
𝟎𝟒:𝟖𝟒 - Andy Black, 𝑇ℎ𝑒𝑦 𝐷𝑜𝑛'𝑡 𝑁𝑒𝑒𝑑 𝑇𝑜 𝑈𝑛𝑑𝑒𝑟𝑠𝑡𝑎𝑛𝑑
[13/03/2023]
Bonjour bonjour !
À l'instant même, l'écran principal de mon ordi est devenu tout bleu, j'ai flippé ptdr
Bref, j'espère que vous allez bien. Moi je dors debout mdr
Je reprends donc officiellement mon rythme de publication habituel. Je sais qu'attendre 4 jours entre le lundi et le vendredi ça sera moins drôle, mais bon, c'est comme ça XD
J'espère que ce chapitre vous plaira.
Bonne Léocture ! ♥
~~+~~
« Hyung, lève-toi.
– J'ai pas envie... »
Je souris en gardant les yeux clos tandis que Jimin se pelotonna encore plus contre moi.
« Si jamais t'es pas prêt à l'heure de partir, tu te démerderas.
– Ouais, c'est ça », grogna-t-il.
Un petit rire m'échappa et je relevai ma main gauche pour la plonger dans les cheveux noirs de Jimin.
« Il faut que tu te lèves, Jimin.
– Je veux pas. Je veux rester avec toi. »
Il resserra son bras autour de mon torse et je tentai d'ouvrir les yeux. Son colocataire était dans leur salle de bain, j'avais donc le champ libre.
« Il est parti. Si tu veux un bisou, c'est maintenant. »
La réaction de Jimin ne se fit pas attendre et il se redressa puis rampa pour atteindre mon visage et plaquer ses lèvres contre les miennes. Il se laissa ensuite retomber sur moi, le visage caché dans son oreiller.
« Je dois probablement puer de la gueule et ça me frustre de ne pas pouvoir te rouler la pelle du siècle.
– Un jour je serai habitué à tes mauvaises odeurs, sois patient. »
Il ricana, puis embrassa mon épaule, ma clavicule, avant de descendre sur ma poitrine. Je rouvris un œil pour surveiller la porte menant à la salle de bain mitoyenne, et je reposai ensuite ce dernier sur Jimin.
« Tu fais quoi ? murmurai-je.
– Je me retiens de te manger. »
Je pouffai et le pris dans mes bras pour le serrer contre moi. Il se laissa faire avec plaisir et soupira contre mon torse.
« Tu restes là toute la journée du coup ?
– Oui. Enfin, si ça ne dérange pas.
– Non. On aura quelqu'un qui viendra pour le ménage dans la matinée, mais si tu es posé sur mon bureau ou dans le salon, à la rigueur on te demandera de te lever trente secondes, mais ce n'est pas ça qui va déranger qui que ce soit.
– Faut que je me lève...
– Pourquoi ? Tu peux rester au lit. Dors pour moi.
– Je n'ai croisé que Jungkook et ton coloc', hier soir. C'est un peu malpoli de vivre ici sans même les avoir salués.
– Tu es juste de passage puisque tu as quand même pris une nouvelle chambre en guesthouse, dit-il en se renfrognant. Donc ce n'est pas grave.
– Mais si, gémis-je en m'étirant.
– Non. Reste dormir. »
Je grognai de bien-être et il finit par se redresser et s'éloigner. Je voulus remonter la couette sur mon corps mais il revint vite se coller à moi.
« Tu as vu ça !?
– Quoi donc ?
– Mon rival !
– Ton rival ? demandai-je en redressant un peu la tête pour voir le visage de Jimin.
– Oui ! Andy Biersack !
– C'est ton rival ? pouffai-je.
– Évidemment ! Avec l'autre chanteur aussi... Zut.
– Jared Leto ?
– Oui !
– C'est vrai que tu as du souci à te faire.
– Et je remarque qu'ils sont tous les deux bruns aux yeux bleus... »
Il releva le visage vers moi, les yeux plissés et soupçonneux, et je pouffai fortement.
« Effectivement, répondis-je en reposant ma tête dans l'oreiller avec un sourire aux lèvres. Taylor Momsen aussi a les yeux bleus, maintenant que j'y pense. J'avais jamais réalisé.
– Il faut que je trouve une façon de changer mes yeux.
– Tes yeux sont parfaits. Et au pire, t'auras qu'à mettre des lentilles.
– C'est vrai. Il faut que j'en trouve des belles de qualité.
– Je pense que tu as les moyens pour, ris-je.
– Oui. Je pourrai en mettre tous les jours. »
J'expirai tout en souriant, puis il continua.
« Pourquoi on parle de ça ? Ah, oui ! Il a parlé de nous hier ! Pourquoi tu ne me l'as pas dit ?
– Je ne le savais pas, ma batterie était HS hier soir.
– Ah oui, c'est vrai.
– Mais t'es sûr que c'est lui ? Ça m'étonnerait.
– Aucun doute, il a retweeté un truc. »
J'entendis soudain la voix d'Andy non loin de moi et je fronçai les sourcils en tentant de comprendre ce qu'il disait. Quand je réalisai qu'il parlait vraiment de BTS, j'ouvris les yeux en grand et posai ma main sur celle de Jimin pour qu'il tourne le téléphone vers moi.
« Eh ben, c'était bien un truc auquel je ne m'attendais pas...
– Quelqu'un dans les réponses explique en coréen qu'il a dit qu'il nous admirait et qu'il aimait nos fans. C'est vrai ?
– Oui, plus ou moins. Et aussi que vous n'étiez pas sa cam, ricanai-je en me recouchant.
– Il a dit quoi exactement ?
– Remets, je vais te traduire ça rapidement. »
Il s'exécuta et j'écoutai attentivement. Il coupa après quelques secondes et je pus lui traduire le début.
« Au début, il dit qu'il a déjà entendu des chansons de K-pop et vu quelques clips, et que c'était cool. Ensuite il a commencé à parler de vous et a dit que vous aviez des fans très dévoués. »
Il remit en lecture quelques secondes de nouveau.
« Il dit, toujours en parlant de vous, que c'était intéressant visuellement parlant et qu'il y avait énormément d'efforts mis dans les spectacles.
– C'est certain », rit-il en remettant en lecture.
La voix d'Andy résonna de nouveau dans la chambre, puis la vidéo se termina.
« En gros, il dit que l'enthousiasme et la passion de vos fans tout autour du monde est un truc de dingue. Que même s'il ne vous écoute pas, et n'écoute pas de K-pop, ça ne veut pas dire qu'il n'a pas un grand respect pour vous. Et il conclut en disant aux gens de continuer d'aimer ce qu'ils aiment.
– C'est cool...
– Ouais.
– Et le tweet en lui-même ? La traduction automatique est un peu à chier, ricana-t-il.
– Fais voir. »
Il remonta son téléphone vers mon visage et je lus ce qui était écrit.
« "Nous n'avons que de l'amour pour BTS et n'importe quel artiste qui inspire autant de passion et d'excitation à ses fans. La musique en elle-même n'est peut-être pas mon style, mais ça n'a pas d'importance. Tout artiste ou genre qui provoque un tel dévouement est une bonne chose pour nous tous qui aimons la musique." »
Il ramena son écran vers lui et reposa sa tête sur mon torse.
« C'est chouette comme message.
– Clairement, dis-je en refermant les yeux.
– Et c'est dingue...
– Pourquoi ça ?
– C'est dingue qu'il nous connaisse, je veux dire.
– Pas tant que ça. C'est plutôt l'inverse qui est dingue.
– Pourquoi ?
– Vous êtes le plus gros boys band de la planète actuellement, et il faut avouer que vous avez une sacré fanbase. Il y a beaucoup de cas, et tu ne peux pas démentir, rajoutai-je immédiatement en sentant qu'il allait dire quelque chose, mais elle a une vraie puissance que personne ne peut nier. Que ça soit pour vous soutenir vous et vos activités ou des causes humanitaires, faire des levées de fond, des actions écologiques... C'est bluffant. C'est grâce à la bienveillance et à l'amour que vous leur inspirez. En revanche, que toi tu le connaisses, c'est un exploit.
– C'est grâce à toi, rit-il.
– Je sais. Ils ne font pas exclusivement du metal, mais ils ne font pas non plus que du pop rock, ou du rock classique. Ils ont un style très éclectique, surtout aujourd'hui. Du coup beaucoup de personnes passent à côté d'eux.
– C'est dommage.
– C'est la dure vie des groupes de rock. Il y en a tellement de toute manière, c'est bouché. Pour réussir à sortir du lot, se faire remarquer et trouver son public, faut avoir de la chance. Pour se démarquer, faut avoir un putain de cul en plus du talent. C'est pas si différent de toi et de ton groupe après réflexion.
– Mmh. C'est triste.
– C'est comme ça.
– Mmh. Mais c'est amusant, n'empêche.
– Quoi donc ?
– Je réalise qu'il y a un an, j'aurais à peine calculé cet extrait vidéo. Je ne les connaissais pas, ou pas assez en tout cas, alors je n'aurais pas prêté attention aux tweets les mentionnant, et si jamais j'avais regardé, j'aurais souri, je les aurais remerciés dans ma tête, et je les aurais oubliés. Mais grâce à toi, je les connais, maintenant. Mon style n'est pas le sien et je n'accroche pas à toutes ses chansons non plus, mais ça m'a touché. C'est quelqu'un d'humble et du coup, entendre ça de sa bouche, ça me fait plaisir. J'ai l'impression d'être validé par quelqu'un que tu admires.
– En quoi est-ce si important ?
– Je ne sais pas. Mais ça me booste.
– Si tu le dis. Mais bon, du moment que moi je te valide, ça ne suffit pas ?
– Si, dit-il, son menton remontant contre ma poitrine. Tu me valides ? »
Je rouvris les yeux, regardai son sourire puis ramenai ma main sur son visage pour le caresser doucement avant de la glisser sur l'arrière de son crâne et de serrer ses mèches de cheveux entre mes doigts.
« Plutôt deux fois qu'une, oui. »
Nous nous regardâmes dans les yeux pendant quelques secondes, de larges sourires découvrant nos dents, puis Jimin fondit sur mes lèvres. Ma main gauche glissa dans son dos et elle remonta doucement le long de sa colonne vertébrale.
« Je t'aime », murmura-t-il en relevant légèrement son visage.
Je lui souris, mes yeux dans les siens, puis ma main droite remonta vers son front pour passer dans ses cheveux et les ramener en arrière. Ensuite, je donnai un léger coup dans son nez du mien et mes dents se découvrirent.
« Je sais. File, maintenant, tu vas finir par être en retard.
– Ok. Mais ne pars pas avant que je ne sois rentré ce soir, d'accord ?
– Promis, j'attendrai que tu rentres. »
Son sourire m'éblouit davantage et il vint m'embrasser une fois de plus avant de se décider à quitter le lit. Je le regardai traverser la chambre et entrer dans la salle de bain, et lorsque la porte se referma dans son dos, je soupirai, saisis la couette et la ramenai sur moi. J'étais claqué.
[...]
Il était près de seize heures. Nous étions le lundi 20 juillet, et je n'étais donc finalement pas parti la veille. En toute honnêteté, comment j'aurais pu ?
Après nous être endormis dans mon lit en fin d'après-midi, quatre jours plus tôt, nous nous étions réveillés en pleine nuit avec la faim au ventre. Nous avions tenté de lutter, mais ça n'avait pas été facile.
J'avais fini par trouver le courage de me lever et de l'abandonner pour aller acheter quelque chose à grignoter au combini, parce que mon frigo était quasiment vide et ne contenait plus que de l'eau ou des sodas. J'étais revenu avec des gâteaux, des kimbap, des onigiris, des laitages, et nous avions quasiment tout mangé avant de nous blottir de nouveau l'un contre l'autre sous ma couette, malgré la température de la pièce qui n'était pas si fraîche que ça étant donné que je ne disposais pas de clim.
Nous avions regardé des vidéos sur YouTube pour passer le temps, et nous avions fini par nous rendormir sur le coup de cinq heures du matin.
Lorsque je m'étais réveillé ensuite en fin de matinée, je m'étais retrouvé seul. J'avais tout d'abord paniqué, puis j'avais rationnalisé. En saisissant mon portable, j'avais vu qu'il m'avait envoyé des messages pour me dire qu'il avait dû partir parce qu'il travaillait.
J'avais mangé les restes de notre repas de la nuit devant les dernières vidéos de Steven, et si quelques heures plus tôt, lorsque j'étais parti au GS25 pour remplir nos estomacs, je ne m'étais pas posé une seule question sur les conséquences de ce que nous avions fait, la seule pensée remplissant mon esprit étant de vouloir le retrouver au plus vite, à ce moment-là, je m'étais retrouvé noyé.
Est-ce qu'on était ensemble ? En couple ? Est-ce que c'était juste pour passer le temps ? Est-ce que c'était juste un test ? Si nous étions ensemble, est-ce qu'on en avait le droit ? Est-ce qu'il m'aimait vraiment, encore ? Est-ce que j'étais tombé amoureux de lui ? Est-ce que je pouvais être avec lui étant donné que tout ce que je savais de mes sentiments, c'était que je ne voulais pas le voir s'éloigner de moi ? Est-ce que je pouvais être avec lui étant donné que, même si je finissais par me l'avouer, je n'arriverais jamais à le reconnaître publiquement ? Est-ce que c'était juste hier et cette nuit, ou est-ce que ça allait continuer ? Est-ce que ça continuerait après mon retour à Los Angeles ? Est-ce que nous allions juste nous embrasser et nous câliner ? Est-ce que ce genre de relation allait lui suffire ? Est-ce qu'il allait vouloir coucher avec moi ? Est-ce que j'allais y arriver ? Est-ce que je pourrais avoir envie de le faire ? Est-ce que j'en avais le droit ? Est-ce qu'il serait heureux avec moi ? Est-ce que je n'allais pas encore le blesser ?
J'avais regretté de l'avoir embrassé au cinéma. Regretté de ne pas avoir su me tenir, de ne pas avoir résisté à cette envie contrôlable que je ne saisissais pas. J'avais regretté d'avoir recommencé dans cette ruelle, de lui avoir dit de franchir ce pas alors que lui luttait contre ses sentiments pour moi depuis plusieurs mois. J'avais regretté de l'avoir amené ici, dans cette minuscule chambre, et d'être allé un peu plus loin.
Réalisant que je ne faisais qu'empirer les choses, je m'étais levé et douché sous une eau glacée pour mettre mon cerveau en pause et pouvoir respirer. Ça m'avait donné mal à la tête, ça m'avait rendu incertain, craintif.
J'avais peur pour moi, parce que je n'avais jamais été en couple avec personne. Je ne savais pas ce que c'était. En revanche, je savais ce que c'était d'aimer et de souffrir par amour. Je ne voulais pas revivre ce que j'avais déjà vécu, d'autant plus que je savais que ça serait pire, mais j'avais également peur de faire du mal à Jimin, de le blesser encore plus douloureusement que les mois précédents. Je ne me le pardonnerais jamais.
Ça faisait des jours, des semaines, des mois que je me posais ces questions, en réalité. Ça faisait un temps fou que ça tournait dans ma tête, que j'en comprenne vraiment la nature ou non. Je n'avais pas été un bon ami pour lui. Est-ce que j'arriverais à être un bon amant ? Enfin, amant... Un bon petit-ami ? Mais étions-nous ensemble ?
Il fallait qu'on parle. Je lui avais alors envoyé un message. Il m'avait répondu quelques heures plus tard, paniqué, et il avait débarqué ici tellement rapidement par la suite que je n'avais même pas eu le temps de mettre mes idées en place.
Je lui avais donc fait part de mes craintes, et surtout, je lui avais demandé ce qu'il attendait vraiment de moi. Et lorsqu'il m'avait répondu : « Je veux qu'on soit ensemble », tout avait semblé simple, d'un coup.
Quand je l'avais ensuite pris dans mes bras, il m'avait serré contre lui en me disant : « Je t'aime. Je t'aime comme tu es, avec tes défauts et tes incertitudes. Si tu veux m'embrasser, tu peux. Si tu veux me prendre dans tes bras, tu peux le faire. Si tu veux aller plus loin, tu le peux aussi. Si tu ne veux pas, ça me va aussi. Tant que tu acceptes de rester auprès de moi et que ça te rend autant heureux que ça me fait du bien, alors c'est la seule chose qui m'importe. »
Il avait ensuite posé une condition : « Je refuse seulement que tu te forces pour moi. »
Notre relation allait être floue. Jimin allait probablement m'aimer de plus en plus maintenant qu'il n'allait plus se retenir de me montrer ses sentiments, et ça me faisait peur. Je ne savais pas si j'allais réussir à sortir de mon passé où j'étais toujours bloqué. Chelsea était toujours là et me faisait culpabiliser. Mais peut-être que j'arriverais à l'oublier et à passer à autre chose, comme l'avait souhaité Dean depuis des années.
Je savais que quand Jimin m'embrasserait, je ne pourrais pas me retenir de lui répondre parce que j'en aurais aussi envie. Je savais que je continuerais de vouloir le voir le plus souvent possible, et qu'à chaque regard, à chaque sourire, à chaque toucher, mon cœur continuerait de battre un peu plus fort. Peut-être qu'il me faudrait du temps pour vraiment faire mon deuil et ouvrir totalement mon cœur à Jimin, en espérant que le fait qu'il soit un homme ne finisse pas par me poser problème. Mais pour le moment, je voulais aussi être avec lui, quelle que soit la façon. Alors j'avais accepté.
Nous ne savions pas où ça allait nous mener, l'avenir était incertain. Il était flou, autant que notre relation. L'instant présent était bien plus précieux. Alors j'avais prévenu ma mère et mon meilleur ami que je n'allais finalement pas rentrer. Je n'avais pas répondu aux questions de Dean, pas plus à celles de Steven, ni aux dizaines de Sooyeon qui étaient ensuite arrivées après que ma mère lui ait annoncé la nouvelle.
J'avais pris une place pour un mois dans une autre guesthouse à Myeongdong, et Jimin s'était mis en tête de me faire rencontrer tout son groupe et de me faire dormir avec lui de temps en temps. Ça me gênait, mais je n'avais pas pu refuser étant donné que mon nouveau logement consistait en un lit dans une chambre avec trois autres hommes. Y ramener Jimin serait la plus mauvaise idée de l'année.
Alors maintenant que j'étais assis au bureau de mon « petit-ami » en essayant de monter une vidéo, les personnes du ménage s'activant dans l'une des chambres au fond du couloir, il fallait que j'apprenne à gérer une nouvelle crise : comment est-ce que j'allais réussir à ne pas être mal à l'aise, quand les quatre autres personnes du boys band le plus populaire de la planète allaient se retrouver en face de moi et me regarder de haut en bas, tandis que Jimin leur raconterait probablement un mensonge pour justifier le fait que je vienne squatter aussi souvent chez eux ?
Et surtout, comment allions-nous pouvoir cacher notre relation ? Comment allais-je pouvoir continuer de dormir avec lui, de me retenir de l'embrasser ou de le prendre dans mes bras alors que ce diablotin ferait tout pour m'inciter à le faire ? Alors que son coloc' serait dans le lit à côté ? Foutu Jimin. Ce dernier mois n'allait pas être de tout repos.
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