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Ⅹ ◇ρlεαsurε το ωοrκ ωιτh γοu

Se soir là, la seule chose qui sembla calmer mon corps à fleur de peau et mon esprit embrumé fut les Chats.

Vous connaissez le concept 'Essayer de ne pas rire' ? Disons que ce fut ça, version chat... Loin de moi était l'idée de respecter le concept, cependant.
C'est ridicule comme jeu, d'essayer de ne pas rire, cette réaction était une manifestation nerveuse du corps.

On ne devrait pas essayer de se retenir de rire, lorsque notre être s'y expose. Y parait que ça stresse.
Alors pourquoi avoir inventé ce jeu si débile ? Pour essayer d'intoxiquer par leur rire les gens derrière l'écran ?

Mais il semblerait que se soit pour se prouver qu'on est capable d'aller au-delà des limites de notre corps.

Après tous, on est humains.
Donc on cherche à atteindre l'impossible, tous le monde s'y tente, quelque soit le résultat.

J'avais donc passé le reste de ma soirée à regardé ces petites bêtes affectueuse se pavaner devant la caméra, avant de tomber d'un meuble, de sauter aussi loin que leur petites mimines leur permettaient sous l'effet de la peur, de se dresser sur deux pattes de manières inhabituelles qu'elles soient avant ou arrière, tout ces petits trucs qui ne se voient pas tout les jours.

C'est souvent le genre de chose qui semblait soulager mon état d'âme bien trop lourd de culpabilité en m'apportant un petit sourire, me faisait bien souvent oublier tout ce qui me détruisait.

Mais toutes bonnes choses à une fin.
Comme celle d'un des écouteurs qui avait misérablement lâche sa vie, toujours raccroché à son autre moitié comme pour signifier 'je suis mort mais toujours présent'.

J'avais râlé sur le coup, parce que j'allais devoir me procurer une autre paire d'écouteur. Je m'étais aussi dit que je prendrais des couleur bleu électrique, en souvenir de ce jour épique de ma vie.
Même si je voulais l'oublier.
Mais on n'oublie pas tout.

Alors ma vie avait repris son cours, comme à chaque fois que je me sentais détruit, mon subconscient faisait en sorte de me faire croire qu'il ne s'était rien passé.
Mais il y a des choses qu'on ne peut oublier.

Alors toute la semaine, je n'avais cessé de ruminer ce qui c'était passé ce fameux soir, signant le début de ce que je présumais être mon calvaire.
J'avais pas tout à fait tort.

Il me semblait qu'à chaque pas que je faisais, une plume parviendrait à se glisser sous mon tee-shirt pour aller par la suite se poser délicatement sur le sol.
Il me semblait qu'à chaque mouvement que je réalisais, quelqu'un parviendrait à voir des choses qu'il ne devrait pas voir.
Il me semblait également qu'à chaque regard, reçu comme lancé, j'allais perdre les derniers rempart que je dressais entre leur monde et le mien.

Par une quelconque chance, ce mur que je savais ébréché de toutes part résistait, alors je ne pouvais que lui confier mon existence à ne pas céder.

C'est ce que je me suis efforcé à faire les prochains jours.

Contrairement à ce que j'avais pensé dans un premier temps, j'avais assisté à chaque cours, chaque jour qui avait suivi, ce qui relevait évidemment de l'exploit.
Même si je ne vois cacherais pas que j'aurais vraiment préférer me perdre dans les couvertures de mon lit.
Mais à chaque fois que je me voyais refuser mon lever, il y avait encore cette petite voix lucide me disant que ma vie n'était pas encore finie. Qu'elle ne s'était pas stopper en un point, et qu'elle continuait sans jamais s'arrêter.

Que j'avais encore des choses à faire, sans que je ne comprenne vraiment lesquelles, même si une petite brise m'eut soufflé les noms de ceux que j'aimerais appelé 'amis'.

Si j'avais vécu jusque là sans m'isoler encore plus que je ne le suis déjà, c'était parce qu'il y avait ce genre de personnes qui feraient n'importe quoi pour t'aider notamment lorsque tu es dans le soucis.

Sauf que je ne veux pas les inquiéter. Alors je les aide à ma façon, de sorte qu'ils ne s'inquiètent pas pour l'être égoïste que je suis.

Tout un blabla pour vous dire que j'avais pas désespéré, englouti par mon lit. Bonne nouvelle, non ?
J'avais repris mes journées comme je l'avais toujours fait, omettant le fait que je craignais à chaque instant un quelque chose qui me condamnerait.

Oui, j'avoue y avoir songé bien plus de temps qu'il n'y aurait fallu.

Je ne comprenais pas pourquoi ce genre de merde n'arrivais qu'à moi, je n'avais aucun souvenir de 'congénère' se faisant déplumer pour une quelconque raison.

Alors, rongé par l'angoisse et tout ce qui fait en sorte de vouloir t'arracher le coeur, je m'étais rendu à la bibliothèque.

Le seul endroit où jamais j'aurais cru y mettre un pied autrement que pour chercher des ouvrages musicaux.

J'avais essayé de tracer mon chemin calmement jusque la rubrique 'fantastique, mythologie', dissimulant cette panique interne qui ne semblait vouloir que crier contre le monde entier depuis ces quelques jours.

Les mains moites et tremblantes au rythmes d'une respiration à peine contrôlée, j'avais empoché quelques volume sur ce qui pourrait m'intéresser.

Je m'étais alors installé à une table, tentant d'instaurer une distance maximale entre les autres étudiants et mes 'affaires personnelles'.

J'avais probablement du y passer quelques heures, parce que ce n'était pas la première fois que j'entendais la sonnerie résonner solitairement dans la salle depuis mon arrivée.

J'avais trouvé toutes sortes d'articles sur des créatures mythiques lesquelles j'aurais certainement fantasmé quelques secondes avant de passer à la prochaines pages, mais c'est sans grandes déception que je ne trouvais aucun article qui faisait mention d'êtres célestes habitant sur des Columbus plus épais que la normale, étant racistes envers les humains en n'en ayant pourtant jamais vu un seul.

Bien sûr, cette recherche était vraiment poussée, mais ça me donnait une autre raison pour que personne ne sache qu'il y avait une autre race dans leur livre de créatures extraordinaires qui n'y figurait pas.

Je ne voulais pas être classé comme une vulgaire bête dans ce type d'ouvrage.

Quoiqu'il en soit, il y avait bien des êtres tels les séraphins, qui possédaient quelques uns de nos caractéristiques, mais toujours aucune mention de plumes tombeuses...

Résigné, j'avais rangé précipitamment les quelques livres, en empruntant sur un coup de tête celui sur les bêtes mythiques.

Je m'étais dis que ça pourrait m'occuper l'histoire d'un soir, alors comme je n'avais rien à y perdre, je l'avais pris à mes dépends.

Ainsi, je suis allé voir la documentaliste pour l'emprunt, mais lorsque je me présentai à elle, elle m'avait fixé d'une façon telle qu'il semblait que se soit autre chose qu'un livre qu'elle veuille.

Je lui avais tendu l'ouvrage et la fiche d'emprunt sous son regard embué, lorsqu'elle ne réagissait toujours pas.

Je m'éclaircis légèrement la gorge, et murmurai lorsque je me souvins du silence obligatoire de ce lieu.

"Je voudrais emprunter un livre..." malgré ça, aucune réaction de sa part. De la mienne, c'était du malaise qui grandissait sous ses yeux embués "s-s'il vous plait ?"

Elle sembla reprendre ses esprits sous cette supplique désespérée.
Elle afficha un petit sourire en acquiesçant, partant enregistrer le livre.

Elle revint quelques secondes plus tard, et je repris ma route après avoir fourré le bouquin au fond de mon sac, hâtant le pas pour ce lieu que je trouvais malaisant depuis quelques minutes.

Ce n'est que plus tard dans la journée que je m'étais souvenu qu'il fallait que je concerte Livaï sur le soi-disant projet que nous devions mener.

Je maudissais quelques instants mon cerveau pour avoir oublier quelque chose d'aussi important, avant de me rappeler que je ne l'avais pas non plus vu depuis qu'on nous avait assigné les projets.

Ce n'étais pas comme si nous nous croisions à chaque heure de cours, mais restait le fait qu'il ait été absent de ma vie durant quelques jours.

Évidemment, c'est bizarre de le formuler ainsi, c'est pas comme s'il avait occupé une place omniprésente durant ces derniers temps.

À cet instant, j'étais en présence de Mikasa et Armin sur un banc de la cours, lorsque l'être de mes pensées apparu soudainement venant de nul part, se présentant juste devant moi alors que je me camouflais dans cette écharpe bordeaux​ en l'espérance d'acquérir un peu de chaleur.

Je ne l'avais pas vu aux premiers abords, mais l'aura menaçante de Mikasa combinée à celle abrupte de cet homme m'avait fait relevé la tête.

Alors que ces yeux glacés me détaillaient de haut en bas, ce contact éloigné m'avait provoqué des sueurs froide tout au long de l'échine.
J'oubliais toujours cette sensation, avant que ça ne revienne comme un coup de foudre.

Il m'avait lâché du regard quelques secondes pour dévisager Mikasa qui, si elle devait posséder des atouts animaliers, serait en train de grogner.

Peut être que c'était ce qu'elle faisait, je sais pas trop, mais l'homme en face de moi n'avait semblé la dévisager le temps d'un battement de cils, puisqu'il revint aussitôt à moi, pour mon plus grand malaise.

Je m'étais rembourré dans mes vêtements, manifestement un signe de faiblesse de ma part lorsque Mikasa allait prononcer, menaçante.

"T'as une sale gueule, Gamin." quelle ne fut pas ma stupeur lorsque sa voix rauque et confiante me parvint au lieu de celle féminine et emplie de reproche de Mikasa.

J'avais osé relever inconsciemment la tête comme pour lui répondre que tout allait bien.

Tel ne fut cependant pas le cas, lorsque ses yeux se révélèrent être irrémédiablement ciblé sur les miens.

Je ne pensais pas connaitre pire que cette sensation de froid qui ce faisait omniprésente depuis quelques jours
En quelques secondes, on m'en a prouvé le contraire.

Bizarrement, Mikasa n'avait rien répondu mais ce fut la dernière de mes préoccupations à ce moment là, ne m'étant pas rendu compte que Armin la tirais au loin me laissant ainsi seul avec ce prédateur.

"J'ai ... Mal dormi, on va dire..." j'avais pas le coeur à complètement lui mentir, alors situation de merde combiné à excuse de merde, bah... Discussion de merde ?

Cependant, il ne semblait pas vouloir s'en arrêter là.

" 'on va dire' ?" un léger éclat de soupçon quasi imperceptible était passé dans ses yeux, alors que je sentais une légère vague de chaud envahir mes joues.

Comment vous dire que j'ai mal supporté ?

"Ah-- euh oui, c'est juste euh ... Le projet ! Oui, je pense trop au projet." j'avais opté pour la tactique bunker à ce moment là, enfoncé au maximum dans mon écharpe comme tentant de disparaître miraculeusement dans celle ci.
Sauf que j'étais toujours là, puisque je l'entendis répliquer, ô douce déception.

"On nous a même pas donné les projets, de quoi tu te plains ?"

"..." il était clair qu'avec ce gars, il m'était impossible d'entretenir une conversation stable.

Je devais lui parler de cette histoire de groupe, mais qu'est ce qui m'avait pris de faire mention du projet comme excuse ....

Le malaise, Eren, c'est la faute à malaise.
Tch, oui bien sûr, mais maintenant c'est un peu tard...

"En fait ..." les quelques mots qui devaient sortirent restaient bloqué dans le fond de ma gorge, face à cet individu qui sembla s'impatienter de mon silence.

"Tsk, qu'est ce que t'as ? Accouche bordel !"

"N-nan, rien, je me disais juste que bah, on devra sûrement se voir en dehors des cours pour justement bah le travailler" quel piètre personnage je devais faire, à me défiler ainsi, en lui souriant tout aussi faussement.

Je dois avouer qu'à ce moment là, j'avais pensé qu'il laisserait de coté cette affaire, mais c'est lorsqu'un poing s'abattit sur le dossier à quelques centimètre de mon visage que je commençais à me demander si cet homme, Livaï, était comme tout les autres.

"Joue pas à ça avec moi, gamin, j'aime pas qu'on se foute de ma gueule. Alors que ce soit bien clair, je ne le dirais qu'une seule fois. Ne me ment jamais. Pigé ?" j'avais secoué frénétiquement la tête à sa question sans appelle, perdant en quelques secondes ce qui me restait de force pour me voiler la face près de son visage bien trop proche du mien.

Je ne sais pas quelle gueule j'avais tiré les quelques secondes qui ont suivis cette réponse muette, mais je présume que ça devait pas être agréable à voir, vu l'air de dégoût qu'il arborait.

"Bon, je vois que t'as compris... Dernier essai; tu voulais me dire quelque chose ?" Alors que je me décidais sur les mots à employer, je me rendis compte qu'il ne lâchait pas son regard du mien, comme si je n'allais jamais répondre s'il osait détourer les yeux.

Sauf que j'avais pas le courage de me défiler.

"Disons.. Que si tu voulais, on pourrais en parler à la prof. Je veux dire, pour les groupes." je m'entendis lâcher un gros soupir, comme si celui ci retenait tout ce que je n'osais pas dire. "Je vois bien que tu es le genre de type à préférer travailler seul. Ce serait sûrement plus facile pour nous deux, si on dissociait le grou--"

"Qu'est ce qui te fait dire ça ?"

"D-de quoi ?"

"Que le travaille solo me convient le mieux ?" il avait légèrement arqué ses sourcils tout en les fronçant, alors que je sentais les traits de mon visage se crisper.

Comment pouvait-il dire qu'il était plus à l'aise en groupe ?

Y a pas à dire, ce gars est pas normal ...

"S'il te plait Livai, ne me fais pas croire que tu préfère être accompagné d'imbéciles que de te livrer à tes propres moyens dont tu sauras le résultat plus fructueux ?" et réagir ainsi de ma part, c'est pas non plus normal.

Je m'étais rendu compte quelques instants trop tard que je venais d'exprimer quelque chose que je souhaitais vraiment dire.

Je sais que j'aurais pas dû.

Alors que je commençais mes lamentations silencieuses, son léger soupir réussi à percer la barrière de mes oreilles.

"T'as raison... Mais si ce projet est destiné à être mené par deux individus, c'est qu'il doit en être ainsi. N'est ce pas ?"

"Oui, mais--"

"Les 'mais' ne tiennent pas, Jaeger" c'est sur ce ton sans appelle, qu'il sembla clore cette discussion, laissant résonner dans mon esprit ce nom sortit d'entre ses lèvres d'une façon suave.

Je m'étais senti quitter son regard pour aller le replacer dans mon écharpe, à court d'argument.

Voyant le problème réglé, il s'était reculé de quelques centimètre pour murmurer d'une voix assez forte pour être distinctement entendue.

"T'es pas celui que tu laisses paraître aux premiers abords, gamin... Au plaisir de travailler avec toi." il avait dit cette dernière phrase de manière sarcastique puis était parti comme ça, m'adressant juste un léger signe de la main d'au revoir, comme n'importe qui ferait. Sauf qu'avant qu'il ne se retourne, j'avais cru voir le bord de ses lèvres remonter légèrement.

Et je ne savais pas comment le prendre.
Alors qu'il aurait été préférable pour nous deux de travailler en solo, il m'avoue préférer en quelque sorte travailler en groupe en disant qu'il n'aimait pas ça ? Je le comprends pas...

Puis je me souviens les personnes avec qui j'étais venu avant de m'aperçus très vite qu'il n'y avait aucune présence humaine aux alentours.

Je sentis la confusion m'envahir, alors que je me demandais comment je n'avais pas pu les voir partir... Mais depuis combien de temps étaient-ils partis ?

Je m'étais relevé du banc en oscillant, plaquant ma veste au plus près de mon corps alors j'avais engagé ma marche vers une destination non connue, jusqu'à ce que la sonnerie sonne pour me dire qu'il étais temps d'arrêter de rêvasser.

Alors la journée s'était finie sans plus d'embûches, comme pour m'accorder un répit sur que qui allait suivre.

Le lendemain non plus n'avait pas été bien différent.
On avait dû manger avec Hanji qui avait ramené Livaï contre son grès, mais également quelques potes dont j'avais pas retenu les noms.
L'un d'entre eux avait des sourcils aussi épais que ses doigts, une autre avais des cheveux​ caramel avec une attitude maternelle, ou encore un autre qui ... ne faisait que se mordre la langue pour je ne sais quelle raison.

Il n'y avait pas à dire, dans leur groupe d'amis, aucun ne se ressemblait vraiment.

Et contre toute attente, Hanji n'avait rien fait de catastrophique. Tant mieux pour nous.

La seule chose désagréable qu'elle aie faite, ce fut de demander le numéro de ma chambre.
J'avais bien évidemment voulu refuser, je me doutais que j'allais avoir des visites surprises si jamais elle obtenait ce foutu numéro, mais malheureusement pour moi, elle avait sorti le coup des yeux de chiots.

Cependant et heureusement pour moi, la sonnerie n'avait pas tarder à résonner comme m'apportant un soutien pour éviter une invasion de Hanji.

Alors même si elle avait garder sa bouille boudeuse tout le reste de la journée, je m'étais toujours trouvé un échappatoire pour éviter de lui dévoiler ma vie.

J'avais cru bien faire sur le moment.

La fin de la journée arriva bien plus vite que je ne le pensais, vu que j'avais passé la quasi totalité de mon temps à feinter cette folle.

Je traversais les couloirs qui s'assombrissaient au fil des minutes, sans même faire attention que certaine personne semblaient me dévisageait d'une façon orgueilleuse .

Se soir là, la soleil n'osait pointer le bout de son nez, préférant se noyer dans ces épais nuage qui menaçaient de tonner dans la soirée.
C'est dommage, car à cette heure ci on aurait clairement pu voir sa lumière se refléter dans le paysage encore humide de la veille.

Malheureusement, on ne commande pas la météo.

Je soupirai exténué que je continuais mon chemin, sans jamais me retourner sur les quelques visages qui pivotaient à mon passage.

Sauf que cette fois ci, je les avais vus.
J'avais donc hâté le pas tête basse afin d'arriver le plus vite possible dans cette pièce où je me croyais en sécurité.

Je me doutais que mon côté parano devait y être pour quelque chose, il n'y avait sûrement aucune raisons pour qu'on se détourne juste pour regarder cet être qui passait habituellement inaperçu.

Alors j'avais tenté de faire comme si ces regards obsédants n'existaient pas alors que du ressentiment grandissait dans mon être que je me rapprochais de ma chambre.

Sans même y réfléchir plus que ça, j'avais ouvert la porte à la volée, avant de la claquer et de reprendre mon souffle que j'avais inconsciemment retenu.

Cependant, même après avoir calmé le rythme effréné de mon coeur, ne voulait partir cette sensation de malaise.

Alors sans même chercher à me dévêtir, je m'étais fourré dans mon lit, de retour dans la position McWrap.

Je paniquais, mais maintenant que je suis vraiment posé, je me demande si c'était pas Hanji qui m'avait suivi en douce, sans jamais que je m'aperçoive de sa présence.

Et dans ce cas là, tout se tenait.
Faudrait que je songe à calmer mes pulsions paranoïaque un jour, ça pourrait me nuire.

Tout ce que j'espérais désormais, ce fut que Hanji ne m'ai pas suivie jusque là.

J'avais espéré, jusqu'à ce qu'un léger déclic à peine perceptible retentisse dans la chambre obscure.

Je jurai sourdement que jamais je n'aurais dû espéré avant de m'extirper des couvertures, faisant mon chemin vers l'entrée.

Juste avant le tournant de la porte d'entrée, quelque chose me dérangea.

Je n'entendais pas Hanji s'enjailler comme elle aurait du le faire d'avoir trouver ma chambre.
Des pas léger bien que légèrement bourrus frappaient le plancher à rythme irrégulier.
Il n'y avait aucun bruit digne d'une folle.

Alors j'avais commencer à paniquer, et comme je me connaissais tellement bien, je n'avais pas prévu que mon corps refuserait de m'obéir.
Alors je fis le truc que j'aurais jamais du.

"Qui est là ?!" après cette question d'où la peur en était remplie, plus aucun bruit n'était perceptible, comme si l'individu s'en était allé.

Je ne sais pas ce que j'envisageais à ce moment là, mais c'est lorsque je réussis à faire un pas en avant qu'une masse me percuta pour me clouer sur le mur le plus proche activant une brûlure derrière.

À bout de souffle, j'avais envisagé de riposter contre cet agresseur avant d'être stoppé par une main moite sur ma bouche et d'un genou bien placé entre les jambes.

Immobilisé, dans tous les sens du termes.
Je commençais à sentir les larmes se rassembler dans mes yeux alors qu'il me saisi les poignets.

"Et bien, mon Mignon, ne me dis pas que tu vas crier au loup alors que tu pourrais perdre quelque chose de précieux ... ?" le propriétaire de cette voix embuée par la folie avait relevé légèrement son genou, rendait ma position plus inconfortable qu'elle ne l'était déjà, me faisant serrer les dents.

Il vit ma réticence à manifester, alors il enleva prudemment sa main de mon entre buccale avant de saisir rapidement ce que je pensais être un canif de sa veste et me le présenter. "Bien... Je ne te pensais pas si coopératif. Je t'avoue avoir eu des doutes quand tu as commencé à tracer ton chemin. Mais tu ne posera pas de problèmes. N'est ce pas ?" sa voix de sociopathe me rappelais vaguement quelque chose, mais savoir qui c'était ne me servirait à rien.

Qui plus est, pourquoi est ce que ça devait être le malade mental qui rentre à l'improviste dans cette chambre emplie de douleur alors que ça aurait pu être Hanji !
Même si j'avoue préférer qu'aucun des deux ne rentre...

"Eh ben, jamais j'aurais cru que le fils du docteur Jaeger puisse être dominé de la sorte ~" ce nom me glaça d'effroi alors que je sentais mon expression facial baigner dans la peur. D'où est ce qu'il pouvait bien connaitre mon père ? Avant que je n'exprime ne serais-ce qu'un mot, il répondit en quelque sorte à ma question "Moi qui initialement souhaitais juste obtenir une rançon, que dirais-tu de jouer un peu... personne ne viendra nous déranger n'est ce pas ?" comme pour appuyer sa question, la pression de sa lame sur ma peau augmenta alors que j'essayais de placer une phrase.

"Il--... Il ne se préoccupera pas ... De moi" ces paroles qui avaient peinées a sortir semblèrent le faire rire.

"Alors comme ça, le papa s'occupe pas de son fifils ? Et ben dans ce cas tu n'omettras pas d'objection à c'que se soit moi qui m'occupe de toi ..."

De sa main dont il tenait toujours le canif, il commençait à retirer mon vêtement inférieur sous mes gestes que je voulais brusques, envisageant de me dégager, bien que je sache que ce soit impossible.

Je m'étais maudit à ce moment là de ne pas avoir donner de numéro à Hanji.
Ni même accepter de passer la soirée avec mes amis.

Je pouvais seulement geindre sous cette prise d'enfer, me donnant l'expérience d'un autre forme de violence que celle me donnant le paternel...

Toujours en gesticulant, je pouvais sentir la lame de son arme effleurer la peau lisse de mon abdomen.

Et puis ce qui devait arriver arriva.

"Putain, MAIS TU VAS ARRÊTER DE FAIRE DE LA MERDE !" il avait gueuler ces paroles avant de m'immobiliser complètement le bassin et d'y planter la petite lame peinant quelques dixièmes de seconde à percer quelques centimètre dans cette peau.

Ça peut être étrange de ma part de penser ça à ce moment là mais, la respiration pantelante, je m'étais dis que cette douleur était bien différente que celle qui sillonnait mes poignets une fois la semaine.

J'avais commencé à m'affaisser face à cette nouvelle douleur alors qu'il continuait ses affaires lorsque un porte s'ouvrant à la volée résonna bruyamment à travers la pièce.

• | • | • | • | •

Alors, qui est ce ??

Et wiiiii, encore quelque chose de pas terrible j'en convient.
Je sais que les agresseurs ne courent pas les rues, et que poir que l'un d'entre eux tombe sur Eren doit vraiment un coup de malchance bah ...

...

... Désolé si c'est pas terrible ಥ_ಥ

AINSI, je reviens avec deux scénarios différents pour cette dernière scène, celle d'agression ... À vous de choisir celle que vous préférez !

1) laissez ainsi, et assumer que vous êtes un peu sadique ;) ;

2) Eren ne se fait tout simplement pas agresser, et irait juste directement se coucher.

Quelle est votre préféré ? Je vous laisse toute cette journée du mercredi pour me dire ce que vous en pensez, avant que je poste la version définitive de ce chapitre !

Voilà, désolée de vous laisser avec ce genre de chapitre, mais la motivation se trouve de plus en plus dure à acquérir, j'espère juste que vous n'en tiendrez pas compte

Au plaisir de vous avoir fait lire ceci, même si ça aurait pu être mieux.

HL

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