[25/06/2022]

Bonsoir bonsoir !

Encore une publication tardive mdr

Je me suis fait bouffer par un moustique dans la nuit d'hier. 11 piqûres. Je douille.

Le groupe Bad Omens a annoncé une tournée européenne début 2023 et ils viennent à Paris bordel, je vais crever. Je veux tellement y aller, mais c'est tellement loin, février 2023 ToT

Retenez-moi de craquer. En plus ça coûte tellement rien, je suis outrée. Même la VIP qui contient une photo avec le groupe elle coûte rien ToT

Quelle idée j'ai eu n'empêche de tomber dans la K-pop à une époque, et de payer aussi cher pour juste voir 7 guignols chanter en off pendant 30 minutes alors que pour le même prix je peux avoir 5 meet&greet avec un groupe de rock ou metal US 🤡 (JE RIGOLE, ME TUEZ PAS, JE LES AIME CES 7 GUIGNOLS, mais avouez que l'écart de prix est scandaleux pour le contenu ToT)

BREF.

La semaine prochaine sera compliquée pour moi, je ne sais pas si j'aurai le temps de poster avec le début de mon nouveau job + la recherche d'un appartement + ma 4G pour seule connexion internet + uniquement mon netbook qui rame dès qu'il sort du mode avion, mais je ferai au mieux. Dans le pire des cas, j'essaierai de me rattraper les semaines suivantes ToT

J'espère que ce chapitre vous plaira.

Bonne Léocture ! ♥

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⚠️ Présence de médias dans ce chapitre (conversations)

C'est la première fois que je fais ça sous forme d'image, dites-moi si vous préférez que les conversations à venir soient présentées de cette manière ou si vous préférez que ça soit du texte normal svp. Les avis étaient partagés la dernière fois. C'est vraiment pour vous et votre confort de lecture que je souhaite savoir 🙏

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Je saluai l'équipe et quittai le petit studio. Je venais de tourner quatre vidéos de réaction à la suite et j'étais lessivé. J'avais autant ri que pleuré, mais j'avais malgré tout passé un bon moment. Je redescendis jusqu'au rez-de-chaussée du building, et ne voyant personne que je connaissais se balader dans le hall, je saluai à leur tour les deux hôtesses d'accueil et quittai le bâtiment. Je traversai ensuite le parking pour retrouver ma voiture, et je l'ouvris en appuyant sur la clé. Vu le temps qu'il faisait aujourd'hui, je n'allais pas parier sur la température à l'intérieur, la réponse était évidente : j'allais me cramer le cul sur le siège conducteur, et les mains sur le volant. J'ouvris donc ma portière et me pris une vague de chaleur en plein visage. L'horreur. C'était bien quelque chose qui ne m'avait pas manqué, me garer en plein soleil ici.

Comme à mon habitude lorsque je sortais de tournage, j'allumai une cigarette puis sortis mon téléphone de ma poche pour vérifier mes diverses notifications. La critique que j'avais faite du nouvel album du groupe blessthefall avait mieux marché que je ne l'aurais cru. C'était bien si, au travers de ce nouveau format de vidéo, je pouvais mettre en avant des nouveaux groupes, ou des vieux groupes mais très sous-cotés. Je pris le temps de regarder mes tweets un par un, répondis à quelques uns, ignorai ceux me parlant de BTS qui avaient quand même réussi à passer malgré mes filtres, puis je jetai un coup d'œil aux prévisualisations des messages WhatsApp et KakaoTalk.

Steven me parlait visiblement de sa dernière vidéo en cours d'écriture ; Dean me proposait qu'on se voie dans les jours qui venaient ; Jimin me disait qu'il venait de se lever et qu'il ne sentait pas la journée qui venait ; et Sooyeon me faisait son décompte quotidien avant le début de la tournée de son groupe préféré. Je balayai tout ça, fis un rapide tour dans mes mails en terminant ma cigarette, puis je l'écrasai sur le bitume et montai dans ma voiture tout en réfléchissant à ce que j'allais pouvoir à répondre à l'une des demandes de collaboration qui me semblait intéressante.

J'allumai le contact, ouvris les fenêtres, puis j'enclenchai la marche arrière pour prendre la direction du centre de Los Angeles.

[...]

De retour chez moi, je me garai le long du trottoir, comme toujours, puis je remontai la petite allée jusqu'à la maison. Il n'y avait personne et j'appréciais le calme qui pouvait régner quand les membres de ma famille étaient en cours ou au travail. J'étais le seul qui n'était ni à l'un, ni à l'autre. Mais pour le moment, ce rythme de vie me plaisait et me suffisait. Je mentirais si je disais que je n'aimerais pas quitter la maison familiale, mais pour le moment, n'avoir aucune charge était plus que plaisant.

Je pris un soda et quelque chose à grignoter dans la cuisine avant de monter m'enfermer dans ma chambre. Je posai mes affaires sur mon bureau, ouvris un peu mes stores pour que la lumière entre dans la pièce sans pour autant permettre à la chaleur de s'inviter, puis j'allumai mon ordinateur avant de sortir mon téléphone de ma poche et de me laisser tomber dans mon fauteuil à roulettes. Je retournai dans mes mails et relus celui du youtubeur Jon de la chaine ARTV. Il me disait avoir vu ma vidéo sur blessthefall, qu'il avait également fait une review sur le dernier album, et qu'il aurait adoré échanger avec moi, en vidéo, ou juste entre nous. Je ne le connaissais pas trop, mais pourquoi pas. Il fallait que je mène ma petite enquête sur cet homme.

Je posai mon téléphone une seconde pour taper mon mot de passe, et mon ordinateur se déverrouilla rapidement. Après avoir cliqué sur mon navigateur pour qu'il s'ouvre, je reposai mes yeux sur mon portable en repensant aux messages de mes amis et de ma cousine que j'avais reçus. Je ne savais pas combien de temps ma petite enquête pourrait me prendre, et je serais capable de les oublier.

Je commençai par Steven, me disant que s'il me parlait de sa vidéo en cours de tournage, c'était qu'il avait sans doute besoin d'un avis, et effectivement, c'était le cas. Je lui répondis du mieux que je le pouvais, puis passai à Dean pendant que j'étais sur WhatsApp. J'acceptai son invitation tout en lui proposant la date de samedi soir, puis j'ouvris KakaoTalk. J'appuyai en premier sur la conversation de Sooyeon et lui envoyai un emoji, comme chaque jour, pour l'encourager dans son attente de revoir ses idoles. Puis, j'appuyai sur l'autre conversation qui présentait un petit point rouge : celle de Park Jimin.

Nous étions mi-avril. Ça faisait deux bonnes semaines depuis que je lui avais donné mon identifiant KakaoTalk, et donc deux bonnes semaines que nous nous parlions quasiment quotidiennement. Même si c'était souvent bref et peu original à cause de son rythme de vie et de la nature de ses journées, je m'étais surpris à éprouver énormément de curiosité pour ce type et ce milieu dont je ne connaissais rien. Dire que ça ne flattait pas horriblement mon égo qu'un mec aussi connu me parle serait mentir, mais étant donné qu'absolument personne n'était au courant, je ne pouvais m'en vanter nulle part et c'était presque frustrant. Et ça l'était surtout concernant Steven qui sautillait continuellement sur place à l'attente de leur prochain album qui allait sortir quelques semaines plus tard, et de la tournée qui n'allait pas tarder à commencer non plus.

Quoi qu'il en soit, je plaignais énormément Jimin pour ses journées de répétition interminables et son épuisement qui parfois me faisait mal au cœur ; même s'il m'en parlait peu, j'arrivais à le sentir au ton de ses messages ou en lisant entre les lignes. Cependant, au travers d'une anecdote sur sa journée et d'une question sur la mienne, il lâchait parfois quelques réflexions qui me faisaient énormément sourire. Que ça soit des critiques sur quelque chose ou sur quelqu'un, un sursaut de joie, un seum monumental, je savais qu'il me ferait sourire et peut-être même pouffer doucement, parfois même de façon involontaire, grâce à ses messages. C'était un mec vraiment sympa.

Je me demandais souvent quand est-ce que cette correspondance virtuelle cesserait. Est-ce qu'il finirait par se lasser ? Est-ce qu'il ne pourrait plus me parler par manque de temps, qu'on se perdrait de vue, puis qu'il m'oublierait ? Il était certain que nous n'allions pas passer notre vie à échanger quelques phrases par jour. Il avait autre chose à faire de son temps, et moi également, même si j'admettais que c'était nettement moins lucratif et reluisant que lui. De plus, les relations virtuelles, quel que soit le type, ne m'intéressaient pas, et surtout, les entretenir était pour moi une prise de tête phénoménale. S'il arrêtait de me contacter, je n'irais pas lui courir après, que ça soit Park Jimin de BTS ou non ; je m'en tapais.

Dans le fond, quand je lisais ses messages et que j'y répondais, c'était juste un mec de mon âge qui s'appelait Park Jimin et qui vivait à Séoul. La seule chose qui me rappelait qui il était vraiment, c'étaient ses journées interminables, son stress et sa hâte de repartir en tournée qui revenaient très souvent dans ses message ; choses que je pouvais parfaitement comprendre.

Je relus donc ses messages, j'y répondis rapidement tout en lui souhaitant un bon réveil, puis je posai mon téléphone face contre mon bureau afin de pouvoir fouiner sur mon possible futur collaborateur, sans être déconcentré toutes les trente secondes par des notifications intempestives.

J'ouvris la canette de mon coca et je commençai à la descendre tout en lisant ce que j'avais sous les yeux. Puis, je filai sur YouTube. Quoi de mieux pour connaître un vidéaste que de regarder son travail. Je visionnai donc plusieurs de ses vidéos, en commençant par sa critique de l'album, et après une bonne heure, je retournai dans mes mails pour lui répondre que c'était faisable. Pourquoi pas après tout, ça ne ferait qu'élargir la palette de mes contenus. De plus, ça pouvait être très intéressant.

Une fois ceci fait, je mordis dans le pain que j'avais ramené afin de remplir un peu mon estomac, puis je repris mon téléphone. Je m'aperçus que Park Jimin m'avait déjà répondu, alors j'ouvris ses messages.

Alors que j'étais en train de lui répondre, mon clavier disparut tandis qu'un appel entrant s'afficha. Je buguai quelques secondes, puis je décrochai.

« Salut Hyde, tu fais quelque chose cet aprèm ? me demanda Steven.

– Non, ou en tout cas je n'ai encore rien trouvé à faire. Pourquoi ? Tu veux sortir ?

– Ouais, le montage de ma vidéo me prend la tête ; j'aurais jamais dû me lancer dans un mini animé. Ça fait des heures que je suis dessus et je deviens dingue.

– Comme tu veux. Je viens chez toi ou on se retrouve quelque part ?

– J'ai bien envie d'aller traîner vers Cabrillo Beach. Bon, c'est loin de chez toi par contre.

– C'est à quarante minutes en voiture mais ça peut le faire. Je passe te chercher ?

– Si tu veux.

– Ok, je pars direct alors. Je suis là dans vingt minutes.

– Ça marche, je t'attendrai en bas.

– On fait ça. À tout de suite. »

Je retirai mon téléphone de mon oreille et raccrochai. L'écran d'appel disparut donc et je retombai sur la conversation que j'avais avec Jimin. De nouveaux messages étaient apparus alors et je les lus immédiatement.

Je fermai l'application, puis me levai. Je mis mon ordinateur en veille, terminai mon morceau de pain et ma canette de soda, puis je refermai mes stores avant de quitter ma chambre. Je jetai la boîte métallique dans la poubelle, puis je retournai enfiler mes chaussures, prendre ma veste même si je n'allais pas la porter, et je quittai de nouveau la maison. Je repris ma voiture, partis vers le sud pour aller chercher mon ami qui m'attendait, et nous descendîmes ensuite jusqu'à Cabrillo Beach.

[...]

Ça faisait déjà une bonne heure que nous marchions l'un à côté de l'autre dans le sable tout en discutant, et le soleil commençait à se coucher au loin. Il restait quasiment deux heures avant que la nuit ne tombe, mais le ciel orange était vraiment esthétique. Je sortis alors mon téléphone pour prendre quelques photos, tout en continuant d'écouter Steven me parler. J'en envoyai quelques-unes à ma cousine, puis je me résolus à ouvrir les derniers messages envoyés par l'idol avec qui je conversais depuis quelques semaines, et qui n'avait visiblement pas été ravi de ma réponse.

Je lui envoyai donc à son tour l'une des photos que j'avais prises en lui répondant que je préférerais mille fois être sur cette plage début mai à regarder le soleil se coucher plutôt que dans un stade avec des adolescentes hurlant à la mort, et je rangeai mon téléphone en souriant.

Je repris ma discussion avec Steven, nous échangeâmes sur de nombreux autres points, quand quelques minutes plus tard, le vibreur de mon téléphone commença à devenir insupportable. Je le repris alors en soupirant tandis que mon ami continuait de me parler, et j'ouvris les messages de ce mec qui semblait toujours aussi mécontent de ma réponse.

Je regardais les messages continuer de défiler quand je me rendis compte que depuis une petite minute, j'avais arrêté de marcher et que surtout, je n'entendais plus que le bruit de l'océan sur ma droite. Steven avait arrêté de parler. Je relevai donc rapidement mes yeux sur lui et le regardai m'observer avec un sourire narquois, les bras croisés sur sa poitrine.

« C'est pas trop tôt, ricana-t-il.

– De quoi tu parles ?

– De toi. Mec, t'es sûr que tu ne nous caches pas une copine ? T'es à l'ouest à chaque fois qu'on sort depuis un mois, les mecs aussi se posent des questions. T'envoies des messages H24.

– N'importe quoi ! m'outrai-je.

– Je t'assure que si. J'aurais pu te planter là, tu ne l'aurais pas remarqué avant dix minutes. Et pour être franc, avec Dean on te taquine, mais on s'inquiète aussi beaucoup. »

Je fronçai les sourcils et ne répondis pas, alors il reprit la parole.

« Est-ce qu'il s'est passé quelque chose de grave ou d'important ?

– De grave ou d'important ?

– Oui, ta famille, la santé, le boulot ?

– Non, pas du tout, où tu vas chercher ça ?

– Parce que l'autre option, c'est une meuf.

– J'ai pas de meuf. Vous savez très bien que je n'ai pas l'intention de me mettre avec qui que ce soit.

– On le sait, c'est bien pour ça qu'on se pose des questions. Te voir scotché à ton téléphone de cette manière, alors que tu es en train de discuter avec nous, c'est la première fois qu'on voit ça.

– Vous avez de ces idées, franchement...

– Ce n'est pas parce que tu n'as jamais réussi à trouver l'amour après Chelsea et que tu dis que ce n'est pas pour toi que ça ne pourrait pas changer un jour, hein.

– Ça ne changera jamais. Tu sais très bien qu'il n'y a qu'elle et qu'il n'y aura toujours qu'elle. »

Ses yeux valsèrent entre les miens pendant quelques secondes, le bruit des vagues pour seul fond sonore, puis il secoua la tête de façon presque imperceptible tout en expirant.

« Très bien, si tu le dis. Mais si ce n'est pas une histoire de nana, ni de problème familial, pourquoi t'es aussi absent ces temps-ci ?

– Vous vous prenez la tête pour rien. C'est juste... »

Je m'interrompis, puis soupirai longuement avant de détourner les yeux.

« C'est juste Sooyeon. On s'est réconciliés après que je lui aie prouvé que j'avais envoyé un mail à l'agence de BTS, et que son chanteur ait arrêté de parler de moi. Et comme elle commence de plus en plus à préparer son échange scolaire et son arrivée ici, elle me pose plein de questions. Et je ne te cache pas qu'elle me parle aussi énormément de BTS et de son envie de débarquer ici le mois prochain pour faire les dates américaines.

– Ce que je peux comprendre à fond, rigola-t-il, ayant visiblement gobé ce beau mensonge.

– D'ailleurs, tu y vas, toi ?

– Oui, je fais les deux dates ici à Pasadena et les deux de Chicago. J'ai hésité à faire celles de East Rutherford aussi, mais financièrement, j'aurais eu du mal à m'en remettre. Le vol ne coûte quasiment rien, mais les hôtels sur place et le merch... Le merch, mec. C'est ça le pire.

– Je veux bien te croire, ricanai-je. Enfin. Je finis de lui répondre rapidement et je suis tout à toi.

– Fais donc. Dis-lui que si elle vient, on pourra aller camper ensemble.

– Je vais faire ça », dis-je en pouffant.

Je déverrouillai alors de nouveau mon téléphone et replongeai mes yeux sur les messages qui étaient encore apparus.

J'étais sceptique. Il me proposait une rencontre ? Genre moi, j'allais rencontrer Park Jimin de BTS ? C'était tordant.

Je passai mon téléphone en silencieux par précaution, puis je glissai ce dernier dans la poche de mon pantalon.

« C'est bon. Tu disais ? demandai-je en cherchant dans les poches de ma veste pour trouver mon paquet de cigarettes.

– Je te disais que Liv avait eu des problèmes l'autre jour, suite à une de ses vidéos.

– Ah, oui, j'ai suivi l'histoire de loin, je t'avoue.

– Je ne suis pas étonné, sourit-il. Mais bref, du coup... »

Nous continuâmes de longer la plage, le soleil continuant de se coucher petit à petit, tandis que mon esprit finit par repartir vers mon mensonge et les messages que je partageais avec « Sooyeon ».

En temps normal, j'étais plutôt pour le fait de rencontrer les gens en réel. C'était stimulant, et il n'y avait rien de mieux, à mon sens, pour lier une vraie relation avec quelqu'un. Mais là, maintenant que j'y repensais, j'étais perplexe. J'avais un mauvais pressentiment.

Inconsciemment, je pense que j'avais envie qu'on ne puisse finalement pas se rencontrer. Ça me mettait une sorte de pression dont je ne voulais pas. Est-ce que je devrais lui dire que j'avais changé d'avis ? Ou dire que je n'étais tout compte fait pas disponible ? Je n'en savais rien. C'était lâche dans un sens, mais ça me mettait mal à l'aise. Peut-être que sans cette mauvaise expérience sur Twitter, j'aurais été carrément serein et enjoué à cette idée. Rien que pour faire rager ma cousine et Steven, j'aurais accepté avec joie. Mais cette fois, j'étais sceptique. Cependant, je n'avais pas osé refuser en premier lieu.

J'expirai bruyamment et glissai mes mains dans mes poches en continuant de suivre mon ami. Tant pis. Je n'avais plus qu'à prier pour que le destin soit clément avec moi et que l'emploi du temps du chanteur ne lui permette finalement pas de pouvoir me voir durant son court séjour dans ma ville.