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𝟎𝟐:𝟒𝟖 - Thirty Seconds To Mars, 𝐶𝑖𝑡𝑦 𝑂𝑓 𝐴𝑛𝑔𝑒𝑙𝑠

[01/11/2022]

Bonsoir bonsoir !

Eh bien, ça fait une éternité que j'ai pas posté un chapitre à deux heures du matin XD

Je profite d'avoir mon ordinateur fixe pour vous publier ce nouveau chapitre, c'est bien moins stressant que mon vieux pc portable XD

Puis comme finalement je ne sais pas quel jour je rentre sur Paris, pas envie de me retrouver coincée à ne pas pouvoir vous le poster avant ce weekend avec le 49 direct après.

Bref, j'aime beaucoup ce chapitre et le suivant (ainsi que les deux chansons que vous retrouverez dans les titres), alors j'espère qu'il en sera de même pour vous.

Bonne Léocture ! ♥




~~+~~




Jimin et moi étions en train de déjeuner comme des porcs, affalés sur le plan de travail de marbre de la cuisine à scroller sur nos téléphones, quand il se redressa d'un coup.

« Oh.

Mmh ? grognai-je en continuant de descendre mon fil d'actualité.

Il y a une photo de moi.

Où ça ?

Twitter. Au concert.

Au concert ? demandai-je en relevant la tête. Hier soir tu veux dire ?

Oui. Regarde. »

Il me tendit son téléphone et j'observai la photo ainsi que la légende.

« Ça va, on voit pas clairement que c'est toi.

Mais la personne qui l'a prise pense que c'est moi, et il y a plus de mille likes et RT...

Ça va couler tout seul. T'es pas si reconnaissable que ça.

Quand même. Une chance que tu n'aies pas l'air d'être à côté de moi...

Clairement, dis-je simplement en revenant à mon écran de téléphone. Mais moi c'est officiel ; quasiment toute ma communauté sait que j'y étais maintenant, avec les photos qui tournent. J'en ai pris quelques-unes pendant le concert histoire de garder un souvenir, j'ai qu'à en poster une et hop.

Si tu confirmes, les gens qui nous connaissent tous les deux risquent de faire le lien, non ?

Refais voir la photo ?

Tiens.

Merci. »

Je saisis son téléphone et le rapprochai de mon visage pour observer attentivement le cliché. En vrai, l'éclairage jouait beaucoup en sa faveur. Je le reconnaissais mais parce que je savais que c'était lui ; n'importe quelle personne avec la même bouche que lui pourrait être sur cette photo, sa tête étant légèrement penchée en arrière et le haut de son visage caché par son bras levé en l'air.

« Non, vraiment ça passe, Jimin. On ne voit pas tes yeux ni ton nez. Ça aurait été cramé si ton visage apparaissait entièrement.

Ma bouche est reconnaissable, dit-il en récupérant son téléphone.

Je suis certain qu'il y a des centaines de personnes qui ont la même que toi.

Mais toutes ces personnes n'ont pas des dizaines de comptes sur Twitter et Instagram qui recoupent des photos d'elles afin de faire des collections entières de leur bouche. »

J'écarquillai les yeux sous ce que je venais d'entendre, et en voyant ma tête, il pouffa bruyamment.

« Je t'assure ! Il y en a des tas. Il y en a aussi sur mes mains, mon tatouage, mes abdos ou mes fesses.

Je vois... C'est flippant.

Un peu. Mais c'est aussi flatteur.

J'imagine bien.

Et ça me permet d'aimer ces parties de moi que je n'aime pas forcément.

Ah oui ?

Oui. Tu sais, on a tous nos complexes.

Quels sont les tiens ? »

Il ne me répondit pas tout de suite, ses yeux ancrés dans les miens, et il les détourna une seconde avant de me regarder de nouveau.

« J'ai longtemps détesté ma bouche.

Pourquoi ? Parce que t'as des lèvres pulpeuses ?

Oui.

Pourquoi donc ?

J'ai souvent eu des remarques pas très cools dessus.

Oh... Je vois. »

Il ramena ses yeux sur l'écran de son téléphone et appuya dessus. Il fallait que je change de sujet.

« Pour en revenir à cette photo, ne t'en fais pas. Je ne pense pas que ça fera le tour de Twitter malgré tout, et si vraiment ça t'inquiète, tu dois avoir des centaines de selfies prises en Corée, non ? Il te suffit d'en poster une histoire de noyer le poisson.

Ce n'est pas faux... Je vais voir si j'ai ça.

Fais donc. Et sinon, tu veux faire quoi aujourd'hui ?

Mmh, je ne sais pas trop. On peut sortir se balader ? Je suis certain qu'il y a des tas de trucs qu'on n'a pas encore faits.

Il y a des trucs sympas qu'on n'a pas encore faits, confirmai-je en hochant la tête.

Et tu ne m'as toujours pas emmené faire le tour des bars.

On en a déjà fait deux en cinq jours.

Justement, que deux. Je m'attendais à un bar par soir, moi. Voire cinq par soir.

T'es vraiment un alcoolique, ris-je en remontant mes yeux sur lui.

J'assume.

Alors va pour un bar ce soir.

Et demain.

Demain ? Mais tu pars jeudi !

Justement, il faut en profiter. Je ne sais pas quand est-ce que je pourrai revenir, dit-il en faisant la moue.

D'accord. Demain aussi, capitulai-je. Mais ça ne dit pas ce qu'on fait aujourd'hui.

Je ne sais pas. Tu as des propositions ?

Mmh... Dans le genre "piège à touristes", y a Disneyland. Oh, le panneau Hollywood. On n'y est pas allés la dernière fois.

Non ! Je veux ! répondit-il immédiatement.

Alors il y a déjà ça. Ensuite... Si tu aimes les musées, y a le County Museum of Art qui est pas mal. Ou le musée d'art contemporain, mais personnellement j'accroche pas.

Pourquoi pas.

Toi qui aimes faire chauffer la carte de crédit, on peut aussi aller à Rodeo Drive. Touristique, mais quartier pour les riches, ça pourrait te plaire. Beverly Hills si tu veux voir la fameuse rue où vivent toutes les stars.

Pourquoi pas.

Tu m'as pas l'air emballé.

Du tout, je note juste les idées dans ma tête avant de choisir les meilleures.

Tant qu'à aller au mont Lee, on peut aller à l'observatoire.

L'observatoire ?

Oui. Bon, c'est plus à faire quand il fait nuit, mais-

Je veux ! Oui ! J'adore les étoiles !

Il y a un énorme planétarium, souris-je devant son air enjoué. Mais c'est gratuit, du coup c'est souvent blindé. Après, si on y va maintenant, on y sera en pleine journée.

Et si on y va en fin de journée, quand il commencera à faire nuit ? Vers cinq heures, les gens seront encore au travail, non ?

Oui. On peut faire ça.

Super ! Et après on va au bar !

Et après on va au bar, ricanai-je. Mais ça ne dit pas ce qu'on fait du reste de la journée. Si on va là-bas en milieu d'aprèm, ou fin d'aprèm si t'es pas partant pour une espèce de randonnée entre l'observatoire et les lettres, il va falloir s'occuper avant.

Une randonnée ça me va carrément ! Il y en aurait pour combien de temps ?

Une heure, si tu veux aller jusqu'au pied des lettres.

Je suis partant. Il n'a pas l'air de faire mauvais aujourd'hui, on aura peut-être même chaud.

Oui, je pense. Mais soit ça veut dire qu'on se tape l'aller-retour à pied, soit que j'abandonne ma voiture quelque part et qu'ensuite on se démerde pour monter à l'un ou à l'autre en transport en commun et pour revenir à la voiture. Ou inversement.

Mmh, j'ai compris. Peu importe, personnellement.

C'est à une trentaine de minutes de route de Beverly Hills. On peut aller là-bas en début d'après-midi si tu veux, et monter ensuite aux lettres puis à l'observatoire.

Ok ! On fait ça !

Super, souris-je, amusé. Et tu veux manger où ce midi ?

Aucune idée. Je n'ai pas trop faim comme je grignote depuis trente minutes...

Pareil pour moi...

Mais il n'est que dix heures, répondit-il en passant son doigt le long de l'écran de son téléphone. Dans deux ou trois heures, j'aurai peut-être faim.

Peut-être, soufflai-je en souriant. En attendant, on fait quoi ? »

Il lâcha son téléphone et s'étira avant de poser ses coudes sur le plan de travail, son visage dans ses mains, puis de me regarder en souriant.

« Oui ? demandai-je en arquant un sourcil.

Je peux toujours te montrer ce dont on parlait hier soir, en pratique.

Comment ça ?

Tu sais, mon microbiome. »

Lorsque je compris, je roulai des yeux en expirant bruyamment par le nez, puis je secouai la tête de droite à gauche.

« Sans façon.

Oh, allez, tu as dit que tu aimais bien mes fesses.

Absolument pas. J'ai dit que tu étais bien foutu et que je comprenais pourquoi tu étais un objet de fantasme.

Permets-moi de te contredire. Tu as dit qu'elles étaient "appréciables et agréables à regarder". »

Bordel, il n'allait jamais me lâcher avec ça.

« J'ai seulement fait un constat ; ça ne veut pas pour autant dire que j'ai envie de rentrer dedans. »

Il éclata de rire et je soufflai par le nez fortement, ne m'étant moi-même pas attendu à prononcer ça.

« Très bien, je te crois, mais il n'empêche qu'elles te plaisent un minimum.

Tu ne gagneras pas ton petit jeu, Jimin, lui souris-je en me levant. Le peu de fois où tu as "marqué des points", c'est parce que tu m'as pris par surprise. Crois bien que maintenant que je te connais mieux, je me méfie. Tu ne m'auras plus.

Mmh. On peut prendre une deuxième douche ensemble pour passer le temps ?

Sans façon.

Allez, ça pourrait être sympa.

Sans façon, répétai-je en me retournant après avoir débarrassé mes affaires. Je vais me changer.

Tu veux que je vienne avec toi ? me demanda-t-il avec un sourire taquin.

Fous-moi la paix, t'es lourd. »

Il éclata de rire et je finis par faire de même avant de quitter la cuisine et de me diriger vers l'étage.

[...]

Nous continuâmes de marcher tranquillement sur la terrasse l'un à côté de l'autre, quand Jimin vint s'accouder à la balustrade. Je le rejoignis quelques secondes plus tard et fis de même.

Nous restâmes silencieux, et après un instant, je lâchai le coucher de soleil du regard pour poser mes yeux sur lui.

« À quoi tu penses ? demandai-je doucement.

À la liberté... »

Ce mot me fit mal au cœur parce que je comprenais ce qu'il signifiait pour lui.

« J'aurais dû te proposer de venir ici ce weekend plutôt que d'aller sur Hollywood Boulevard. On se serait baladés plus tranquillement un mardi qu'un vendredi en plein centre-ville, et en plus, l'observatoire aurait été ouvert.

Mmh, murmura-t-il en tournant la tête de droite à gauche. Je suis un peu frustré, c'est vrai, mais je ne regrette pas. On n'aura qu'à revenir ici une prochaine fois. Personnellement, je ne m'en lasserai pas. Le paysage est magnifique. On voit toute la ville, c'est dingue, et avec la nuit qui tombe et les lumières qui s'allument, c'est encore plus beau. Je pense qu'on devrait quand même voir pas mal d'étoiles étant donné que le ciel est clair. À défaut de les regarder depuis un télescope, on pourra utiliser nos yeux. C'est bien aussi.

Si tu t'en contentes alors c'est le principal, souris-je en reposant mes yeux sur la ville qui commençait à scintiller.

Oui, ne t'en fais pas. C'était une super journée. Je ne sais pas comment je vais assumer la soirée au bar par contre, mais c'était cool.

On n'est pas obligés d'aller au bar, on peut rentrer si la randonnée t'a fatigué.

Tu sais, je me fatigue bien plus que ça quand je suis en tournée ou en off mais que je m'entraîne tout de même, me répondit-il avec un sourire dans la voix. Mais là, j'ai perdu en quelques jours seulement comme je ne me suis pas entraîné.

On peut rentrer, je te dis. Et si tu veux danser, je peux te laisser ma chambre, ou te libérer le bureau en haut en poussant les meubles.

Non, c'est bon, ne t'en fais pas. Ça me fait aussi du bien de lever le pied. Et je veux profiter d'être ici pour m'amuser. Avec toi. Ce n'est pas une fois rentré en Corée qu'on pourra se prendre des cuites ensemble.

C'est certain. Mais une petite soirée tranquille devant un film, c'est bien aussi, non ?

Mmh, tentant, j'avoue. Mais j'ai un pari à gagner.

Encore avec ça ? rigolai-je.

Oui. Et j'ai bien l'intention de te mettre plusieurs points dans la vue avant de repartir.

Que tu crois. Tu vas rentrer le ventre à terre, c'est moi qui vais t'écraser, rigolai-je.

Mmh. On verra.

C'est déjà tout vu, Jiminie. Tu ne peux pas gagner face à moi, je te l'ai déjà dit. »

Il soupira longuement alors que je sortis mon paquet de cigarettes de ma poche, et quelques secondes plus tard, sa tête tomba contre mon épaule lorsque je glissais une clope entre mes lèvres.

« Je veux me prendre une cuite mémorable. Et vu mon taux de fatigue, ça va vite me monter à la tête.

On a qu'à se manger une pizza avant d'aller au bar, dis-je en allumant ma cigarette et en tirant dessus. Ça épongera.

Oui. Je commence à avoir faim en plus. »

Je tentai de le regarder, les yeux écarquillés.

« Vraiment ? Avec tout ce que t'as mangé ce midi ?

Oui. J'ai fait de l'exercice.

On a marché deux bonnes heures, mais c'était de la marche tranquille.

Même. J'ai faim.

Alors on redescend à la voiture et on va se goinfrer avant d'aller boire.

Parfait. »

Je le sentis se redresser, et pensant que ma fumée l'incommodait, j'éloignai ma cigarette et recrachai mon nuage blanc plus loin, mais il resta contre moi, et son menton glissa sur mon épaule. Je tournai donc la tête vers lui et l'interrogeai du regard.

« Tu m'invites au resto ? me demanda-t-il avec un sourire charmeur.

Tu veux que je t'invite ? ris-je. Tu plaisantes ?

Je suis ta copine, tu as oublié ? Tu dois m'inviter.

T'étais ma copine le jour où tu m'as traîné dans les magasins de vêtements. C'est terminé.

Je peux être ton copain alors ? Je te traîne dans les bars, ça marche aussi.

Affreusement sexiste, mais je préfère largement que tu sois mon copain à ma copine », ricanai-je en reposant mes yeux sur la ville et en tirant sur ma cigarette une fois de plus.

Il rit et revint aussitôt à la charge.

« Super, faisons comme ça alors. Du coup, tu m'invites ?

Je t'invite, mais tu paies ta tournée. »

Il ne répondit pas, et alors que j'allais tourner la tête vers lui, je sentis ses mains se poser sur mes épaules de part et d'autre de mon corps, puis il se hissa sur la pointe de ses pieds pour venir poser ses lèvres contre mon oreille.

« Je te paie la soirée entière, chéri. »

Mes pupilles se figèrent tandis que son souffle chaud sur mon oreille provoqua des frissons dans tout mon corps. Je sentis son visage bouger contre le mien, et bientôt, ses yeux cherchèrent mon regard lorsque sa tête se pencha doucement sur le côté.

Je me repris alors en avalant ma salive rapidement, et je reculai d'un pas pour m'éloigner de lui. Un grand sourire se dessina sur son visage et il mordit sa lèvre inférieure en plongeant ses mains dans les poches de son grand manteau.

« Intéressant.

Quoi donc ? demandai-je en fronçant les sourcils.

Tu as les oreilles sensibles.

Pas plus que ça, c'est la différence de température, démentis-je en grattant le filtre de ma cigarette. Il fait froid et tu viens souffler de l'air chaud dessus ; c'est pas très agréable.

Mais bien sûr, gloussa-t-il.

Je te le dis, je me connais quand même mieux que toi, dis-je en ramenant ma clope à mon visage.

Oui, oui... »

Je roulai des yeux en inspirant une bouffée de tabac et je fis quelques pas pour me rapprocher de la rambarde. Le soleil avait quasiment disparu.

« Je finis ma clope et on y va.

Prends ton temps. J'ai faim, mais on a toute la nuit. Et puis le ciel est magnifique.

C'est vrai.

La ville en bas aussi. Elle scintille.

Oui.

Et toi aussi.

Une fois mais pas deux, Park Jimin, rigolai-je.

Mmh. »

Je tirai une fois de plus sur ma cigarette quand je sentis son menton se poser de nouveau sur mon épaule, et ses bras passer autour de mon corps alors qu'il se collait contre mon dos.

« Tu fous quoi ? demandai-je en tournant mon visage vers le sien.

Il fait un peu froid. Tu ne trouves pas ?

Je vois. T'es à court d'idées, c'est ça ?

Peut-être ? me sourit-il en glissant ses mains sur mon torse.

Tu te fatigues pour rien.

Je peux conduire ?

Comment ça ?

Sur le chemin du retour.

Sûrement pas. T'as ton permis, déjà ?

Oui.

Mouais. Mais tu dois jamais conduire. Et puis tu connais pas la route, et vous conduisez comme des malades, en Corée. Hors de question.

Allez, chuchota-t-il contre mon oreille.

C'est mort, dis-je en le repoussant avant de frotter ma peau. Et refais plus ça.

Très bien, capitula-t-il en croisant ses mains dans son dos avant de reculer de quelques pas. On y va, alors ?

Oui, j'ai terminé. »

J'écrasai mon mégot et le jetai, puis nous prîmes le chemin pour quitter l'observatoire et retrouver l'un des nombreux parkings.

Au bout de longues minutes, nous arrivâmes près de ma voiture et j'ouvris la poche droite de ma veste pour saisir mes clés, mais je ne les y trouvai pas. Je me figeai alors et portai ma seconde main à mon autre poche, mais rien. Pris de panique, je tournai sur moi-même en regardant au sol.

« Qu'est-ce que tu fais ? me demanda donc Jimin.

Mes clés... Elles ne sont plus dans ma poche...

Tu déconnes ?

Non... »

Je sortis mon téléphone de mon pantalon et allumai la lampe torche. Comme si j'avais pu les perdre ici. Putain. On était dans la merde. Fait chier. Comment j'avais pu les perdre ?

J'entendis ensuite un petit rire, puis un bruit familier, et ma voiture se mit à clignoter. Je relevai donc immédiatement les yeux sur la silhouette de Jimin qui agitait quelque chose à côté de son visage.

« Je te l'ai dit, Hayden. Tu as les oreilles sensibles.

Que... Tu m'as piqué mes clés !?

Et tu ne l'as même pas remarqué. Je pense que ça fait encore un point pour moi.

Un point de quoi ? Quedal. Rends-moi ça. Tu vas me le payer. »

Il se contenta de rire alors j'effaçai les quelques mètres qui nous séparaient pour écraser sa main de la mienne afin de récupérer mes clés, et de poser un peu trop violemment mon front contre le sien, ce qui nous fit probablement mal à tous les deux.

« Tu veux jouer ? Très bien. Tu vas perdre.

La soirée ne fait que commencer, souffla-t-il contre mon visage, mais je ne crois pas.

Si. Je te le prouverai. »

Je reculai alors, mes clés en main, et j'ouvris ma portière. J'allais lui faire payer.

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