ㄨⅢ ◆τακε α βrεακ
Finalement, il m'était tombé dessus le lendemain, alors que je venais tout juste de rentrer de mon escapade nocturne.
Il avait été mécontent en tellement de points, à ce moment là... Mais j'avoue avoir été légèrement trop épuisé pour tenter de raisonner avec ces paroles ponctuée d'insultes, d'autre pensées de liberté entravant mon esprit, comme ayant emprisonner celle de la veille afin de les conserver.
Lorsqu'il avait découvert que j'avais 'fugué', comme il l'a dit, il n'avait rien dévoilé à maman, parce que bien sûr il n'en avait rien à faire, mais s'était tout de même servit de cette excuse supplémentaire pour me faire plier sous la menace, en plus d'y ajouter une raison de hausser la voix.
Maman était de sortie avec des connaissances, et fort bien chanceux que je suis, le paternel n'avait rien d'autre à faire que de squatter la maison ...
Disons que je n'ai trouvé autre occupation que de m'enfermer dans la chambre, espérant que le temps passe, comme il est déjà passé et qu'il passera à jamais.
En temps normal, j'aimais vraiment passer du temps à ne rien faire, mais aujourd'hui il manquait quelque chose.
Un manque qui n'avait jusque là jamais fait irruption dans ma vie.
Comme Livaï.
Un manque qui m'avait surpris, qui me faisait peur.
Comme Livaï.
Un manque lequel j'avais peur qu'il prenne trop de place dans ma vie.
Comme Livaï.
C'était une sensation apportant tellement d'impuissance, comme s'il était à impossible de s'en départir.
Pour tenter de combler ce vide, j'avais attrapé mon téléphone que je n'avais finalement pas utilisé la veille, avant de m'apercevoir que de nombreuses notifications occupaient la barre des tâches.
J'avais ricané légèrement lorsque je me suis dis que jamais je n'avais été aussi populaire, avec un total de 23 messages non-lus, principalement de deux expéditeurs : Armin et Mikasa.
Ouvrant l'application messagerie, j'ai attrapé les écouteurs, que je branchais par la suite à l'appareil, lançant une playlist.
Je m'installai sur le lit, constatant que la première qui se mis à résonner était une musique que j'avais depuis si longtemps, qu'il semblerait qu'elle logeait dans ma vie depuis toujours...
Iridescent emplissait l'espace m'entourant, bien que je sois le seul à l'entendre.
Au grès des accords de piano, je chantonnais l'air nostalgique avant de finalement procéder à la lecture des messages.
Beaucoup de message d'inquiétudes.
Beaucoup trop pour quelqu'un comme moi, qui ne souhaite en rien qu'on s'inquiète pour lui.
Parcourant rapidement leurs messages, deux principales émotions pouvaient en émaner.
L'inquiétude, bien évidemment mais aussi ce qui semblait être de la colère.
Je ne pouvais que me répéter qu'un jour il comprendront à quelle point ils auront une vraie raison d'être en colère, face à tous mes mensonges incessants.
L'inquiétude provenait des premiers messages.
Évidemment, quand tu disparais mystérieusement, il y en a qui ne peuvent que se demander si tu n'as pas été enlevé par un serial killer.
Pas loin, je leur aurais répondu.
Après quelques heures d'absence de réponses aux messages, c'était Mikasa qui avait commencé à me menacer, impliquant mes pauvres fesses si je ne lui répondais pas au plus vite.
Maintenant encore, j'hésite à le faire.
Je vais encore lui dire qu'il n'y avait pas d'inquiétude à avoir.
Que rien ne s'était passé.
Que j'allais bien.
Bien sûr, j'irais répéter après ça les même arguments à Armin, bien plus sceptique parce qu'on ne disparait pas comme ça.
J'aurais aimé disparaitre comme ça.
Partir loin de tout ça.
Mais je ne veux pas penser à ça.
Ça me rappellerait juste ce qu'il s'est passé la veille, loin de moi l'idée de vouloir me sentir à nouveau aussi libre.
Découragé, j'avais juste reporté à plus tard de leur répondre, souhaitant au plus profond de moi prendre cette autre liberté que je possédais à faire comme si plus rien n'existait, comme si ce lit était mon seul soutien.
J'ai senti mon doigt glisser sur le bouton supposé éteindre l'écran, lorsque une dernière notification attira mon attention.
Un dernier message, étant de la veille, qui n'était ni de Mikasa, ni d'Armin.
Seul un numéro à 10chiffres pouvait me donner le nom de l'expéditeur, ce qui ne m'aida bien évidemment pas.
Je n'eus cependant pas le besoin de me questionner plus longtemps sur son identité lorsque je me retrouvai face à ce message.
De [Numéro Inconnu]
[Hier, 19:48]
Heya ! OH GOD, TU PEUX PAS SAVOIR COMMENT JE SUIS MEGA CONTENTE D'AVOIR PU CHOPPER TON NUM, ARMIN EST UN VRAI CHOU~ JE PENSE QU'IL A PAS SUPPORTER MON CHARME ... GOD, J'ESPÈRE QU'IL A PAS SUCCOMBÉ, CE SERAIT QU'UN AFFREUX MALENTENDU !
BREFFOUILLE, COMMENT VONT LES AFFAIRES ?? J'AI APPRIS QUE T'AVAIS EU À NOUS QUITTER SUR LE COUP ... ARG, POURQUOI, TU M'AS MEME PAS DIS AU REVOIR, SANS OUBLIER QUE T'AS LOUPÉ UN TAS DE TRUCS, ET PUIS--
Et le pavé d'Hanji n'en finissait plus. Pour faire gros, elle avait probablement la joie d'avoir trouvé un nouveau numéro de téléphone.
Elle avait aussi pris le soin de me tenir au courant de son chat malade, suite à un traitement qu'elle avait elle même prescrit... Pas très efficace, je suppose.
Le reste j'avais survolé, m'étonnant encore de ne pas avoir fermé le message, mais c'est lorsqu'elle arriva sur un point important qu'elle me laissa avec le moins d'information possible.
En tant normale, ça ne m'aurait pas dérangé, mais ces quelques mots avaient eu le pouvoir de me faire regretter de l'avoir lu jusqu'au bout.
AU FAIT, IL Y AURA RÉOGANISATION DES DORTOIRS ! qu'elle m'avait envoyé.
Réorganisation ne voulait probablement pas dire rangement des chambres... Je n'y voyais donc qu'un seul sens pouvant se faire employer pour ce mot, et ça m'a énormément déplu.
Mon dortoir était ma seule cache sûre de l'établissement, le seul endroit où je pouvais m'y exposé en surté, là où j'étais encore libre de tous mes droits...
Je me sentis trembler tandis que je me blottis sous les couvertures de mon lit, comme si les quelques couches pouvaient me protéger de tout ça.
J'avais à de nombreuses reprises eu à faire à une colocation de chambre.
Comment vous dire l'enfer que c'était.
T'es comme un poisson à qui on aurait retiré l'eau du bocal.
Comme un Bernard l'ermite à qui on aurait enlevé sa coquille.
Comme un homme auquel on lui aurait coupé les vivres.
Comme si on me livrait sur un plateau d'argent, attendant d'être servi sachant que cette fin était inévitable.
Maintenant encore, je ne sais pas comment mes anciens coloc n'ont jamais pu percer mon secret.
Cette pensée me réconforta du mieux qu'elle le pu, malgré que je sache que maintenant ne sera plus la même chose.
Cette fois ci, je ne m'en tirerais pas aussi bien. Je le savais.
Manquait plus qu'à attendre le motif de cette décision, probablement extraite du directeur, afin que je tente de le persuader de me laisser ma chambre.
Celle où se trouvait encore mon matériel.
Celle où un tas de plumes était encore enfoui sous le lit.
Je ne voulais pas la changer...
Peut être me trouverez vous ridicule à agir comme ça.
Peut être n'y avait-il aucune raison à mes agissements.
Je n'avais aucune raison de réagir ainsi, à par celle du fait que je sois moi.
Un être qui ne devrait pas se trouver sur terre.
Un être qui vit à travers le mensonge.
Un être qui cherche à tous prix à se cacher des yeux du monde.
Un être qui, il me semble, était dépourvu de toute émotions qui ne se rapprochaient pas de l'angoisse de se faire découvrir.
Je n'ai aucune raison à m'inquiéter autant pour une simple colocation.
Mais il y a des secrets qu'il est préférable de garder enfouis en soi. De préférence, éternellement.
Je m'étais mis à rire nerveusement, roulé en boule sous des couvertures, sur un matelas parsemé de plumes, et après un gémissement de douleur foudroyant l'ensemble de mon corps, les ailes volontairement sorties.
Je m'étais dis 'pourquoi pas ?' après tout, c'est peut être la dernière fois qu'elles pourront se déployer sans qu'un regard inconnu ne les dévisagent, horrifié.
Je ne voulais pas savoir si du sang avait coulé durant la floraison de ces membres.
Je dirais à maman que j'ai eu mes règles, et on en rigolera.
Je ne voulais pas non plus savoir ce qui se passerait si l'un des deux devait passer le pas de la porte, et voir ces grands appendices rétractés autour de mon corps, à la recherche d'une nouvelle forme de confort.
Même si la position n'était pas confortable, ça ne pouvait que me rappeler un souvenir que je n'avais plus, celui de l'étreinte douce de ma mère biologique.
Ne souhaitant pas retourner dans l'abîme des souvenirs à douleurs, j'ai tenté de penser à autre chose.
En vain.
Dans cette pièce obscurcie, la luminosité était à son plus bas.
Fébrilement, j'ai tendu la main vers l'ailes d'origine blanche, maintenant revêtue de sombre, camouflant sa pureté la rendant presque aussi noire que son égo.
Malgré tout, elle conservait sa douceur angélique.
Comme un bon souvenir qui persiste à travers les ténèbres, voulant montrer à qui la remarquerait qu'elle ne se laissera pas abattre.
C'est ainsi que j'ai fini dans un cocon plumeux, que je n'avais plus eu l'habitude de faire depuis bien longtemps.
Je me souviens encore quand M'ma me le reprochait, disant que seul les bébés faisaient ça.
Mais elle finissait toujours par me sourire tendrement, rapidement suivi par une étreinte, me confortant que j'étais son bébé à elle et que pour rien au monde elle ne cessera de m'aimer.
Ces vieux souvenirs avaient le don de me faire monter les larmes aux yeux.
Ces vieux souvenirs étaient tout ce qui me restaient de M'ma.
Ces vieux souvenirs... Pour rien au monde, je n'avais souhaité les supprimer.
Ces cinqs années de ma vie que j'avais passé avec elle, j'aurais souhaité tous les garder avec moi.
Mais le temps emporte tout sur son passage, telle la tempête dérobant les dernières feuilles constituant un arbre.
Le temps est un voleur.
Il dérobe à chacun de nous quelques chose que beaucoup considèrent de précieux.
La vie.
Chaque seconde qui passent, le temps nous la prends. On en vit une nouvelle, mais encore une fois, partie.
Et c'est comme ça en tout temps. Les minutes et les heures suivent. Ça se transforment en jour, et bientôt, c'est les années qui passent.
Le temps n'est qu'un instant.
C'est également un présent.
Mais vraiment, ce n'est qu'un mot qu'on a placé sur une notion indéfinie.
Mais pour moi, ce n'est qu'un voleur.
S'il prend les minutes qui passent, il prend également les souvenirs de ses minutes qui passent.
Alors, ces minutes passées seront inexistante dans ta vie.
Comme du jamais vécu.
Un Oubli.
J'ai beaucoup oublié, pour le mieux, mais aussi pour le pire.
On a tous des choses qu'on ne souhaite pas se souvenir. D'autre qu'on ne souhaite pas oublier.
Hélas, on ne dirige pas le temps, et l'Oubli finit tôt ou tard par arriver.
C'est vraiment le seul reproche que je fais au temps.
Non pas de me voler ma vie.
Ni même de me faire oublier par d'autre.
Juste de me voler ce pour quoi je voulais me souvenir.
Les souvenirs s'effacent, jour après jour, années après années, et parfois, ne reviennent jamais.
Comme s'ils n'avaient jamais existé.
Certains persistent.
D'autre ne sont pas assez persistant.
Sélection naturelle.
Enfin, sélection temporelle...
Je ne voulais pas oublier. Mais combien de moment retenez vous de toute votre vie ? Quels sont les moments que vous avez oublié ?
Même le temps les oublie.
Ainsi, ils sont Perdus.
On perd tous, dans le jeu du temps.
Alors, pour ne pas jouer à ce jeu, je tente d'oublier le temps.
Pour se faire, je pense à un autre temps.
Celui d'aujourd'hui était grisailleux.
Pas de soleil.
Pas de pluie.
Du gris.
Un temps monotone.
Seulement, l'homme tentais de vivifier cette couleur terne en parsemant les rues de centaines de petites lumières électrique de nombreuses couleurs.
Des maisons se faisaient illuminer, des arbres décorer, des vitrines pailletter.
Noël se faisait clairement sentir.
La joie des gens se faisaient sentir.
Il semblait qu'en cette période de l'année, les soucis quotidiens s'enfuyaient pour laisser place à une ambiance enjouée.
Pourquoi ceux qui me mangent de l'intérieur ne peuvent pas finir de la même manière ?
Pourquoi, qu'importe la période de l'année vécue, il y a ce sentiment oppressant, s'intensifiant au fil du temps, sans jamais me lâcher ?
Pourquoi ... Cette malédiction était-elle tombée sur moi ?
Lassé de tout ça, j'avais soupiré sous mes couvertures, toujours positionné en sandwich entre les deux masses à plumes.
Je savais que je devais au moins les dégourdir, elles qui subissent continuellement le replis dans mon dos.
Je le savais, mais je n'avais pas la volonté de bouger.
Alors la journée avait passé ainsi, et fort heureusement pour mon cas, personne n'avait fait irruption dans la chambre où regrets et désolation s'accumulait.
J'avais néanmoins pris le temps de répondre à Hanji, par courtes phrases à ses états d'âmes avant de lui demander d'où elle tenait l'histoire de réorganisation.
Elle n'avait pas tardé à répondre, bien heureuse de m'envoyer à nouveau un joli pavé.
Comme supposé, cette décision provenait du directeur. Elle m'a également informé qu'il organiserait une rencontre, dans le but de prévenir tout le monde ainsi que les motifs et les regroupements effectués.
Je m'étais mordu la lèvre, réalisant que mes chances d'obtenir une chambre individuelle se réduisait considérablement dans ce cas ci.
Cependant, et ce n'était pas le genre de la brunette, elle semblait cacher quelque chose. Une information.
À travers ses mots, une excitation s'en émanait, mais n'était jamais justifiée.
Sans chercher plus loin, je m'étais dis que c'était simplement Hanji et que je devais savoir qu'elle avait un caractère imprévisible.
Ce qui était franchement le cas.
Arrivée l'heure du dîner, je m'étais finalement décider à sortir de mes couvertures, des picotements commençant à se faire ressentir probablement dû à une position pas si confortable pour les muscles.
Lorsque je parvins comme par miracle à me retirer des couvertures, quelques plumes se laissèrent glisser par terre, alors que d'autre commençaient leur douce descente vers le plancher.
À gestes lents, je m'étirai sur les extérieurs, les membres dorsaux effectuerent automatiquement l'expansion dans le prolongement.
Chacune des deux s'apprêtaient à atteindre le plafond lorsque j'avais relevé la tête, mais en observant les légers creux les parsemants par endroits, la seule pensée qui vint à l'esprit fut le sujet de leur mutation.
J'avais beau avoir fait des recherches sans succès, les plumes qui tombaient une à une ne me donnaient aucun sentiments positifs aux vus de ces parties tombantes.
Malgré tout, seul ma tête empatit de ce changement subit, les plumes tombantes ne procurant aucun mal, hormis la pensée de se dire que tu perdait les éléments englobant un de tes membres.
C'est comme une calvicie.
Ça se sent pas, mais ça se voit et tu en souffres mentalement.
Lorsque de légers claquement se firent entendre, signe de l'ardeur de l'effort demander, j'avais répété l'opération, dans une autre position.
Nouveau clac.
Soupirant, j'avais replié à nouveau ces membres encombrants avant que mon esprit ne dérive à nouveau vers l'incident d'hier.
En fond de mon esprit, il y avait cette impression qui me disait que j'aurais dû poursuivre ce que j'avais débuté.
Mais qu'avais-je donc débuté ?
Jamais je n'avais souhaité sentir ce frébrillement jusqu'alors inexistant, ce soir là.
Jamais je n'avais souhaité ... prendre mon envol.
Même comme ça, ça sonne bizarre.
Je n'avais jamais tenté quoique se soit avec elles.
Peut être par peur.
Peut être par crainte.
Mais maintenant ? Je ne sais pas.
Alors j'avais légèrement déployé les membres plumeux.
Ils n'était ni en extension, ni rétracté.
Ils étaient prêts à essayer quelque chose de nouveau.
Les ondulants de haut en bas, l'air battu fit rapidement obstacle à l'expérience, s'enfouissant dans le creux des ailes lors de l'abaissement, tandis qu'un autre courant glissait le long des plumes lors de leur remonté.
C'est à ce moment là que je me suis dit que j'aurais dû regarder plus précisément comment volait un oiseau.
Ressentait-il lui aussi ce courant d'opposition, avant que ce dernier ne finisse par se faire projeter sous l'effet de mouvements ?
De légers 'flap' se faisaient désormais entendre, lorsque je tentai de donner plus de puissance contre l'opposition aérienne.
Bientôt, c'est la poussière et les plumes au sol qui commencèrent à s'éloigner du à la force de l'air projeté, suivit des rideaux qui ondulait faiblement au rythme de mes battement.
Jusqu'à ce que ce rythme soit assez puissant pour me faire osciller, accompagnée d'une douleur abdominal du à ma plaie récente, chose laquelle je ne m'étais pas attendue bien que ce fut évident, et c'est ainsi que je me retrouvai rapidement à terre, dans cette zone balayée quelques instant plus tôt par le vent.
Allongé à même le sol, la respiration sifflante et saccadée, je me remettait de tout ce qui venait d'être vécu.
J'aurais du savoir que les muscles où était localisée la plaie serait sollicité, de même pour le changement de gravité
Et je ne savait toujours pas si ce que j'avais fait était une bonne chose.
Longtemps avait été la dernière fois que j'avais ressenti une telle émotion, celle qui nous poussait à faire des choses qui auraient pu semblé insurmontables.
L'adrénaline.
Immobile sur le sol, je parvenais toujours à ressentir ces sensations qui m'avaient atteintes quelques instant plus tôt, comme si ça ne s'était jamais arrêter.
Et je ne savais pas si c'était pour le mieux.
Après quelques longues minutes où je tentais de reprendre contenance, je m'étais finalement relevé.
L'esprit désormais vide, j'avais consentieusement rétracté les membres, dans un léger éclair douloureux, avant d'entreprendre de regrouper bon nombres de plumes s'étant envolées un peu plus loin.
Après les avoir rangées dans un sac prévu à cet effet, je voulais plus prendre le temps de revisionner ce qui venait de se passer, alors j'étais descendu, prudemment, jusqu'à ce que maman, me demande de l'aider à fire le repas si je n'avais rien d'autre à faire.
J'avais acquiescer et l'atelier cuisine débuta, elle me racontant sa plaisante journée, le paternel fixant farouchement tous les moindre de nos mouvements.
Le weekend passa rapidement.
Bien trop rapidement.
J'avais finalement réussit à envoyer une réponse à mes deux amis, ceux-ci ayant d'abord exprimé du soulagement d'enfin avoir de mes nouvelles, puis des réprimandes sur mon manque de 'discipline'.
La discussion s'est rapidement faite, et on se souhaita 'à lundi'.
Parce que malgré tout ce qui a été vaicu depuis lors, tout reprends un jour .
Abah finalement elle s'est retournée... Tant pis.
Désolée de la qualité, je devais immortalisé le moment ...
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Chapitre initaillement prévu plus long, mais divisé en deux car ça s'y prêtait.
Ça vous garantis égal d'une suite qui ne se fera pas attendre dans le temps.
Parce qu'il était temps que je me reprenne.
Mais que sait-on réellement
du temps ?
√HL
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