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#11.4 After - Liberté

Bonsoir bonsoir !

Bon, je suis un petit peu en retard mais nettement moins que ce que j'avais prévu, j'ai quasiment rien touché lors de ma dernière correction/relecture, j'suis fière de moi huhu

Je ne m'attarderai pas ici parce que je n'ai rien de spécial à dire ce soir... En dehors du fait que dans approximativement neuf heures, la vieille que je suis aura atteint le quart de siècle. Il est temps que j'aille au lit d'ailleurs.

J'espère que l'avant-dernière partie de cet After vous plaira. Même si j'en doute... #grosseconnasse #vengeance #tropdejeunesici

Bonne Léocture ! ♥




~~+~~




Trois jours étaient passés et nous étions le mercredi 12 décembre. Ça faisait cinq jours que je squattais chez Taehyung et Jungkook, et ce n'était plus possible, autant pour eux que pour moi. J'étais décidé à rentrer et à confronter Yoongi. J'avais besoin d'une réponse. J'avais besoin qu'il me le dise de lui-même. S'il voulait qu'on se sépare, il fallait qu'il me le dise en face. Rester dans l'incertitude était la chose la plus horrible qui soit. Il fallait officialiser ça. Je savais que lui aimait quand les choses étaient commencées et terminées proprement. Il finirait par venir me confronter à un moment. Mais quand ? S'il ne faisait pas le premier pas, il fallait que je le fasse, même si je n'avais pas la moindre envie que l'on se sépare. Mais je ne pouvais pas rester comme ça, j'allais finir par devenir fou.

L'heure de la fermeture arriva cependant, et je ne voulais qu'une chose, que les heures reculent. J'allais revoir Yoongi dans une heure, peut-être deux. Et dans une heure ou peut-être deux, j'allais être à nouveau célibataire. Ou peut-être que dans une heure ou deux, tout allait s'arranger. Mais je n'en étais vraiment pas convaincu.

« Salut Léo, à demain ! »

Je relevai la tête et saluai Nicolas d'un signe de la main avec un petit sourire, et la porte se verrouilla dans mon dos. Je ne bougeai pas, et bientôt des bras passèrent autour de mon ventre et un menton se posa sur mon épaule.

« Tu veux que je vienne avec toi ? me demanda alors doucement Taehyung.

Non. Je vais me débrouiller. Je dois régler ça tout seul. »

Je fermai les yeux et pris une grande inspiration alors que sa prise se resserra autour de moi.

« D'accord. »

Il me lâcha doucement et avança à mon niveau, puis sa main gauche dans mon dos me poussa doucement pour me dire d'avancer. Je fis donc un premier pas difficilement, mais les autres suivirent. Nous fîmes notre trajet habituel jusqu'au métro, et une fois les portiques passés, je dus me résoudre à partir de mon côté. J'attendis sur le quai qu'un métro veuille bien arriver, et je montai dedans. Je croisai rapidement le regard de Taehyung qui attendait sur la rame d'en face, et je repartis. Mon sac rempli de mes affaires sur mes genoux, je serrai les doigts sur le tissu noir. J'appréhendais vraiment ce qu'il allait se passer.

Le trajet se fit bien trop vite, et je me retrouvai devant la porte de notre appartement. Je glissai ma main droite dans ma poche et y trouvai mes clés. J'aurais dû les oublier chez Taehyung. J'aurais eu une excuse pour partir d'ici, et ensuite il m'aurait juste fallu un prétexte pour ne pas me faire chasser de chez mes amis. Ça n'aurait cependant marché qu'une fois puisque le lendemain, j'aurais sûrement été condamné à attendre le retour de mon compagnon. De mon ex-compagnon. Mon cœur saigna davantage à cette pensée et je dus prendre une grande inspiration pour ne pas que des larmes ne pointent le bout de leur nez. Je glissai finalement ma clé dans la serrure et la tournai afin que la porte s'ouvre. Je rentrai dans l'appartement qui semblait horriblement sombre et froid, et je laissai tomber mon sac sur le parquet avant de commencer à me découvrir.

« Yoongi ? »

Pas de réponse. Je me sentis étrangement soulagé, et je fis quelques mètres avant d'arriver dans le salon. Il n'y avait personne. Je jetai un œil à la cuisine, puis à la chambre, et je fronçai les sourcils. Il n'y avait vraiment personne.

« Perli ? »

Non. J'étais la seule âme qui vive dans cet appartement. Le chat n'était pas là non plus. Je me dirigeai vers l'entrée et ouvris le placard. La cage de transport n'était pas là. Il était parti, et il avait emmené le chat avec lui. Est-ce qu'il l'avait fait parce qu'il ne pouvait pas la laisser seule, ne sachant pas quand j'allais revenir, ou est-ce qu'il l'avait fait parce qu'il comptait emmener toutes ses affaires, et que le chat était pour lui partie intégrante de ses affaires ? Je retournai au salon et observai les larges bibliothèques. Ses affaires étaient encore là. Je repartis vers la chambre et ouvris son armoire. Il y avait encore énormément de vêtements. Je filai ensuite à la salle de bain. Il avait embarqué quasiment toutes ses affaires aussi. Je revins sur mes pas et me laissai tomber sur le canapé. Je ramenai mes cuisses contre moi et plongeai mon visage dans mes genoux. Est-ce qu'il allait au moins rentrer ce soir ?

[...]

J'avais passé une nuit abominable. Il n'était pas rentré, et j'avais réussi à dormir deux heures avant de me réveiller suite à un cauchemar, où après je n'avais pu que somnoler jusqu'au premier métro. J'avais donc débarqué à la librairie vers sept heures, et j'en avais profité pour rattraper mon retard dans mes lectures. J'étais bien incapable de conseiller quoi que ce soit actuellement, et il y avait certains titres que je devais absolument lire, même s'ils ne sortaient que dans un mois. Le mois de décembre était toujours notre plus grosse période, alors je n'avais qu'à utiliser mon peu de temps à profit. En arrivant à la librairie à huit heures, Kévin avait failli faire une attaque. Je l'avais laissé se charger de tout, puis, l'heure de l'ouverture arrivant, je l'avais finalement aidé. De base, je n'étais censé commencer qu'à midi, mais peu importe. J'avais alterné entre des chapitres et la caisse quand mes collègues étaient trop occupés, essayant au maximum de ne penser à rien.

Lorsque treize heures trente arriva, Taehyung débarqua à son tour. Il fit son habituel petit tour et salua tout le monde, avant de me prendre à part, autant pour parler boulot que vie privée. Il referma la porte de son bureau derrière nous et alla se déshabiller pendant que je l'observai en silence.

« Alors ? finit-il par me demander.

Alors rien.

Il n'est pas rentré ? »

Je baissai la tête et la secouai de droite à gauche. Il se rapprocha de moi et vint m'étreindre tendrement.

« Tu lui as dit que tu étais rentré ?

Tu crois pas que ça le motiverait encore plus à ne pas revenir ?

Je ne sais pas...

Il a embarqué une partie de ses affaires. Et le chat.

C'est peut-être parce qu'il ne savait pas quand tu allais revenir...

S'il n'avait pas eu l'intention de partir, le chat aurait pu rester là. »

Il ne répondit pas, se rendant compte que j'avais eu le dernier mot. Oui, même si je n'étais pas revenu, s'il n'avait lui pas eu l'intention de s'en aller, le chat aurait pu rester là. Et puis il aurait pu me demander mon avis quand même, elle ne m'aimait que quand je lui donnais à bouffer, mais ce n'était pas une raison. Je passai mes bras autour de la taille de Taehyung et je fermai les yeux. J'en avais marre de tout ça.

« Tu veux que je lui dise de rentrer ? me demanda doucement Taehyung.

Merci, mais ça va aller. T'en as déjà assez fait comme ça. C'est à nous de régler ça nous même.

D'accord. Comme tu veux. »

Je relevai ma tête de son épaule et plongeai mes yeux dans les siens lorsqu'il me regarda.

« Tu as l'air fatigué, constata-t-il alors. Tu n'as pas dormi ?

Quasiment pas. Je suis ici depuis sept heures.

Sept heures ? Tu rigoles ?

Non.

Rentre chez toi.

Quoi ? m'écriai-je en reculant mon visage. Non !

Tu as déjà fait ton nombre d'heures, tu-

La librairie ouvre à dix heures, donc je n'ai bossé que trois heures et demie. Quatre et demie si on compte l'ouverture.

Très bien, mais à seize heures, je ne veux plus te voir.

Mais-

Il n'y a pas de "mais", me coupa-t-il en descendant ses bras le long de mon dos. À seize heures, tu dégages. »

Je fis la moue et il roula des yeux avant de les reposer sur moi.

« Il faut que tu te reposes. Tu te souviens de ce qu'il s'est passé il y a trois semaines ? »

Je détournai le regard. Ouai, je m'en souvenais bien.

« Je parie que tu n'as rien mangé hier soir, et que tu n'as pas encore mangé ce midi en plus. »

Dans le mille.

« Je t'emmène manger.

Non !

Léo, il-

Je mangerai tout à l'heure, mais là on a du boulot. Je ne partirai pas maintenant. »

Il me regarda longuement et je soutins son regard pour bien lui faire comprendre que ce n'était pas négociable.

« Tu me fatigues. Tu joues avec ta santé et je n'aime pas ça. »

Je souris doucement et retirai mon bras droit de son corps pour monter ma main à son visage. Je glissai mes doigts dans sa longue frange ramenée en arrière, puis les glissai sur la peau parfaite de sa joue.

« Pourquoi tu as dit à Yoongi que tu m'aimais ? soufflai-je.

Pour le faire réagir.

Uniquement pour ça ? souris-je.

Oui.

Menteur. »

Je souris davantage et caressai sa peau de mon pouce.

« Alors pourquoi tu m'as embrassé samedi soir ? »

Je remontai mes yeux dans les siens mais il les détourna.

« C'est horrible quand l'amour est confronté à un problème de timing, tu ne trouves pas ? »

Il rigola doucement avant de ramener ses pupilles sur les miennes.

« Tu diras à ton Napolitain que je lui paierai un taro milk ? murmurai-je alors que mon pouce caressa sa lèvre inférieure.

Pourquoi ça ? »

Je remplaçai doucement mon doigt par ma bouche. Il ne réagit pas sur le moment, mais je sentis ses bras hésiter à resserrer leur prise sur moi. Mon cœur battait fort, mais ce n'était rien par rapport à avant, à il y a quelques années. Ce n'était rien par rapport à Yoongi. Ça me faisait du mal de m'en rendre compte, tout comme ce contact suffisait à apaiser certaines de mes craintes.

« Pour me faire pardonner... murmurai-je. J'y retourne, c'était vraiment pas le moment pour que je lâche la caisse. Viens me chercher dans une heure, ça sera plus calme.

D'accord. »

Je m'éloignai de lui et il me laissa partir dans discuter. Je me hâtai de descendre les escaliers, demandant à Nicolas si tout se passait bien au passage, et je retournai prendre la caisse où Coline m'avait remplacé sous l'affluence. Je la remerciai et elle retourna à son rayon qu'il fallait qu'elle remplisse vu la vitesse à laquelle il se vidait.

La librairie resta relativement blindée jusqu'à ce que quatorze heures n'arrive. Taehyung ne vint cependant pas me chercher tout de suite, probablement occupé, mais lorsqu'il sortit de son bureau et que son regard croisa le mien depuis l'étage, nous nous sourîmes doucement et j'abandonnai mon poste pour aller prendre ma pause déjeuner.

[...]

Je m'étais finalement fait virer une heure après être revenu avec Taehyung, ce dernier aussi buté que moi quand il le voulait. Alors je repartis lentement en direction de chez moi, avant de finalement m'arrêter à Pyramides pour prendre un bubble tea. Je fis la queue pendant cinq bonnes minutes avant d'enfin pouvoir repartir. Avec deux gobelets. Sirotant le mien, je repartis vers la librairie et le déposai à l'accueil en demandant à Coline de le donner à Taehyung avant qu'il ne s'en aille, et je repartis avant de me faire remonter les bretelles. Je voulus descendre une nouvelle fois à Pyramides histoire d'en reprendre un autre et surtout, de traîner un peu, mais je laissai finalement mon cul vissé sur mon siège jusqu'à ce que j'arrive chez moi.

J'ouvris la porte de l'appartement et je me débarrassai de mes affaires avant de me diriger vers la cuisine. J'ouvris le frigo et soupirai devant son contenu. Je baissai du coup la température pour économiser de l'énergie et je refermai la porte. J'allais manger des pâtes, ça serait bien. Déjà que je n'avais pas faim...

Je tournai en rond dans l'appartement pendant de longues minutes, observant les meubles, les murs, les bibelots et les photos en tout genre. Je m'arrêtai devant l'un des grands cadres accrochés au mur au fond de la pièce, où sept photos étaient affichées, parfois se chevauchant les unes et les autres, ou étant recoupées pour que tout rentre dedans. Il y en avait une de moi et Taehyung ; une de moi et Yoongi ; une de moi avec Morvan et tous mes potes au bar ; Yoongi avec Perli ; Sun Mi bébé ; et deux de moi, Yoongi, Jimin et Hoseok. Mon regard s'attarda sur ces deux-là.

La plus vieille des deux avait été prise au Panthéon, quelques jours après notre rencontre. Hoseok avait pris une photo de lui et Yoongi, puis avait voulu que je me rajoute au groupe, et Jimin avait couru vers nous pour également être dessus. Yoongi avait essayé de s'enfuir à ce moment-là, mais je l'avais retenu sans trop savoir pourquoi. Sans doute pour ne pas avoir l'impression de tenir la chandelle, je ne me souvenais plus trop. La deuxième photo, nous l'avions prise il y avait un peu plus d'un an et demi, lorsque j'étais parti en Corée sans lui dire pour son anniversaire, après que Jimin ait tout planifié comme il adorait le faire. C'était quelques jours après ça, le rouquin étant enfin remis sur pied. Je m'étais tapé une bonne gueule de bois le lendemain de mon arrivée, et Yoongi s'était bien foutu de moi. Il s'était amusé à passer l'aspirateur pour empirer mon mal de crâne en disant que c'était sa vengeance pour mon arrivée surprise. Je l'avais détesté et menacé de repartir sur le champ. Il ne m'avait bien sûr pas cru, et je m'étais caché sous la couette en l'insultant de tout ce que je pouvais. Mais il était finalement venu me prendre dans ses bras après avoir décidé qu'il ne s'amusait plus, et il m'avait dit que c'était le meilleur anniversaire qu'il avait passé en 36 ans d'existence. Le lendemain, je m'étais pointé à Itaewon chez nos amis et j'avais été emmerder Jimin qui était dans un sale état depuis deux jours. Et le jour suivant, nous avions pris cette photo en nous baladant près de Myeongdong. C'était une bonne journée...

Mes yeux remontèrent ensuite sur la photo de Yoongi et moi. Elle datait de cet été. Nous étions tous les deux assis sur la dune, lui fumant et regardant sur sa gauche pour tenter de cacher son petit sourire alors que moi, les bras autour de son cou, je riais à m'en déboîter la mâchoire. C'était le lendemain de ce jour-là. Nous étions à l'aise l'un avec l'autre, nos amis étaient tous là avec nous, et à ce moment précis, Jungkook venait de salement tailler Jimin devant nous tous. Ce dernier s'était vexé comme un pou, mais Hoseok avait réussi à le faire sourire après une étreinte et quelques baisers, et l'architecte était reparti de plus belle. Cette période me manquait. Le passé me manquait.

Ce passé où nous étions bien ensemble, rien qu'à être assis l'un à côté de l'autre en échangeant quelques mots, quelques regards, sans jamais en chercher plus.

Je laissai mes doigts effleurer le verre du cadre avant qu'ils ne retombent le long de mon corps. Je pris une grande inspiration et je tournai les talons. Je sortis mon téléphone de ma poche et me laissai tomber sur le canapé. Je n'avais toujours pas de réponse de Jimin, ni de Hoseok, alors j'ouvris Kakao et envoyai un message inquiet aux deux, faisant l'impasse sur ma situation. Taehyung m'avait dit que Jimin avait des problèmes au travail alors j'espérais vraiment que ça allait pouvoir s'arranger. Je posai mon portable à côté de moi et me saisis de mon ordinateur. Je relevai l'écran et appuyai sur le bouton de démarrage. Il commença à ronronner quand j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir. Je me redressai et tous mes muscles se crispèrent. C'était lui. Ça ne pouvait être que lui. Je me levai alors immédiatement, éjectant mon ordinateur sur le canapé, et je traversai la pièce. Il se figea en m'entendant arriver, et il releva la tête lentement sur moi. Ça faisait cinq jours que je ne l'avais pas vu. Mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine, et je savais bien que ça ne serait que plus douloureux.

« Salut, finis-je par lâcher.

Je ne pensais pas que tu étais là.

Tu ne serais pas venu si tu l'avais su ? »

Il continua de me fixer, puis soupira.

« Je suis venu chercher quelques affaires. »

Il retira ses vêtements et avança vers moi. Il passa sur ma gauche et je serrai les poings.

« Tu ne viens même pas me dire que tu me quittes ?

Pardon ? »

Je ne bougeai pas et je le sentis s'arrêter dans mon dos.

« Pourquoi ça serait à moi de le faire ? C'est toi qui m'as quitté jeudi soir.

C'était pas mon intention... soufflai-je.

Mais tu l'as fait. Si tu as besoin d'une clarification, alors la voilà : nous ne sommes plus ensemble. »

Mon cœur se brisa. Mes yeux se perdirent sur le parquet pendant de longues minutes, quand je me retournai. Je voulus m'élancer vers lui, le frapper et vider mon sac, ou encore me jeter à son cou et lui demander de me pardonner, quand il revint de la chambre avec un sac. Je me figeai donc et le regardai aller chercher quelques livres dans la bibliothèque.

« Je continuerai de payer la moitié du loyer tant que tu restes ici. Je te laisserai ma clé dans la boîte aux lettres quand j'aurai récupéré toutes mes affaires. Tant que je n'ai pas un nouvel appartement, je ne peux pas tout déménager. Mais je viendrai chercher le reste quand tu ne seras pas là. Je ne t'imposerai plus ma présence.

Tu vis où ?

Peu importe.

Réponds-moi.

Je ne te dois plus rien.

Je veux juste m'assurer que tu n'es pas à la rue... ou quelque part où ça craint... »

Il expira fortement, puis posa son sac par terre le temps d'en remonter la fermeture.

« Chez Sojung.

Ta collègue ?

C'est ça. »

Il se redressa, revint vers l'entrée et passa une fois de plus à côté de moi sans me calculer. Mais il s'arrêta soudain et je fus légèrement tiré en arrière sans comprendre pourquoi. J'avais attrapé son poignet sans m'en rendre compte. Je resserrai alors mes doigts tremblants sur sa peau tandis que je sentis les sanglots commencer à monter.

« Reste... »

Il resta muet, mais je sentis ses muscles se crisper sous sa peau. Il posa alors son sac par terre, puis sa main droite sur la mienne afin de la retirer doucement.

« Je suis désolé », souffla-t-il dans sa langue maternelle.

Je finis par le relâcher et ma main tomba mollement le long de ma cuisse. Yoongi se rhabilla et quitta l'appartement sans un mot de plus. Je n'avais pas pu le retenir. C'était officiellement terminé. Mes jambes me lâchèrent alors et je tombai à genoux. Mes mains vinrent se poser sur mes bras et je me penchai en avant jusqu'à ce que mon crâne touche le sol gelé. Et ne pouvant plus retenir mon chagrin, je craquai et mes larmes commencèrent à couler le long de mes tempes avant de se perdre dans mes cheveux.

C'était terminé.

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