𝟎𝟐:𝟏𝟖 - Mayday Parade & Vic Fuentes, 𝑆𝑜𝑚𝑒𝑏𝑜𝑑𝑦 𝑇ℎ𝑎𝑡 𝐼 𝑈𝑠𝑒𝑑 𝑇𝑜 𝐾𝑛𝑜𝑤 ⁽ᶜᵒᵛᵉʳ⁾
[18/07/2022]
Bonjour bonjour !
Je poste ultra tôt aujourd'hui, je suis choquée xD
Je comptais bien dormir jusque 14h étant donné qu'avec les quatre jours à bosser à la Japan Expo, j'étais au bout de ma vie, mais la migraine à 3h du mat qui m'a obligée à me lever pour avaler un médoc, puis le lever du soleil vers 6h qui passait à travers les fenêtres sans rideaux, ça n'a pas aidé à dormir rip
J'espère réussir à mieux comater cette nuit... Nous verrons bien.
Je me suis d'ailleurs plantée, j'avais prévu ce chapitre pour demain à l'origine, mais en vérifiant mon agenda après avoir commencé ma correction, je me suis dit que c'était mieux comme ça. Vous avez gagné un jour héhéhé
Par contre, gros seum, j'ai eu la mauvaise idée de mettre mes applis à jour tout à l'heure, dont celle qui me sert à faire les conversations Kakao, et l'option pour mettre en mode sombre a disparu. Ce jaune affreux me donne mal aux yeux mais j'ai pas le choix. J'espère que ça sera vite remis en place ToT
J'espère que ce chapitre vous plaira, j'ai hâte de voir vos réactions 👀
Bonne Léocture ! ♥
~~+~~
Nous étions le jeudi premier août. L'été était là depuis un moment maintenant. Il faisait beau, il faisait chaud, tout allait bien dans le meilleur des mondes. Je tournais mes vidéos, j'allais en studio, je voyais mes potes, je sortais, je draguais, c'était le paradis. Sooyeon arrivait ici dans moins de deux semaines car elle avait sa rentrée à l'université Abraham Lincoln le dix-neuf. Je ne l'avais pas revue depuis bientôt un an, et même si elle m'avait fait la gueule pendant un petit moment à cause de son chanteur à la noix, nous avions vite renoué à partir du moment où ce dernier avait arrêté de parler de moi sur Internet. Et puis, son arrivée approchant, elle n'avait plus trop eu le choix, de toute manière. Ce n'était pas mon frère avec sa fac d'ingénieur qui allait trouver du temps pour répondre à ses dizaines de questions, préparer son arrivée de diverses manières, tout en, d'ici quelques jours, allant la chercher à l'aéroport et l'aider à s'installer.
Et d'ailleurs, depuis que deux semaines plus tôt, dès le lendemain de la dernière date japonaise de BTS, leur agence avait annoncé trois dates à Séoul pour conclure cette tournée, Sooyeon rageait davantage. Elle les avait ratés aux États-Unis parce qu'elle avait été à Séoul, et maintenant qu'elle arrivait enfin aux États-Unis, ils revenaient faire leur final en Corée. Elle n'avait pu les voir qu'un jour sur leurs deux dates l'année passée, et elle savait que cette fois-ci, ça serait fichu, et elle était un peu déprimée.
Lui dire que je discutais avec l'un de ses chanteurs préférés lui remonterait sans aucun doute le moral, mais je me l'interdisais. Même si Jimin ne m'avait pas dit qu'il ne voulait pas que j'en parle, ou en tout cas à elle, je préférais garder ce secret pour moi uniquement. Je n'en avais parlé à personne, pas même à Dean qui était mon meilleur ami, et pas même à Steven qui était l'un de mes amis les plus proches et qui tombait en pamoison dès que le groupe faisait quelque chose. J'avais gardé ce secret pour moi et ça me satisfaisait. Parfois, je me sentais puissant en sachant cela. C'était parfaitement idiot, mais c'était quelque chose de plaisant.
Et d'ailleurs, en parlant de lui, ça faisait quasiment deux semaines que c'était le silence radio. De son arrivée au Royaume-Uni jusqu'à la dernière date parisienne, je n'avais pas eu un seul message. Par la suite, il m'avait littéralement spammé pendant quasiment un mois, que ça soit de récits de ses aventures, d'anecdotes ou de photos et de vidéos, me disant qu'il ne voulait pas quitter Paris mais qu'il y était obligé. Puis il était retourné en Corée et avait eu quasiment un mois de vacances, même s'il n'avait pas un seul instant cessé ses entraînements. Et aussitôt la reprise de la tournée au Japon début juillet, ça avait de nouveau été le silence radio jusqu'à la dernière date.
Sans rigoler, je pourrais deviner son planning et le tenir pour lui rien qu'à regarder l'affluence et les heures de ses messages. Mais étrangement, depuis que la tournée japonaise avait pris fin le 14 juillet, j'avais eu quelques messages, puis plus rien. Sans doute se reposait-il à Busan, auprès de sa famille, et qu'il avait bien mieux à faire que de me demander des nouvelles. Ou peut-être qu'il était toujours sur Séoul et qu'il bossait déjà sur le prochain album. Ça ne me surprendrait même pas, car en lisant entre certaines lignes, j'avais cru comprendre qu'il tentait d'écrire une chanson pour un duo. J'aurais bien demandé des infos histoire d'avoir, une fois de plus, l'agréable sentiment d'être dans la confidence et que des millions de personnes souhaiteraient ma place.
Dire que cette étrange amitié avec le chanteur de BTS ne gonflait pas mon égo serait mentir. Mais contrairement à certaines personnes, je n'étais pas quelqu'un de malintentionné. Je n'avais pas l'intention de m'en servir, et si jamais ça restait secret pendant quarante ans, ça ne me dérangerait pas. Mais dire que parfois, je n'avais pas envie de m'en vanter serait mentir également. En réalité, il n'y avait qu'une personne auprès de qui j'aimerais m'en vanter : Steven.
Et d'ailleurs, cet après-midi-là, j'étais chez lui et on essayait de tourner une vidéo à la con. Le premier qui rigolait, souriait, pleurait ou autre, sur une série de dix vidéos par round, se prenait une pichenette dans le front, et le perdant se retrouvait obligé de faire dix tours sur lui-même avant de devoir faire dix pompes et ce, en une minute. Trois rounds, et le grand perdant allait se retrouver obligé de devoir faire ce que l'autre lui dirait de faire. J'avais déjà perdu de nombreux paris face à Steven et inversement, et le dernier en date me resterait toujours en travers de la gorge. Il était hors de question que je perde, cette fois-ci. J'étais motivé et concentré comme jamais.
Malheureusement, lorsque, au bout du compte, je me retrouvai à perdre le deuxième round, je croisai mes bras sur le bord de son bureau et y cachai mon visage. Je refusais de perdre un nouveau pari face à lui. Je me l'interdisais. J'étais quasiment convaincu qu'il me dirait de refaire une cover, et il en était hors de question.
« Pleure pas, Hyde. Il reste un round. Qui sait, tu vas peut-être le gagner.
– Y a plutôt intérêt, parce que je ne sens absolument pas une défaite, me redressai-je.
– Tu m'étonnes. Ah, oui, pour les personnes qui viennent d'arriver sur ma chaîne, vous avez peut-être raté la dernière vidéo qu'on a faite ensemble. Ça date... wow, ça date de l'année dernière, mec ! se retourna-t-il soudain vers moi.
– Ouais. C'était l'été dernier il me semble, donc ça va bientôt faire un an.
– Bordel. Alors si tu perds, tu vas me faire une autre cover, mon pote.
– J'aurais aimé m'en outrer, mais je m'en doutais depuis le début, soupirai-je. Tu es ultra prévisible.
– Du coup on part sur quoi ? Sur "Lie" cette fois ?
– Parie ce que tu veux, mais pas du BTS s'il te plaît. Ça va encore me demander un boulot monstre, et déjà que je n'ai pas envie de faire ça, je vais encore plus te détester. Et les détester eux aussi. Tu ne voudrais pas que je les déteste, n'est-ce pas ?
– Bien sûr que non, assura-t-il en tournant la tête de droite à gauche, je tiens à ce que tu viennes à mon mariage avec Jimin.
– Voilà, donc du coup, évite. Parie ce que tu veux, mais pas eux.
– Un petit All Time Low ?
– Ça me va.
– Et du coup, pour moi ?
– Si tu perds, tu vas prendre cher. Laisse-moi réfléchir. »
Je croisai mes bras sur ma poitrine et fis tourner ma chaise doucement, les yeux rivés sur le sol, tout en réfléchissant à ce que j'allais bien pouvoir lui faire faire s'il perdait. Plusieurs idées me vinrent en tête, et j'entendis mon ami grogner à côté de moi.
« Bordel... J'aime pas du tout sa tête. Vous la voyez ? demanda-t-il à la caméra. Je suis pas du tout confiant. Je le sens même très mal. Je vous le dis : j'ai plutôt intérêt à gagner, sinon je vais crever.
– Tu ne crois pas si bien dire, repris-je alors la parole. J'ai trouvé. Je n'ai pas les détails encore parce qu'il faut que je me documente, mais j'ai trouvé.
– Alors ? Je t'écoute.
– Alors tu te souviens de ce clip affreux que tu m'as fait tourner en plus de faire une cover ?
– Oui. Et alors ?
– Eh bien si tu perds, tu me feras une cover, et un clip aussi.
– Et de quoi donc ?
– D'un girls band. Mais je dois me documenter sur lequel.
– Oh putain.
– Ouais. Donc tu auras le droit aux robes, au maquillage, la totale.
– Oh putain.
– Je t'avais dit que je me vengerais. Et la vengeance est un plat qui se mange froid. »
Je jubilais. Son visage était décomposé et j'avais hâte de le voir faire ça. Il fallait que je gagne. Ce n'était plus négociable. Je voulais lui faire payer ce qu'il m'avait fait, et que je puisse à mon tour me payer sa tête tout en me faisant de l'argent sur son dos. Non mais.
« Ok. J'accepte le gage.
– Je l'accepte aussi, répondis-je.
– Donc il est impératif que je gagne.
– Tu m'en diras tant, souris-je.
– Non mais vraiment. Moi j'ai été cool.
– J'avoue. All Time Low, c'est dans la poche. Même si bon, j'aurais préféré éviter de devoir encore jouer et chanter. Disons que ça sera plus supportable.
– Faut que je gagne.
– Alors concentre-toi. On va lancer la troisième et dernière manche. »
Je me penchai sur le bureau pour m'emparer de la souris et lancer la dernière série de vidéos, quand soudain il posa sa main sur la mienne pour m'arrêter.
« Attends. On fait quoi s'il y a égalité ?
– Comment ça ?
– On a mis dix vidéos dans chaque round. Si on fait cinq et cinq ?
– Faudrait vraiment qu'on soit des quiches pour perdre chacun à tour de rôle et sur les dix.
– C'est les dix pires, Dylan me l'a assuré en me préparant le mix.
– Il n'y a pas des vidéos en trop qu'il aurait mises de côté ?
– Je ne sais pas...
– Écoute, ce que je te propose. Si on est à égalité, on tire au hasard, celui qui-
– Au hasard ? Tu veux jouer ça au hasard !? me coupa-t-il.
– Non ! rigolai-je. Laisse-moi finir ! Je voulais dire, on tire au hasard. Celui de nous deux qui gagne lance une vidéo de son choix sur YouTube, toutes vidéos confondues. Celle qu'il veut. Si l'autre rigole, alors c'est perdu. Si l'autre ne réagit pas, il lance à son tour la vidéo qu'il veut. Et ainsi de suite jusqu'à ce qu'il y en ait un qui réagisse.
– Comme au tennis ?
– Exactement, mais avec un point d'avance. Ou deux ? Pour que ça soit plus juste ?
– On risquerait de ne jamais terminer, sourit-il.
– Très clairement. C'est pour ça que la différence d'un me semblait pas trop mal.
– Alors va pour le un point. En gros, le premier qui faiblit est out.
– C'est ça. Mais bon, si ça se trouve, tu vas perdre dès les six premières vidéos et on n'aura pas à aller jusque-là.
– TU vas perdre dès les six premières vidéos, insista-t-il. Hors de question que je fasse ce que tu as prévu pour moi !
– Oh que si ! Tu vois comme c'est désagréable, hein !? »
Je jubilais. Je jubilais tellement.
« Allez. Respire, ça va aller.
– Bien sûr. Je te préviens que si je perds et que je suis obligé de me faire humilier de cette façon, tu prendras bien, BIEN cher la prochaine fois.
– Et je te fais confiance pour ça, souris-je. Allez, concentre-toi. On y va.
– Je vais le tuer, souffla-t-il à la caméra.
– Tu t'ennuierais trop sans moi, ne dis pas ce genre de chose.
– Je ferai des vidéos avec Dean. C'est le même que toi mais en moins chiant.
– Alors là, je suis scandalisé.
– Tu ne devrais pas. C'est lui qui devrait mal le prendre.
– Dean, quand tu verras cette vidéo, j'espère que tu te joindras à moi pour lui casser la gueule, dis-je en plongeant mes yeux dans la caméra.
– Vous m'aimez trop pour me frapper.
– T'as oublié le nombre de pichenettes que je t'ai foutu en plein dans le front depuis tout à l'heure ?
– C'est un jeu, faut faire avec. Allez. Quand faut y aller, faut y aller. Prépare-toi à perdre.
– Et toi donc, ricanai-je. Et toi donc. »
Il lança alors le dernier fichier vidéo, et quelques secondes de noir sans aucun bruit passèrent, le temps que nous nous remettions dans le jeu. Personne ne réagit lors de la première vidéo, et nous fîmes une pause lorsque l'écran devint de nouveau noir.
« Bordel... Je sais pas si c'est parce que j'ai l'impression de jouer ma vie, mais ça a l'air clairement plus dur que tout à l'heure... souffla mon ami.
– Et ce n'était que la première... on est mal barrés, rigolai-je.
– Clairement. »
Nous nous calmâmes, reprîmes de grandes inspirations, et il remit la vidéo en lecture. Il ne se passa rien à la deuxième, mais à la troisième, je le vis sourire dans le retour alors j'arrêtai d'un coup la vidéo en hurlant que je passais en tête. Il jura qu'il n'avait pas souri, scandalisé, et je lui promis que si, disant que de toute manière, on en aurait la preuve dans l'enregistrement. Nous continuâmes, et lorsque la dixième vidéo se termina et que nous comptâmes les points, j'étais à deux, et lui à quatre. J'avais gagné.
« Non ! Je refuse ! » hurla-t-il, les poings serrés et dirigés vers le sol alors que sa tête était plongée en arrière, sa pomme d'Adam ressortant dangereusement.
Quant à moi, je me bidonnais à côté, savourant ma victoire et ma vengeance à venir.
« Plus qu'à trouver quelle cover tu vas nous faire. Il faut que je choisisse bien. »
Il grogna fortement alors que je continuais de rire, et je sortis mon téléphone de ma poche. Ne connaissant aucun nom de groupe actuel, je tapai simplement « girls group K-pop » dans la barre de recherche, me disant que ça devrait me faire du tri.
Et alors que j'étais en train d'écumer YouTube et ses centaines de clips de K-pop féminin, je vis une notification pop-up apparaître une seconde en haut de mon écran. Je n'y fis pas attention quand ça recommença, et en relevant les yeux pour lire ce qui y était écrit, je vis une troisième notification arriver, et le nom de Jimin s'afficher. Après deux semaines de silence radio, il était de retour. Que s'était-il passé ? Les prochains concerts allaient être pour octobre, maintenant.
Sans attendre une seconde de plus, je fis descendre mon volet de notifications et appuyai sur son nom pour afficher les messages que je venais de recevoir. Mais lorsqu'un quatrième arriva, tout en moi s'arrêta.
Je restai alors figé pendant plusieurs secondes, ne comprenant pas si c'était une blague ou s'il était sérieux. Depuis que j'avais appris à le connaître, j'avais réalisé qu'il était un spécialiste pour organiser des choses à la dernière minute. Mais... Mais quoi ? Il venait d'arriver ici ? Aujourd'hui ? Maintenant ? Pourquoi ? Et il voulait que je vienne le chercher ? Sérieusement ? C'était une blague ? Pourquoi ? Whaaaaaaaaaaat ?
« Ça va pas ? »
Je me retournai en sursautant vers Steven qui me lança un drôle de regard.
« Quoi ? Qu'est-ce qu'il se passe ? T'es tendu du string depuis une minute, t'as vu quoi ? »
Merde. Je ne pouvais pas lui dire. Vite, trouver un mensonge.
« Je... Je cherchais dans les clips de K-pop et j'ai eu une vidéo ultra creepy en suggestion. Je crois que ça m'a traumatisé, rigolai-je le moins faussement possible.
– Du genre ?
– Tu veux pas savoir. Je t'assure. »
Il n'insista pas et je rallumai l'écran de mon téléphone afin de retomber sur la discussion dont il ne devait pas avoir connaissance, ou tout du moins, pas immédiatement.
Mon message fut vu immédiatement. Bon, au moins, j'allais être fixé rapidement.
Je me mis alors à réfléchir à toute vitesse, puis lui envoyai un message tout en me levant, faisant ainsi à moitié sursauter Steven qui avait continué de me fixer avec curiosité.
Je poussai alors la chaise où j'étais assis jusqu'ici, les yeux toujours rivés sur mon téléphone, puis je me retournai et la contournai.
« Attends, tu fais quoi, mec ?
– Quoi ? fis-je en tournant la tête vers Steven.
– Tu fais quoi ? On est en plein tournage, là. Tu vas où ? Il se passe quoi ?
– Rien, j'ai... Rien, un pote qui a un problème, faut que j'aille le chercher à l'aéroport.
– À l'aéroport !? arqua-t-il les sourcils. Qui ça ?
– Tu le connais pas, un pote de Fine Brothers.
– Je vois. Mais pourquoi tu dois aller le chercher ?
– Vol annulé, du coup il faut qu'il rentre.
– Il ne peut pas prendre un taxi ou les transports communs ? Son vol n'est pas reporté à plus tard dans la journée ?
– J'ai pas les détails mais il a trop de trucs.
– Et il a fait comment à l'aller ?
– J'imagine que quelqu'un l'a amené ? Bon, faut que-
– Mais on fait quoi pour la vidéo ? »
Merde, j'avais totalement oublié ça.
« Tu filmes ça chez toi et tu m'envoie ensuite les rushs pour que je les ajoute à la fin ? proposa-t-il.
– On a qu'à dire qu'on est à égalité, je te fais grâce du pari, cette fois. Mais la prochaine fois, n'y compte pas.
– Attends, Hyde, t'es ultra louche... dit-il en plissant soudain les yeux.
– Faut que j'y aille. Je te tiens au courant !
– Hyde ! se leva-t-il alors que j'avais déjà jailli hors de sa chambre.
– Je t'envoie un message ! hurlai-je depuis le salon.
– J'te préviens que si tu me plantes pour aller baiser, tu me le paieras !
– Sûrement pas ! éclatai-je de rire. Salut ! »
Je claquai sa porte d'entrée derrière moi après avoir enfilé mes chaussures et ma veste, et je me ruai sur le parking à l'extérieur de son immeuble. Je montai dans ma voiture et allumai le contact tout en mettant ma ceinture, puis je jetai un coup d'œil à mon téléphone. Jimin ne m'avait pas renvoyé de message.
Dix-mille questions se bousculaient dans ma tête, mais j'aurais bien le temps de les lui poser en me retrouvant face à lui. Et il avait plutôt intérêt à ne pas m'avoir fait une blague, parce que ce n'était pas tous les jours que j'aurais pu voir Steven danser en robe avec des talons. Il y avait intérêt qu'il soit vraiment là, et que son arrivée vaille le détour, sinon j'allais lui faire regretter, Park Jimin de BTS ou pas.
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