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𝟎𝟓:𝟏𝟐𝟑 - Evanescence, 𝐵𝑟𝑖𝑛𝑔 𝑀𝑒 𝑇𝑜 𝐿𝑖𝑓𝑒

[31/07/2023]

Bonjour bonjour !

Demain on est en août. Je sais que je me répète, mais j'en reviens toujours pas 😭

Mais ça veut aussi dire plus qu'un mois avant la fin de la saison, et un mois et demi avant la Corée (mon avion est dans 50 jours précisément ptdr). J'ai trop hâte geurioghiuegh

Ce chapitre est plus court que les précédents, mais j'ai passé quasiment deux heures dessus, j'ai eu un mal de chien à me concentrer. J'espère que j'ai pas laissé passer de faute 😑

La chanson du titre date tellement, le coup de vieux fait mal x')

Bref, j'espère que ce chapitre vous plaira.

Bonne Léocture ! ♥




~~+~~




Je m'y repris à plusieurs fois, et au bout de presque deux heures, je retirai mon casque et éteignis mon micro. Je ne pouvais plus m'entendre, ni écouter cette chanson une fois de plus, ça allait me faire péter un câble.

J'envoyai les fichiers à Dean et Steven pour qu'ils me donnent leur avis, puis je me levai pour fumer une nouvelle cigarette à ma fenêtre.

Une minute plus tard, j'entendis frapper à ma porte alors je me retournai vers celle-ci et autorisai Jimin à entrer.

« T'as pas besoin de frapper, tu sais, souris-je alors qu'il refermait dans son dos grâce à son coude, deux verres d'une teinte rosée dans les mains.

Je ne voulais pas te déranger.

Je viens de finir.

Je sais, mais quand même.

Comment tu sais que je viens de finir ? Tu écoutais aux portes ? demandai-je en haussant un sourcil.

Non, rit-il. J'étais assis à la fenêtre du salon en attendant, j'ai entendu la tienne s'ouvrir.

Je vois. Bravo, Sherlock. »

Il rit doucement et me tendit un verre.

« Merci, dis-je en écrasant mon mégot et en recrachant ma fumée. Alors, il y a quoi de beau, là-dedans ?

Essaie de deviner.

Très bien. Mais trinquons d'abord. »

Je tendis mon verre en sa direction et il cogna le sien dedans. J'y trempais ensuite mes lèvres et tentai de reconnaître les ingrédients.

« Oh... De la goyave ?

Oui. Je me suis souvenu que tu aimais ça.

Effectivement. C'est pour aller acheter ça que tu es sorti ?

Comment tu sais que je suis sorti ? me demanda-t-il en écarquillant les yeux.

Je t'ai vu partir tout à l'heure quand je me suis allumé une cigarette.

Ah, alors oui, répondit-il en riant. J'aime beaucoup ce cocktail.

Il est très bon. T'as mis du citron aussi ?

Oui.

Et l'alcool ? Vodka ?

Bravo. Il y a encore autre chose.

C'est sucré...

Oui.

Sirop de sucre ?

Oui, mais il reste un ingrédient. »

Je portai de nouveau mon verre à ma bouche et avalai quelques gorgées.

« Je ne vois pas... Je sens une pointe de quelque chose derrière la goyave, mais avec le citron, je n'arrive pas à trouver ce que c'est.

Jus de fraise.

Oh... Effectivement. »

Je levai de nouveau mon verre et le sirotai encore quelques secondes avant de le vider et d'expirer de contentement.

« C'était super bon. Et rafraîchissant.

Tant mieux.

Merci.

De rien. Ça m'a fait plaisir. »

Il prit mon verre et s'éloigna avec vers le bord de mon bureau avant de poser ses yeux sur mon écran, et de revenir vers moi.

« Du coup ? Tu as réussi à faire quelques enregistrements ? »

J'acquiesçai en refermant mes fenêtres.

« Je pense que j'ai tout. J'ai fait deux versions et je les ai envoyées aux mecs pour qu'ils me donnent leur avis, mais normalement j'ai tout. La voix principale, les chœurs, les contre-chants.

Vraiment !? Tu as pu tout faire en deux heures ?

Je suis tout seul à travailler alors oui, je n'ai pas à faire attention aux autres voix.

Mmh, pas faux.

Plus qu'à prier pour que ça soit bon à partir en montage définitif.

Je peux écouter ?

Tu veux écouter ? m'étonnai-je.

Oui.

Bon, si tu veux... Mais personnellement, je ne peux plus me supporter », ris-je.

Je retournai vers mon ordinateur et m'emparai de ma souris avant de rouvrir le logiciel avec les différentes pistes audio.

« Viens t'asseoir. »

Il le fit sans discuter, replaça le casque sur ses oreilles, et lorsqu'il fut prêt, je lançai l'enregistrement. Je me redressai dans son dos et posai mes mains sur ses épaules pour les masser en douceur.

Au fil des secondes, je sentis sa respiration accélérer et ça m'inquiéta. Je me penchai donc sur le côté pour le regarder et lui demander si tout allait bien. Il avait les yeux fermés, les sourcils froncés, et il mordillait ses lèvres. Je le regardai alors faire avec inquiétude, et lorsqu'il relâcha sa lèvre inférieure et que je relevai les yeux sur mon écran, je vis que la chanson était terminée.

« Tu peux mettre l'autre version ?

Si tu veux. »

Je lançai l'autre et revins à ma place dans son dos, les mains sur ses épaules. Il resta silencieux une fois de plus, et lorsque la piste arriva à sa fin, Jimin bougea. Je retirai donc mes mains de son corps et je me déplaçai pour me mettre face à lui.

« Alors ? Tu avais l'air sceptique tout à l'heure... » dis-je en grattant l'arrière de mon crâne.

Il me lança un sourire en coin, puis fit reculer mon fauteuil pour se lever.

« T'en as pensé quoi ? » demandai-je de nouveau.

Ses bras passèrent autour de ma taille et il se colla contre moi avant d'échouer son visage dans le creux de mon cou.

« J'en ai pensé que tu ne devais pas sortir cette cover.

Quoi !? Mais pourquoi ?

Parce que je viens de retomber amoureux de toi, et que je n'ai pas envie que des milliers d'autres personnes viennent me faire concurrence... »

La surprise passée, je pouffai et posai mes mains sur son corps pour le repousser, mais sans succès.

« Tu as aimé, alors ?

Oui. Tout est parfait.

Tu as une préférence ?

Oui, la deuxième. Ton timbre, Hayden. Ton ton écorché sur les fins de phrases. J'ai presque eu un orgasme.

N'exagère pas, je-

Je n'exagère pas, me coupa-t-il en saisissant ma main droite pour venir la poser sur sa poitrine. Tu sens comme mon cœur bat vite ? »

Je fronçai les sourcils, surpris, puis je me concentrai pour essayer de percevoir son pouls. Effectivement, il était rapide.

« Ça t'a plu ?

Carrément, oui. »

La façon dont il me répondit fit louper un battement à mon cœur. Mes yeux chutèrent sur sa bouche et je l'embrassai en glissant ma main gauche dans sa nuque. Il me répondit immédiatement, lâchant mon poignet pour passer son bras autour de ma nuque.

Nous nous accrochâmes l'un à l'autre de plus en plus fort, et je finis par plonger ma bouche dans son cou. J'embrassai sa peau, je la suçai, la mordis, tandis qu'il soupirait gravement contre mon oreille en griffant mon dos à travers mon t-shirt.

Il finit par saisir mon crâne pour m'amener à cueillir ses lèvres de nouveau, et mes mains glissèrent sous son vêtement. Son corps était brûlant et je voulais l'avoir contre moi une fois encore, à même la peau.

Mes doigts parcoururent son épiderme en de légères caresses pendant quelques secondes, avant qu'ils ne tiennent plus et s'accrochent à ce dernier, mes ongles s'enfonçant dedans et lui arrachant quelques gémissements.

« Jimin... »

Il m'embrassa avec fougue, m'empêchant de continuer ma phrase, mais son corps se plaqua encore plus contre le mien. Ne pouvant reculer à cause du bureau contre lequel j'étais à l'origine, une bouffée de chaleur remonta mon abdomen.

Mes paumes glissèrent alors le long de sa colonne et se posèrent sur ses fesses. Je les pressai doucement et il relâcha ma bouche quelques secondes.

« Jimin... murmurai-je de nouveau.

Oui ?

J'ai envie de toi. »

Il se figea dans ses mouvements alors qu'il s'apprêtait à m'embrasser de nouveau.

« Vraiment ? souffla-t-il, incrédule.

Oui. Vraiment. Ardemment. »

Il recula légèrement son visage et je plongeai mes yeux dans les siens pour la première fois depuis de longues minutes. Ses pupilles étaient incroyablement dilatées et elles brillaient d'envie.

« Tu veux...

Oui. Enfin, si tu es d'accord.

Évidemment que je suis d'accord ! »

Sa réponse avait été plus vive qu'il ne l'avait visiblement voulu, et il pinça ses lèvres avant de baisser la tête. Je ris tout en remontant ma main droite à son visage pour caresser sa joue.

« Rigole pas...

T'es trop mignon.

Je ne suis pas mignon. »

Je passai mon pouce sur sa joue et il releva les yeux sur moi. Je vins l'embrasser et il me répondit sans opposer la moindre résistance.

Je me redressai et l'obligeai à reculer petit à petit. Lorsque ses jambes tapèrent contre le bord du lit, je sentis sa respiration accélérer et ses doigts sur moi se resserrer.

« Ça va ? m'enquis-je dans un souffle.

Pourquoi ça n'irait pas ?

Tu as l'air apeuré.

Pas du tout. C'est dans ta tête. »

Je laissai échapper un petit rire et je capturai une fois de plus ses lèvres avant de glisser sur le coin de sa bouche, sa joue, puis son oreille et sa gorge, de nouveau. Je remontai ensuite à son lobe et effleurai sa boucle d'oreille avant de chuchoter tout contre.

« Faisons l'amour, cette fois, Jimin. »

Une chair de poule envahit son corps et se répercuta presque sur moi.

« D'accord. »

Petit à petit, nos vêtements nous quittèrent au son de nos soupirs, et je finis par me retrouver allongé sur lui, peau contre peau, brûlants tous les deux. Doucement, mes baisers et mes caresses glissèrent le long de sa poitrine, et je pris soin de chaque partie de son corps, comme quelques heures plus tôt.

Je m'attardai une fois de plus sur sa cuisse droite et y plantai mes dents tout en caressant l'intérieur de son muscle qui était visiblement très sensible.

Puis, je récupérai le tube de gel que nous avions utilisé le matin même. Remontant vers son visage, je réitérai les mêmes gestes. Je dus cependant refreiner l'envie en moi qui me faisait perdre la tête de plus en plus à chaque seconde qui passait. Au bout d'un moment, il réussit à parler de nouveau.

« C'est bon... Vas-y... »

Je relevai la tête pour le regarder. Il était rouge, les yeux à peine ouverts, la peau brillante et les lèvres gonflées.

« Tu es sûr ? soufflai-je.

Oui. Je suis plus que détendu, et je vais crever si je dois encore attendre ne serait-ce qu'une minute. »

Je lui souris alors, puis retirai mes doigts. Je le quittai du regard le temps de bouger vers le haut du lit et de m'emparer de la boîte de préservatifs. Je l'ouvris et sentis la main de Jimin se poser sur moi. Je le laissai faire, ses doigts effleurant ma cuisse, et lorsque je revins vers lui et que mes yeux replongèrent dans les siens, mon cœur manqua d'exploser.

« Tu as l'air terrifié... murmura-t-il.

Je le suis, avouai-je.

Pourquoi ?

Parce que j'ai jamais fait ça. »

Il me sourit amoureusement et bougea son pouce sur ma cuisse.

« Moi non plus. Mais je n'ai pas peur.

Vraiment ?

Mmh, fit-il en hochant la tête. Parce que je sais que ça va être parfait.

T'es très optimiste.

C'est avec toi que je vais le faire, donc je le peux. Rien ne pourrait être plus parfait. Tu n'es pas d'accord ? »

Mon cœur ne tint pas le choc cette fois, et je craquai. Je plongeai sur son visage et l'embrassai de nouveau, comme si ma vie en dépendait.

Lorsque nous nous séparâmes pour reprendre notre respiration, je profitai de ce moment pour ouvrir l'emballage du préservatif et le glisser sur mon corps. Je me rallongeai ensuite sur celui de Jimin pour reprendre mes caresses tout en déposant des baisers dans son cou.

« Comment tu veux qu'on se mette ? soupira-t-il en tirant sur mes cheveux.

T'avais raison hier, à ce propos, murmurai-je.

Comment ça ?

Je suis une tarlouze. Je ne veux pas qu'on se comporte comme des animaux, comme hier soir. Alors si le missionnaire ça te va, je veux essayer dans cette position. »

Il souffla par le nez, mais il ne se moqua pas de moi. Ses doigts glissèrent encore dans mes cheveux et il caressa mon cuir chevelu pendant quelques secondes avant de reprendre la parole.

« Ça sera parfait, Hayden. »

Je redressai légèrement mon visage, laissant mes lèvres remonter sa peau, puis retrouver sa bouche. Et après, tout s'enchaîna, comme si c'était simple, comme si j'avais toujours fait ça, comme si nous l'avions déjà fait des centaines de fois.

Mes mains accrochées à sa taille, ses cuisses légèrement relevées de part et d'autre de mon corps, mon bassin se plaqua contre lui et je crus mourir tellement mon cœur battait vite.

« Ça va ?

Oui, souffla-t-il, les yeux clos et la tête roulant sur l'oreiller.

Tu es sûr ?

Oui, répéta-t-il avant de mordre sa lèvre inférieure une seconde. Bouge... s'il te plaît... »

Je me retirai alors un peu, manquant de faire une attaque, puis je repris ma place. Il mordit encore ses lèvres, ses doigts se crispant sur l'oreiller sous son crâne.

« Est-ce que... Est-ce que tu veux que je surélève tes hanches ? demandai-je.

Je... commença-t-il, la respiration saccadée.

Tu veux ?

Oui ! »

Il vint aussitôt couvrir sa bouche de sa main et tenta de cacher le reste de son visage. Je lâchai un petit rire, surpris mais agréablement, par ce cri du cœur, et je remontai vers le haut du lit pour m'emparer de mon autre oreiller.

« Hayden ! » couina-t-il.

Je tentai de me contrôler, mais ce fut dur. En me penchant ainsi, j'étais entré en lui jusqu'à la garde, et même si je ne pouvais pas savoir ce qu'il avait ressenti exactement, ça avait l'air de lui avoir plu.

Je tentai de reprendre la main sur ma respiration et mon pouls, et je reculai jusqu'à quitter totalement son corps. Il lâcha un couinement, mais lorsque je posai de nouveau ma main sur sa cuisse pour la longer jusqu'à sa taille, il cessa.

« Soulève ton bassin, Kitty. »

Il le fit sans discuter, et je plaçai l'oreiller sous son corps. Il se reposa dessus, bougea un peu pour être plus à l'aise, et je revins prendre place à genoux entre ses cuisses. Je remis du lubrifiant sur mon sexe, puis vins masser son ventre, autant pour le détendre que pour essuyer ma paume.

« Donne-moi tes mains, murmurai-je.

Quoi ? souffla-t-il en rouvrant les yeux, surpris.

Donne-moi tes mains.

Mais pour quoi faire ? »

Il me tendit tout de même ses paumes, et je vins les prendre dans les miennes. Il me regarda faire sans comprendre, puis je bougeai les miennes de façon à glisser mes doigts entre les siens. Puis, je me penchai sur lui, repoussant du même coup ses bras pour que ses poignets se posent sur l'oreiller de chaque côté de sa tête.

« Hayden... souffla-t-il.

Je t'aime. »

Sa bouche s'ouvrit d'un coup mais aucun son n'en sortit. Il avait l'air d'avoir du mal à respirer, ses yeux valsant entre les miens à en attraper le tournis. Puis, je l'embrassai tendrement.

Je tentai de le pénétrer de nouveau, mais je dus relâcher sa main pour guider mon membre. Ses doigts glissèrent aussitôt dans ma nuque et ses ongles s'enfoncèrent dans ma peau.

Lorsque je fus de nouveau en lui, je saisis son poignet et laissai mes phalanges glisser sur sa peau jusqu'à s'entrecroiser avec les siennes. Puis, je repoussai sa main contre l'oreiller.

« Je t'aime aussi, murmura-t-il contre ma bouche.

Merci... »

Je l'embrassai encore une fois, puis me redressai au maximum pour pouvoir le regarder. Même s'il tenta de quitter mon regard à cause de l'embarras, il réussit à garder ses yeux plongés dans les miens.

En revanche, je finis par relâcher ses mains sinon nous nous serions mutuellement brisé les phalanges, et les siennes se levèrent au-dessus de sa tête comme s'il cherchait quelque chose auquel s'agripper. Nous nous regardâmes dans les yeux aussi longtemps que possible, et lorsqu'il jouit enfin, mon cœur loupa plusieurs battements. Je ralentis alors mes mouvements, même si je n'avais pas eu mon orgasme.

Recroquevillé contre moi, le visage caché dans le creux de mon cou, les ongles enfoncés dans mon dos et la cuisse droite relevée et appuyant dans mes reins, il réussit à trouver le courage de prononcer un mot.

« Continue... »

Alors je continuai, et il se recroquevilla et se contracta davantage sur moi, jusqu'à ce que je vienne à mon tour.

À bout de souffle, épuisés, trempés, presque au bord du malaise, nous restâmes coincés dans cette position pendant un long moment. Ce fut ma main gauche qui bougea en premier, délaissant sa cuisse dans laquelle j'avais planté mes doigts, et je me laissai tomber sur lui. Il couina et je m'inquiétai aussitôt.

« Je t'ai fait mal ?

Non. Au contraire. »

Je pouffai et tentai de remettre mes idées en ordre.

Je réussis à lever les yeux sur mon réveil, et je cachai aussitôt après mon visage dans l'oreiller près de la tête de Jimin.

« Faut qu'on se rhabille... Il est vachement tard et mes parents vont bientôt rentrer avec ma sœur.

Je les avais totalement oubliés...

Moi aussi... »

Il lâcha un rire, puis prit une grande inspiration.

« Mais je n'ai pas envie de bouger, souffla-t-il.

Moi non plus. Je suis trop bien, comme ça.

Moi aussi. J'aimerais qu'on reste dans cette position toute notre vie. »

Ce fut à mon tour de rire. J'aimerais également rester dans cette position à jamais, mais c'était impossible.

Je me redressai alors du mieux possible sur mes coudes, et il tourna la tête vers moi.

« Tu as aimé ? demandai-je dans un murmure.

Tu oses vraiment poser la question ?

Tu aurais pu simuler.

Si c'était le cas, alors pourquoi est-ce que je l'aurais fait si c'était pour te dire la vérité ensuite ?

Je vois, rétorquai-je en souriant.

C'était parfait, dit-il en glissant sa main gauche dans mes cheveux. Je ne me suis jamais senti aussi bien. »

Je lui souris amoureusement, puis pressai mes hanches contre lui. Sa réaction ne se fit pas attendre et je pinçai mes lèvres.

« Fais pas ça... soupira-t-il. Si on n'a pas le temps pour un second round, ne fais pas ça.

Pardon, ris-je. La prochaine fois alors. »

Je l'embrassai et il sourit contre ma bouche.

« La prochaine fois, oui.

Je t'aime. »

Sa respiration accéléra une fois de plus et il passa ses deux bras autour de moi pour me serrer contre lui.

« Je t'aime aussi. »

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