𝟎𝟓:𝟏𝟏𝟐 - Black Veil Brides, 𝐷𝑜𝑛𝑒 𝐹𝑜𝑟 𝑌𝑜𝑢
[23/06/2023]
Bonsoir bonsoir !
J'espère que vous allez bien !
Je suis au bout de ma vie aujourd'hui mdr, encore une heure sup au taf, et j'ai dormi cinq heures à tout casser cette nuit, c'est dur. J'ai eu du mal à me mettre à ma correction x'D
Je ne crois pas avoir quelque chose """d'intéressant""" à dire dans cette intro alors je vais vous laisser avec ce chapitre. J'espère qu'il vous plaira.
Bonne Léocture ! ♥
~~+~~
Le troisième jour de célébration du Nouvel An venait de se terminer. Il était près de vingt-deux heures. J'avais été un peu perdu, n'ayant pas fêté ça avec autant de monde depuis de nombreuses années, mais ça m'avait fait du bien. Malgré les tristes circonstances qui nous avaient amenés à tous nous réunir, nous avions essayé de profiter les uns des autres, de nous souhaiter de bonne choses, et de prier pour mon grand-père qui aurait aimé être ici avec nous tous.
Nous étions déjà samedi, et nous repartions à Los Angeles en fin de journée le lendemain. Nous allions donc quitter Gwangju vers midi afin d'arriver sur Séoul en milieu d'après-midi et être à l'heure pour notre avion.
Ce soir, je dormais chez Sooyeon. Elle avait été supplier mes parents pour que je vienne chez elle pour ce dernier soir et ils avaient accepté à condition que je ne les mette pas en retard le lendemain matin.
Je bouclai donc ma valise et la laissai dans leur chambre, et je saluai ensuite tout le monde avant de partir avec la famille de mon oncle.
Le trajet se fit rapidement, et un quart d'heure plus tard, nous fûmes au chaud. Nous débâtîmes pendant plusieurs minutes avec ma cousine et son frère afin de nous mettre d'accord sur un film à regarder ensemble, leurs parents montés se coucher, puis les images commencèrent enfin à défiler sur l'écran plat du salon.
Nous nous bidonnâmes à de nombreux moments, et pendant un instant, j'oubliai pourquoi j'étais ici, en Corée.
Un quart d'heure après le début du film, Hoyeon se plaignit qu'il avait faim, et sa sœur se leva pour aller chercher quelque chose à grignoter. Je ne dis rien, mon ventre grognant soudain à son tour, et après de longues minutes, Sooyeon revint dans la pièce. Elle fit le tour du canapé pour se laisser retomber à ma droite, tout en déposant un saladier sur la table basse.
« Merci ! s'exclama mon cousin en se jetant sur la nourriture.
– Merci, dis-je à mon tour, les yeux toujours rivés sur l'écran.
– De rien, sweetheart. »
Tout en moi s'arrêta soudain de fonctionner. Je clignai des yeux, puis tournai la tête sur ma droite. Lorsque je réalisai qu'il s'agissait vraiment de Jimin, grâce à la lumière renvoyée par la télévision, mon cœur repartit de plus belle.
« Qu'est-ce que tu fais ? me demanda mon cousin alors que je m'étais involontairement penché en arrière, et donc sur lui. Oh, hyung ! Salut ! Je t'avais pas vu arriver !
– Salut, le salua Jimin.
– Que... Quoi ? Attends, mais...
– Noona l'a-
– Je l'ai invité, répondit ma cousine en revenant dans la pièce avec autre chose à manger et des canettes de soda.
– Mais... Mais tes parents sont au courant ? demandai-je en écarquillant les yeux.
– Évidemment ! Allez, mangez ! Sers-toi, Jimin-ah !
– Merci ! »
Jimin se pencha sur la table basse pour se servir et je le regardai faire, les yeux toujours exorbités.
« Quoi ? me demanda-t-il avec un sourire innocent.
– Pourquoi tu ne m'as pas prévenu ?
– Parce que sinon, ça n'aurait plus été une surprise, rit-il. Allez, chut, tu ne vas rien comprendre au film. »
Il se cala contre le dossier et posa ses yeux sur l'écran comme si de rien n'était. Moi, ma faim était passée. Je n'arrivais pas à croire qu'il était là.
« Oppa, chuchota soudain ma cousine, tu peux me passer un coussin ?
– Ah, oui, attends. »
J'en pris un que je lui jetai pour ne pas passer devant son frère, et elle se blottit contre le fauteuil dans lequel elle était désormais assise. Je la regardai pendant quelques secondes mais elle ne me porta plus d'attention. J'avalai donc ma salive, puis me reposai contre le dossier du canapé.
Mes mains se joignirent entre mes cuisses et je tentai de faire le vide dans ma tête et de me reconcentrer sur le film, mais c'était peine perdue. Et Jimin sembla le comprendre, puisqu'une minute plus tard, ses doigts se posèrent dans le creux de mon coude et longèrent discrètement mon avant-bras. Je bougeai alors et bientôt, sa main saisit la mienne. Nous les camouflâmes entre nous, à la vue de mon cousin, et je tentai d'arrêter de me prendre la tête et de profiter de l'instant avec eux.
[...]
Lorsque le film se termina, Jimin eut la présence d'esprit de relâcher ma main, et mon cousin s'étira en gémissant.
« C'était trop bien !
– Oui, c'était sympa, j'avais peur d'avoir loupé trop de choses, répondit Jimin, mais en fait ça a été.
– Ça n'avait commencé que depuis un petit quart d'heure, dit Sooyeon, autrement on t'aurait un peu raconté, ou on aurait attendu que tu arrives.
– La surprise n'aurait pas eu le même effet, ricanai-je.
– Tu es content, avoue !
– Je l'ai vu il y a trois jours, j'aurais pu m'en passer.
– Vraiment !? Je m'en vais dans ce cas.
– Oh, il plaisantait, hyung ! s'exclama Hoyeon en se levant. Reste un peu !
– Je dois rentrer sur Séoul demain matin, dans tous les cas. Je suis vraiment passé en coup de vent et j'en suis triste, j'aurais aimé passer plus de temps avec vous.
– Tu repars à quelle heure, demain ?
– Mon avion est vers dix heures.
– Oh, tu partiras même avant Hoseokie-hyung !
– Tu pars quand ? me fit Jimin.
– Je ne sais pas, fin de matinée-début d'après-midi, on en a pour un peu moins de quatre heures de route, mais on ne sait jamais. On préfère ne pas arriver trop tard.
– Oui, je comprends. Et puis il faut arriver plus tôt pour les vols internationaux que pour les vols intérieurs.
– C'est ça... »
Nous échangeâmes un petit sourire triste, mais mon cousin revint à la charge.
« Tu déjeuneras quand même avec nous ? Nos parents seront contents de te voir ! Ils s'excusent d'ailleurs de ne pas avoir attendu ton arrivée, mais ils étaient fatigués.
– Je ne leur en veux pas, je les comprends. Mais suivant l'heure, oui, avec plaisir.
– Bon, du coup, allons nous coucher, les garçons ! s'exclama Sooyeon en se levant à son tour.
– Je vais t'aider à ranger, dis-je.
– T'occupe, je me débrouille. Allez au lit tous les deux, il faut que vous dormiez bien, vous avez une journée fatigante demain !
– Venez, acquiesça Hoyeon. Je vais vous préparer des serviettes.
– Bon, si vous insistez », soupirai-je.
Jimin rit doucement et les remercia, et nous suivîmes mon cousin à l'étage tandis que sa sœur s'occupa du rangement du salon.
Nous nous lavâmes et nous changeâmes rapidement pour ne pas monopoliser la salle de bain, et lorsque je refermai la porte de la chambre dans mon dos après avoir salué ma cousine, je retrouvai mon compagnon. Il était assis en tailleur sur le lit, son téléphone dans les mains, et ses pouces tapaient à toute vitesse sur l'écran. Il ne releva pas le visage vers moi et je fus un peu décontenancé.
Je traversai les deux mètres me séparant du lit et je m'assis à côté de lui. Aucune réaction. Je ne dis rien, imaginant qu'il devait être pris par quelque chose d'important, et je m'emparai de mon propre téléphone.
Je lus mes messages, puis ouvris mon appareil photo. Je tendis mon bras droit devant moi, bougeai de façon à ce qu'on puisse voir Jimin, et j'appuyai. Je ramenai l'appareil à mon visage, ouvris KakaoTalk, puis je lui envoyai la photo. Quelques secondes s'écoulèrent avant que ses doigts cessent enfin de bouger, et qu'il relève le visage vers moi.
« Excuse-moi, j'ai un truc à régler... »
Je souris, puis passai ma main dans ses cheveux pour lui voler un baiser. J'eus du mal à me retenir de l'approfondir, et je m'éloignai après quelques secondes.
« Je ne t'en veux pas. Fais ce que tu as à faire. C'était juste parce que la photo était mignonne ; je voulais que tu l'aies aussi.
– Je me dépêche de boucler ça et je la regarde.
– D'accord. »
Il hésita un instant, puis s'approcha de moi pour m'embrasser à son tour. Je lui répondis, puis le laissai s'échapper pour qu'il retourne à son téléphone.
Je soulevai donc la couette et m'y glissai, puis j'ouvris WhatsApp pour l'envoyer à Dean et Steven, mais je finis par me rétracter. Non, j'allais la garder pour moi, je leur dirais en temps et en heure, ça pouvait attendre.
J'éteignis mon écran et me retournai pour brancher mon téléphone, quand je réalisai que j'avais laissé mon chargeur dans mon sac. Empli d'une flemme monumentale, je reposai mon téléphone sur la table de nuit et je fermai les yeux en soupirant.
Je commençais à somnoler quand je sentis un corps se coller contre mon dos et un bras passer autour de moi. Je grognai donc et me retournai en ouvrant les paupières. La pièce était désormais plongée dans le noir alors je ne pouvais rien voir, et j'en étais presque déçu, mais dans un sens, ce n'était pas plus mal.
« C'est bon ? murmurai-je.
– Mmh. Partiellement, mais c'est bon pour ce soir.
– Le boulot ?
– Oui.
– Rien de grave j'espère.
– Non, pas vraiment. »
Il soupira lourdement en me resserrant contre lui, le front contre mon sternum.
« J'ai dit à l'agence...
– Que leur as-tu dit ?
– Que j'étais bi. »
Ah.
« Pourquoi ?
– Pour les préparer à la suite.
– La suite ?
– Mmh. Je leur ai aussi dit que j'étais amoureux.
– D'un mec ?
– Je n'ai pas précisé. J'ai dit que je voulais me mettre en couple.
– Et alors ?
– Autant quand je leur ai dit que j'étais bi il y a quelques mois, ils ont eu des sueurs froides mais tant que je n'en parlais pas, ça ne posait pas de problème, autant là, comme c'était plus concret, ils ont commencé à serrer les fesses.
– Tu m'as dit que ton contrat ne te l'interdisait pas, si ?
– Non. C'est presque dommage dans un sens.
– Pourquoi ça ?
– Ça m'aurait plu d'être un hors-la-loi... »
Il embrassa mon torse et je pouffai lorsque l'information atteignit mon cerveau.
« Dis pas de bêtises. T'aurais pu le payer cher.
– Honnêtement, je pense qu'ils auraient plus à perdre en me poursuivant qu'en me laissant vivre ma vie tranquillement.
– C'est pas faux. Après, je pense qu'il ne faut pas négliger l'impact que ça aurait sur tes fans non plus... Tu pourrais perdre gros, non ?
– Des fans très jeunes, obsessionnels, certains fansites, oui... Les sasaeng, aussi. Mais bon, je m'en ficherais.
– Si tu le dis.
– Je le dis, assura-t-il en frottant son nez contre moi. Mais bon. Attends de voir ce que ça sera quand je leur annoncerai que je suis en couple.
– Ils vont faire la gueule.
– Très clairement. Et ils voudront savoir qui c'est.
– Et tu vas leur dire ?
– Pas sans ton accord. Mais déjà, si je leur dis que c'est un homme, ils ont le temps de faire dix malaises en une heure.
– Très clairement, ris-je en caressant son dos.
– Enfin, soupira-t-il. On verra bien. Il faudra bien qu'ils s'y fassent de toute manière.
– Oui.
– Oh ? Tu sembles très convaincu, ce soir. »
Il lâcha un petit rire et je fis de même avant de frôler ses cheveux de mes lèvres.
« Oui. Je n'ai plus l'intention de te laisser m'échapper.
– J'aime quand tu dis ce genre de chose...
– Je sais. »
Il me resserra contre lui encore un peu en riant, puis soupira fortement.
« J'ai hâte que ce jour arrive... Et surtout, qu'on n'ait plus à se séparer... »
Je ne répondis pas, continuant de caresser son dos tendrement. Moi aussi, j'avais hâte que ce jour arrive. Mais arriverait-il ? Nous avions chacun notre vie d'un côté de la planète. Trop de choses nous séparaient.
« À quelle heure tu pars, demain soir ?
– Début de soirée, j'ai plus l'heure en tête. Je te redis ça demain matin.
– J'essaierai de venir te voir.
– Ça va être trop dangereux, Jimin.
– Je sais, mais je veux quand même essayer. On ne sait pas combien de temps on sera séparés encore, après...
– Ouais mais...
– Je sais que je ne pourrai pas venir pour ton anniversaire... J'en ai le cœur brisé.
– Tu n'auras qu'à m'envoyer le meilleur de tes audios. »
Il pouffa immédiatement et je le suivis sans pouvoir me retenir.
« Je note. Mais je suis quand même déçu. Ça tombe mal.
– Dans quatre jours, oui...
– C'est ça...
– D'ailleurs... ce n'était peut-être pas la St Valentin à laquelle tu t'attendais...
– Je ne m'attendais à rien. Je pensais que j'allais la passer seul, ou au dortoir avec l'un ou l'autre devant un film.
– Ce n'est pas ce que tu vas faire ?
– Ce soir, si. Mais on est déjà le quatorze, et je suis dans tes bras. C'est suffisant. C'est ma première St Valentin en étant avec quelqu'un, je n'aurais pas pu imaginer mieux qu'être avec toi, même si ce n'est que pour parler, dormir quelques heures, et te dire au revoir en catimini.
– C'est aussi ma première St Valentin.
– Et tu es déçu ?
– Non. Tu es dans mes bras.
– Alors c'est parfait.
– Dans le fond, ce n'est qu'une date. Chaque jour passé avec toi est la St Valentin. »
Il ne répondit pas, puis retint de justesse un éclat de rire tout en s'éloignant de moi.
« Mais tu ne dors jamais ? rit-il en rapprochant son visage du mien.
– Je sais que tu les aimes, mes disquettes.
– J'aime surtout celui qui me les sort à tour de bras, murmura-t-il contre ma bouche.
– Et moi, j'aime celui qui les écoute en riant. »
Il m'embrassa pour s'empêcher de sourire, mais je sentis bien ses lèvres s'étirer malgré lui contre les miennes. Je lui répondis alors, puis tombai sur le dos lorsqu'il me repoussa pour venir se placer au-dessus de moi.
« Jimin, ris-je doucement.
– Tu m'énerves, grogna-t-il en revenant me voler un baiser.
– Je sais.
– Je vais te taper. »
Il m'embrassa de nouveau, et après de longues secondes, le rythme de nos baisers diminua, et il se rallongea contre mon flanc gauche.
« Reprends-moi dans tes bras si tu veux que ta St Valentin soit bien, me dit-il.
– Très bien, monsieur. »
Je pivotai de nouveau sur le côté, et il revint se caler contre moi.
« Tu es sûr que toi tu ne regrettes pas ? souffla-t-il.
– Non. Comme toi, on est ensemble, ça me suffit.
– D'accord. »
Il bougea pour être allongé plus confortablement dans mes bras, et il soupira lourdement.
« Bonne nuit, Hayden.
– Bonne nuit, chaton.
– Hayden...
– Bonne nuit, kitty. »
Il bougea son bras et pinça ma taille. Je couinai tout en rigolant, mais je ne me débattis pas. Le silence tomba enfin dans la pièce, et j'inspirai fortement pour essayer de sombrer. Seulement mon cœur battait vite, et j'étais certain qu'il le sentait. J'avais envie de lui dire quelque chose.
« Jimin ? murmurai-je.
– Mmh ?
– Tu dors ?
– Presque.
– Désolé.
– Pas grave. Tu voulais te lever ?
– Non, c'est bon.
– Tu voulais me dire un truc ?
– Non. »
Il expira et embrassa mon pectoral à travers mon t-shirt.
« Alors dors.
– Oui... »
Je raffermis ma prise sur son corps et déposai un baiser dans ses cheveux.
Quelques minutes s'écoulèrent avant que je ne rouvre la bouche.
« Kitty ?
– Quoi ? couina-t-il, l'agacement s'entendant dans sa voix.
– Je t'aime. »
Je sentis son cœur accélérer et ses poumons se remplir bien plus rapidement en une seconde.
« Quoi ? » souffla-t-il.
Je retirai mon bras de sa taille pour monter ma main à son visage, et je caressai doucement sa joue de mon pouce.
« Tu as dit quoi ? me demanda-t-il en se redressant.
– Je ne sais plus, répondis-je avec un sourire.
– Hayden... chouina-t-il.
– Il faut dormir, honey. Le réveil va être dur, tout à l'heure.
– Tu n'as pas le droit de me faire ça... »
Je tentai de réduire mon sourire, en vain. Heureusement que je ne voyais pas son visage. Mais sa main qui serrait mon t-shirt contre ma poitrine me fit capituler.
« Je t'aime », répétai-je.
Ses lèvres repartirent à la recherche des miennes et un baiser passionné s'ensuivit. Mon cœur et ma respiration s'emballèrent également, et il me fit basculer une fois de plus sur le dos.
« Jimin, ris-je tout en tentant de reprendre mon souffle.
– Dis-le encore... »
Seulement il m'embrassa une fois de plus, m'empêchant ainsi de prononcer un mot. Je commençai à perdre pied, alors je posai mes mains sur ses bras pour le repousser en douceur.
« Jimin...
– Je sais... Juste une fois. S'il te plaît... »
Son souffle cogna contre ma bouche et je dus lutter pour ne pas le lui couper une fois de plus.
« Je t'aime. »
Il revint m'embrasser, mais je sentis qu'il tentait de se contenir difficilement.
« Merci... » murmura-t-il ensuite.
Ne m'attendant pas à ça, je ne sus pas quoi lui répondre. Il se rallongea contre moi et je restai figé.
« Serre-moi contre toi... »
Je pivotai immédiatement et le repris dans mes bras. Il se lova contre moi, et je tentai de respirer calmement pour calmer mon cœur.
« Je t'aime aussi », souffla-t-il contre mon vêtement.
Je resserrai mon étreinte et fermai fortement les yeux. Je me sentais plus léger, mais quelque chose à l'intérieur de moi me disait que je n'aurais pas dû, parce que désormais, tout serait différent. Est-ce que c'était vrai ? Pour le moment, je m'en fichais. Je voulais juste profiter des heures qu'il me restait à passer à ses côtés.
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