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𝟎𝟐:𝟓𝟒 - I Prevail, 𝐻𝑢𝑟𝑟𝑖𝑐𝑎𝑛𝑒

[21/11/2022]

Bonsoir bonsoir !

J'espère que vous allez bien !

Dernier chapitre de la partie 2, du coup. Que va-t-il s'y passer, d'après vous ? Et pourquoi Jimin a appelé Hayden après avoir quitté la maison ? Tant de suspense 🙃

J'espère que ce chapitre vous plaira. On se retrouve en bas !

Bonne Léocture ! ♥




~~+~~




Sans attendre plus longtemps, je relançai un appel tout en tournant en rond dans ma chambre, mais il ne décrocha pas. J'en lançai alors un second, puis un troisième, et tandis que j'attendais que l'horrible mélodie de KakaoTalk cesse, j'entendis sonner à la porte d'entrée. Je me figeai donc, puis me jetai à la fenêtre. Le taxi était en bas, et Jimin devant la porte d'entrée.

Je balançai mon téléphone sur mon lit défait et courus dans les escaliers pour arracher la porte de la maison. Lorsque je l'ouvris, essoufflé, et que Jimin releva une tête surprise sur moi, je tentai de reprendre mon souffle, soulagé de voir qu'il avait l'air de bien aller.

« Tu... Ça va ? me demanda-t-il.

Oui. J'ai... couru...

D'accord... J'ai oublié ma batterie externe dans ta chambre...

T'es revenu pour ça ?

Oui. Même si je peux brancher mon téléphone dans l'avion, ça sert toujours, et je tiens à celle-là...

Tu bouges pas.

Non, je t'attends. »

Je remontai à toute vitesse dans ma chambre, fis le tour du lit où je trouvai effectivement la batterie qui était branchée au niveau du sol, et je la récupérai avant d'arracher des vêtements à mon armoire et de les enfiler. Je m'apprêtais à quitter ma chambre quand je fis demi-tour pour récupérer mon téléphone sur mon lit avant de descendre de nouveau.

Une fois en bas, j'enfilai la première paire de Docs que j'aperçus, puis je glissai mes mains dans les poches de ma veste.

« Tu ne l'as pas trouvée ? me demanda Jimin, confus.

Si. Je l'ai.

Ah ? Tu cherches quoi alors ? »

Je récupérai mon portefeuille et avançai vers lui. Je lui tendis sa batterie qu'il saisit, et alors qu'il allait me remercier, je m'enfuis à l'extérieur en direction du taxi. J'ouvris la portière et tendis quelques billets au conducteur.

« Pour vous dédommager du temps perdu. Vous pouvez repartir.

Vous êtes sûr ?

Oui.

Hayden ? Tu fais quoi ? »

L'homme prit les billets en me disant qu'il y avait une valise dans le coffre et je le remerciai avant de fermer la portière.

« Tu fais quoi ? me demanda Jimin en arrivant à mon niveau.

Rien. »

J'ouvris alors le coffre, saisis sa valise, et je tirai dessus difficilement étant donné qu'il s'était jeté sur moi en comprenant ce que je voulais faire.

« Hayden ! J'ai dit non !

Et moi j'ai dit si. Je t'emmène. C'est non négociable. »

Mon ton avait été sans appel et il recula d'un pas, le visage fermé. Je finis par poser la valise au sol et claquer le coffre, et le chauffeur mit le clignotant avant de reprendre sa route en abandonnant Jimin ici.

« Tu lui as donné combien ?

Cinquante dollars.

Alors à nous deux, on a perdu beaucoup d'argent par ta faute en une heure.

Ose me dire qu'il n'y a pas une autre raison que ta batterie externe pour être revenu ici. »

Il ouvrit la bouche mais aucun son n'en sortit. Il détourna alors les yeux et je compris que j'avais raison. Je soupirai silencieusement et tirai la valise derrière moi pour retourner à la maison. Il finit par me suivre et referma la porte derrière lui.

« Ton avion est à treize heures, on a encore un peu de temps.

On ne sait jamais comment sera la route. C'est pour ça que je voulais partir tôt.

Très bien. Alors je passe aux toilettes et on y va.

Hayden...

Et on y va. C'est mon dernier mot, Jimin.

Mais pourquoi ? éleva-t-il la voix.

Pourquoi ? haussai-je également le ton en me retournant. Parce qu'il y a un truc qui ne va pas, aujourd'hui. Non ? Tu ne le sens pas ? Il n'y a que moi ?

Je n'ai pas envie de repartir ! explosa-t-il alors, la voix tremblante. Je me sens tellement bien ici, avec tes parents, avec ta sœur, avec ta cousine, et avec toi. J'ai l'impression d'être quelqu'un de normal, comme quand je suis chez mes parents. La vie semble si simple quand je suis ici que ça me ronge. Je n'ai pas dormi de la nuit parce que je n'ai pas arrêté de penser à mon planning de boulot qui va reprendre à partir d'après-demain. Pourtant j'adore ma vie, j'adore mon métier. Je fais ce que j'aime, je rends les gens heureux, je gagne bien ma vie et ma famille ne manque plus de rien. Mais j'aime le fait de me réveiller à dix heures parce que j'en ai envie ; de traîner au lit et de prendre un café à onze heures parce que rien ne presse ; de sortir manger de la merde en ville sans avoir à me soucier des calories ; de ne pas savoir quoi faire de ma journée ; de ne pas savoir ce que je vais faire de ma soirée et d'attendre que ça se programme tout seul ; de ne pas savoir de quoi sera fait le lendemain. »

Je restai figé, sous le choc. Je ne m'attendais pas à ça.

« L'imprévisibilité. En deux semaines passées à tes côtés, j'ai pris goût à ça, bien de trop, et c'est quelque chose que je n'ai pas, dans ma vie. Ça n'existe pas. Tout est prévu à la minute près, des semaines voire des mois à l'avance. Je sais déjà où je serai dans six mois, avec qui, pour faire quoi. J'aimerais arriver au mois de mai et me dire : "tiens, et si la semaine prochaine on partait à tel endroit pour faire ça ?", mais ce n'est pas possible. J'aimerais me dire : "j'ai envie de faire ça, demain", mais ce n'est pas possible non plus. Parce que j'ai toute une équipe qui compte sur moi. Toute une fanbase. Et je me rends compte que même quand je suis chez mes parents, cette pression ne s'envole pas totalement. Mais toi, et ta famille, vous avez réussi à me faire oublier qui j'étais pendant quelques jours. Si... »

Il avala sa salive et me quitta des yeux une seconde avant de revenir à moi.

« Si j'ai essayé de m'enfuir lâchement ce matin, c'est parce que je savais que ça serait plus simple pour moi de partir si tu n'étais pas là à me regarder. Tu as réveillé quelque chose en moi qui me fait mal, parce que ce n'est pas compatible avec ma vie. Si Ally avait été là à pleurer dans mes bras pour ne pas que je parte, je n'aurais pas pu partir non plus. Pareil pour ta mère. C'est pour ça que j'ai attendu qu'elles partent avant de me lever. Et si je ne t'avais pas réveillé, je ne t'aurais pas vu non plus avant de partir.

Tu as raison. C'est lâche de ta part.

Je le sais, et je l'assume totalement. Mais vous allez me manquer. La vie que j'ai ici va me manquer. Et j'ai beau dire que j'essaierai de revenir dès que je le pourrai, je sais que ce n'est pas vrai. Une fois l'album sorti, la tournée lancée, ça ne s'arrêtera plus avant des mois. On ne pourra se voir que rapidement, et encore. Et je- »

Il s'arrêta en plein dans sa phrase, coupé par mon étreinte surprise. Il ne se débattit cependant pas, et après quelques secondes d'hésitation, il passa ses bras autour de ma taille.

« Tu es humain, Jimin. Tu as le droit de craquer. Tu as le droit de vouloir te reposer, de voir des amis, ta famille. Personne n'a le droit de t'en empêcher. Et je suis ton ami. Ma famille est la tienne. On sera toujours là pour toi. Si on ne peut pas se revoir avant un an, ce n'est pas grave. Ce n'est pas ce qui nous empêchera de penser à toi, ce qui m'empêchera de te parler par messages même si on met parfois des jours ou des semaines à se répondre. Ne te mets pas la pression. Ally sera triste, mais je la laisserai te parler, ça lui fera plaisir, et si tu veux lui parler aussi, je servirai d'intermédiaire. Parfois, avoir sa vie de programmée d'un bout à l'autre est une bonne chose, tu sais. Tu ne te perds pas, tu sais où tu vas. Tout est rythmé, chronométré, il n'y a pas de place pour la surprise ou l'improvisation, mais ça a un côté rassurant. Et si jamais une surprise doit arriver, alors elle n'en sera que meilleure. »

Il ne répondit pas mais renifla contre mon t-shirt. Bon. Je ne savais pas s'il avait pleuré ou lâché ne serait-ce qu'une larme, mais peut-être allait-il mieux.

« Tu sais, même si j'ai trouvé plein de points positifs à ton départ, je t'avoue que me retrouver seul pendant dix minutes tout à l'heure, ça m'a fait bizarre. Comme si je n'étais plus habitué à ça, alors que ça ne fait qu'une semaine que tu es là. Alors oui, te laisser partir à l'aéroport aurait été plus dur que la dernière fois parce qu'on s'est rapprochés, tous les deux. Mais la façon dont tu as voulu partir en me laissant en arrière m'a fait encore plus mal. Je ne voulais pas insister. Si tu voulais partir seul, c'est qu'il y avait une raison. Mais il n'empêche que je n'ai pas aimé ça. Alors je m'excuse de t'avoir forcé la main.

Ne t'excuse pas, souffla-t-il. Peut-être qu'en fait, j'ai fait exprès d'oublier ma batterie. Je me suis rendu compte que ça me faisait mal aussi de te laisser derrière comme ça. J'ai bien vu que ça te blessait. J'ai été égoïste. »

Je relâchai mon étreinte et reculai un peu.

« T'as le droit d'être égoïste, Jimin. Mais la prochaine fois, dis-moi pourquoi tu l'es. »

Il me sourit doucement, puis me relâcha et passa ses mains sur son visage.

« D'accord. Je te le dirai.

Super. »

Il replongea ses yeux brillants dans les miens et nous nous sourîmes, puis je reculai d'un pas et me raclai la gorge.

« Je fais vite et on y va. Tu as raison, on ne sait jamais comment sera la circulation.

D'accord. »

Je tournai les talons rapidement et montai finalement à l'étage. J'hésitai entre la salle de bain et les toilettes, et je m'enfermai finalement dans la salle d'eau. Je ne m'étais pas attendu à ça comme réponse et je me sentais mal.

Je passai de l'eau sur mon visage et me regardai dans le miroir pendant plusieurs secondes, puis je me brossai les dents et me lavai la peau avant de me sécher et de passer aux toilettes.

Je finis par le retrouver en bas, pianotant sur son téléphone, et en m'entendant descendre les dernières marches, il se releva du fauteuil, son manteau dans les mains.

« Tu as tout, cette fois ?

Oui, je pense. Mais au pire, ce n'est pas perdu, me sourit-il doucement.

C'est ça. Tu ne veux pas boire un coup, passer aux toilettes ?

Non c'est bon.

Alors on y va. »

Nous nous vêtîmes chaudement, même si ce n'était que pour quelques secondes le temps de rejoindre ma voiture, puis nous quittâmes la maison. Je glissai mes clés sous le volant et allumai le contact avant de passer ma ceinture quand je vis que Jimin me regardait.

« Oui ?

On peut mettre un peu de musique ?

Oui, bien sûr, dis-je en lui tendant mon téléphone déverrouillé. Mets ce que tu veux. »

Je commençai ma manœuvre avant de m'insérer sur la route, et quelques secondes plus tard, une chanson d'All Time Low commença. L'album qu'ils avaient réenregistré pour leurs dix ans, et qu'ils avaient performé trois jours plus tôt. Je jetai un rapide coup d'œil à Jimin et vis qu'il avait fermé les yeux et se laissait conduire. Je reposai alors les miens sur la route. Je n'allais rien dire. Qu'il se repose et profite un peu.

[...]

Nous étions devant l'accès des classes business et Jimin rechignait à partir autant que je tentais de le retenir, pourtant sans prononcer le moindre mot, et sans le toucher non plus. Il avait eu raison. J'aurais dû le laisser partir en taxi sans rien dire, ce matin. J'aurais dû vérifier derrière lui et trouver sa batterie pour ne pas qu'il l'oublie. Ou il aurait dû la laisser ici. J'avais le sentiment que ces au revoir seraient différents, cette fois. À cause de ce qu'il m'avait dit ? Ou à cause de ce sentiment étrange qui ne m'avait pourtant pas quitté depuis la veille ? J'étais certain qu'il le ressentait aussi.

« Il faut que j'y aille, murmura-t-il derrière son masque.

Oui... Alors vas-y. Si tu rates ton avion, tu vas te faire engueuler.

Très clairement...

Alors file. On se revoit vite.

Oui. J'espère, me sourit-il en replongeant ses yeux dans les miens.

J'espère aussi. Mais ça ne sert à rien de se prendre la tête. L'imprévisibilité, Jimin. Si ça se trouve, je viendrai te voir sans te prévenir.

Tu ferais ça ? couina-t-il en écarquillant les yeux.

Qui sait. Si je fais pas mal de vues sur mes prochaines vidéos, je pourrai peut-être me permettre un petit aller-retour en Corée.

Vraiment ? Vraiment, vraiment, vraiment ? répéta-t-il en sautillant jusqu'à moi.

J'essaierai, rigolai-je. Mais je ne te promets rien non plus.

J'espère que tu viendras. Il y a des tas de trucs que je veux faire avec toi, là-bas ! Des tas d'endroits où je veux t'emmener ! Tu as déjà été à la tour Namsan ?

Oui, une fois avec ma famille.

De jour ?

Oui.

J'adore cet endroit, surtout de nuit, c'est trop beau ! Il faudra absolument qu'on y aille !

Alors on fera ça, lui souris-je.

Promis ?

Promis. On ira là-bas tous les deux.

Si tu te désistes, je te casse la gueule.

C'est ça, ris-je. Allez, file, il est l'heure.

J'y vais, dit-il en reculant d'un pas. Promis, hein !

Promis. Si je gagne assez de quoi me payer le voyage dans les mois qui viennent, et surtout, que tu es encore sur place, je viendrai te voir.

J'ai hâte.

Moi aussi. File ! »

Il me sourit une dernière fois derrière son masque tout en marchant à reculons, puis il tourna les talons. Je le regardai s'éloigner, et après avoir fait deux mètres, il fit demi-tour et revint vers moi.

« Et... Tu sais, hier soir... Je suis désolé, j'ai...

T'en fais pas, c'est oublié. J'aurais pas dû faire ça non plus.

J'ai l'habitude avec mes potes, mais bon...

C'est oublié, rigolai-je en levant ma main pour lui donner une pichenette dans le front.

Aïe ! s'écria-t-il.

File. Tu vas rater ton avion.

J'y vais. Tu as de la chance que je sois pressé, sinon je t'aurais frappé.

C'est ça, ris-je. Allez, bon vol.

Mmh. Salut. »

Il me tourna le dos et partit de nouveau vers sa file d'embarquement. Je l'observai pendant de longues secondes, puis il se retourna une dernière fois vers moi et me sourit avant de me faire un signe de la main. J'expirai bruyamment par le nez, puis je levai ma main droite pour lui répondre. Et après un dernier sourire, il présenta ses papiers ainsi que son billet et disparut.

Ça y est. Il était parti. C'était définitif, cette fois, et je me sentais étrangement vide. Je restai ainsi figé pendant un long moment, fixant les agents de l'aéroport accueillir d'autres voyageurs en business qui allaient voyager en compagnie de Jimin, et lorsque je me rendis compte qu'il était temps que je parte d'ici car son avion allait bientôt décoller et que je perdais du temps bêtement, je me décidai à bouger.

J'errai cependant dans l'aéroport pendant un moment, n'ayant pas de réponse de Dean, alors je me posai à un café et commandai une boisson chaude, même si ça allait me coûter un bras. Je pris ma tête dans mes mains, et sans savoir pourquoi, je repensai aux dernières paroles que nous avions échangées avec Jimin, et les images d'hier soir me revinrent en mémoire.

« C'est oublié. » Quel piètre menteur j'étais, maintenant que j'y repensais.

Pourquoi y avait-il fallu qu'il revienne vers moi pour me parler de ça maintenant ? Je tirai sur mes cheveux et serrai les dents. Ce feeling bizarre entre nous deux venait de là. Nous avions franchi une limite que nous n'aurions pas dû. Cependant, si chacun de nous était droit dans ses bottes, alors tout allait bien. Non ?

Je sortis mon téléphone de ma poche et vis que j'avais trois messages de Jimin. Je les ouvris donc immédiatement et tombai sur une photo de lui dans son fauteuil de luxe, puis quelques mots.

Je souris doucement, puis lui répondis, même s'il ne verrait ce message que dans une bonne dizaine d'heures.

Mes messages restèrent non lus pendant les quelques minutes où je restai à fixer mon écran après avoir envoyé mes messages. Il était parti.

Je quittai l'application et ouvris ma messagerie normale pour envoyer un SMS à mon meilleur ami. Peut-être avait-il des problèmes d'Internet. Cependant, je tombai immédiatement sur le nom de la jeune femme que nous avions rencontrée quelques jours plus tôt au bar, avec Jimin. Je ne lui avais toujours pas répondu, et il fallait que je le fasse, ne serait-ce que pour la remercier d'avoir gardé le secret sur ce qu'elle avait probablement vu et entendu ce soir-là. Et peut-être pour en apprendre plus sur la soirée, aussi ?

Je n'avais pas envie de savoir, en réalité. Quelque chose me disait que je le regretterais, ou que Jimin pourrait le regretter. Mais dans tous les cas, je ne pouvais pas ne pas répondre.

J'ouvris donc la conversation, relus son message plusieurs fois, puis je pris une grande inspiration. Allez, Hayden. Tu peux le faire.



~~+~~



Ainsi se termine cette deuxième partie.

Alors.

D'après vous, quel titre aura la troisième ? Que se passera-t-il dedans ?

Hayden va-t-il envoyer un message à Samia et lui demander de lui raconter la fin de la soirée ? Va-t-il pouvoir aller voir Jimin en Corée, ou Jimin va-t-il pouvoir revenir plus rapidement que prévu ? Pour rappel, nous sommes actuellement en décembre 2019.

J'ai hâte de lire vos hypothèses !

Vendredi, je posterai le visuel de la partie 3 et le lien des playlists. Le chapitre 55 sera pour lundi prochain. Mais qui sait, peut-être que ce qui sera noté sur la "jaquette de l'album" vous en dira beaucoup sans même le vouloir 👀

Merci encore d'être toujours là après plus de 50 chapitres, ça me fait vraiment chaud au cœur de voir que vous appréciez cette histoire malgré sa lenteur (même si c'est le principe du slow burn de base mdr), et sa spécificité qui fait que même si c'est une fanfic BTS et Hopemin, on n'y voie vraiment que Jimin (pour le moment en tout cas 🤭) à cause du nom que porte Hoseok 🥲

À vendredi pour le plan et le visuel de la partie 3, et à lundi prochain pour le chapitre 55 ♥

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