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Samedi 16 décembre.

Bonsoir bonsoir !

J'espère que vous avez passé un bon samedi ! Perso je suis hs, le taf m'a tuée. Et j'ai pas terminé ma journée puisqu'il faut que je corrige mes deux chaps de demain pour qu'ils soient prêts à être postés, comme je n'aurai pas beaucoup de temps pour le faire hahaha.

Désolé s'il y a des fautes. Puis je trouve ce chapitre assez plat, mais mon cerveau n'a pas été très créatif ce soir donc je n'ai pas rajouté grand chose à mon premier jet. Sorry~

Bref, j'espère que cette seizième journée vous plaira quand même.

Bonne Léocture ! ♥




~~+~~




Lorsque j'ouvris les yeux, je me rendis compte qu'il était dix heures moins le quart. Je me redressai d'un coup, et me jetai sur mon téléphone. Mon réveil était pourtant activé, mais il n'avait pas sonné, ou alors je l'avais éteint avant de me rendormir. Merde, merde, merde ! Je sautai sur mes pieds et enfilai les premiers vêtements qui étaient à ma portée. J'allais être en retard. Je descendis les escaliers en courant, mon sac heureusement prêt, et enfilai mon manteau avant de partir en direction du lycée, toujours en courant. Ma gorge me brûlait à cause du froid, mais je ne voulais pas mettre les autres en retard. Je passai le portail du lycée et ne m'arrêtai pas. Je poussai les portes du gymnase, faisant sursauter mes amis. Je m'arrêtai enfin après quelques mètres, et je me penchai en avant pour reprendre mon souffle.

« Jimin ? Fit Jumi en s'approchant de moi. Qu'est-ce qu'il se passe ?

Dé... désolé... Soufflai-je. Je... suis... en retard...

Cinq minutes, ce n'est pas la fin du monde. Et puis c'est « plus ou moins dix heures », tu ne devrais pas te prendre la tête comme ça.

Je sais... Dis-je en me redressant. Mais... »

Ma vue se brouilla alors et je sentis ma tête tourner.

« Jimin ! » S'écria-t-elle.

Je sentis mes jambes me lâcher, et je tombai à genoux. Je fus bien vite rattrapé par plusieurs mains avant que mon visage ne s'écrase contre le sol.

« Jimin ! Cria-t-elle à nouveau.

Jimin, qu'est-ce qu'il se passe ? Me fit alors la voix de Hoseok.

Je... »

Je ne terminai pas ma phrase, plissant les yeux fortement sous le sifflement désagréable qui traversa mes oreilles. Lorsque les étoiles disparurent de l'intérieur de mes paupières, et que le sang qui était monté d'un coup à mon crâne était redescendu, je rouvris les yeux doucement. Tous mes amis étaient là et me regardaient avec inquiétude. J'avais dû leur faire une peur bleue.

« Je parie que tu n'as pas mangé ce matin. » Fit alors Wonpil.

Je plongeai alors mes yeux vers le bas de mon corps, fixant mes mains.

« Non. Soufflai-je. Pas eu le temps, je ne voulais pas être en retard...

Imbécile ! Siffla Hoseok.

Comment tu aurais fait, si tu avais fait un malaise dehors ? Me reprocha Jumi. Fais plus attention à toi, bon sang !

Ne bouge pas, je vais te rapporter un truc. Fit Seungwan.

Non, c'est bon. Murmurai-je, me sentant horriblement coupable.

Ce n'était pas une question. Rajouta-t-elle. Tu vas rester assis, manger, et boire ce que je vais te donner. Tu ne danseras pas, tant que tu n'auras pas tout avalé.

Mais-

Elle a raison. Me coupa Hoseok. Je te frapperais si je n'avais pas peur que tu nous refasses un malaise. »

Je gardai mon regard rivé sur mes mains.

« Désolé... M'excusai-je à nouveau.

C'est bon. Souffla Youngjae. Allez, viens.

Quoi ? Fit Jumi.

Quoi, « quoi » ? On ne va pas le laisser en plein milieu. Aide-moi à le faire asseoir contre un mur.

Tu m'as fait peur, je pensais que tu voulais qu'il vienne danser. »

Ils me saisirent tous les deux par le dessous des bras, et je me laissai faire. Je n'avais pas encore retrouvé toutes mes forces, et je me demandais vraiment comment j'avais pu faire pour tenir jusqu'ici en courant, sans n'avoir rien mangé. Ils m'aidèrent donc à m'asseoir contre le mur tout au fond du gymnase, celui sur la droite des miroirs. Seungwan revint alors vers moi et me posa une brique de jus de fruit et deux paquets de gâteaux sur les cuisses.

« Et tu as intérêt à tout manger. Me dit-elle sèchement.

Oui...

Bon allez, on y retourne ! » Lança Hyungwon.

Je pris le premier paquet de gâteau et l'ouvris. Tant pis pour moi, ça m'apprendra.

[...]

J'avais finalement « eu le droit » de danser avec eux une demi heure, juste avant que nous quittions le lycée. Je m'étais douché et rhabillé, et nous étions tous partis en ville. Nous avions mangé ensemble, avions traîné dans les magasins, dans un noraebang, et je m'étais fait chambrer plusieurs fois sur mon pantalon que j'avais enfilé à la va-vite ce matin, sans même faire attention à ce que c'était. Hoseok m'avait dit de ne pas les écouter, mais c'était plus fort que moi. Alors arrivé chez moi pour déposer mes achats et prendre de quoi passer la nuit chez Hyungwon, je filai me changer. Je retrouvai Hoseok à la cuisine qui discutait un peu avec ma mère autour d'un verre de jus d'orange, et nous sortîmes tous les deux. Et, apercevant la boîte aux lettres, je m'y arrêtai pour y jeter un coup d'œil. Ma lettre du jour était là.

« Tu fais quoi ? »

Je sursautai.

« J'ai du courrier.

Ok. »

Il reprit sa marche comme si de rien n'était, et j'ouvris l'enveloppe blanche, pour en sortir la rose plus petite, avec le numéro 16 dessus. J'en retirai la petite lettre, froissant les enveloppes pour les mettre dans ma poche, et je commençai à lire. Je vis rapidement rouge, sans mauvais jeu de mot, jusqu'à ce que je termine le message en entier. Ce après quoi, un gros coup de chaud envahit mon corps tout entier. Je serrai la lettre entre mes doigts et l'abandonnai dans ma poche avant de rejoindre Hoseok rapidement. Je sentis son regard sur moi, mais il ne dit rien pendant plusieurs minutes.

Alors que nous venions d'arriver à la station de métro, je mis plusieurs secondes à trouver ma carte de transport, noyée dans ma poche.

« Qu'est-ce que tu fais ? Me demanda alors Hoseok, qui m'attendait de l'autre côté des portiques.

Je cherche ma carte. » Dis-je en la sortant enfin de ma poche, retenant les morceaux de papiers de tomber.

Il n'ajouta rien, jusqu'à ce que je le rejoigne.

« Alors ? Me demanda-t-il.

Alors quoi ?

Ton courrier.

Rien.

T'es sûr ?

Mmm. »

Non. Il n'y avait rien.


« Bonjour Jimin. Aujourd'hui nous sommes le 16 décembre. Dis... tu n'as pas compris mon message d'hier ou tu as remis ce pantalon exprès ? Si quelqu'un te saute dessus en plein centre ville... ça sera moi. »


Il n'y avait rien. Rien du tout.

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