Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

feel the chemistry, feel you next to me.

  L'eau froide, début mars, n'était pas la plus brillante des idées. Cloué au lit, soumis à fièvre et maux de tête, Minho aurait pu regretter son manque de précaution, à ne pas avoir quitté l'eau glacée. Ç'aurait d'ailleurs été le cas, s'il ne les chérissait pas tant, ces instants avec son brunet. D'autant plus que lui n'était pas des plus anodins, leurs mots s'étaient faits si ambigus, il aurait presque cru à une réciprocité.

  Sauf que la nuit avait passé et ses souvenirs flétri, la réalité le rattrapait et il craignait avoir rêvé. Son estime le rappelait à l'ordre, il ne souhaitait pas se mentir, se perdre en fausses utopies. Seungmin était, simplement, trop gentil pour lui. Alors son cœur faisait l'amalgame, confondait les intentions, les sentiments. Il s'emballait toujours trop, trop vite et trop fort, Minho. Ça lui avait valu des peines à la pelle mais cette fois, il le sentait : la chute serait plus douloureuse que les précédentes.

  Parce que c'était Seungmin, et qu'avec lui, rien n'était pareil. C'était le garçon du réconfort, son premier ami, sa mélodie perdue puis retrouvée. Alors ouais, Minho était pessimiste, sûrement plus que nécessaire, mais c'était juste qu'il avait peur. Voilà comment il en venait à douter autant, même quand pour tous c'était évident.

  Parfois, il ne voulait qu'appuyer sur pause, calmer le flot de ses pensées. Aujourd'hui, tout particulièrement, cela semblait vital. Sa tête le lançait toujours, son être entier tremblait de froid malgré qu'il se sente brûler, et voilà que la nausée s'y ajoutait. L'espace d'un instant, une traître seconde, Minho regretta d'avoir incité Seungmin à sortir. Lui-même s'était proposé pour rester à ses côtés, mais le pianiste, moins malade au réveil, n'avait pas souhaité être un poids. Ils avaient prévu aujourd'hui une partie de paintball, non loin de leur camping : s'il ne pouvait s'y rendre, il voulait tout de même que Seungmin en profite.

  N'empêche que là, il n'aurait pas refusé un peu de compagnie. C'était pas une âme solitaire, il s'ennuyait vite, laissé à lui-même. Sans trop penser, et car il ne cessait de songer à Seungmin, il sortit son portable et lui envoya un message. Sans trop penser, c'était risqué en cet instant, mais qu'importait.

──────────────────

moi
ça se passe bien ? :)

seungmo <3
ouais, c'est super cool !
même si ça serait mieux avec toi
d'ailleurs tu te sens mieux ?

moi
pas vrmt, j'ai connu mieux mdr

seungmo <3
tu veux que je rentre ?
ça me dérange pas

moi
honnêtement ? oui

moi
mais t'embêtes pas pour ça stp, c'est rien.
j'sais même pas pourquoi je t'écris alors que t'es en train de t'amuser avec tout le monde, c'est con

seungmo <3
justement c'est pas rien non, si t'en viens à me demander
et j'ai dit que ça m'embêtait pas

seungmo <3
je savais que j'aurais dû rester purée
je préviens les autres et j'arrive attends

moi
tu sais tout en fait ouu
j'suis un gros clown

seungmo <3
??

moi
!!

seungmo <3
minho..

moi
hier aussi tu savais, hein ?

seungmo <3
mais de quoi tu parles ??

moi
j'suis juste fatigué, je comprends plus rien
c'est pas si compliqué de base, pourquoi je doute toujours quand c'est toi ?

──────────────────

  La boule au ventre et les idées, disons-le, de moins en moins claires, Minho reposa son portable, soudain effrayé. Un instant la peur l'avait quitté mais la voilà qui revenait au galop, et Seungmin avec elle. Ça lui avait rappelé leurs discussions d'antan, ces messages quand il écrivait ses pensées sans filtre, se sentait pousser des ailes. Qu'aurait-il risqué de toute façon ? Pas grand-chose à cette époque, mais tout aujourd'hui.

  Sauf qu'ils devenaient trop puissants, trop perturbants, ces sentiments. Les garder muets encore, il n'y parviendrait pas et le savait. Ça l'angoissait. À tout moment, il cédait. À tout moment, tout se briserait.

    — Minho ?

  La voix résonna un instant, s'évanouissant entre les murs de l'habitation. Le susnommé ne répondit pas, les mots enchevêtrés et coincés au fond de la trachée, le cœur paniqué. Ne restait alors plus, dans ce silence de plomb, que la respiration de Seungmin. Légèrement affolée – il semblait avoir couru – elle fut bien vite suivie de pas le long du plancher.

  Quand finalement il apparut dans le cadre de la porte, à l'entrée de leur chambre partagée, Minho songea à faire le mort. Simuler un sommeil dont de toute façon, il n'était pas bien loin, ce n'était pas si compliqué. Malheureusement, il se dénonça lorsque son ami alluma la lumière, geignant et enfouissant sa tête dans l'oreiller.

    — Merde, désolé ! s'exclama le brun, s'empressant d'éteindre à nouveau.

  Plongés dans l'obscurité, c'était plus rassurant et plus lourd à la fois. Quelques rais de lumière filtraient les volets, rappel que dehors, le monde continuait, le soleil régnait. Seungmin prit place au bord du lit occupé, sa tête cognant brièvement le plafond du lit superposé. Assis sans trop s'étaler, veillant à ne pas déranger le malade, il l'observait avec une inquiétude mal dissimulée. Lui qui d'ordinaire parvenait à tout cacher, chacune de ses émotions indésirées, ça changeait.

  Les secondes passèrent pourtant aucun mot ne sortait, chacun semblant attendre que l'autre ne commence. Peut-être Minho pouvait-il feindre le sommeil, finalement.

    — Ça va pas mieux, j'ai l'impression. Désolé de t'avoir laissé seul, j'ai pas été malin sur ce coup-là, rit timidement Seungmin.

  Ou pas.

    — Non, c'est pas ta faute. C'est déjà super sympa d'être revenu, articula le plus âgé, la voix basse de fatigue.

    — Un peu quand même. Son regard s'échoua sur Minho, balaya la chambre puis s'attarda sur la table de chevet, où il fronça les sourcils. Je vais chercher un truc, je reviens.

  Sur quoi il se leva et partit en direction de la kitchenette, sous le regard intrigué du pianiste. Une ou deux minutes s'écoulèrent et il reparut, verre d'eau dans une main et serviette dans l'autre. À hauteur du convalescent, il s'avéra qu'il amenait également une plaquette de cachets et quelques encas, notamment une compote et une clémentine. Il déposa le tout sur la table de chevet, bien moins vide désormais.

    — « Un truc », rit doucement Minho, c'est un peu plus ça.

    — T'as rien fait pour te soigner, aussi ! Le minimum c'est de s'hydrater, s'agaça son ami.

    — Mais maintenant t'es là, tout va bien, sourit le roux, entre taquin et sérieux. T'es un peu mon prince charmant en fait.

  Seungmin leva les yeux au ciel malgré le sourire sur ses lippes, il aimait agir comme si Minho l'agaçait, avec ses douces idioties. La vérité c'est qu'il les chérissait un peu trop, mais ça c'était les pensées à ne pas révéler, garder cachées.

  Chassant ces idées, il redirigea son attention sur son aîné, s'affairant à recouvrir son front de la serviette désormais imbibée mais aussi à lui faire ingérer quelques verres d'eau et un cachet d'aspirine. Une fois cela fait, il lui proposa la compote et la clémentine, que Minho accepta sans trop rechigner – bien qu'il n'ait pas vraiment faim. Manger quelque chose de frais et sucré lui fit du bien, plus qu'il ne l'aurait pensé. À moins que ce ne soit la situation dans son ensemble : être dorloté, soigné avec patience et mots doux, il y était peu habitué. D'ordinaire il prenait sur lui, par crainte de déranger sa famille et ses proches.

  Mais avec Seungmin, il ne se sentait plus comme un poids. Ses débordements d'émotion, son énergie explosive, ses moments de doutes et ceux d'incertitudes, ou même lors d'une banale grippe comme celle-ci, le garçon du réconfort restait à ses côtés. Il ne partait pas et ne le ferait pas, pas tant qu'il n'irait pas mieux, ça le rassurait. Conforté par cette pensée, Minho s'abandonna enfin à Morphée.

꒰ა ☁︎ ໒꒱

    — Bien dormi, la belle au bois dormant ?

  Encore dans les vapes, le rouquin baragouina plus que ne répondit, ce qui eut le don de faire rire le cadet. Une douce lampe était allumée sur la table de chevet inutilisée, celle de l'autre lit superposé. Ainsi, la pièce était un minimum éclairée et plongée dans une douce ambiance tamisée, sans pour autant aveugler ses pupilles. Quelques secondes passèrent et il reprit finalement ses esprits.

    — T'es vraiment mon prince charmant. Quelle heure il est ?

    — Quinze heures, t'as dormi un bout de temps. Les autres rentrent en fin d'après-midi, ils passent faire des courses ils m'ont dit. Et par pitié, si je suis un prince pas lui, il respecte même pas la base du consentement ! il ajouta, sur un ton de confidence lasse.

  Pour toute réponse Minho ricana, son ami n'avait pas tort. Selon le conte originel, ce prince-là était, avouons-le, un humain plus que douteux. Bien loin de son Seungmin adoré, autrement dit.

    — Ça a l'air d'aller mieux, reprit le brunet, d'un questionnement discret.

    — Mh, c'est vrai ! L'aspirine a bien fait son travail.

  Son ami lui lança un regard désabusé, toujours ce sourire refréné aux lèvres.

    — Par aspirine tu veux dire moi, pas vrai ?

    — Aussi, admit le pianiste, dans un doux rire.

  Content de lui, le parisien prit son air satisfait que Minho connaissait si bien, avant de boire à son tour un peu d'eau. Suite à quoi, l'hésitation parut le gagner quelques instants. Ses yeux fuyaient le malade mais ne pouvaient s'empêcher d'y revenir, à l'image d'aimants trop puissants.

    — Tout à l'heure, par message... Minho maugréa, il redoutait cette conversation de tout son être. Tu parlais de quoi, en disant que je « savais » ? Et qu'est-ce que tu trouves compliqué, exactement ?

    — Rien, oublie.

    — J'ai bien vu que tu m'évite dernièrement, j'suis pas aveugle tu sais. Alors c'est comme tu veux, mais... tu peux te confier à moi, l'oublie pas.

    — « J'suis pas aveugle, » répéta Minho avec ironie, si bas qu'on aurait pu croire qu'il ne l'avait pas entendu, Seungmin.

  Pas de bol, le garçon avait l'ouïe fine et il fronça d'autant plus les sourcils, croisant ses bras sur son torse. Quelque chose n'allait définitivement pas.

    — Mais encore ?

  En Minho, tout s'affola. Il voulait répondre mais ses pensées se disputaient, les mots se bousculaient et son estomac se nouait. Plus les secondes passaient et plus l'air s'alourdissait, ça l'angoissait. Alors après une inspiration précipitée, il se lança.

  Déjà, il redoutait le torrent et les dégâts qui en résulteraient.

    — J'arrive pas à savoir si tu te fous de moi ou pas. Tu fais comme si de rien n'était et j'ai envie de te croire, mais même moi je m'en rends compte, que suis trop évident ! Les au-autres aussi, ils... tout le monde a compris. Et toi t'es malin, nan ? Oui, t'es très malin. Trop, peut-être. Un sourire triste prit place sur ses lèvres, à fendre le cœur de n'importe qui. Tu sais que parfois, j'ai l'impression d'être le roi de ton monde et d'autres... un simple figurant ? Parce que j'me dis, t'es gentil comme ça avec tout le monde, j'me fais des films, puis tu me regardes avec tes yeux, là, et... voilà, c'est de ça que je parle, quand je dis compliqué. J'ai l'impression de devenir fou Seungmin, j'ai l'habitude que mes émotions me dépassent mais là, c'est différent. J'ai peur, j'veux pas tout imaginer, j'veux pas que tu repartes, j'vais faire comment, j'suis trop bête, pourquoi, pourquoi... Ses yeux embués laissèrent une première larme s'échapper, sa voix se fissura et ses dernières barrières cédèrent.

  Paniqué, le garçon essuyait ses larmes mais elles affluaient sans fin, trop nombreuses. Cette bataille contre lui-même était perdue d'avance, ses états d'âme ne voudraient rien entendre, ils ne le voulaient jamais.

    — Désolé, je voulais pas me donner en spectacle.

  La façon dont sa voix tremblait, râpeuse et blessée, il détestait. Effaçant avec hargne un dernier flot de pleurs cristallins, il se leva finalement et partit en trombe, évitant soigneusement la silhouette muette, debout au milieu de la pièce.

  Parvenu dehors, il s'autorisa enfin à respirer. Le long de la rivière, il tenta d'apaiser ses tourments, calmer son cœur. Surtout, oublier qu'il avait complètement cédé et explosé devant Seungmin, laissé le torrent prendre le dessus et baragouiné un tas de choses qu'il n'aurait pas dû. Maintenant, le brun avait vu sa pire face, super. Il la connaissait déjà de quand ils étaient enfants, mais Minho venait de lui prouver que depuis, il n'avait pas grandi, pas même un peu. Toujours aussi immature, sensible, insupportable.

  Enfin, le pire dans tout cela restait sans doute l'absence de réponse du plus jeune. Stoïque comme un arbre, il avait écouté son ami sans jamais intervenir. Même quand il s'était – en quelque sorte – déclaré, même quand il avait éclaté en sanglots, même quand il était parti telle une furie. Pas un mot. Peut-être bien qu'il le détestait, maintenant. Ou alors le prenait en pitié, s'il n'était pas purement et simplement dégoûté. Envisager ces options donna la nausée à Minho, qui accéléra le pas.

  Fuir. Il n'avait que ça maintenant.

  Quand finalement il déboucha sur la clairière, le lac et la cascade de la veille, il soupira lourdement. Ses pas l'y avaient naturellement mené, comme pour mieux le torturer. L'endroit était tout aussi beau de jour mais ce n'était pas l'idéal, pour arrêter de penser au parisien.

  Pourtant il s'assit dans l'herbe verdoyante, sur une avancée de terre au-dessus de l'eau, profitant du calme apaisant. Un moment il resta ainsi, envisageant quelques fois de plonger à nouveau, avant de d'auto-dissuader : il allait vraiment attraper la crève.

  C'était si doux comme lieu, il en oubliait presque les événements précédents. Presque, si l'on n'avait pas brusquement rompu sa quiétude.

    — Minho ! s'écria un Seungmin essoufflé, quelques pas en arrière. Je t'ai cherché partout.

  Le nommé garda le silence, il n'avait pas la force de lui parler, actuellement.

    — Pourquoi t'es parti comme ça..? questionna plus doucement le brun, tout en rejoignant Minho.

    — À ton avis ? il consentit finalement à répondre, las. Tu répondais rien, j'ai paniqué.

    — Je... désolé.

    — Pourquoi t'es là ?

    — Pour discuter, comprendre. J'suis sûr qu'on peut... régler tout ça.

« Régler tout ça. » Minho était au bord de l'implosion, pourquoi Seungmin se faisait-il aussi flou ? Avait-il au moins entendu sa confession, ou ces paroles signifiaient son désir d'oublier, effacer ces sentiments superflus ? Pleurer ou crier, le cœur du rouquin était partagé en deux.

  Ça y est, ils y étaient : il avait tout foiré. Alors autant aller au bout, maintenant que chemin retour n'était plus possible.

   — Soit on est trop têtus, soit on est idiots, il rit sans joie. Sûrement un peu des deux. Mais tu sais quoi, il claironna presque, j'vais le redire et cette fois, ça sera si clair qu'aucun doute sera permis. Après quoi, j'te lâcherai la grappe.

  Seungmin voulut intervenir, l'air à la fois perdu et contrarié mais à nouveau, son ami reprit avant.

    — J'ai des sentiments pour toi. Genre, vraiment. Des sentiments que j'arrive plus à garder pour moi.

  Pause, leurs orbes s'accrochèrent, le temps ralentit. L'herbe, le ciel, le chant des oiseaux, ils devenaient désuets et flous. Et peut-être qu'à cet instant, Minho devint réellement fou.

  Délicat et pourtant si fugace, il déposa un baiser à la commissure des lèvres tentatrices. Le brun aurait pu s'y abandonner, il ne souhaitait que ça, en réalité. Seulement voilà, Minho avait déjà reculé, le cœur battant et les yeux habités de cette flamme bleue, peur et pleurs transformés en audace assurée.

    — Je t'aime comme ça. Pas qu'en tant qu'ami, pas seulement. Je t'aime pour qui t'es, dans ton entièreté, et avec tout mon être. Et tant pis si c'est pas réciproque, tant pis si c'est pas autorisé, tant pis si tu trouves ça écœurant-

  Le pianiste crut voir flou, lorsque la main du parisien se posa dans sa nuque pour l'attirer à lui et que timidement, ses lèvres heurtèrent les siennes. Sans attendre et presque par automatisme, c'est qu'il avait patienté si longtemps, Minho répondit au baiser. Il ne comprenait pas tout mais c'était si doux, si jouissif, il en voulait encore, que ça ne s'arrête jamais. N'y croyant qu'à demi, il s'agrippait à la chemise du brun, de peur que celui-ci ne parte, l'abandonne. Comme pour le rassurer, ce dernier entoura sa taille de ses mains, assurant une prise rassérénante.

  Lorsqu'enfin il se séparèrent, Minho avait les yeux grands comme des soucoupes et le souffle affolé, ce qui provoqua un léger rire chez l'autre.

    — Tu me laissais pas parler, se justifia finalement Seungmin.

  Minho haussa un sourcil, peu satisfait de cette raison. Ses pensées changèrent cependant bien vite aux paroles qui suivirent.

    — Je t'apprécie aussi beaucoup, Minho, plus qu'un ami. Je refusais de comprendre par peur de me faire de fausses idées, mais... c'est pas le cas, si j'ai bien compris ? Son interlocuteur gonfla les joues, prêt à le secouer comme un prunier. Je rigole, me tape pas ! Je...

    — Tu ? questionna une voix rieuse dans son dos, le faisant sursauter.

  Jiseok était subitement surgi derrière lui, sans que ni lui ni Minho ne le remarque et il se tenait maintenant là, grand sourire et air innocent sur la face. Cependant, devant les regards assassins des deux amis, son sourire fana.

    — Oh merde, j'interromps quelque chose-? Désolé les gars, c'est juste qu'on vous a cherché partout ! Bon, j'vais vous attendre un peu plus loin, okay ? Ouais, c'est mieux.

  Sur quoi, il alla les attendre à l'entrée de la clairière. Jouant avec quelques cailloux, il donnait envie de venir le voir, le tirer de son ennui immédiat, dès lors qu'on le laissait à lui-même. Cependant, Minho comme Seungmin avaient autre chose en tête, pour l'instant.

    — T'allais dire quoi ? relança le roux, bien trop curieux pour s'abstenir.

   — J'sais plus, prétexta son ami d'enfance, au plus grand damn de l'autre. On ferait mieux de rejoindre les autres, tu penses pas ?

    — Cette conversation est pas terminée Kim Seungmin, je te préviens, menaça le plus âgé, alors qu'ils rejoignaient Jiseok.

    — J'y comptais pas, t'en fais pas. J'ai pas fini de t'embrasser non plus, Lee Minho.

ఌ︎.

i swear j'vais prendre l'un pour taper sur l'autre
MINHO IL A RIEN FAIT COMME PRÉVU
J'AIME PAS ÉCRIRE LES BISOUS
C'EST TROP LONG ET BROUILLON
SEUNGMIN AUSSI J'VAIS LE TAPER

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro