13 novembre 2015
Le 13 novembre 2015 fut un triste et funeste jour pour la France.
Six attaques terroristes pour un seul jour, cinq à Paris, une à Saint-Denis.
137 morts, et 413 blessés.
Un jour dramatique, un nombre de victimes considérables autant sur le plan physique que psychologique, et sentimental.
Un choc profond pour des millions d'âmes humaines, un déchirement, un cauchemar, pour les proches des victimes, amputés d'un ou de plusieurs membres de leur famille.
Si la plaie du corps est tragique, celle du cœur l'est tout autant.
Mais parler du 13 novembre 2015, c'est aussi parler de ceux, qui se mobilisèrent afin d'aider les victimes.
Des pompiers, des infirmiers, des témoins aussi.
Des passants, des voisins.
Comment ne pas également parler de nos forces de l'ordre, qui empêchèrent les terroristes de faire plus de dégâts, et d'alourdir un bilan déjà terrifiant.
Ces terroristes, je ne les nommerai pas, je n'y penserais même pas aujourd'hui.
Ils ne le méritent, à mon sens, pas.
Non, aujourd'hui, mon esprit sera tourné vers les victimes.
Ces vies insouciantes qui brutalement s'arrêtèrent, trop tôt, trop tragiquement.
Combien, en sortant de chez eux ce jour là, savaient qu'ils ne reviendraient jamais chez eux ?
Combien, en prenant leur petit déjeuner le matin, songèrent que c'était la dernière fois qu'ils voyaient le soleil se lever ?
Combien, en saluant leurs proches, s'imaginaient qu'ils ne les reverraient plus jamais ?
Combien, je vous le demande, s'attendaient à ce funeste destin ?
Ceux qui ce soir là, en cherchant le bonheur et la joie, trouvèrent la mort et l'horreur.
Ceux qui étaient pères, mères, frères, sœurs, fils, filles, amis, copains, copines.
Ces gens là qui se firent assassiner, victimes de la folie des Hommes, n'avaient rien demandé.
Plus de 5 heures.
Le cauchemar, a duré plus de cinq heures.
Cinq heures d'angoisse, de traumatisme.
Cinq heures en transe, cinq heures d'horreur et de souffrance.
Je pense que, et même si cela ne fera pas revenir les morts à la vie, ce qui me fit chaud au cœur est le soutiens dont on fait preuve beaucoup envers les victimes.
Pour ceux là, je vous demande, à toi, à vous, d'avoir une pensée pour eux.
Pour ces vies, dont la flamme s'est trop tôt éteinte.
Ces livres aux pages arrachées, que jamais on ne pourra recoller.
Sakura
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