habitude. Mais avec la belle de son cœur, bizarrement, son visage semblait présenter de l'inquiétude.

La brune resserra les cahiers qu'elle tenait entre ses bras et sentit son pouls s'accélérer lorsqu'il vint à sa rencontre.

- Granger !

- Malefoy ! renchérit-elle. Excuse-moi, je n'ai pas le temps.

Décidément ! Il trouvait toujours le moyen de la déstabiliser ! Mais notamment se trouver dans des endroits seuls, à chaque fois, avec Elle.

- Voyons, tu ne vas pas me dire que ce qui s'est produit entre toi et moi, hier soir, ne t'as pas fait d'effet ?

- De toute façon, peu importe ce qui s'est passé. Ne te fais pas d'illusion !

- Quels genres d'illusion ? Celles-là ?

Il se pencha pour lui voler ses lèvres. Tout d'abord, ses livres tombèrent au sol et rencontrèrent leurs chaussures, mais ils s'en moquèrent. Puis elle le frappa ensuite au torse, mais le baiser était trop parfait pour qu'elle ne cesse de l'embrasser. Alors, jusqu'à en perdre haleine, ils s'embrassèrent.

- J'avais raison, tu n'aimes pas Weasley. C'est moi que tu aimes ! fit-il en plaquant sa main sur la poitrine de la demoiselle et sentir les battements de son cœur.

- Peu importe ce que je ressens, Drago. Je ne peux pas être amoureuse d'un garçon comme toi ! Enfin, disons que je suis en train de le devenir mais ce qui me tracasse est le fait que tu m'ais avouer tes sentiments la vieille.

Il se gratta d'un air gêné l'arrière de la tête et répondit franchement :

- J'ai entendu des échos sur le fait que j'avais été victime de veritaserum... donc en gros je te disais la vérité...

- Vraiment ?

- Je ne vois pas pourquoi je mentirai ! Je te rappelle que je t'ai dit que je t'aimais ! Ce n'est pas à tout le monde que je le dis, tu me l'accorde ?

- Je le conçois... c'est vrai que tu n'as jamais été le genre à dire ce que tu ressens, au point de maîtriser l'occlumentie à la perfection !

- Oui...

- Donc tu m'aimes pour de vrai ? Mais pourquoi moi ? Je croyais que tu n'aimais pas "Les sang de bourbe" ?

- Je suis tombé amoureux de toi... je ne sais comment, mais un jour, je me suis réveillé et je me suis rendu compte que je t'aimais. C'est inexplicable. Mais ce qui me terrifie c'est ce que tu ressens à mon égard.

- Je ne vais pas te dire que je ne ressens rien, ce serait faux. Je reconnais commencer à ressentir des choses pour toi, mais tout ceci est si précipité...

Drago leva les yeux au plafond en remerciant le bon Dieu de l'avoir aidé à exaucer sa prière. Puis il planta son regard dans celui de la belle lionne et elle fit de même.

- Je sais que c'est dingue, mais j'aimerai tellement que tu sortes avec moi !

- Ou là ! Je crois que la potion a encore effet sur toi.

- Nan ! Je te dis ce que j'ai envie car j'en ai tout simplement assez de devoir cacher ce que je ressens ! C'est terminé. Je vais devenir qui je suis réellement.

- Et tu es qui ?

- Je suis Drago Malefoy, bien sûr. Mais je vais prouver à tout le monde que je ne suis pas mauvais comme mon père.

Il s'apprêtait de nouveau à embrasser la belle lionne, mais elle le repoussa :

- Je suis désolée, Drago. J'ai besoin de réfléchir... à tout ça.

Cette phrase lui brisa le cœur. Réfléchir. Pour lui, la patience n'était pas son point fort. À vrai dire, il n'a jamais été patient.

- Hm, je comprends, mentit-il en détournant le regard sur sa droite.

De la culpabilité se lisait dans les orbes de la Gryffondor. Elle reconnaissait être attirée par Malefoy mais ne pouvait cesser de se dire qu'il était impossible pour elle de sortir avec un ennemi - l'ennemi de son meilleur ami -, mais au fond, il n'a jamais été son rival à elle, mais celui d'Harry.
Au fond, elle ne s'était pas une seule fois demander si elle aimait encore Ron ou pas... nan, tout ce qui la préoccupait était de savoir si elle devait se laisser bercer par les battements de son cœur, alors qu'il balance pour Drago, ou bien y renoncer et se dire que c'était un mec comme les autres...
Nan, ce serait mentir, de dire que le bel ange blond était semblable aux autres. Il avait cette aura qui ne dégageait de personne d'autre. Une aura d'assurance, de fierté. Fière d'être lui-même, un Malefoy, un Serpentard. Mais ce qui lui revint à l'esprit la fit douter de ce qu'il était sincèrement.
Je vais prouver que je ne suis pas comme mon père.
Si seulement elle pouvait s'empêcher d'être aussi naïve, elle saurait que Drago était voué à marcher sur les pas de son père et, ainsi dire, embrasser les ténèbres.

- Bon, et bien, à toute, bredouilla Hermione en s'échappant le plus rapidement possible de ce garçon.

Il resta planter dans le couloir sombre, un regard vitreux flanquer sur le visage. S'il n'était pas aussi pâle et blond, on l'aurait presque confondu avec un meuble de ce couloir. À toute. À toute ?!
Bordel, pensa-t-il avant de retrouver tout mouvement, elle n'est pas sérieuse, j'espère !

Mais dans un autre sens, ça aurait été tellement nul si elle s'était jetée dans ses bras en lui disant qu'elle l'aime. Pitoyable. Ça aurait été tellement grotesque, comme lui ont déjà dit pas mal de filles qui avaient des vues sur lui. Je t'aime. Cocotte, si tu m'aimais vraiment tu saurais ce que j'aime manger, quelles sont mes ambitions, si je suis bon au lit... et un tas d'autres trucs perso. Mais tu ne peux pas aimer quelqu'un que tu ne connais pas vraiment, pensait à chaque fois le jeune homme à leur intention.
Et puis, il se rendit compte qu'il ne connaissait pas grand-chose de la fille qu'il aimait. Sans doute qu'il s'était inventé la plupart des choses qu'elle était - en général, c'est ainsi qu'on tombe davantage amoureux d'une personne qu'on ne connais pas. On lui invente une vie -, sans doute qu'elle n'aimerait guère le fait qu'il a un penchant pour la magie noire, qu'elle ne serait pas cette fille parfaite au lit, cette fille prête à se donner entière à lui afin qu'elle soit sa propriété.
Drago se posa un tas de questions à ce propos, et la seule solution ? Essayer de la connaître, afin qu'il puisse être sûr que tous les fantasmes qu'il espérait obtenir de cette damoiselle n'étaient pas du pipo mais qu'ils pourront se réaliser.

***

Premier objectif, aller à sa rencontre et ainsi essayer d'en apprendre sur elle.
Il savait qu'elle était en pleine réflexion à ce sujet, mais il se disait que s'il serait à ses côtés, peut-être qu'elle finirait par partir dans le positif.

Il l'a trouva assise près d'une fontaine avec l'eau gelée, dans le parc. Plongée dans sa lecture, le jeune blond grimaça en se demandant ce qui était le plus probable. La laisser lire ou bien l'interrompre ?
Finalement, il sauta le pas et se dis qu'il valait mieux y aller car il n'était pas une poule mouillée.
Au passage, il sortit sa baguette et fit apparaître une jolie rose dans sa main.
Loin qu'il soit un gars romantique, il espérait tout de même que ça plaise à la belle de son cœur.

- Bonjour, sourit-il en lui tendant la belle rose rouge.

Hermione leva les yeux de sa lecture et fut stupéfaite de voir un acte romantique de la part du beau et excentrique Drago Malefoy.

- Hum, merci, bafouilla-t-elle en la saisissant pour la sentir. Hm, elle sent bon, merci.

Il fallait reconnaître que Ron n'était pas vraiment un spécialiste question romance. Il ne lui emmènerait jamais une rose comme ça, même à l'improviste !

- Mais de rien, s'exclama t'il en s'autorisant à s'asseoir à côté d'elle. Tu lis quoi ?

Plutôt gênée qu'il lui ait demandé cela, elle ferma son bouquin et tenta de cacher la couverture. D'un mouvement rapide, Drago attrapa la main de la sorcière et pu lire le titre :

- « Orgueils et Préjugés », hm, je ne connais pas ce manuel de sorts.

- Ce n'est pas un manuel, imbécile. C'est un roman écrit par un moldu.

- Ah, oui, j'oubliais que tu étais une née moldu... mais ça parle de quoi ?

- D'amour, et tout un tas d'autres trucs. Mais tu ne pourrais comprendre, tu n'aimes pas les moldus.

Il déposa un bras sur les épaules de la lionne. Par chance, les autres élèves passants s'en foutaient royalement de ce qu'ils étaient en train de faire ou dire - Hermione et Drago - car ils étaient plus préoccupés par leurs propres problèmes.

- Je n'ai jamais dit que je ne les aimais pas. C'est juste que l'influence de mon père me poussais à les traiter comme des moins que rien, notamment les personnes de ton type. Mais je sais à présent que tu es un être humain, les moldus le son et je le suis également. Nous sommes tous - pratiquement - pareils. Et c'est pourquoi, je ne me souci plus du fait de plaire à quelqu'un, surtout mon père. La seule personne à qui j'ai envie de plaire, c'est toi.

Les joues d'Hermione viraient au rose et elle ne put s'empêcher de baisser les yeux en remettant une mèche derrière son oreille. Ce mouvement le poussa à se mordre la lèvre tant elle était craquante avec ses gestes de maladresse.

- Alors ça me va.

Le reste de l'après-midi, ils le passèrent ensemble. Ils parlaient - faisaient connaissance - comme l'avait espérer l'ange blond et il fut heureux d'apprendre que la plupart des éléments de sa personnalité était intéressants et qu'il était encore plus amoureux d'elle, à présent.
Quant à Hermione, elle fut davantage comblée par tous les gestes que lui apportait Drago. Elle n'a pas une seule fois pensé aux conséquences de cette longue conversation avec Drago, et ne pensa pas une seule fois à Ron, tandis qu'il était en train de s'éclater à son entraînement de Quidditch.
Elle devait s'avouer vaincue. Elle commençait à vraiment aimer Drago au point que lorsqu'ils se retrouvèrent seuls, dans le parc, elle se mit sur la pointe des pieds afin d'embrasser Malefoy. Il dut un peu se baisser car il a toujours été plus grand qu'elle. Et ils furent heureux de partager ce moment, là, dans l'hiver.
Ce ne fut pas un baiser des plus intenses mais un baiser tout simple, timide. Comme si c'était le premier baiser de deux jeunes collégiens qui s'embrassent pour la première fois.
Leur cœur palpitait dans tout leur être, et ils ne pouvaient se dire autre chose à part : je t'aime.
Oui, ils s'aiment ! Mais bien évidemment, le dire à Ron et Harry serait impossible ! Ils ne réagiraient que très mal - du moins, Ron - et sans doute, leur amitié ne sera plus pareille, si ce n'est qu'ils le restent.

***

C'était officiel. Elle lui avait dit qu'elle voulait sortir avec lui, après un certain temps à observer le soleil se coucher. Installés sur le banc du parc, main dans la main.

Mais autrement dit, elle était en train de tromper son autre petit copain, Ron, pour qui elle ne ressent plus rien. Ceci lui faisait très mal, rien que de l'admettre, mais c'était vrai. L'amour qu'elle portait envers Ron n'était que néfaste, superficiel. Comme si elle se sentait obligée de ressentir telle ou telle émotion aux côtés du roux, tandis qu'avec Drago, elle était elle-même. Même s'il avait toujours un petit commentaire à ajouter sur ses moindres faits et gestes, il la laissait faire comme bon lui semblait.

- Alors, Ron, Harry. J'ai quelque chose de très important à vous dire. Surtout à toi, Ron. Voilà, je suis désolée d'avance de te dire ça, Ron. Mais je ne t'aime plus en amour, voilà. J'aime un autre garçon. Harry, je suis désolée aussi de t'apprendre que c'est Drago Malefoy, oui ! Je sais qui il est ! Mais lui et moi nous aimons !

Hermione regarda son reflet dans le miroir :

- Argh, comment je vais pouvoir dire ça sans que Ron n'explose sur sa chaise ? C'est évident que la manière dont j'ai formulé ça, il va mal le prendre. Bien qu'il le prendra mal dans tous les cas... de toute manière.

Hermione souffla d'exaspération contre son reflet et se décida à aller rejoindre ses amis. Ron et Harry étaient installés à la table des Gryffondor, dans la grande salle. Persuadée que ce sera l'échec d'avance, elle songea à ne pas perdre son sang-froid et ainsi essayer de ne pas se prendre la tête avec Ron à propos du fait que ce soit la fin.

Elle s'avança lentement en direction de ses amis qui étaient en train de discuter et manger en même temps.

- Ah, tiens, chérie ! On t'attendait ! sourit Ron en observant Hermione arriver.

Il fit signe à cette dernière de s'asseoir près de lui mais refusa et préférait rester debout pour lui avouer tout.

- Écoute, c'est difficile ce que j'ai à t'apprendre. À toi aussi, Harry. Mais voilà, je sors avec Drago, oui, Drago Malefoy mais je l'aime et il m'aime aussi.

Ron avait entre-ouvert la bouche rien qu'au nom de Drago provenant de la bouche de sa copine ! Il était pour lui impensable que cela se produise, et pourtant, c'était le cas.

- Attends, t'es en train de me dire que tu me largue pour ce maudît serpent ? railla t'il.

Elle serra les poings. Évidemment. Les remarques et tout le reste étaient en train de faire surface ! Mais elle écoutait à contrecœur le reste et avait fini par tourner les talons et ainsi dire ignorer Ron, bien que Harry ai tout d'abord mal réagit, il avait finalement été compréhensif.

***

- Comme je m'en doutais, il l'a mal pris, sanglota Hermione dans les bras de son nouveau copain.

Drago n'avait jamais réconforté de personne. Mais savoir que c'était sa petite amie qui pleurait lui fendit le cœur. Par ma faute, osa-t-il penser en caressant la chevelure broussailleuse de la belle lionne.

- Il ne veut pas rester ami avec toi, même pas ça ?

- Non. Pourtant, je lui avais dit mais il me hait depuis qu'il sait que je l'ai largué pour toi.

Il continua de caresser la chevelure de sa belle avant de lui souffler à l'oreille :

- Il s'en remettra. À présent, ne pleure pas quelqu'un qui est en colère. Il reviendra lorsqu'il sera calmé. Profite de l'instant présent que tu as avec moi.

Il lui disait tellement de beaux mots qu'il était impensable que ça arrive ! Mais il l'aimait de tout son être, et il lui était impossible de ne pas le lui prouver et montrer.

Une semaine.

Un mois.

Un an.

Six ans.

Dix ans.

Tapis quelque part, au fond de son armoire, Hermione farfouillait cette dernière afin de la ranger. Une boîte à chaussure tomba du haut d'une étagère et elle s'empressa de la ramasser. Quelques papiers et souvenirs en étaient sortit. Un sourire se dessina sur les lèvres de celle-ci lorsqu'elle découvrit la photo d'elle et Drago, prise lors du bal de Noël. C'était aussi ce fameux soir qu'ils avaient été certains qu'ils resteraient ensemble pour toujours.
« Toujours », ce mot était ce qu'elle n'aurait point cru si on lui disait qu'elle serait avec Drago encore aujourd'hui, et pourtant, ça fonctionne encore entre eux.

Elle déposa un regard satisfait sur sa bague au doigt et ferma les yeux un instant :

- Veux-tu m'épouser, Hermione Granger ?

Il lui avait posé la question dans une situation tellement romantique qu'elle n'aurait pas pu refuser !
Ils étaient à Paris, devant le Mont Marte, là où un peintre était en train de leur dessiner ce souvenir pour toujours. C'était l'une des villes qu'elle rêvait de visiter, un jour. Mais elle n'aurait jamais imaginé que son rêve se réaliserait... avec un petit plus qui a changé toute sa vie.

- Oui ! Sans hésiter !

Drago avait réussi à faire d'elle sa propriété. Celle qui porterait pour toujours son nom et pour qui il serait prêt à mourir. Mais il l'aimait tant, qu'il n'aurait voulu la laisser à quelqu'un d'autre.

- Maman ! Papa et moi on t'a fait ça pour ton anniversaire ! rappliqua la voix d'un petit garçon.

C'était leur fils, Scorpius. Le même physique de son père, mais le même caractère que sa mère.

- À bon ? Oh ! Je veux voir ça ! s'exclama t'elle en abandonnant ses souvenirs dans la boite à chaussures.

Dans leur salon, une magnifique étagère en bois massif s'y trouvait. Mais elle n'était pas comme les autres. Dessus, il y avait un tas de petits mots que lui avaient écrits Drago et Scorpius, du genre : « Tu es la plus belle ! » « Tu es la meilleure de toutes les sorcières, la plus brillante ».
Tant elle possédait de livres, il lui fallut une nouvelle étagère, et son mari et fils lui en avaient fabriquée une.

Mais ce qu'ils ignoraient, c'était que le plus beau des cadeaux était leur fils. Le fruit de leur amour... Peu importe la situation. Pour le meilleur et pour le pire.

En tout cas, le meilleur leur était arrivé.

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Sortez les mouchoirs ! C'est la fin de cet OS que j'ai eu le plaisir d'écrire !
N'hésitez surtout pas à me donner vos avis en commentaire et à voter ! N'hésitez pas non plus à partager cet OS et je vous dis à bientôt pour de prochaines histoires ^_^ (abonne-toi, si tu veux ! C'est pas obligé)

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