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𝟎𝟐:𝟐𝟔 - I Prevail, 𝐵𝑙𝑎𝑛𝑘 𝑆𝑝𝑎𝑐𝑒 ⁽ᶜᵒᵛᵉʳ⁾

[15/08/2022]

Bonjour bonjour !

Bordel, j'ai pu dormir et bien comater aujourd'hui ; pas de manager qui m'appelle à 10h pour me demander si je peux encore venir bosser sur mes jours de congé, pas de technicien à venir pour checker le problème de la box internet, pas de propriétaire qui revient chercher des trucs dans l'appartement... Première fois que je suis vraiment tranquille depuis un mois, et bordel ce que ça fait du bien.

Bref, je ne vais pas m'étendre dans cette intro. J'espère que ce chapitre vous plaira.

Bonne Léocture ! ♥




~~+~~




Lorsque je me réveillai avec une ignoble migraine, le soleil emplissant ma chambre, je grognai en voulant me retourner, mais la douleur qui avait pris possession de mon crâne me donnait presque des haut-le-cœur. Je me redressai donc en insultant toutes les personnes dont le prénom passa à ce moment-là dans ma tête, puis je me levai et me dirigeai vers la salle de bain. Par chance, personne n'y était alors je m'y enfermai et m'empressai de prendre de l'eau dans mes mains pour tremper mon visage, puis ma nuque. J'étais pas bien, et pourtant, j'avais l'habitude de boire. Quand j'étais dans le mal après une soirée, ce n'était pas dans cet état-là que j'étais le lendemain matin. C'était bizarre.

Je me redressai ensuite et m'observai dans le miroir. J'avais une marque sur le front. Je réfléchis un instant, puis ça me revint. La porte. Je m'étais mangé une porte. Voilà pourquoi. Rassuré, je me déshabillai puis pris une douche froide, et petit à petit, la douleur que je ressentais diminua. Elle ne disparut pas totalement, mais au moins, elle était désormais supportable.

Je sortis de la cabine après une bonne dizaine de minutes, et je revins au lavabo pour me laver les dents et me passer un rapide coup de rasoir. Je mis mes vêtements dans la panière de linge sale, puis je passai mes doigts dans mes cheveux pour les ramener en arrière avant d'attacher ma serviette autour de ma taille plus fortement. J'expirai, puis je quittai enfin la pièce. Je traversai le couloir et entendis la voix de ma petite sœur qui hurlait. Je fronçai les sourcils, puis avançai vers les escaliers.

« Ally ? demandai-je en haussant la voix. Ça va ?

Oppa ! hurla-t-elle. T'es levé !?

Oui, pourquoi tu cries ?

Parce que Jiminie-oppa a dit qu'il voulait bien jouer avec moi !

C'est super, répondis-je en levant les yeux au ciel. Tu ne devrais pas hurler pour ça, je me suis inquiété.

Tu voudras bien jouer avec nous ? me demanda-t-elle en commençant à gravir les marches.

Ça dépend à quoi, répondis-je en voyant sa tête apparaître quelques mètres en dessous. On va bientôt manger ?

Oui, maman est en train de préparer le barbecue avec papa ! » continua-t-elle en montant encore.

Je fronçai les sourcils en voyant qu'elle tenait la main de quelqu'un, et en m'apercevant qu'il s'agissait de Jimin, j'envoyai un sourire en coin à ce dernier quand ses yeux croisèrent les miens.

« Tu t'es encore fait capturer à ce que je vois.

Oui, me sourit-il. Ça va mieux ta tête ?

Ma tête ?

Je t'ai... »

Il s'interrompit en baissant les yeux sur ma petite sœur qui le regardait, puis remonta ses pupilles dans les miennes.

« Tu t'es cogné la tête dans la porte hier soir. »

Ah, ça.

« Quoi ? s'écria Ally. C'est vrai ? Ça va ?

Ça va, souris-je à ma sœur pour la rassurer. Je vais m'habiller et je vous rejoins en bas.

D'accord ! Tu veux que je dise à maman de me donner un pansement ?

Ça va aller ma puce, je ne saigne pas. Je fais vite.

D'accord ! »

Elle se retourna alors vers Jimin et tendit sa main libre vers le rez-de-chaussée.

« Tu viens, on redescend.

D'accord. »

Je pouffai en la regardant repasser devant mon ami et tirer sur sa main pour qu'il la suive. Il me lança un sourire avant de lui emboîter le pas sans un mot de plus. J'expirai alors fortement, puis quittai la rambarde et retournai dans ma chambre.

Je détachai la serviette de ma taille, la repassai rapidement sur tout mon corps avant de l'abandonner sur le pied de mon lit pour aller prendre des vêtements. On était dimanche ; sortir en plein centre-ville pourrait être risqué pour Jimin, surtout en pleine journée, et vu le temps qu'il faisait. Il fallait que je lui demande ce qu'il voulait faire, mais s'il avait prévu de jouer avec ma sœur, on pouvait imaginer qu'on passerait une bonne heure à la maison après le diner.

J'enfilai un boxer, un débardeur échancré au niveau des bras sur un bermuda large, puis je glissai mon téléphone dans ma poche. Je repris ma serviette que j'allai poser sur l'étendoir dans la salle d'eau, et je m'observai une fois de plus dans le miroir. Je passai ma main dans mes cheveux pour les ramener en arrière, me fis la remarque qu'ils commençaient à être trop longs alors que j'allais devoir passer chez le coiffeur pour refaire mon undercut, sans quoi je pourrais bientôt les attacher à l'arrière de mon crâne, puis je quittai la pièce.

Arrivé au rez-de-chaussée, j'enfilai des sandales à l'entrée, puis je me dirigeai vers la cuisine où la porte donnant sur le jardin était ouverte. Le parfum agréable du printemps entrait dans toute la maison par là et c'était agréable.

Lorsque je mis le pied sur la terrasse, j'aperçus mes parents qui s'affairaient à préparer le repas alors que Jimin était accroupi près du cerisier et jouait à la poupée avec ma sœur. Je pouffai doucement, puis reposai mes yeux sur mes parents.

« Salut.

Oh, tu es levé, me sourit ma mère en se retournant vers moi. Tu as assez dormi ? Ça a été hier ? Vous êtes rentrés tard.

Oui, ça a été, merci. Tu as besoin d'aide ? demandai-je en jetant un coup d'œil rapidement à mon père qui semblait m'ignorer.

Je veux bien que tu ailles chercher la viande au frigo si ça ne te dérange pas.

D'accord. »

Je lui souris affectueusement, puis je fis demi-tour. J'ouvris le frigo, repérai rapidement les deux plats de viande marinée alors je les sortis. Je pris également les légumes qui avaient probablement été coupés pour être grillés avec la viande, et après avoir refermé la porte du réfrigérateur, je m'emparai des trois plats pour retourner sur la terrasse.

« T'as encore pris trop de volaille, maman.

Mais tu n'es jamais content, me sourit-elle en tendant les mains vers moi.

Je suis réaliste. Tu prends toujours trop de volaille.

Jimin-ssi, tu aimes la volaille ? »

Il tourna la tête en entendant qu'on s'était adressé à lui, puis il sourit.

« Oui.

Tu préfères ça ou du bœuf ?

J'aime les deux, mais si je dois choisir, je préfère la volaille.

Super ! »

Il retourna à ma sœur qui venait de tirer sur la manche de son t-shirt, et ma mère me donna une pichenette dans l'épaule.

« Tu vois ! s'exclama-t-elle. J'ai pris ce qu'il fallait.

Un coup de chance, comme pour Sooyeon.

Mais que tu es casse-pieds ! »

Je rigolai doucement et posai les deux autres plats sur la table près de mon père. Il ne m'adressa pas un regard et je soupirai. Il ne devait pas avoir digéré ma réaction de la veille, mais je m'en fichais. Je n'avais pas l'intention de m'excuser ou de m'écraser une fois de plus.

Je jetai un coup d'œil à la table, puis je me dirigeai vers la porte arrière du garage pour aller chercher un parasol que je vins ensuite installer près de la table. Mine de rien, le soleil tapait pas mal.

« Bon, on va pouvoir passer à table, dit ma mère.

Jimin, Ally !

On arrive ! s'écria ma petite sœur. Viens !

Je te suis », sourit Jimin en attrapant la main qu'elle lui tendait.

Il se releva et la suivit jusqu'à la table.

« Quelqu'un va chercher Troy ? Il étudie dans sa chambre.

Je peux y aller, répondit Jimin.

Tu restes là, intervins-je. Ally ?

Je veux rester avec Jiminie-oppa.

Très bien, j'y vais, soupirai-je en roulant des yeux.

Je peux y aller, Hayden, tenta Jimin.

Non. J'y vais.

Mais... »

Je m'empressai de quitter la terrasse. Il n'avait visiblement pas pris au sérieux ce que je lui avais dit la veille ; je n'avais pas envie de devoir le chaperonner à l'intérieur même de la maison, mais je n'allais pas avoir le choix.

J'avais vraiment très peur de ce que Troy pourrait lui dire. Quand il trouvait l'un de mes points faibles, il ne faisait pas dans la dentelle. Mes amis étaient tous des points faibles. Jimin en était donc devenu un malgré lui, et je savais qu'il pourrait en prendre pour son grade. Il fallait à tout prix que je les tienne éloignés l'un de l'autre.

Arrivé devant la porte de sa chambre, je pris une grande inspiration avant de frapper. Sa voix me répondit quelques secondes plus tard alors je le prévins que nous allions manger, et je tournai les talons sans attendre sa réponse. Moins je le croisais, mieux je me portais. Mais à peine avais-je parcouru un mètre que la porte s'ouvrit dans mon dos.

« T'es pas avec ta copine ?

Je te demande pardon ? le questionnai-je en me retournant, les sourcils froncés.

Je vous entends glousser jusqu'en plein milieu de la nuit, vous ne vous quittez pas une seconde... C'est surprenant de te voir seul.

J'ai pas envie de parler avec toi. Je venais juste te prévenir qu'on allait commencer à manger. Que tu ramènes ton cul ou pas c'est ton problème, mais occupe-toi de tes affaires.

Si tu n'as pas encore tiré ton coup, ne tarde pas trop ; j'imagine qu'une pareille occasion ne se reproduira pas avant un moment. »

Mon sang ne fit qu'un tour et je tournai les talons pour foncer sur lui. Je saisis l'encolure de son petit polo de bourge et tirai dessus.

« Je sais que tu peux pas me piffer et je me fous de savoir pourquoi. Mais tu touches pas à Jimin, c'est clair ?

Pourquoi, c'est chasse gardée ?

Surveille ce que tu dis.

Je vois, sourit-il. Je ne marcherai pas sur tes plates-bandes, ne t'en fais pas : sucer des queues, ce n'est pas mon délire.

Imagine ce que tu veux, je m'en branle. Tu gardes juste tes attaques verbales pour toi pendant encore trois jours et tu t'approches pas de lui. Point barre.

Hayden ? »

Et merde. Je relâchai le polo de mon frère tout en le repoussant, les dents serrées à m'en faire mal, puis j'inspirai profondément et tentai de sourire en me retournant vers Jimin.

« Oui, on arrive. »

J'avalai ma salive et accélérai le pas, puis je passai ma main dans son dos pour le faire avancer et qu'il descende les escaliers avant moi. Arrivés en bas, je continuai de le pousser mais il freina des quatre fers et se retourna vers moi.

« Ça va ?

Oui, pourquoi ça n'irait pas ? demandai-je en levant les yeux au ciel. Viens. »

Je tentai de le faire avancer une fois de plus mais il ne bougea pas. Je sentis ses mains se poser sur mes bras et je finis donc par baisser mes pupilles pour les plonger dans les siennes.

« Quoi ?

Je n'ai pas tout entendu ni tout compris, mais je ne suis pas stupide. Ne te mets pas dans des états pareils à cause de moi.

Je te demande pardon ? ricanai-je. Je suis normal, Jimin, tout va bien. Et puis tu n'es pas le centre du monde.

Quoi ? Ce n'était pas à cause de moi ?

Non, mentis-je. Je te l'ai dit : on ne s'est jamais entendus et on ne s'entendra jamais. Il ne m'aime pas et je dois faire avec.

C'était pour quoi alors ?

Ma tenue. »

Il me regarda de haut en bas, et un petit sourire en coin décora ses lèvres.

« J'avoue que ce n'est pas terrible.

J'aurais jamais mis ces chaussures si ça n'avait pas été des Dr. Martens.

Tu m'étonnes... Mais même Dr. Martens, je n'en aurais pas mis... C'est moche...

Tu vas me dire que vous n'avez pas des claquettes répugnantes dans votre merch, vous ?

Si, mais on évite de les porter en public, pouffa-t-il.

C'est ça, bah moi j'allais pas mettre mes Dr. montantes pour aller sur la terrasse, ni y aller pieds nus avec Ally qui saute partout et qui laisse parfois tomber des morceaux de ses jouets au sol, dis-je en posant mes mains sur ses épaules pour l'obliger à se retourner. Allez, on va manger, ma mère va se demander où est-ce qu'on est passés.

T'as raison », rigola-t-il doucement.

Il accepta enfin de reprendre la route vers l'extérieur, et je jetai un coup d'œil inquiet vers les escaliers. Je le sentais mal, ce repas. Très mal.

[...]

Nous étions arrivés au dessert, et contre toute attente, Troy ne s'était pas fait remarquer. Malheureusement, je le connaissais trop bien pour penser qu'il avait lâché l'affaire. Il devait préparer quelque chose et c'était tout sauf bon signe. Et en effet, alors que ma mère venait de se lever pour préparer un thé et quatre cafés, mon frère se pencha en avant sur la table et ouvrit la bouche pour la première fois du repas.

« Dis-moi, hyung, c'est comment, les tournées ? »

Je serrai les dents et les poings immédiatement, autant pour le sujet que pour l'appellation qu'il avait utilisée ; c'était plus que déplacé. Seulement, même si Jimin s'était tendu une seconde à l'entente de la question, il prit une inspiration pour répondre en souriant comme si de rien n'était.

« C'est super. C'est vachement physique, c'est très dur, mais être sur scène, c'est toute ma vie. Chanter, danser, voir nos fans... c'est le meilleur moment. Les entendre chanter avec nous, voir leurs sourires, leurs larmes... ça n'a pas de prix. Et puis on voyage à travers tellement de pays, on rencontre tellement de gens... Je ne sais pas comment je ferai le jour où tout ça s'arrêtera.

Ce n'est pas pour tout de suite, si ?

Non, je ne pense pas. Mais rien que pendant le service miliaire, ça sera dur.

Je comprends. Et ça doit rapporter pas mal en plus de ça. Même si tu arrêtais de travailler demain, j'imagine que tu devrais avoir assez pour pouvoir vivre tranquillement jusqu'à la fin de ta vie, non ? »

Jimin se crispa et je sentis son malaise jusqu'ici.

« Oui, répondit-il simplement.

C'est chouette de pouvoir vivre de la musique. Je ne suis pas musicien, mais j'imagine.

C'est super, acquiesça Jimin.

Quel dommage qu'Hayden n'ait pas poursuivi dans cette voie.

Troy, dis-je sèchement.

Quoi ? Tu as dépensé tellement d'argent pour t'acheter des guitares que tu n'as utilisées qu'une seule fois pour au final tout laisser tomber ! Si tu t'étais entraîné durement, tu aurais pu devenir une star !

Arrête ce petit jeu tout de suite, dis-je entre mes dents.

Il n'a pas tort, intervint mon père. Si tu n'avais pas commencé à faire des conneries, tu aurais peut-être pu sortir de ces bars insalubres pour faire quelque chose. S'il y avait une chose que je ne pouvais pas te reprocher, c'était ta façon de jouer. »

Je ne dis rien. C'était presque un compliment venant de la part de mon père, et c'était plus que surprenant.

« Tu aurais pu avoir un vrai métier, au moins. »

Ah. Je me disais aussi. Ma mère revint alors avec les tasses sur un petit plateau, mais ça ne fut pas suffisant pour couper court à la discussion.

« Enfin, papa, tu sais que c'est un vrai métier ce qu'il fait maintenant ! La preuve, il gagne de l'argent sans quitter sa chambre ! C'est remarquable !

Ferme-la, dis-je sèchement.

Pourquoi donc ? Je te défends, pour une fois !

Troy, dit alors doucement ma mère.

Mais c'est vrai, maman ! Il fait le clown pendant une heure et hop, il gagne ce que toi tu peux gagner en un mois !

Arrête ça tout de suite ! dis-je en me levant de ma chaise.

Mais pourquoi ? me sourit-il. C'est formidable. Être youtubeur est un métier d'avenir, visiblement !

Je suis totalement d'accord », dit Jimin.

Je me tendis et tous les regards se portèrent soudain sur lui.

« Aujourd'hui, YouTube est devenu un média à part entière, au même titre que la télévision et la radio. La seule différence est le canal de diffusion. La télévision ne parle plus qu'aux personnes au-dessus de notre génération. Pour les plus jeunes, le contenu qu'ils regardent vient de YouTube parce qu'ils peuvent y trouver ce qu'ils veulent, en quantité monstrueuse, à l'instant où ils le désirent. Que ça soit de l'humour, de la musique, des critiques, des let's play... YouTube est la plus grande plateforme de partage vidéo au monde, et ce depuis plusieurs années. Être youtubeur, c'est comme être présentateur du JT ou d'une émission à la télévision. En plus, on est plus proche de notre public, beaucoup plus accessible, et ça fidélise et créé une vraie communauté. Ça paraît simple comme ça, mais il y a un travail monstre à faire pour réaliser des vidéos de qualité comme Hayden peut le faire. Et pour réussir à créer une communauté comme il l'a fait, il faut savoir maîtriser ses sujets, l'humour, le sérieux... afin de réussir à accrocher le spectateur. Il faut être un vrai communicant. »

Il arrêta enfin de parler, et nous entendîmes presque les mouches voler entre les chants d'oiseaux et les bruits de circulation automobile au loin.

Je finis par me rasseoir sans prononcer un mot, les dents serrées. Je me sentais émasculé et c'était très dérangeant. Je n'avais besoin de personne pour prendre ma défense.

Personne n'osa reprendre la parole et un silence pesant s'étendit sur le jardin. L'ambiance devenait étouffante. Il fallait trouver quelque chose. Il fallait que quelqu'un dise quelque chose. Vite. Vite. Mais quoi ? Mes yeux croisèrent alors ceux de ma sœur et je levai doucement mon menton une seconde. Son petit air bougon changea soudain et elle me sourit avant de sauter de sa chaise et de venir poser ses deux mains sur le bras de Jimin.

« Oppa ! Tu viens jouer avec moi ? »

Sauvés. Merci, ma puce.

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