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7. Le devoir d'un policier

Point de vue de Judy

Après être sortis du commissariat, je partais à pied, en direction de mon appartement avec Nick qui m'accompagnait puisqu'il habitait juste en face de cher moi.
Sur la route, nous discutâmes des nouvelles conditions imposé à tous les policiers durant la réunion.

-" Je ne pourrais jamais tuer un animal même si il est sauvage.", avouais-je.

-" Ne t'inquiète pas, tant qu'on tire avec le pistolet anésthésiant rien de grave n'arrivera.", me rassurait-il avec un faux sourire.

-" Oui... Mais, et si jamais on n'avait plus de fléchettes, comment on
ferait ?", m'écriais-je.

J'étais follement inquiète de ce qui pourrait se passé dans ce cas et jamais je ne me résignerais à devoir utilisé mon arme à feu pour tuer.

Nick s'arrêta de marcher et il se tourna vers moi. Il faisait nuit dehors, il n'y avais personne dans la rue, pas même une voiture. Il me regardait dans les yeux, d'ailleurs j'ai toujours trouvé les siennes magnifique, mais je voyais dans son regard, de la tristesse et de la compassion.

-" Je te comprends, moi aussi je m'inquiète de ce moment là, mais si jamais ça devait vraiment arrivé, alors je n'hésiterai pas à appuyer sur la détente."

-" Je... Je ne serais jamais capable de commettre une telle chose !", lui criais-je.

-" Et moi je ne serais jamais capable de supporter de voir d'autres animaux infectés. Judy, tu te rappelles du serment que tu as prononcé pendant ton initiation ?"

Je ne comprenais pas bien où voulait en venir Nick mais je me rappelais très bien de mon serment.

-" À partir d'aujourd'hui, moi, Judy Hopps, je m'engage dans la police. Je jure de prêter serment de fidélité envers mes camarades et mes supérieurs, je protégerais les citoyens de zootopie et je ferais respecté la loi par la force si nécessaire.", récitais-je comme lors de mon initiation.

-" Voilà, ce que signifie être un policier, Judy, à partir du moment où tu entre dans la police, tu t'engage à tout faire pour protéger les nôtres et les habitants de zootopie. Même le sacrifice d'une vie peut en sauver des dizaines d'autres. C'est la plus grosse difficulté à admettre dans notre travail mais c'est le devoir d'un policier.", me dit-il d'une voix calme et posé.

Je finissais par comprendre ce que voulais dire Nick, je me calmais et je le remerciais

Après un instant d'hésitation, Nick me parla :

-" Il se fait tard, on devrait y aller."

Nick me souriait alors je lui rendait son sourire puis nous reprenâmes la route.

Arrivé dans le bâtiment, nous nous séparâmes et nous nous souhaitâmes bonne nuit.

Je fermais la porte de mon appartement et je m'effondrais dans mon lit, épuisé par cette dur journée.
Je ne pris même pas la peine de prendre ma douche et je m'endormai dans mon uniforme.

Le lendemain,je me réveillait en entendant quelqu'un frappé à la porte. Je regardais mon horloge, il était déjà 6h30, je me levais, toujours en uniforme et je me regardais dans un miroir.
J'avais mauvaise mine à cause de la fatigue puis je me tournait vers la porte et l'ouvrait.
Nick se tenait en face de moi, il avait l'air d'être aussi de mauvaise humeur mais au moins il s'était lavé comparé à moi. Comme je n'avais plus beaucoup de temps, je passais rapidement dans la salle de bain et je me mouillais le visage, histoire de me réveiller un petit peu.
Nous sortâmes de l'immeuble et prenâmes le chemin pour aller au poste de police.

Rico nous attendait à l'entrée, il avait l'air en pleine forme pour quelqu'un qui s'était blessé hier mais je voyais qu'il n'était dans son assiette lui aussi.
Il nous salua et expliqua que le chef Bogo lui avait tout expliqué dans son bureau à propos du nouveau règlement et de la maladie.
Nous entrâmes dans l'accueil et nous validâmes notre arrivé puis nous nous dirigeâmes vers la salle de réunion comme d'habitude.
À l'intérieur, je remarquais que peu de gens discutaient et que tous le monde avaient l'air tendu ce matin.
Nous prîmes place et le chef Bogo entra avec un dossier sous le bras et se plaça face à nous.

-" Bonjour et asseyez-vous.", dit-il d'une voix rauque, "Dès Aujourd'hui, le plan Vigi-sauvage est enclenché, je vais aussi vous parlé de Tornswell, nous ne savons que très peu de chose à son sujet, il ne possède pas de casier judiciaire et il était diplômé de l'Académie de Science et de Biologie. Et d'après un ordre du maire il charge l'équipe de Riff (un tigre) de partir enquêter dans l'académie afin d'y extraire des informations sur notre bouc."

L'équipe de Riff prirent le dossier que leur tendait Bogo et sortirent de la salle, puis le chef continua :

-" Quant à vous, je vous charge de patrouillé dans toute la ville, Paolo Tornswell reste toujours notre priorité numéro 1, mais à présent que nous connaissons l'existence de cette maladie engendré par ce savant fou, il va falloir que vous fassiez très attention. N'oubliez pas, si vous êtes confrontés à un animal infecté, utilisé tout d'abord votre pistolet anésthésiant et en cas d'extrème nécessité, votre arme à feu.
Vous pouvez maintenant retournez à vos postes."

La réunion à été plutôt courte mais au moins, le chef chargea mon équipe de patrouillé à la gare centrale.

Cette fois-ci je prenais le volant et le trajet se fit silencieusement.
La radio ne faisait qu'émettre des messages d'avertissements sur les risques que comportaient la maladie, à la population.
Je m'apercevais que peu de gens sortaient dans la rue ou se promenaient.

La gare centrale était remplis comme d'habitude, les voyageurs partaient dans tous les sens et d'autres observaient les inscriptions sur les panneaux. Je remarquais que le symbole triangulaire du plan Vigi-sauvage était marqué partout dans la gare ainsi que des affiches de recherche avec la tête de Tornswell dessus.
Je me garais et nous descendîmes du véhicule. Nous marchions en longeant les quais et en procédant à des fouilles de sac pour nous assuré que personne ne pouvait représenter un danger potentiel pour les autres.

Soudain un cri se fit entendre à l'autre bout d'un quai, puis ce fut le chaos total. Les gens se précipitaient vers les sortis, alors que d'autres venaient tout juste d'arriver dans la gare.
Les voyageurs couraient vers notre direction, ce qui nous ralentissait fortement.
Nick sauta du quai et courra sur les chemins de fer pour gagner du temps sans être confronté à la foule.
Rico et moi le suivâmes et courûmes jusqu'à l'autre extrémité du quai.
Une fois arrivé, nous eûmes la surprise de retrouvé Jack et Daniel, mais malheureusement ils étaient en train de s'attaquer aux autres animaux puisqu'ils étaient devenus sauvages.
Nous braquâmes nos pistolets à fléchettes sur eux mais il était difficile de viser correctement comme les deux félins bougeaient trop rapidement. Le jaguar griffa alors un cerf qui tentai de protégé sa fille, qui tomba par terre sans se réveillé.
La petite biche, en pleure, se précipita vers son père, mais il n'avait pas l'air de vouloir bougé puis tout d'un coup le cerf rouvrit les yeux, mais ses pupilles étaient dilatées et l'expression sur son visage ressemblait à celle du grizzly dans l'usine. C'est ainsi que je compris que la maladie pouvait aussi touché les proies.
Il se mit à quatre pattes et hurla sur sa propre fille qui ne comprenait plus rien. Alors qu'il s'apprêtait à se jeter sur elle, je tirais une fléchette dans ses cotes. Le cerf fut déséquilibré et retomba pendant un cour instant, ce qui me permit de prendre la biche par la main et de l'emmener à l'abri pendant que Nick et Rico s'occupaient des deux autres sauvages.
Le cerf reprit ses esprits, il nous regarda, il pointa ses cornes vers nous et il chargea à une folle vitesse.

-" Pourquoi, papa est comme ça ?" me dit-elle les larmes aux yeux.

-" Je te l'expliquerais plus tard, pour l'instant, COURS !!!" , lui criais-je.

Le cerf nous rattrapait, je repérais une immense valise pour éléphant abandonnée plus loin devant moi et j'eu une idée. Le cerf avait l'air d'être focalisé surtout sur moi après ce que je lui avais fais.
Je continuais de courir, arrivée au bagage, je poussais de toute mes forces la biche sur le côté et me cachais rapidement derrière la valise.

Tout d'un coup, les cornes du cerf se plantèrent dans le bagage et à cause du choc je fus propulsé à quelque mètres de là où j'étais. Je retombais sur le sol, je tentais de me relevé toute seul mais j'étais tellement sonné que mes veines tentatives échouais.
Pendant ce temps, le cerf était trop occupé à détacher la valise de ses cornes pour faire attention à moi.
Je rassemblais alors toute mes forces et je réussissais à me mettre assis, le dos contre un bagage.
Soudain je remarquais que j'avais perdu mon pistolet anésthésiant, je le cherchais frénétiquement du regard mais je ne le trouvais pas.
Le cerf réussi alors à retiré la valise de ses cornes et il se tourna non pas vers moi mais vers sa fille qui était resté pétrifiée sur place.
Je sortais mon arme à feu de son étui, alors que je m'étais mentalement promis de ne jamais l'utilisé mais cette fois-ci s'était vraiment urgent.
Tandis que la biche suppliait son père,
le cerf recommença à pointer ses cornes vers elle et se prépara de nouveau à charger.
Mes pattes tremblaient, le pistolet alourdissait mes bras mais je repensais à ce que m'avait dit Nick, hier soir : "c'est le devoir d'un policier". Ces paroles résonnaient encore dans ma tête.
Je pris alors une grande inspiration et visais la tête de l'animal sauvage, à présent j'étais déterminé à l'éliminer.
Au moment où il allait charger, je pressais sur la détente et un bruit assourdissant envahit la gare.

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