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𝟎𝟔:𝟏𝟕𝟕 - Bring Me The Horizon, 𝑆𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒𝑟𝑠

[25/03/2024]

Bonjour bonjour !

J'espère que vous allez bien !

J'ai mis un peu plus d'une heure seulement à boucler cette relecture/correction, j'suis choquée. Encore faut-il que ça ait été bien fait. Ça, c'est vous qui me le direz XD

J'ai une anecdote sur cette fin de chapitre, mais elle attendra une ou deux intros, je n'ai pas envie de vous spoiler xD

D'ailleurs, y a une réplique à un moment, j'ai bugué quand j'ai fait ma mise en page y a quelques semaines. Je n'ai AUCUN souvenir de l'avoir écrite, et donc je suis incapable de dire si je l'ai fait consciemment (genre une ref ou un "hommage"), ou si c'était la fatigue, et que "l'habitude" a écrit pour moi. J'en ai vraiment aucune idée mdr (J'imagine que pour celleux d'entre vous qui me suivent depuis un moment, rien que lire ce paragraphe vous donne une idée de quoi je parle xD)

Du coup j'ai hésité à la changer, à la réécrire (aujourd'hui encore), mais au final je l'ai laissée. Ça sera un petit clin d'œil 😌💚

Bref, j'espère que ce chapitre vous plaira.

Bonne Léocture ! ♥




~~+~~




Le mois de mai venait de commencer.

Ma cover était sortie, celle de Steven aussi, Jimin avait fait son piercing. Nous avions tourné une vidéo réaction tous les trois, que j'avais ensuite postée sur ma chaîne. Jimin s'était fait un deuxième trou dans le lobe gauche, et il avait répondu à Steven à propos de cette fameuse photo où il portait soi-disant un piercing au nombril. Pourtant, ça n'avait pas suffi à éteindre toutes les rumeurs. Pas grave, les gens finiraient par se rendre compte à un moment ou à un autre qu'il n'en avait pas.

Autrement, ça faisait plusieurs semaines qu'il me parlait de son envie d'ouvrir une chaîne YouTube à son tour, pour faire des lives ou des vidéos divertissantes, un peu dans le genre de celles que je faisais. Je l'encourageais à fond, mais il n'osait pas en parler à son agence et ça m'interrogeait un peu. Et lui, il me soutenait à cent pour cent dans mon groupe.

Ce soir, on se produisait encore dans un bar-concert, mais j'avais un mauvais pressentiment. Adrian était nerveux depuis une semaine. C'était encore pire aujourd'hui, et son stress se répercutait sur moi, à tel point que j'avais vidé ce qu'il restait de mon paquet de clopes en deux heures à peine.

Quand je le vis sortir une nouvelle fois à l'arrière du bar et inspirer profondément en passant ses mains dans ses cheveux, je recrachai ma fumée en le fixant.

« Bon, tu vas me dire ce qui va pas, cette fois ? »

Il sursauta en faisant volteface.

« Tu m'as fait peur.

T'avais oublié que j'étais là ?

Je ne t'ai pas vu sortir. »

Je le jaugeai du regard et soupirai.

« Bon, et du coup, tu vas me dire ce qui te fout dans cet état depuis que t'es arrivé ? Tu me communiques ton stress et j'ai vraiment pas besoin de ça, tu sais.

Désolé. Je vais essayer de me reprendre.

Ça fait deux fois que tu ignores ma question. »

Il soutint mon regard quelques secondes, puis baissa la tête.

« C'est rien. Désolé, je vais me reprendre. »

J'ouvris la bouche, mais il s'empressa de faire demi-tour et de retourner dans le bar. Bordel, ça allait me gonfler.

[...]

Contre toute attente, il se reprit effectivement, et lorsque nous montâmes sur scène, tout se passa parfaitement bien. Notre public était présent, nous reconnûmes de nombreuses personnes, et nous passâmes du temps avec elles à la fin. Et bien évidemment, Kate était là, elle aussi.

Nous finîmes par nous poser tous les cinq autour d'une table tandis qu'un autre groupe montait sur scène, et nous discutâmes de tout et de rien. Elle ne loupait quasiment aucun de nos concerts, et elle m'était d'un immense soutien sans même le savoir. Dès que je l'apercevais dans le public, je savais que j'allais réussir à faire de mon mieux.

À chaque fois que nous nous rencontrions, nous nous rapprochions. Pas mal de monde pensait qu'on était ensemble, et ça jasait un peu sur les réseaux sociaux, mais ça nous faisait plus rire qu'autre chose. Ceci dit, si la situation avait été différente, si je n'avais pas été avec Jimin, peut-être que j'aurais pu tomber amoureux d'elle. Nous aimions les mêmes choses, avions les mêmes défauts, les mêmes démons, les mêmes rêves. Nous étions identiques, et si je croyais à cette connerie d'âmes sœurs, alors j'aurais pu penser qu'elle était la mienne. À chaque rencontre, je lui renouvelais mon offre au creux de l'oreille pour que Maria ne m'entende pas. Et à chaque fois, elle me remerciait, et déclinait avant de s'en aller. Mais jamais je ne pourrais lui en vouloir. Ce soir n'allait pas faire exception.

Nous étions en train de rire après la storytime de Dean, quand j'entendis celui de Kate cesser, et être suivi d'un gémissement. Je ne fus pas le seul à l'entendre et tous, nous tournâmes la tête vers elle.

« Tu viens ?

Oui, j'arrive. »

Putain. Encore ce con. Et il la tenait par le bras.

« Tu ne veux pas t'asseoir avec nous pour discuter ? proposa Dean. Il est encore tôt, vous-

Non, on a du boulot. Alors on y va. »

Je vis Kate grimacer et tenter de se libérer de sa prise, en vain. Je n'en pouvais plus. Ce n'était pas la première fois que son guitariste était presque menaçant et violent avec elle, et en public.

Je me levai donc d'un bond, et il tourna aussitôt les yeux vers moi.

« Tu la lâches.

Pardon ?

Je ne le répéterai pas.

C'est bon, Hayden, s'interposa Kate.

Non, c'est pas bon ! Quand est-ce que tu vas-

On t'a demandé ton avis ? me coupa-t-il. Non. Alors tu te rassois et tu fermes ta gueule. Nous on y va.

Je te préviens que si tu ne la-

Si je ne la quoi ? Occupe-toi de tes affaires, fils de pute !

Qu'est-ce que t'as dit !? hurlai-je en lui sautant au col.

Occupe-toi de ton cul, j'en ai marre de te voir tourner autour d'elle, alors tu fermes ta gueule et tu dégages ou je te bute, c'est clair ? »

Je le lâchai tandis que tout le monde autour de nous hurlait, et mon poing partit tout seul. On vint aussitôt me retenir pour ne pas que je recommence, pendant que Kate s'était jetée sur lui pour l'empêcher de riposter.

« On y va ! Ok ? Laisse tomber. On y va.

Je vais te buter, l'ignora-t-il en me jetant un regard noir.

Viens, je t'attends ! »

Il voulut me bondir dessus mais Kate s'interposa, et Dean relâcha mon bras droit pour faire de même.

« On arrête là pour ce soir, déclara-t-il. Alors tu t'en vas calmement. »

Le mec de Kate lui jeta un regard noir avant de revenir à moi.

« Si je te revois près d'elle, je te bute, c'est clair ?

Je te retourne la menace », cinglai-je.

Il voulut me sauter dessus, mais Kate et Dean firent de nouveau barrage.

« On y va, tenta-t-elle de le calmer. C'est bon. »

Elle récupéra sa veste sur le dossier de sa chaise sans le quitter des yeux.

« Viens. »

Il me jeta un dernier regard noir, puis se tourna vers elle. Il passa son bras autour de ses épaules pour lui faire comprendre de rester près de lui. Je bouillonnais, mais j'étais aussi mort d'inquiétude.

« Kate ! »

Quelques secondes s'écoulèrent avant qu'ils ne s'arrêtent et qu'elle se tourne vers moi avec un immense sourire.

« C'était super, comme d'habitude. Bravo ! Rentrez bien ! »

Puis ils disparurent.

Je réalisai qu'Adrian tenait toujours fermement mon bras gauche alors je bougeai et il me relâcha en s'excusant. Je posai ma main sur l'épaule de Dean et l'amenai à se tourner vers moi. Avant qu'il ne prononce un mot, j'envoyai mon poing dans sa clavicule et me mis à hurler.

« Pourquoi tu m'as arrêté ? Tu vois pas que ce mec est toxique au possible, et probablement violent ?

Tu crois que je ne l'ai pas remarqué ?

Alors pourquoi tu l'as laissée partir avec lui ?

Parce que c'était ce qu'elle voulait, premièrement, et deuxièmement, ce n'est pas le moment que tu te fasses amocher salement, pour nous comme pour toi.

Je rêve ? T'es en train de me dire que le groupe passe avant sa santé, voire sa vie ?

Absolument pas. Je te dis que la forcer à rester avec nous dans cette situation n'aurait fait qu'aggraver les choses pour elle. Mais effectivement, provoquer un scandale actuellement ne serait pas la meilleure chose à faire pour nous.

Aggraver les choses ? Parce que tu crois que la laisser repartir avec ce type ne-

Ça ne nous regarde pas, Hyde.

C'est de la non-assistance à personne en danger !

Je sais. J'aurais aussi voulu lui coller une bonne droite et lui dire de ne plus l'approcher, c'est un pauvre type, mais on n'est pas en droit de lui dire quoi que ce soit. Si Kate nous demande de l'aide, alors on le fera. Mais si elle ne veut pas qu'on intervienne, alors on ne doit pas s'en mêler. »

Je serrai les dents et détournai le regard. Je savais qu'il avait raison, mais je ne pouvais m'empêcher de vouloir la sortir des griffes de ce connard. Peut-être était-ce de l'égoïsme derrière mon masque de chevalier, je n'en savais rien. Mais je voulais qu'il soit loin d'elle. Je voulais qu'elle reste près de nous. Près de moi. Cette situation me rendait dingue.

« Bon... Moi je vais y aller, intervint Maria. J'ai du boulot demain pour la fac.

Pas de souci, file, lui sourit Dean. Tu veux que je te raccompagne ?

Ça va aller, je te remercie. On se voit jeudi au studio ?

Comme d'habitude. Rentre bien ! »

Nous nous saluâmes et elle s'en alla. Dean soupira, puis me refit face.

« Moi aussi je vais devoir y aller. Je ne vais jamais assumer le réveil à cinq heures.

Tu devrais songer à demander à tes chefs de changer ton jour de congé hebdomadaire, proposa Adrian.

Je sais que c'est mort, jamais ils me donneront mon samedi ou mon dimanche. Impossible, ce sont les plus gros jours de la semaine.

Je comprends.

Je te ramène, Hyde ?

Non, c'est bon, je suis venu en voiture.

C'est vrai. Rentre bien, alors. Toi aussi, Adrian.

Pareil. À la semaine prochaine ! »

Dean s'en alla à son tour, et je me retrouvai avec notre bassiste. Nos yeux se croisèrent et il les détourna aussitôt.

« Je vais faire pareil en fait. Tu comptes rester ici ?

Accouche.

Quoi ?

Dis-moi ce qui va pas avec toi.

Rien du tout !

Ça fait plusieurs jours que t'es à côté de tes pompes, et avant qu'on monte sur scène, c'était pire que d'habitude. C'est tes médocs que t'as oublié de prendre ?

Non, du tout.

Alors dis-moi ce qui va pas. Je peux peut-être t'aider ?

Non, tu peux rien faire.

Pourquoi ? »

Il lâcha un gros soupir, puis se laissa retomber sur sa chaise.

« J'ai merdé.

C'est-à-dire ?

J'ai couché avec une nana y a quelques mois, après que ma copine ait décidé qu'on devait faire un break.

Et alors ?

Elle m'a dit qu'elle était enceinte.

Ta copine ?

Non. L'autre fille. »

Oh la merde.

Je me rassis à ma place et croisai les bras.

« Et elle compte faire quoi ?

Elle pense le garder.

Et tu vas faire quoi ?

J'en sais rien. C'était pas dans mes projets de me retrouver avec un gosse, surtout avec un plan cul.

Et la situation avec ta copine ? Vous vous êtes remis ensemble, mais tu penses que ça va tenir, même sans cette histoire ? »

Il resta silencieux et je soupirai.

« Donc pour résumer, t'es coincé entre larguer ta copine pour te mettre avec un plan cul et élever un gosse dont tu ne voulais pas, ou abandonner ton gosse comme un gros rat et rester avec ta copine qui peut-être te proposera un nouveau break d'ici quelques mois, voire te larguera carrément ?

C'est un peu exagéré, mais ouais. »

Exagéré ? Non, pas tant que ça, pourtant.

« Mais c'est pas ce qui m'emmerde le plus.

Ah oui ? C'est quoi alors ? demandai-je en haussant un sourcil.

Dans tous les cas, je vais me retrouver à devoir sortir de la thune. Même si bosser de nuit ça paye pas mal, ça suffira pas. Va falloir que je me trouve un autre job, comme Dean. »

Ah.

« J'aurai sans doute moins de temps pour le groupe. »

Ah.

« Ça me prend la tête. »

Le mauvais pressentiment que j'avais depuis la fin d'après-midi s'intensifia et me tordit le ventre.

« En d'autres termes, ça veut dire que tu ne vas pas rester ? »

Il porta la main à son verre et le fit tourner quelques secondes.

« J'espère que j'en arriverai pas jusque-là. Et puis, si on arrive à décrocher un contrat et à gagner pas mal d'argent, alors le problème sera réglé.

Même en admettant qu'on réussisse à signer quelque part, ça prendra des années avant qu'on soit rentables et qu'on puisse vivre de la musique.

Et si tu demandais à ton pote de-

Laisse Jimin en dehors de tout ça.

Pardon. »

Je soupirai et frottai mon visage.

« C'est très tentant et ça nous assurerait une publicité de malade. Mais je n'ai pas envie de me servir de lui, et que ça soit aussi fulgurant qu'éphémère. Bien sûr qu'il nous soutiendra à chaque truc qu'on fera, mais on ne doit pas compter sur lui pour se faire connaître. Ça ne marche pas comme ça.

Tout marche toujours au piston.

Le piston t'aide à percer, mais rien ne garantit que tu seras toujours soutenu après ça. La redescente peut être brutale.

On pourrait essayer ?

C'est non.

Je comprends que tu ne veuilles pas te servir de lui, mais il serait content de t'aider, non ? Toi aussi tu veux réussir le plus vite possible pour retrouver ta meuf, non ? Alors pourquoi tu ne fais pas des concessions ? Tu pourrais laisser tomber ta fierté pour une fois ?

Je pourrais, mais comme je viens de te l'expliquer, on pourrait se retrouver sans personne du jour au lendemain. C'est comme si tu avalais un cachet d'ecsta'. L'ascension serait fulgurante, notre nom partout, des propositions de maisons de disque, tout ça, et ensuite, y aurait la redescente. Peu de temps après, longue et très dur à vivre, où tu te sentirais comme une merde. Et tu peux me faire confiance sur ce point. J'ai expérimenté les deux, l'ecsta', et le succès fulgurant ainsi que sa chute. Tu ne voudras jamais vivre ça. »

Je soupirai une fois de plus sous son silence. Je jetai un coup d'œil à mon téléphone pour regarder l'heure, et vis que j'avais un message de Kate. Elle me disait de ne pas m'inquiéter. Comment le pouvais-je ?

J'expirai bruyamment et récupérai mon paquet de cigarettes fraîchement acheté.

« Je préfère que ça soit plus long mais qu'on travaille bien, qu'on fasse quelque chose qu'on aime, et qu'on ait le temps de construire une fanbase solide et sincère, avant d'exploser. Au moins, on saura qu'on aura toujours quelqu'un derrière nous à chaque nouvelle étape.

Je comprends. T'as raison. »

Je glissai une cigarette entre mes lèvres, puis je me levai.

« Commence déjà par régler ta situation de merde, savoir où tu en es, et ce que tu vas faire. Et après on en reparlera. Ok ?

Oui.

Bon. Moi j'y vais. Tu fais quoi ?

Je vais rentrer aussi.

Ça marche. On se tient au courant, alors. À jeudi.

À jeudi ! »

Je saisis l'anse de la housse de ma guitare, et je la balançai sur mon dos. Ma veste repliée sur mon bras, je quittai le bar sans me faire aborder. Une fois dehors, j'allumai la cigarette et inspirai profondément.

J'avais eu raison, une merde allait encore nous tomber dessus. Et je ne savais pas pourquoi, mais j'étais certain que bientôt, on allait encore devoir se mettre à la recherche d'un membre pour notre groupe. Je tirai avec énervement sur ma clope, puis jetai un coup d'œil à mon téléphone. J'avais un message de Jimin.

Je fronçai les sourcils et lançai aussitôt un appel. Il décrocha rapidement :

« Bonsoir, mon amour. »

Je roulai des yeux et ne pus m'empêcher de sourire.

« Salut, Kitty. T'as fini le travail ?

Oui. Et toi, alors ? Ton concert ?

Longue histoire.

Ah oui ?

Oui. Je te raconterai ça plus en détail une fois rentré... ou en face à face. C'est quoi, ce message ? Pourquoi tu me demandes ce que je fais du 23 au 27 ? Tu viens ici ?

Non, je vais à Londres. Je me demandais si tu serais disponible pour m'accompagner.

Londres !? C'est pas la porte à côté, sweetie...

Je sais...

C'est comme si je partais pour Séoul... Et puis c'est dans quoi, une semaine et demie ?

Oui... »

Je soufflai bruyamment.

« Tu m'emmerdes. Évidemment que j'ai envie de te rejoindre, ça va faire sept mois qu'on ne s'est pas vus, mais ça fait trop court... et avec le groupe, l'état dans lequel il est actuellement, et Kate...

Je comprends. Ce n'est pas grave. Tant pis.

Dis pas ça, putain... »

Il lâcha un petit rire.

« Que veux-tu que je dise d'autre ?

J'en sais rien. Que tu te mettes à pleurer, que tu m'engueules parce que je refuse, que tu insistes jusqu'à ce que je cède comme tu sais si bien le faire, je sais pas, mais pas que tu me lâches un : "c'est pas grave, tant pis."

Rejoins-moi, Hayden. S'il te plaît. »

Putain.

« Tu fais chier.

Je t'aime.

Tu me fais chier.

Tu me manques. Je veux te voir. Viens me rejoindre à Londres.

Tu m'emmerdes, Park Jimin.

Viens me prendre dans tes bras. »

Je balançai ma cigarette au sol avant de l'écraser.

« Tu me fais chier.

Mais tu m'aimes quand même. »

Mon pied écrasa encore le mégot contre le bitume.

« Je vais voir ce que je peux faire. »

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