- 𝙴𝚝𝚛𝚎 𝙷𝚎́𝚛𝚘𝚜 - OCTOBRE 2085
𝙲'𝚎𝚜𝚝 𝚎𝚗 𝚖𝚘𝚞𝚛𝚊𝚗𝚝 𝚚𝚞𝚎 𝚕𝚎𝚜 𝚑𝚎́𝚛𝚘𝚜 𝚊𝚝𝚝𝚎𝚒𝚐𝚗𝚎𝚗𝚝 𝚕'𝚒𝚖𝚖𝚘𝚛𝚝𝚊𝚕𝚒𝚝𝚎́.
Je n'ai pas beaucoup vu Hizashi depuis l'anniversaire de la mort de Shirakumo, nous étions tous deux trop occupés. En ce moment, le quartier de Naruhata est animé, avec cette histoire de citoyens drogués à leur insu et de vilains éclairs. Là, j'avais une réunion avec l'Inspecteur Tsukauchi dans la boutique des frères Hotta.
Il y a quelques temps, leur pote avait été kidnappé et avait subi des expériences de modification biologique, ou quelque chose comme ça. Je ne suis pas un scientifique, je ne connaissais pas les détails. Je savais simplement que son alter avait été amplifié de sorte à ce qu'il ne puisse plus le contrôler. Il était maintenant en forme active 24h/24. C'était malheureux, surtout que je l'avais pris pour un vilain en premier lieu. Il faut dire, une sauterelle géante qui se déchaîne en pleine ville, il y a de quoi mal réagir. Alors, bien sûr, il s'était fait arrêter par un héros, mais après un moment nous avons compris le malentendu et il avait fini par être relâché.
C'est pourquoi j'étais là, à essayer de comprendre ce qui lui était arrivé. Tsukauchi est arrivé un peu après moi, et les propriétaires du commerce nous ont offert une tasse de café. Je me suis installé sur un tabouret pour écouter le récit de l'expérience humaine. Il semblait avoir la rage, ce qui était assez compréhensible. Se voir transformer en monstre à son insu puis être discriminé par ses camarades à cause de ça, c'est pas vraiment cool.
- Ce qui me débecte, expliqua-t-il en prenant un air dramatico-sceptique, c'est que la société soit à ce point en retard. Elle exclut encore beaucoup trop les minorités... on manque de structures et d'aménagements adaptés à nos besoins.
Même s'il avait profondément raison, j'ai levé les yeux au ciel. Et dire que c'est le même abruti qui a poursuivi un étudiant en le menaçant avec ses énormes lames pendant une vingtaine de minutes... Bon ok, il était peut-être sous l'emprise du Trigger, cette drogue problématique dont on essaie de remonter la trace, mais quand même.
D'ailleurs, même ses deux potes doutent de sa réflexion accusatrice. Les deux frères dont j'ai pas vraiment retenu les prénoms lâchèrent en chœur un soupir amusé.
- Minorités, vraiment ? demanda celui à la casquette.
- Tu es trop fort Kamayan, reprit le second qui portait une capuche, Tu ne penses qu'à ta petite personne mais t'arrives à faire passer ça pour un discours égalitaire !
- Pour un idiot, t'as du vocabulaire ! s'esclaffa le premier.
Mais la sauterelle géante continua de s'indigner, absolument scandalisée, en affirmant qu'il fallait faire une annonce publique. Leur débat fut alors stoppé par un parfum fleuri qui semblait émaner du policier qui essayait de calmer les tensions.
- Il y a comme une odeur de rose... Ça vient de vous, inspecteur ? demanda l'un des frères.
Le concerné se mit à rougir et tenta de se cacher sous son chapeau, ce qui s'avérait être un cuisant échec puisque tout le monde le remarquait. Ils ont alors commencé à parler des bienfaits et des avantages de prendre soin de soi, ce qui me fit doucement ricaner. Ils étaient ridicules à ne penser qu'à bien se faire voir par les filles. J'ai porté mon café à mes lèvres, vidé la tasse en quelques gorgées, et je me suis levé. Pas que les parfums et les fleurs ne m'intéressaient pas, mais si, totalement en fait.
J'en avais fini avec eux pour aujourd'hui, il était temps de partir en patrouille.
J'ai réarrangé mon écharpe sur mes épaules et fixé mes lunettes jaunâtres sur mon front en sortant du bâtiment. Je me glissais dans une petite rue puis escaladais la paroi d'un immeuble pour monter sur les toits du quartier. De là, je pouvais repérer facilement un crime. La journée venait à peine de commencer.
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Comme chaque matin, après avoir revêtu mon costume de héros, je me suis dirigé vers le magasin des frères Hotta pour y retrouver l'inspecteur de police avec qui je travaillais depuis un moment.
- Salut, j'ai dit en poussant la porte du bâtiment. Tsukauchi-san est là ?
- Eraser Head ! Arrêtez de prendre notre magasin pour un lieu de réunion !
J'ignorai le type qui venait de parler et me suis installé sur un tabouret pris au hasard.
- J'peux avoir un café ?
- Sérieusement mec, t'as cru qu'on était tes boniches ou quoi ?
J'ai haussé les épaules et jeté un coup d'œil vers le fond de la boutique. Les deux dirigeants du magasin étaient d'anciens dealers de Trigger, mais je n'étais pas 100% sûr qu'ils avaient vraiment arrêté. Difficile de sortir du monde du marché noir une fois qu'on y avait mis les pieds. Quoiqu'il en soit, même s'ils étaient clean maintenant, ils avaient quand même quelques contacts et j'avais donc besoin d'aller régulièrement à la chasse aux infos. Il devenait urgent de régler cette histoire de drogue amplificatrice d'alters.
L'inspecteur de police finit par arriver et j'ai pu avoir mon café. Nous avons discuté quelques temps d'un mec mystérieux qui semblait être lié à cette histoire de Trigger et d'humains modifiés. Son alter à lui était étrangement similaire à celui d'un héros qui avait disparu de la circulation. Certains disaient qu'il était mort en fouillant son nez là où il fallait pas, d'autres pensaient qu'il avait pris sa retraite pour vivre une existence normale, et quelques fantaisistes croyaient qu'il avait été kidnappé par des fans ou des extraterrestres. Je n'avais pas vraiment d'avis là-dessus, ce mec pouvait bien faire ce qu'il voulait.
- Il y a pas mal de héros qui préfèrent rester planqués quand ils quittent le métier, dit l'un des frères Hotta.
- Surtout les violents qui se font pas mal d'ennemis, compléta l'autre frangin. Ça vaut pour toi, Eraser Head ! À ta place je changerais mes methodes . . .
Loin d'être un signe d'inquiétude, cette remarque était plutôt une pique relevant ma manière de combattre sans pitié les voyous qui croient drôle d'abuser de leurs alters. C'est vrai que ça m'a valu quelques problèmes avec de simples civils qui avaient juste un peu exagéré une ou deux fois, mais c'était pas mon problème s'ils s'amusaient à jouer avec la loi.
- Je vois pas pourquoi je devrais prendre des gants avec des criminels, j'ai répliqué froidement.
- Et tu en rajoutes une couche en plus !
Les deux propriétaires du magasin s'indignèrent et continuèrent de me réprimander, mais ma seule réaction fut de lever les yeux au ciel. Et puis quoi encore, autant m'accuser de faire mon métier ! M'attirer des ennemis faisait partie du job, j'allais pas me prendre la tête sur ça. Moi je devais juste veiller sur les rues du quartier tant que j'en étais encore capable.
- Pour les héros underground dans mon genre, il y a pas 36 façons de finir sa carrière...
Je l'ai expérimenté quand j'étais encore au lycée : mourir, ça faisait aussi partie du métier. J'avais fini par l'accepter, et maintenant je devais juste continuer de faire ce dont j'étais capable pour protéger ceux qui étaient à ma portée.
- Soit on se tue à la tâche à force de combattre des vilains, j'ai continué, soit on atteint ses limites et on se retire discrètement de la scène.
J'aimerais avoir la deuxième option, mais je savais que ce n'était pas un choix qui m'était accordé. Je n'avais pas vraiment de contrôle sur ça. Qui sait ? Demain je pourrais tomber sur un super-vilain à la force physique monstrueuse qui me brisera toutes mes côtes d'un coup, et je ne pourrai rien y faire. Pas que je sois fataliste, c'était juste un fait parmi les milliards de possibilités que nous réservait l'avenir. Je ferai toujours tout ce que je peux pour m'éviter le premier futur, et je souhaitais la même chose à mes collègues.
- Je préfère penser que ce mec profite d'une retraite bien pépère.... Et un jour, ce sera aussi mon tour.
Quoique, peut-être que tout le monde ne pensait pas comme moi. Par exemple, All Might rêvait très certainement de tomber sur le front, après avoir sauvé des milliers de civils et mis à terre le boss d'un groupe criminel qui était recherché depuis des mois, voire même des années. Et que là, face aux caméras des journalistes qui n'avaient évidemment pas loupé l'occasion de filmer son exploit, il prononcerait ses dernières paroles –un discours prétentieux et idéaliste sans aucun doute– avant de s'effondrer dans le sang et la poussière, tel le véritable héros qu'il est.
Ouais, ça ne m'étonnerait pas. Mourir avec le même panache que celui dans lequel il a vécu, avec tous les regards posés sur lui. Il adorerait ça. Mais je n'étais pas comme ça, moi. J'aimais la discrétion et je ne cherchais pas la reconnaissance. Je faisais juste ce travail parce qu'il fallait que quelqu'un le fasse, et il se trouvait que je n'étais pas mauvais à ça.
Bref, Tsukauchi avait fini par nous rejoindre et nous avons pu reprendre l'entrevue de la dernière fois. Malheureusement, il n'avait pas vraiment plus d'informations sur le réseau de dealers. Par contre de nouveaux enlèvements avaient été répertoriés, et la police suspectait les disparus d'être victimes d'expériences comme le pote des deux frères.
- Il faut resserrer la surveillance, ils peuvent relâcher les cobayes n'importe où et n'importe quand, annonça l'inspecteur.
J'ai fait claquer ma langue contre mon palais en signe d'agacement. Je savais que l'investigation demandait beaucoup de temps, mais j'avais la fâcheuse impression qu'on tournait en rond, et je n'aimais pas ça. Ce n'était pas comme si c'était juste une bande de vilains qui apparaissait une fois tous les trois mois pour commettre un crime puis repartait en échappant sans cesse aux forces de l'ordre. C'était la routine, ce genre de situation. Non, aujourd'hui c'était beaucoup plus grave, et donc plus urgent. Il s'agissait de plus ou moins innocents civils qui étaient entraînés malgré eux dans un groupe criminel et qui semaient la zizanie dans le quartier sans qu'on arrive à remonter la trace jusqu'aux cerveaux derrière tout ça. Nous n'avions que des victimes, et aucun coupable. Même pas le moindre suspect.
- Il faudrait plutôt empêcher les civils de se faire kidnapper, au lieu d'arrêter ceux qui ont été modifiés, fit remarquer Hotta N°1.
- Abruti, on le ferait si on savait où et quand ils allaient se faire enlever ! j'ai répliqué, agacé.
Mais je savais qu'il avait raison. Nous avions un temps de retard sur le groupe de criminels caché derrière toute cette histoire. On se contentait de limiter les dégâts, mais il y avait toujours des victimes et des dommages collatéraux. On n'en faisait pas assez.
J'ai croisé le regard de l'inspecteur qui semblait penser la même chose que moi. Il fallait absolument qu'on trouve des informations. Je me suis levé, frustré au possible. Cette situation ne pouvait plus durer, mais seul et sans indice je ne pouvais pas faire grand chose.
- Si on savait ce qu'il se passe sur le marché noir, on avancerait plus vite, j'ai dit en toisant les deux frères. Rendez-vous utiles, faites parler vos contacts.
C'était sec et probablement mal placé de ma part de leur faire des reproches, mais je n'étais plus d'humeur.
- Hé, tu pourrais nous parler autrement, sérieux mec ! répliqua Hotta n° 2.
- J'avoue, on vous a déjà dit ce qu'on savait, nous ! ajouta le premier.
A vrai dire j'avais attribué les numéros au hasard, je ne savais pas lequel était l'aîné . . . Peut-être même qu'ils étaient jumeaux. Je m'en foutais.
- Quel culot le mec, j'y crois pas... marmonna l'un d'eux alors que je leur tournai dos.
- C'est toi le héros alors ne nous remets pas la faute, sale rabat-joie !
J'ai quitté la boutique en ignorant les plaintes de ses propriétaires. J'ai fourré mes mains dans mes poches et je me suis avancé dans la rue. Les passants me contournaient naturellement en me jetant des regards en coin qu'ils croyaient que je ne voyais pas. Mais je n'étais pas aveugle et encore moins stupide, j'étais juste flegmatique. Leurs jugements me laissaient indifférent. Qu'est ce que j'en avais à faire, moi, de ce que les autres pouvaient bien penser sans me connaître ?
Et pourtant, je m'étais bien énervé contre les anciens dealers... A vrai dire, ils n'étaient pas les seuls à nous accuser de ne pas être assez réactifs. Et ils n'avaient pas tords, c'était probablement ce qui m'irritait. Je faisais ce que je pouvais avec les moyens que j'avais, mais ce n'était pas assez. Les vilains-éclairs continuaient de frapper partout en ville.
Je détestais me sentir impuissant depuis que j'étais au lycée. Avoir tous ces gens à portée de main et être incapable de les protéger était une sensation horrible. J'avais envie de frapper quelqu'un ou quelque chose, qu'importe tant que ça me permettrait de me défouler.
Pour une fois, le Hasard fit bien les choses et un vendeur hurla au vol dans la rue adjacente à celle où je marchais. Sans hésiter, je me suis élancé vers le lieu du crime et j'ai aperçu 200 mètres plus loin trois voyous qui s'enfuyaient en ricanant. Un homme d'une quarantaine d'année tentait de leur courir après en criant des insultes tout en retenant son pantalon qui menaçait de tomber à cause de sa ceinture manquante. J'ai trouvé ça ridicule, mais ce n'étais pas mon métier de juger les méthodes des voleurs.
J'ai lancé mon bandeau sur un lampadaire et j'ai sauté par-dessus la foule qui circulait dans l'allée. En quatre secondes, j'étais presque à la hauteur des trois idiots qui ont cru bon de tenter un braquage en plein jour. Ils ne devaient pas avoir plus de mon âge, c'est à dire à peine la vingtaine. Etant suffisamment proche d'eux, j'ai activé mon alter pour effacer le leur. Ils ont immédiatement arrêté de rire. Ils se sont retournés pour regarder qui les poursuivait, mais malheureusement pour eux, j'étais au-dessus et non derrière eux.
- Je vais vous demander de vous arrêter, les garçons !
Mon ruban a saisi le pied droit de l'un et le pied droit d'un autre, les stoppant net dans leur course. Le troisième m'aperçut enfin mais il était trop tard. Après un salto parfaitement effectué, j'ai atterri sur lui, l'écrasant de tout mon poids.
- Ne bougez plus. Qu'est ce que vous avez volé ?
Les deux dont les pieds étaient retenus par mon écharpe spéciale s'agitèrent, en vain.
- ESPECE DE VIEUX SCHNOCK !
L'insulte ne me fit même pas tiquer.
- ON A RIEN VOLE, LAISSE NOUS PARTIR !
Je leur ai offert un regard placide qui les fit déglutir. Celui sur lequel j'étais assis grommela quelque chose, complètement sonné, mais je n'y fis pas attention. J'ai tiré sur les bandes blanches pour rapprocher les deux autres guignols de moi et les enrouler complètement dans mon accessoire de capture.
- RAAAH PUTAIN J'ARRIVE PAS A ME DEBARASSER DE CE TRUC !
L'un deux, qui avait le crâne complètement rasé, sortit un couteau de sa poche pour essayer de couper la bande. Je lui ai envoyé un coup de pied dans la tête. Je n'étais pas obligé de le frapper aussi fort, mais ça me faisait du bien. Et puis il était encore conscient, personne n'allait me faire un procès pour ça...
- CONNARD ! hurla celui que j'avais cogné. JE VAIS TE BUTER, SALE PSYCHOPATHE !!
- Quoi, j'ai pas frappé assez fort ?
Il se calma immédiatement, mais pas son pote. En deux temps trois mouvements, je l'avais maitrisé. Lorsque le vendeur qui s'était fait voler arriva enfin jusqu'à nous, retenant toujours son pantalon à deux mains, j'avais ficelé les trois bandits autour d'un lampadaire.
- AH VOUS VOILA PETITS CHENAPANS !
- LA FERME PAPY, répliqua le chauve.
- Rendez-moi tous les articles que vous m'avez volé !
- VA TE FAIRE FOUTRE, cracha le second de la bande.
J'ai resserré leurs liens.
- Faites ce qu'il dit.
Ils me grognèrent presque dessus, tels des chiens enragés, mais ça ne m'effraya pas le moins du monde. Je me suis approché et j'ai posé mon pied contre le lampadaire, au dessus de leurs têtes. Je me suis penché vers eux l'air menaçant.
- Ecoutez, je suis pas votre pote alors vous allez vous calmer et gentiment obéir. Un braquage ça vous suffit pas dans votre casier judiciaire ?
On m'a toujours dit que j'avais naturellement une tête effrayante, mais ce n'était rien par rapport à l'expression que j'avais quand je voulais vraiment faire peur. Et ces trois-là, même si l'un d'eux était à moitié inconscient, étaient clairement effrayés.
- On-on le-les a dép-déplacé...
- Ouais, fau-faut voir da-dans la ru-ruelle pas loin...
J'ai froncé les sourcils. Je me suis dit qu'ils devaient avoir un alter de transportation d'objet ou quelque chose du genre. Je me redressai pour me tourner vers le vendeur.
- Vous avez appelé la police ?
- Euh oui, merci . . . Vous êtes un héros ?
Je hochai la tête sans pour autant lui donner mon pseudonyme. Je n'avais pas envie d'être remercié, je faisais juste mon boulot. Il y avait eu un crime donc je suis intervenu, c'était tout à fait normal et rationnel. Je n'avais pas besoin que les passants me reconnaissent dans la rue, ni que les commerçants m'offrent des choses pendant que je patrouillais. C'était toujours encombrant de recevoir des cadeaux.
La police arriva enfin pour reprendre les choses en main. Apparemment, le chauve pouvait échanger les objets qui possédaient la même masse, et ainsi il avait téléporté les articles du magasin dans une rue parallèle où il avait disposé au préalable une trentaine de bidules inutiles et sans valeur. Et d'après les habitants du quartier, ce n'était pas la première fois qu'ils usaient de cette technique.
Je me suis éclipsé discrètement pour reprendre ma patrouille. J'étais satisfait d'avoir accompli cette arrestation, mais la ville grouillaient encore de criminels, et il fallait bien quelqu'un pour s'en occuper.
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[ 3000 mots ] — ̷0̷9̷.̷0̷4̷.̷2̷0̷2̷1̷ 10.04.2021
Sorry for the late !
J'ai pas grand chose à dire à part que j'ai pas vraiment géré sur ce coup là... Ne pas finir un chapitre, c'est con.
Bref, c'est un peu la galère dans ma vie en ce moment. J'entre en période d'exam du coup mes parents me prennent de plus en plus la tête. Et puis mes colocs sont casse-couilles aussi. Et je suis prise dans des problèmes pas possibles sur Discord, je suis à deux doigts d'abandonner les relations humaines parce que marre de voir des gens se disputer entre eux et devoir marcher sur des oeufs ensuite. Bon après moi aussi j'aime pas des gens donc je devrais pas critiquer mdrr.
Du coup comme j'ai la tête grosse comme ça (vous voyez pas mais je mime une tête remplie là) bah je m'échappe sur Youtube et Reddit. Je me pose juste comme ça devant mon ordi et j'ai pas besoin de réfléchir, j'écoute et je lis les blagues des autres et ça me fait du bien, j'ai aucun effort à faire.
Bref, assez de racontage de vie. Le prochain chapitre est une suite direct de celui-ci, et Hizashi sera encore absent, sorry not sorry ~
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Cho.
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