Chapitre 11 - 2014081008H
[10/02/2021]
Bonjour bonjour !
Y A NEIGÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉÉ CHEZ MOIIIIIIIIIIIIIIIIIIII HIEEEEEEEEEER ZOGHRUIPH♥_♥
Deux ans que j'ai pas vu de neige (et encore, y a deux ans c'était pendant 15 minutes entre la descente du bus au retour de Paris après le concert de DAY6 et mon arrivée à l'appartement donc lol), je pleure. J'attendais ça avec tellement d'impatience, j'suis trop heureuse ToT
Si jamais il reste de la neige demain, faudra que je fasse un bonhomme de neige histoire de dire que je l'ai fait XD
BREF. Concernant ce chapitre... j'ai eu du mal à me concentrer déjà mdr
Ensuite, concernant le contenu, j'avais prévenu de certaines choses dans l'intro mais je me rends compte que j'ai oublié de signaler que certaines scènes auraient lieu entre un Jungkook mineur et un autre personnage qui lui, est majeur. On peut parler de détournement de mineur, oui, même si légalement, il a seize ans et est donc majeur sexuellement parlant.
Je ne vais pas m'attarder plus longtemps sur ce point mais voilà, je préfère prévenir au cas où, même si je me doute que l'âge du personnage doit être assez flou pour vous la plupart du temps. C'est l'histoire qui veut ça et je ne suis en aucun cas une fétichiste ou je ne sais quoi (mieux vaut prévenir que guérir...)
Re bref. J'espère que ce chapitre vous plaira.
Bonne Léocture ! ♥
~~🥝~~
Lorsque je me réveillai, je mis de longues secondes avant de comprendre où j'étais. Un léger mal de crâne me fit froncer les sourcils, mais ça allait passer... normalement ? J'allai aux toilettes avant de me diriger vers la cuisine et de me servir un verre d'eau. Est-ce que je devais attendre que Jaeheon se réveille ? Est-ce que je devais m'en aller, trop honteux de ma conduite ? Mais est-ce que je devais dans ce cas prendre ce qu'il m'avait offert sans aucune honte ? Non, ce n'était pas correct... Je revins enfiler mes vêtements en me rendant compte que je m'étais levé en caleçon sans aucune pudeur, et je relevai les yeux sur la chambre où les rideaux ouverts laissaient bien passer la lumière du jour. Il dormait encore ?
J'inspirai profondément et pris mon courage à deux mains. Je marchai lentement jusqu'à la pièce séparée du salon par des murs de trente centimètres à peine, et avançai jusqu'à mon aîné.
« Hyung ? » murmurai-je doucement.
Il ne me répondit pas et n'eut aucune réaction.
« Hyung ? dis-je de nouveau. Tu dors ? »
Je levai ma main pour la poser sur son épaule, mais je me retins bien vite. Je ne pouvais pas toucher sa peau nue... Je déglutis difficilement et continuai de l'observer.
« Hyung... Je vais rentrer chez Haejoon... »
Mon cœur se mit alors à accélérer et j'arrêtai de réfléchir. Il était beau. Il était tellement beau. Et les couleurs, les ombres, les lumières... C'était tellement magnifique. Je retournai rapidement au salon, me jetai sur ce qu'il m'avait donné quelques heures plus tôt, et je m'emparai d'un carnet ainsi que d'un crayon avant de retourner dans la chambre. Je poussai quelques bibelots exposés sur sa petite étagère à un mètre du bord du lit, et je posai mes fesses contre avant d'ouvrir le carnet. J'affichai une page vierge, retenant durement la frustration de ne pas pouvoir, comme toujours, exploiter les couleurs qui étaient si belles, et je commençai à dessiner.
La beauté de son visage encore endormi, le grain de sa peau, la grandeur de ses mains, les courbes de son dos... Tout était parfait à mes yeux. Il était le genre de modèle que j'aimais reproduire encore et encore sans jamais m'en lasser. Je mordis mes lèvres lorsque je commençai à ombrer le creux de ses reins. Une douce chaleur venait de naître dans mon ventre. C'était étrange, mais ça me faisait du bien. Je continuai mon dessin, souhaitant mentalement que le drap disparaisse tout seul, l'esprit totalement ailleurs. Il fallait que je me reconcentre. Je ne devais pas me laisser influencer par mon modèle.
Je continuai alors pendant de longues minutes, revenant à sa main, à son visage, avant de repartir sur le bas du drap. Je devais dessiner depuis un long moment maintenant, parce que je remarquai que les ombres n'étaient plus les mêmes. Il fallait que je me souvienne de leurs emplacements.
« Qu'est-ce que tu fais ? »
Je sursautai alors et manquai de faire tomber mon matériel. J'ouvris les yeux grands comme des soucoupes sur Jaeheon qui m'observait en silence, un sourire aux lèvres.
« Je... rien. Je... je vais y aller... paniquai-je.
– Tu me dessinais ?
– Non !
– Que faisais-tu alors ?
– Je... venais juste te dire que j'allais y aller et... et le ciel est beau ! Tu as vu ?
– Jungkook...
– Merci pour hier soir... Et je suis désolé d'avoir débarqué et de m'être imposé cette nuit... Je ne recommencerai pas... commençai-je à reculer pour m'enfuir.
– Et tu dessinais le ciel ?
– Hein ? Je... oui. Oui, c'est ça... Salut ! »
Je tournai alors les talons pour lui échapper mais sa main attrapa mon bras et il tira dessus sans ménagement. Je perdis bien vite l'équilibre et me retrouvai couché sur le dos dans son lit. Mon cœur loupa un battement et je tentai de me relever mais il m'enjamba bien trop rapidement pour m'empêcher de fuir, et il s'empara de mon carnet.
« Regarde pas ! hurlai-je.
– Pourquoi ? Ce n'est que le ciel, Jungkook, me sourit-il.
– Je... c'est moche ! J'ai raté et j'ai honte ! Regarde pas !
– Jungkook...
– Et arrête de prononcer mon nom, tremblai-je en cachant mon visage qui rougissait de plus en plus, sinon je te plante avec mon crayon... »
Un rire fort lui échappa, et quelques secondes plus tard, mon crayon m'échappa des mains.
« Je ne risque plus de mourir maintenant. Alors, regardons ça... »
Prisonnier contre son matelas, ses cuisses et ses fesses, j'étais tétanisé. Non seulement il allait voir que je l'avais dessiné alors qu'il dormait et j'étais mort de honte, mais réaliser dans quelle position nous étions désormais était encore pire et me donna une affreuse bouffée de chaleur. Qu'était-il en train de penser de ce dessin ? Et surtout de moi ?
Mais alors que j'étais en train de trembler de peur, je sentis le bout de ses doigts effleurer mon épaule gauche.
« Jungkook...
– Mmh ? murmurai-je, honteux.
– C'est super. Tu es vraiment doué. »
Je retirai doucement mes mains de mon visage et rouvris mes yeux apeurés sur lui. Il observait toujours mon dessin, l'air concentré.
« C'est... c'est vrai ?
– Puisque je te le dis. Depuis le temps que je te demande de me dessiner en plus. »
Je me redressai alors d'un coup, m'emparai du carnet et arrachai la page avant de la froisser.
« Mais... pourquoi tu as fait ça !? s'écria-t-il en me regardant avec de gros yeux.
– J'ai trop honte... me cachai-je de nouveau, la feuille froissée dans mon poing.
– Mais moi je n'étais pas d'accord !
– Je m'en fiche, soufflai-je.
– Jungkook... »
Un frisson remonta mon torse. Pourquoi ce ton autoritaire me donnait-il des sensations pareilles ?
« Moi je l'aimais, ce dessin. Alors en guise d'excuse, je veux que tu en refasses un.
– Quoi ? m'étranglai-je en retirant mes mains de mes yeux. T'es... t'es sérieux ?
– Oui. »
Il se pencha doucement vers moi et mon cœur loupa un nouveau battement. Sa main droite glissa sur ma mâchoire et son pouce passa sur mes lèvres, comme la dernière fois, tandis qu'il me fixait avec un sourire de prédateur qui me donnait horriblement chaud.
« Dessine-moi, Jungkook... »
Je déglutis difficilement, puis réussis à souffler un « D'accord ». Satisfait, il me libéra alors de son corps qui était uniquement couvert d'un boxer, et je m'empressai de me relever et de tirer sur mon t-shirt. Je ne pouvais pas me permettre de lui montrer ce qu'il s'était produit ici. J'aurais encore plus honte.
« Tu veux me dessiner où ? Dans quelle position ? Habillé ou non ? »
Ma tête tourna et je manquai d'avoir une attaque.
« Au salon ? Sur le canapé ? suggéra-t-il.
– D'accord... »
Il attrapa des vêtements qu'il s'empressa de passer tandis que je m'enfuis au salon avant de me recroqueviller dans le canapé où j'avais dormi, mon précédent dessin désormais abandonné à côté de moi. Je pris une grande inspiration en fermant les yeux et tentai de me calmer. Il m'avait grillé mais il ne le prenait pas mal. J'allais juste le dessiner. Juste le dessiner. C'était tout. Il était un modèle comme un autre. Il fallait que je me calme. Je rouvris les yeux en l'entendant s'asseoir en face de moi.
« Alors ? Comment veux-tu que je me mette ?
– Comme... comme tu veux...
– Comme ça ? me demanda-t-il en s'asseyant en mode décontracté. Ou comme ça ? Si je m'allonge ? Dis-moi, Jungkook. »
J'avalai ma salive difficilement et plongeai enfin mes yeux dans les siens.
« Assis-toi normalement et penche-toi en avant, tes coudes sur tes cuisses, et soutiens ton visage de tes mains.
– Ah, comme ça ? demanda-t-il en s'exécutant. Oh, et si je mettais mes doigts comme ça ?
– C'est parfait ! Ne bouge plus ! »
Il rigola doucement, ses yeux se fermant, puis il les rouvrit sur moi.
« Je ne bouge plus.
– Je vais allumer la lumière par contre, c'est trop sombre.
– Fais comme chez toi », rigola-t-il.
Je ne me fis pas prier et me levai. J'allai allumer le lustre, puis l'éteignis avant d'allumer la lumière de la cuisine en observant la façon dont les ombres se dessinaient sur son corps. C'était parfait. Je revins me laisser tomber en face de lui. Il rigola une fois de plus mais je n'y fis pas attention. Je rouvris le carnet de croquis qu'il avait ramené et cherchai un nouveau crayon, le précédant ayant été posé quelque part. Je n'avais pas le courage de le chercher. Je reposai mes yeux sur Jaeheon qui me fixait toujours depuis de longues minutes en silence et un frisson remonta ma colonne vertébrale. Je pinçai mes lèvres et passai ma main dans mes cheveux.
« Je commence. Ne bouge plus.
– Je ne bouge plus. »
Je répondis à son sourire timidement, puis la mine de mon crayon se posa sur le papier.
[...]
Je ne saurais pas dire combien de temps je passai à esquisser le moindre pli dans ses vêtements, la moindre mèche de cheveux, le moindre petit grain de beauté le long de ses longs bras. Ses yeux ne m'avaient pas quitté un instant mais étrangement, je n'y avais pas fait attention une seconde. J'étais concentré et plus rien n'avait d'importance.
« Jungkook...
– Mmh ? » murmurai-je en rapportant mes yeux sur mon carnet.
Il resta silencieux et je finis par replonger mes pupilles dans les siennes.
« Quoi ? demandai-je.
– Est-ce que tu m'aimes ? »
Je me figeai alors et toute ma concentration, mon assurance et ma confiance disparurent.
« Encore... Encore avec cette question bizarre ? » ricanai-je, mal à l'aise.
Ses yeux étaient noirs et ils me donnèrent soudain des frissons. Je détournai alors le regard et déglutis difficilement. Je me raclai la gorge aussi discrètement que possible et tentai de me remettre à mon portrait, sauf que je l'entendis bouger. Je me tendis immédiatement, et lorsque je le vis se rapprocher de moi dans ma vision périphérique, mon cœur s'arrêta. Son genou gauche vint se poser dans le canapé tandis qu'il repoussa mon carnet que j'avais maintenu contre moi, comme si ça aurait pu me protéger. Sa main droite glissa sous mon menton tandis que l'autre s'écrasa dans le dossier du fauteuil.
« Jungkook... est-ce que tu m'aimes ? me demanda-t-il une fois de plus.
– Pourquoi tu... tu t'entêtes à me demander ça ?
– Et toi, pourquoi t'entêtes-tu à éluder la question à chaque fois ? Réponds-moi juste une bonne fois pour toutes. »
J'avalai ma salive difficilement. Son pouce vint caresser une fois de plus mes lèvres et son regard noir me donna des frissons supplémentaires.
« Hyung... murmurai-je.
– Réponds-moi, Jungkook... »
Il rapprocha son visage du mien et je me demandai comment respirer pendant quelques secondes. Il était trop près. Beaucoup trop près.
« N... non... murmurai-je.
– En es-tu certain ?
– No-non... »
Il pouffa doucement, puis m'embrassa. Mon cœur s'arrêta une fois de plus tandis que mes yeux n'arrivaient plus à se fermer. Qu'est-ce qu'il faisait ? Je n'avais embrassé personne depuis des années... Depuis ma première « copine » lorsque j'étais parti au Japon, en fait... Comment... comment je devais faire ? Et pourquoi il m'embrassait, d'abord ?
« Alors, Jungkook ? murmura-t-il contre ma bouche avant de venir mordre ma lèvre inférieure. Réponds-moi, Jungkook.
– A... arrête de dire mon prénom... murmurai-je, à deux doigts de l'infarctus.
– Et toi, réponds-moi, Jungkook. »
Sa bouche descendit sur ma gorge et je me tendis de tout mon corps, mordant mes lèvres et serrant mes cuisses l'une contre l'autre. J'avais chaud, beaucoup trop chaud, et mon corps réagissait à ce qu'il me faisait. Je me laissai pourtant faire, la gêne succombant à ces sensations agréables, et lorsque je sentis quelque chose se poser sur mon entrejambe, je rouvris les yeux en grand et me figeai entièrement une fois de plus.
« Qu'est-ce que...
– T'es au courant que tu pourrais rendre fou n'importe qui en le fixant de cette manière pendant une heure ?
– Co-comment ça ?
– Tu as très bien compris, Jungkook. Tu l'as fait exprès, avoue.
– Que-quoi ? Mais... mais non ! »
Il posa alors ses deux mains sur mes épaules et me décolla du dossier pour me faire tomber sur l'accoudoir. Je le regardai avec effarement alors qu'il revint se placer au-dessus de moi.
« Tu... tu fais quoi ? trembla ma voix malgré moi.
– Pour l'instant, j'essaie de faire en sorte que tu répondes à ma question. »
Il se pencha de nouveau sur mon visage et je tournai la tête pour ne pas qu'il m'embrasse, fermant les yeux et pinçant mes lèvres. Il rigola près de mon oreille et déposa des baisers sur ma peau qui me firent frissonner davantage.
« Réponds-moi, Jungkook. Tu me rends fou...
– Je...
– Est-ce que tu m'aimes... ? »
Il cessa ses baisers et tourna mon visage pour que je le regarde. Mon cœur battait à tout rompre. Est-ce que ça servirait encore à quelque chose de mentir ? Et s'il me fichait dehors après que je lui aie répondu ? Non, il venait de m'embrasser, ça n'aurait aucune logique... Mes mains vinrent alors saisir le bord de son t-shirt et tirèrent dessus faiblement.
« Jungkook...
– Oui... »
Son visage resta neutre et j'eus du mal à déglutir. Est-ce que je m'étais trompé ? Cependant, il baissa la tête en souriant, tout en pouffant, et ses mèches de cheveux vinrent effleurer mon menton.
« Je le savais », dit-il en replongeant son regard dans le mien.
Je ne répondis pas, ne sachant pas comment réagir. Il remarqua que j'étais perdu mais il ne dit rien. Sa main droite vint se plonger dans mes cheveux sur lesquels il tira doucement, me faisant pencher la tête en arrière. Il continua de sourire, et bientôt, je sentis ses dents venir pénétrer dans la peau tendue de ma gorge. Je lâchai un couinement mais il ne cessa pas, et dans le fond, je n'avais pas envie qu'il arrête. Je continuai de tirer sur son t-shirt, ne sachant pas quoi faire de mes mains, tandis que je mordais mes lèvres pour m'empêcher de soupirer trop fortement, de gémir ou autre. J'étais déjà assez honteux comme ça.
Après quelques minutes où je crus mourir sous la chaleur qui avait embrasé mon corps, je sentis quelque chose se poser sur mon entrejambe une fois de plus. Je couinai et me tendis avant de plonger mes yeux dans les siens pour la première fois depuis un moment.
« Tu me fais perdre la tête bordel, murmura-t-il en s'attelant à défaire mon pantalon. Tu ne te rends pas compte à quel point c'est excitant de se faire observer comme ça...
– Aah ! laissai-je échapper lorsqu'il posa sa paume sur mon érection à travers mon caleçon.
– T'en as envie ? »
Il bougea sa main contre moi et j'étouffai un nouveau gémissement.
« Jungkook...
– De... de quoi ? »
Il pouffa doucement et libéra mon entrejambe pour se redresser et saisir le bord de mon pantalon.
« De moi, bien évidemment.
– Je...
– Vu comme tu bandes, la question ne se pose pas, mais je préfère quand même te le demander avant de faire quoi que ce soit.
– Que... que...
– Oui ?
– Tu veux faire quoi ?
– Plein de choses, me répondit-il en passant sa langue entre ses lèvres.
– Comme... comme quoi ?
– Franchement ?
– Ou-oui ?
– Te baiser. »
Je m'étouffai en avalant ma salive et mon cœur s'arrêta. Je tentai de me redresser, commençant à paniquer, mais il se rapprocha de moi.
« Mais j'imagine que t'es encore vierge alors-
– Non ! m'écriai-je. Je... je suis pas...
– Pas la peine de jouer les gros durs. Tu t'es vu ?
– C'est... ta faute...
– C'est bien ce que je dis... »
Il posa sa main sur mon genou dénudé et la remonta le long de ma cuisse tout en venant de nouveau glisser son visage dans le creux de mon cou.
« Ce n'est pas une honte, tu sais.
– J'ai... pas honte... »
Il rigola contre mon oreille et de nouveaux frissons parcoururent mon corps. Si, j'avais honte. Mais sa main caressant la peau de ma cuisse jusqu'à arriver sur mon aine m'empêchait de réfléchir. J'étais excité. Et mon cœur allait exploser d'amour pour lui malgré ma peur. Il pouvait faire ce qu'il voulait de moi...
« Hyung... gémis-je.
– T'as déjà couché avec un homme ?
– Non... avouai-je.
– Je vois. »
Sa main glissa alors à l'intérieur de mon caleçon et je me tendis avant de me tortiller dans tous les sens sous ses baisers et ses caresses.
« Hyung...
– Jungkook...
– Hyung... je... aah...
– Déjà ? » rigola-t-il.
Je ne répondis pas, mort de honte. J'allais jouir. Déjà, oui. J'étais quasiment vierge étant donné que ma première fois ne comptait pas franchement, et il n'était pas n'importe qui... Mais j'avais bêtement trop honte pour l'avouer. Il le savait, mais je n'arriverais pas à le dire. Il me lâcha alors et je couinai de frustration. Cependant, il fit descendre mon caleçon sur mes cuisses avant de me le retirer entièrement. Puis, je sentis sa main gauche se poser sur mon adducteur droit pour écarter ma jambe, et mon cœur loupa un battement.
« Hyung... soufflai-je.
– Tu n'as jamais couché avec une femme non plus, n'est-ce pas ?
– Si...
– Vraiment ?
– C'est... c'était... compliqué...
– Je vois. Combien de fois ?
– Une... seule...
– Donc tu es quasiment vierge... »
Je ne répondis pas et détournai les yeux une fois de plus. Ça ne devait pas être son cas à lui, loin de là...
« Que... ! »
Je me rattrapai maladroitement à sa nuque après qu'il m'ait soulevé sans prévenir, et il traversa son salon pour rejoindre sa chambre. Il me laissa tomber sur le lit et vint immédiatement me surplomber. Je reculai mais je me retrouvai vite acculé contre le mur. Il saisit le bas de mon t-shirt et tira dessus. Je le laissai faire en déglutissant difficilement, comme depuis une dizaine de minutes, puis son visage glissa de nouveau dans mon cou et je fermai les yeux sous ses baisers. Ses mains revinrent caresser mon corps et je continuai de trembler, puis ses doigts redescendirent sur mon entrejambe et je pinçai mes lèvres. Il reprit ses caresses et mon cœur s'affola.
« Hyung...
– Faisons les choses bien pour cette première fois », ricana-t-il.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro