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Chapitre 45 - 2024030615H

[22/12/2021]

Bonsoir bonsoir !

Ça faisait longtemps que je n'avais pas posté aussi tard XD

La raison est que j'ai finalement rajouté un petit passage. Petit, mais assez long pour m'obliger à reporter la fin de ma correction XD

Déjà plus que deux jours avant Noël... J'ai vraiment du mal à réaliser. Cette année est encore passée tellement vite...

Bref, j'espère que le Père Noël vous gâtera, et que ce chapitre vous plaira.

Bonne Léocture ! ♥




~~+~~




Je me penchai en avant vers la table basse, attrapai mon verre d'eau que je descendis d'une traite, puis je le reposai en lâchant un râle de satisfaction. Je me rassis correctement, remontai mes lunettes sur mon nez, puis expirai fortement.

« Allez, Jungkook. Tu peux le faire. »

Je repris le stylet qui était posé sur le canapé à côté de moi, et je le ramenai sur la tablette posée sur mes cuisses. Je tentai de dessiner encore et encore, mais je n'y arrivai pas. Ça faisait un mois que je m'entraînais à dessiner sur un IPad, en vain. Je ne sentais pas la mine du crayon glisser sur le papier, ça m'énervait. Pourtant, il fallait que j'arrive à maîtriser ça. Je ne pouvais pas me contenter du crayon gris et de feuilles de papier si je voulais pouvoir décrocher mon diplôme et trouver du travail quelque part après ça. Déjà que j'étais mauvais en peinture, il fallait bien que je me trouve un autre atout...

J'effaçai tout et recommençai une fois de plus. Il fallait persévérer. J'allais finir par y arriver, il n'y avait pas de raison. Ce n'était que du dessin, déjà. La colorisation, ça serait autre chose en revanche... Mais ne mettons pas la charrue avant les bœufs. Étape une : maîtriser le stylet, le côté glissant de l'écran et le dessin ; étape deux : maîtriser les brosses pour ombrer et colorer.

Je continuai de m'entraîner pendant un long moment quand j'entendis des clés glisser dans la serrure. Je jetai un coup d'œil par-dessus mon épaule même si je savais très bien que ça ne pouvait être qu'Alexis, et lorsque j'aperçus un petit morceau de lui, je revins à ma tablette, comme si j'avais eu besoin de le voir une seconde, comme si le fait d'être certain que c'était lui me suffisait.

« Je suis rentré, soupira-t-il.

Mmh, bon retour ! »

Je l'entendis commencer à se déshabiller et je fermai les yeux en secouant la tête. Je n'étais pas concentré. J'allais me donner des baffes si ça continuait.

« Toujours en train de te battre avec ta tablette ? me dit-il doucement en venant poser ses mains sur le dossier du canapé.

Oui, soupirai-je en laissant tomber ma tête en arrière pour croiser son regard. J'en ai marre.

Tu vas y arriver, me sourit-il. Je crois en toi.

Mmh. Tu es le seul.

Ne sois pas si défaitiste. C'est difficile pour tout le monde au début, et puis on s'habitue. C'est un coup à prendre.

Ouais mais chez moi, il veut pas prendre.

Tu as la technique, tu sais dessiner, c'est le plus difficile. La pratique viendra en t'entraînant.

Mmh », grognai-je de nouveau en faisant la moue.

Il me sourit encore, puis se pencha doucement sur mon visage pour poser ses lèvres sur les miennes. Je fermai alors les yeux et me laissai envahir par ces papillons sauvages que j'aimais tant. Je lâchai mon stylet qui tomba entre mes cuisses et je levai ma main droite pour la glisser dans sa nuque, mes doigts s'emmêlant dans quelques boucles brunes.

Après quelques baisers, il se redressa et je dus me résoudre à le relâcher. Il revint cependant embrasser le bout de mon nez en souriant, puis passa sa main dans mes cheveux noirs avant de s'éloigner du canapé.

« Tu vas y arriver, Kookie.

J'espère...

J'y crois !

Mmh... »

Je l'entendis entrer dans sa chambre et tirer la chaise de son bureau.

« T'as fini, là ?

Mmh ? Les cours ?

Oui.

Oui, sinon je ne serais pas rentré. Avec le froid, j'aurais jamais eu la motivation de ressortir.

Tu m'étonnes...

Pourquoi ?

Comme ça. Je sors plus non plus.

Tant mieux. On peut rester au chaud.

Oui. Ça te dit qu'on se regarde un film ce soir ? Avec un plaid et tout, en mode cocooning ?

Cocooning ? Tu veux faire ça, toi ? rigola-t-il.

Et pourquoi pas ? Avec un chocolat chaud et tout !

Un chocolat chaud ?

Y a pas d'heure pour un chocolat chaud !

Très bien, rigola-t-il de nouveau, si ça te fait plaisir.

J'ai hâte ! »

Il rigola davantage avant de soupirer et de probablement se mettre au travail. Je fis alors de même et retournai à ma tablette. Il fallait que j'y arrive.

[...]

Alexis m'avait rejoint sur le canapé depuis un moment déjà et je m'acharnais toujours sur ma tablette. Il caressait doucement mes cheveux et c'était agréable ; ça m'aidait à ne pas m'énerver sur mes traits qui n'étaient pas aussi précis que je le souhaitais.

« Tu t'en sors ? me demanda-t-il.

Mmh. Mieux que tout à l'heure, mais c'est pas encore ça. »

Il retira alors sa main gauche de mes cheveux et se rapprocha de moi. Son bras passa autour de mes épaules tandis que sa main droite se posa sur la mienne. Je manquai de lâcher le stylet, mais je le laissai finalement tenir ma main et diriger le crayon où il le souhaitait.

« Regarde l'écran, pas moi, sourit-il.

Pardon. »

Je reposai immédiatement mes yeux sur la vitre tandis qu'il rigola doucement près de mon oreille, et je me laissai guider. Mon cœur accéléra et je tentai de calmer ma respiration.

« Tes traits doivent être plus vifs, murmura-t-il près de mon oreille.

Oui, j'ai... j'ai compris, le repoussai-je.

T'es sûr ?

Oui. Va jouer ailleurs, tu me déconcentres.

Je te déconcentre ? rigola-t-il.

Oui. Comment tu veux que j'arrive à quelque chose si tu me parles dans le creux de l'oreille en me touchant comme ça ? grognai-je.

Tu es vraiment sensible...

Je sais. Ta gueule. »

Il rigola encore un peu et je remontai mes lunettes en haut de mon nez pour continuer de m'entraîner. Seulement je sentais son regard sur moi et ça ne m'aidait pas.

« Tu peux regarder ailleurs ? Ou retourner dans ta chambre ?

Tu ne veux pas plutôt prendre mon bureau ? Tu te fais mal au dos et à la nuque à être penché en avant comme ça.

Non, je suis bien, là. »

Il resta alors silencieux mais je continuai de sentir son regard sur moi.

« T'as quelque chose à me demander ? finis-je par tourner la tête vers lui.

Mmh ? Non. Enfin, ça peut attendre.

Non, dis.

Ça peut attendre, je t'assure. C'est juste un bête truc auquel je repensais, rien d'intéressant. Continue de t'entraîner. Je vais préparer le repas, dit-il en esquissant un mouvement pour se lever.

Non, dis-moi. Je peux prendre deux minutes de pause.

Je t'assure que c'est un truc débile. Je te fais perdre du temps.

Du tout. Puis au pire je peux continuer de dessiner en t'écoutant, regarde. Allez, dis-moi ce que c'est.

Très bien. »

Il inspira puis se tourna légèrement pour se rasseoir de façon à être face à moi. Quant à moi, je reposai mes yeux sur ma tablette.

« C'est vraiment sans importance, mais je me suis fait une réflexion hier soir, du coup je me suis dit qu'il faudrait que je te pose la question.

Je t'écoute, dis-je tout en continuant d'essayer de maitriser le dessin sur ma tablette. Oh ! Regarde ! »

Je lui tendis l'écran et ses yeux s'écarquillèrent.

« Oh, c'est pas mal ! sourit-il. Tu vois, je te l'avais dit qu'avec de l'entraînement, tu y arriverais !

Ça fait un mois que je galère, quand même !

Ce n'est rien, un mois, rigola-t-il doucement.

Si, c'est long ! »

Je reposai le stylet sur ma tablette, puis me rendis compte que je l'avais coupé.

« Oh, pardon. Je t'écoute du coup.

Je vais te déconcentrer. Tu t'en sors bien depuis quelques minutes.

Alex', j'vais me fâcher.

Tu ne me fais pas peur, rigola-t-il doucement.

Tu devrais me craindre pourtant. »

Il rigola encore mais ne parla pas pour autant, et alors que je m'apprêtais à soulever mon stylet tout en lui demandant de cracher le morceau, son visage se rapprocha du mien et il vint chuchoter à mon oreille.

« En fait, je voulais te parler de galipettes, mais tu es bien trop occupé... »

J'eus une bouffée de chaleur soudaine et mon cerveau arrêta de tourner une seconde. Je tournai alors la tête vers lui et il recula doucement pour pouvoir me regarder dans les yeux.

« De galipettes ?

Oui.

Comment ça ?

Ça t'intéresse ? me sourit-il, son regard descendant sur ma bouche une seconde.

Évidemment, répondis-je en posant ma tablette sur la table basse afin de me tourner vers lui. Tu sais bien que ce sujet m'intéresse toujours !

On ne sait jamais, tu aurais pu trouver un meilleur passe-temps...

En vingt-quatre heures ? pouffai-je en posant mon coude sur le dossier du canapé.

Oui, ta tablette ; tu viens enfin de faire des progrès, ricana-t-il avec un sourire.

Non, c'est hors course direct, rigolai-je. Allez, accouche, je veux savoir ! »

Il passa sa langue sur ses lèvres tout en continuant de me regarder d'un air malicieux, alors je lui envoyai mon poing gauche dans l'épaule en grognant.

« Dis. Je veux savoir. Ça fait cinq minutes que tu me tortures.

Pour tout t'avouer, je me suis juste demandé si tu ne t'ennuyais pas.

M'ennuyer ? fronçai-je les sourcils. Comment ça ?

Au lit.

Non, pas du tout, pourquoi ? commençai-je à paniquer. Tu t'ennuies, toi ?

Absolument pas, ce n'est pas ce que j'ai voulu dire.

Alors qu'est-ce que t'as voulu dire ? Tu m'as fait peur putain ! »

Il expira fortement par le nez en baissant la tête, un sourire démesuré qui me fit serrer les dents, puis il releva les yeux pour les plonger dans les miens.

« C'est juste que... Enfin, ça me va très bien tout ce qu'on fait, ne va pas t'imaginer des choses. Mais je t'imaginais plus aventurier dans le domaine...

Qu'est-ce que tu veux dire ? fronçai-je encore les sourcils.

Je veux dire qu'on a déjà testé des tas de positions plus ou moins originales, mais je me demandais si tu avais déjà utilisé des trucs pour... je sais pas, pimenter ça, je dirais. On n'a jamais abordé ce sujet-là.

Des trucs genre chantilly, cire fondue... ?

Par exemple, me sourit-il.

Pas vraiment, répondis-je en haussant les épaules.

Ça ne te plaît pas ?

C'est surtout que je n'ai jamais eu de vraie relation, tu sais...

Je sais, mais ce n'est pas un critère obligatoire.

Je sais mais... Comment dire. Disons que mes coups d'un soir, j'étais pas là pour jouer, tu vois. Y a juste un pote avec qui je couchais de temps en temps quand j'étais au Japon, qui a voulu me verser de la sauce soja dessus, un soir. Ouais, ultra cliché, je trouve aussi, souris-je en le voyant retenir un léger rire. J'étais pas mal alcoolisé à cause de mon taf alors j'ai accepté, mais le lendemain, je collais de partout, c'était une horreur.

J'imagine...

Du coup non, pas vraiment. Pourquoi ? Tu aimes jouer avec la nourriture ? lui demandai-je avec un sourire en coin.

Dans ce contexte, oui.

Alors je veux bien essayer si ça te fait plaisir, lui répondis-je en passant lentement ma langue sur mes lèvres.

Je prends note. Et tu as déjà utilisé des jouets ?

Du genre ?

Sextoys en tout genre, menottes...

Fouets ? pouffai-je.

Ce n'est pas pour moi, mais par exemple, me sourit-il.

Non, jamais.

Vraiment ? Les sextoys non plus ?

Non.

Même pour te masturber ?

Jamais. Si mes mains ne me suffisaient pas, j'avais qu'à trouver quelqu'un.

Je vois.

Pourquoi ?

Je pensais juste à ça, hier soir.

Pendant qu'on couchait ensemble ? écarquillai-je les yeux.

Oui, j'avoue, me sourit-il.

Tu rigoles !? criai-je en lui donnant un nouveau coup de poing dans l'épaule. J'te signale que mes abdos ont douillé, hier soir !

Je les remercie de leur sacrifice, vint-il susurrer en se rapprochant de moi, c'était génial.

Mouais, grognai-je en reculant.

Vu comme tu jurais à chaque fois que je descendais sur toi, murmura-t-il en continuant de réduire la distance entre nous deux.

C'est pas de ma faute si je suis vulgaire, ça sort tout seul.

Je sais. C'est la preuve que tu prends du plaisir.

Bref, c'est tout ce que tu voulais savoir ? demandai-je, alors que je sentis l'accoudoir se rapprocher dangereusement de ma tête.

Oui. Je voulais savoir si c'était normal pour toi de t'amuser sans aucun accessoire. Je ne voulais pas que tu te prives de quelque chose par peur de me dire ce que tu aimes.

Je ne me prive de rien, puisque je t'ai, souris-je doucement en m'allongeant entièrement.

Tu triches, rigola-t-il en venant me surplomber.

J'avoue tout. »

Il m'observa encore quelques secondes, puis se pencha sur moi et m'embrassa. Je passai bien vite mes bras autour de sa nuque, fus frustré que ses cheveux ondulés soient une fois de plus attachés, et tout mon corps commença à s'enflammer. Je me sentais bien. Tellement bien. J'étais amoureux de ces papillons qui naissaient dans mon ventre à chaque fois qu'il était près de moi, qu'il me souriait, qu'il me parlait, qu'il me touchait. J'étais heureux. Tellement heureux d'avoir laissé tomber mes barrières et d'être tombé amoureux de lui. J'en venais même à oublier à quel point l'amour était dangereux et faisait mal quand je voyais à quel point il me faisait du bien depuis deux mois.

« Du coup, soufflai-je entre deux baisers. Tu veux pimenter un peu nos nuits ?

Non, je voulais juste m'assurer que tu ne te retenais pas sur certaines choses pour moi. Me concernant, j'ai juste besoin de toi pour que mes nuits soient pimentées.

C'est quoi cette disquette, pouffai-je en écrasant ma tête dans le tissu du canapé.

C'est juste la vérité, me répondit-il en venant déposer des baisers sur ma gorge.

Je ne suis jamais contre de nouvelles découvertes en matière de sexe. Surtout avec toi.

Vraiment ?

Oui, soupirai-je en laissant mes doigts s'emmêler de nouveau dans ses mèches. Le seul truc qui pourrait éventuellement me frustrer de ne jamais expérimenter, ça serait un plan à trois.

Sérieusement ? pouffa-t-il en remontant son visage au-dessus du mien.

Oui.

Si tu veux vraiment tester, on peut.

Non.

Pourquoi ? fronça-t-il les sourcils.

J'ai pas envie de te partager, fis-je la moue. Imagine que tu préfères l'autre mec...

Impossible, rigola-t-il. Tu es bête.

Je sais. »

Il revint m'embrasser et je finis par passer mes jambes de part et d'autre de son corps afin de croiser mes mollets dans son dos.

« Du coup, soufflai-je après avoir repris ma respiration, que proposes-tu ?

T'as déjà utilisé des glaçons ?

Au lit, non, répondis-je alors qu'un frisson remonta ma colonne rien qu'à imaginer la scène.

Un bandeau sur les yeux ?

Non plus.

On pourra commencer par ça.

Si tu veux... »

Il revint m'embrasser, puis s'éloigna de moi. Je le relâchai et il reprit sa place sur le canapé avant de s'étirer et de croiser ses bras sur son ventre en fermant les yeux. Je le regardai faire, incrédule, puis me redressai en fronçant les sourcils.

« Bah... Tu fais quoi ?

J'attends que tu aies terminé. Oh, je vais aller préparer le repas, comme ça-

Non mais... t'es sérieux ? Tu me cherches en me parlant de glaçons et tu veux aller faire à manger ?

Tu veux faire ça maintenant ? arqua-t-il les sourcils.

Évidemment !

Mais t'étais en train de t'entraîner sur ta tablette !

Tu te moques de moi ? Il est plus question de tablette, là. J'veux jouer avec toi ! »

Il pouffa alors, puis passa sa main sur son front et le dessus de son crâne avant de se lever.

« Très bien, Jeon Jungkook. On va jouer, si c'est ce que tu souhaites.

C'est ce que je souhaite, répondis-je avant de mordre ma lèvre inférieure.

Alors suis-moi. »

Il se leva et je m'empressai de faire de même. Je le suivis jusque dans la chambre et m'arrêtai au milieu de la pièce pour le regarder ouvrir sa penderie avant de se baisser devant. Il finit par se redresser en tenant une boîte entre ses mains et j'écarquillai les yeux.

« Me dis pas que c'est plein ?

Non, je n'en ai que quelques-uns. Pour être honnête, je ne les ai jamais trop utilisés non plus, c'était surtout mon ex qui adorait ça.

Je vois...

Au cas où tu te poserais la question, ceux-là sont les miens, et ils sont bien évidemment nettoyés. Mais c'est juste pour te montrer. Si jamais tu veux tester, on ira en acheter pour toi.

D'accord. On verra. »

Il s'approcha alors du lit et s'assit dessus avant d'y poser la boîte et de l'ouvrir, et je le rejoignis pour regarder ce qu'il y avait dedans.

« Genre ça, t'as jamais utilisé ? me demanda-t-il en me montrant un plug.

Non. Jamais. Mais c'est petit, ça sert vraiment à quelque chose ? »

Il pouffa alors et posa l'objet argenté sur le lit avant de replonger sa main dans la boîte.

« Oui, ça stimule. C'est pas mal quand tu es le pénétrant, tu as le sentiment d'être pris des deux côtés.

Bordel...

Quoi ?

Rien que ça et j'ai déjà les hormones en ébullition. »

Il éclata alors de rire pendant que je m'emparai du petit objet. Je l'observai sous tous les angles attentivement tandis que mon ventre se retourna. En dehors du plan à trois, je n'avais jamais imaginé pouvoir avoir quelque chose en moi tout en prenant quelqu'un. Peut-être que ça pourrait être une agréable alternative, même si ça ne serait jamais totalement la même chose...

« Kook ?

Mmh ? relevai-je le visage vers lui.

Tu as l'air tellement absorbé par ton observation...

C'est juste que, paniquai-je en reposant le plug, j'en ai jamais vu en vrai. D'aussi près en tout cas. C'est joli. »

Il pouffa en baissant la tête, puis me sourit.

« Tu sais que tu n'as pas à être gêné avec moi.

Je sais. Mais... c'est la première fois que j'envisage d'en utiliser.

Que tu envisages ?

Oui. Je... Ça me donne envie. »

Il arqua un sourcil, surpris, puis me sourit doucement.

« Je prends note.

Mmh, prends-note, pinçai-je mes lèvres. Tes arguments étaient plutôt convaincants. »

Il rigola de nouveau et je pris une grande inspiration. Je voulais en savoir plus.

« Ensuite ?

Ensuite, baissa-t-il de nouveau la tête vers le contenu de la boîte, j'ai ça. Bon, pas besoin de te faire un dessin, ajouta-t-il en sortant un chapelet.

Non, mais ça a l'air marrant.

Marrant ? sourit-il en relevant les yeux sur moi.

Oui. Ça doit faire comme les capotes à relief, mais en mieux, non ?

On va dire ça, dit-il en regardant le plafond. Je préfère ça à un gode classique.

Je prends note, répondis-je avec un sourire en coin.

Fais donc, sourit-il en replongeant ses yeux dans la boîte. Tu sais ce que c'est, ça ?

Non, répondis-je en voyant un anneau noir faisant quelques centimètres de diamètre, mais ça par contre, je sais ce que c'est. »

Je plongeai ma main dans la boîte et en sortis une paire de menottes.

« Tu aimes bien qu'on t'attache ? demandai-je avant de mordre mes lèvres.

C'est assez excitant, j'avoue. »

Je continuai de le regarder, ma lèvre inférieure coincée entre mes dents, tandis que mon sourire s'élargissait malgré moi. Je finis par me mettre à quatre pattes sur le lit et à me rapprocher de lui tout en repoussant la boîte sur le côté.

« Tu as une idée derrière la tête, il semblerait, rigola-t-il.

Oh oui. Plus d'une, même. »

Je m'emparai de ses lèvres passionnément et il me répondit dans la seconde. J'avais chaud. M'imaginer utiliser tous ces objets sur lui avait commencé à m'exciter, mais m'imaginer l'attacher, le rendre incapable de faire la moindre chose tandis que je pourrais jouer avec lui jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus, ça me faisait tourner la tête. Il se laissa allonger docilement, grognant lorsque l'un de ses jouets s'enfonça dans son dos, et il le repoussa hâtivement pour ne pas briser ce moment.

« Tu... souffla-t-il lorsque je me redressai pour envoyer valser mon sweat, tu ne voulais pas tester des glaçons, à l'origine ?

Oh, si... répondis-je, le souffle court. Je reviens ! Bouge pas !

Je vais prendre une douche rapidement.

Non, pas besoin !

Si tu veux jouer, si, je préfère, rigola-t-il.

Bon ok, mais fais vite ! Les glaçons, ça fond !

Je fais vite ! »

Je me décalai immédiatement pour qu'il puisse se lever. Il quitta le lit afin de se diriger vers la salle de bain attenante, et je n'attendis pas une seconde pour envoyer valser la moitié de mes vêtements et quitter la chambre à mon tour. Je passai rapidement aux toilettes, puis je me ruai vers la cuisine. Des glaçons. Vite. Mais vu comme mon corps irradiait de chaleur, allaient-ils tenir jusqu'à ce que je rejoigne la chambre ?

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