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Եɾօís բօís ตíllҽ

Plus grosse que celle de Tony, c'est le cas de le dire parce qu'ils se retrouvent devant le physique de Hulk qui a l'esprit de Bruce.

Alors quoi, c'est Brulk ?

Ils sont dans un restaurant.

Bruce : J'ai l'impression d'être le seul à manger. Goûtez donc ça. Des œufs brouillés.

Il leur avance une assiette.

Scott : J'ai du mal à y voir clair.

Bruce : Normal, c'est une période sombre.

Scott : Oui. Non, non. C'est pas ce que je voulais dire...

Bruce : Non. Je sais. Je sais, je blaguais ! C'est vrai. Ça paraît dingue. Et en plus, je m'habille maintenant.

Scott : Oui. T'as changé. Mais euh... Comment ? Pourquoi ?

Bruce : Il y a cinq ans, on s'est pris la dérouillée du siècle. Sauf que c'était pire pour moi. Parce que j'ai perdu deux fois. D'abord, Hulk a perdu et Banner ensuite. Et après, on a tous perdus.

Natasha : Personne ne t'en a voulu, chéri.

Bruce : Moi, si. Longtemps, j'ai pensé que Hulk n'était qu'un genre de maladie dont il fallait que je me débarrasse. Mais, un jour, j'ai fini par le voir comme un remède. J'ai passé dix-huit mois dans le labo gamma. J'ai pris le cerveau et les muscles. Je les ai réunis. Et là, regardez-moi. Le meilleur des deux mondes, les mecs.

Trois enfants arrivent.

Fille : Excusez-nous. Monsieur Hulk ?

Bruce : Oui ?

Fille : On peut faire une photo ?

Bruce prend le téléphone de la fille.

Bruce : Plutôt deux fois qu'une, ma grande. Avancez, les enfants. Approchez.

Il tend le téléphone à Scott.

Bruce : Tu veux bien ?

Scott : Ah, oui.

Bruce enlève ses lunettes.

Bruce : Allez, les enfants, dites "vert".

Enfants : Vert !

Puis Scott prend la photo.

Bruce : Alors, ça y est ?

Scott : Elle est super. Vous en voulez une avec moi ? Je suis Ant-Man.

Les enfants sont déconcertés.

Scott : Non, c'est tes fans. Ils ne connaissent pas Ant-Man. Personne me connait. Personne me connait.

Bruce : Non. Il aurait bien voulu... Il aimerait bien que je vous prenne avec lui, faites-lui plaisir, les enfants.

Scott : Regarde, ils ont pas envie de photo. Ça ne fait rien. J'en veux pas non plus.

Bruce : Il est vexé. Non mais, t'es mal, là.

Il rend le téléphone.

Scott : Reprends ton téléphone.

Fille : Merci.

Bruce : Non, merci à toi, ma grande. Merci infiniment.

Enfants/Bruce : Hulk assure !

Steve : Bruce.

Bruce : Dab !

Steve : Bruce.

Bruce : Écoutez votre maman. Elle a toujours raison.

Steve : Reprends où t'en étais.

Bruce : Ouais. Toute cette histoire de voyage temporel ? Euh, non, je regrette. Ça dépasse totalement mes compétences.

Audrey : Ouais mais t'as réussi à te transformer, papa. Et je me souviens que ça aussi, ça semblait carrément impossible.

Bruce les regarde en souriant.

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Tony fait la vaisselle. Il tombe sur une photo sur l'étagère, c'est lui, Audrey et Peter Parker.

Il part se mettre à une table connectée.

Tony : J'ai une légère inspiration. Je veux voir si ça tient la route. Alors, faisons une dernière simulation avant de fermer boutique pour la nuit. Et cette fois, sous la forme d'un ruban Möbius inversé. Dès que possible. Merci.

FRIDAY : Calcul en cours.

Tony montre quelque chose.

Tony : Donne-moi la valeur propre de cette particule en tenant compte de la décomposition spectrale. Ça devrait être vite fait.

FRIDAY : Un moment.

Tony : Et ne t'en fais si c'est aberrant. Je veux juste...

FRIDAY : Maquette modélisée.

Le modèle est valide.

Tony tombe sur un siège, n'en croyant pas ses yeux. Il plaque une main sur sa bouche.

Tony : Merde !

Morgan : Merde.

Tony se retourne sur sa fille qui est dans les escaliers. Il fait chut avec ses doigts.

Tony : Que faites-vous encore debout, mademoiselle ?

Morgan : Merde.

Tony : Non. On dit pas ça. Il n'y a que maman qui prononce ce mot. Elle l'a inventé, il lui appartient.

Morgan : Toi, pourquoi t'es debout ?

Tony : Parce que j'avais cette merde à étudier ! Qu'est-ce que tu crois ? Non, il y avait un truc qui me préoccupait. Y avait un truc qui me préoccupait.

Morgan : T'avais plus de glace, papa ?

Tony : Si, j'en ai plein. C'est de l'extorsion. Ça, c'est un mot à moi.

Il se lève et prend la main de sa fille.

Tony : Quel parfum tu veux ? Les grands esprits se rencontrent. Des glaces, c'est exactement ce que j'avais...

Il se tourne vers la maquette.

Tony : ... à l'esprit.

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Après la glace, Tony met sa fille au lit.

Tony : Fini ? Bien. Comme ça, c'est fait. Attends, je t'essuie. Voilà. Cette bouille se range là.

Il l'allonge dans le lit.

Morgan : Raconte-moi une histoire.

Tony : Une histoire ? Euh... Il était une fois, Morgan s'est couchée. Fin.

Morgan : Elle est horrible, ton histoire.

Tony : C'est ton histoire préférée. Des tonnes d'amour.

Il lui embrasse le front.

Morgan : Je t'aime plus que trois fois mille.

Tony sourit.

Tony : Moi aussi.

Il se lève, éteint la lumière et part.

Tony : Trois fois mille. Je compte même pas jusque là. Endors-toi ou je revends tout tes jouets. Fais de beaux rêves.

Morgan rit.

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Tony rejoint Pepper qui lit dans le canapé du salon.

Tony : C'est pas un concours entre nous, mais, moi, elle m'aime plus que trois fois mille.

Pepper : Tu m'en diras tant.

Tony : Toi, tu dois être autour de six à neuf cents. À tout casser.

Pepper rit.

Tony se tourne vers sa maquette.

Tony : Tu lis quoi ?

Pepper : Oh, rien. Un livre sur le compostage.

Tony : Et y a des scoops ?

Pepper : C'est une science fascinante.

Tony : J'ai trouvé.

Pepper lève la tête.

Tony : Ça y est.

Pepper : Et en gros ? Histoire d'être sûr de parler de la même chose.

Tony : Le voyage dans le temps.

Pepper : Quoi ? Wouah. C'est... C'est magnifique et... terrifiant.

Tony : Exact.

Tony s'assied à côté d'elle.

Pepper : On a vraiment eu de la chance.

Tony : Oui. Je sais.

Pepper : Tout le monde n'est pas comme nous.

Tony : Non. Je peux pas sauver tout le monde.

Pepper : Alors que j'ai l'impression que si.

Tony : Pas si j'abandonne. Je peux me mettre en mode abandon. Et c'est fini.

Pepper : Tony, essayer de te faire raccrocher est sûrement l'un des rares échecs de toute mon existence.

Tony sourit et lui caresse le bras.

Tony : Des fois, j'ai envie de tout mettre dans un coffre, de le jeter au fond du lac... et d'aller me coucher.

Pepper : Mais est-ce que tu pourrais trouver le sommeil ?

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