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7. Première mission

Lundi 21 octobre 1968

Lionheart nous avait donné tout le dimanche pour qu'on puisse réfléchir au détail de la mission.
L'objectif était de trouver et de récupérer la fameuse télécommande qui pourrait désactivé les colliers de tous les prédateurs de Zootopie.
Le seul bémol était qu'il allait falloir nous infiltré dans le QG de l'armée à Sahara square, là où elle serait susceptible de s'y trouver puisque nous savions que s'était le général taureau, Hawk, qui l'avait.
C'est pourquoi, Hélène m'avait fait enfilé la tenue des militaires.
Elle m'avait aussi donné une sorte d'oreillette venant du petit labo de Steven, pour qu'on puisse se communiquer entre nous, discrètement et à distance.
Alban, l'armurier, m'avait confié un fusil factice de l'armée et un étui avec un pistolet silencieux adaptable à l'épaule pour que je puisse le dissimulé plus facilement sous ma veste.

En bref, Hélène et moi devions agir le plus discrètement possible sans éveillé les soupçons, surtout moi qui serai le plus souvent confronté aux soldats alors que la lapine resterait caché dans le "décor".
Oui, car elle portait une tenue de camouflage au motif du désert et qu'avec sa petite taille, elle passerait inaperçu.

Je me tenais derrière un rocher, assez loin pour éviter que les gardes postés devant le portail métallique du QG ne me voient. J'apercevais aussi des miradors installés sur chaque extrémité du territoire et des immenses murs en béton qui délimitaient le terrain.

Soudain, j'entendais par l'oreillette la voix de ma partenaire qui me grilla les tympans. Je me recroquevillais et réglais le volume sonore de l'écouteur.

-" Foxtrot, tout va bien ?", me demanda-t-elle d'un air inquiet.

-" Ça va, c'est juste l'oreillette qui est mal réglé. Et toi, tu es où ?"

-" Ne t'inquiète pas, je te suis tout en me cachant dans des trous ou derrières des gros cailloux."

-" Du coup, une fois que je serai entré à l'intérieur, tu creusera un petit tunnel dans le sable et tu pourra donc passé de l'autre coté du mur."

-" C'est ça, mais occupe-toi plutôt de ce que tu vas faire, tu as le badge ?"

-" Oui, c'est bon je l'ai."

Je sortais un faux badge de l'armée avec ma photo, un faux nom, une fausse immatriculation, etc.

-" Très bien... Alors essaye de garder ton calme et joue la comédie, d'accord ?"

-" Compris."
Plus facile à dire qu'à faire, pensais-je.

-" Bonne chance."

Je pris une grande inspiration malgré la chaleur du désert puis je sortais de ma cachette.
J'avançais dans une démarche militaire, le dos droit, le fusil collé à l'épaule et le casque bien vissé sur la tête. Plus je m'approchais de l'entrée, et plus le stress montait.
Je priais intérieurement pour que notre plan marche et que les gardes n'y verront que du feu.

Lorsque j'arrivais devant les gardes, ils vérifièrent mon badge et me scrutèrent, comme si quelque chose n'allait pas, ce qui ne faisait qu'aggraver mon état mental.
Finalement ils me dirent que je pouvais passé mais que c'était étonnant de voir des renards par ici.

Une fois entré dans le QG, je soupirais de soulagement et je prévenais Hélène par l'oreillette que j'étais parvenu à passer la première étape de notre mission.
Maintenant, la difficulté augmentait davantage, des soldats étaient postés en faction devant plusieurs bâtiments, d'autres faisaient des rondes autour du camps. Personne ne me fit de remarque lorsque je passais devant les militaires, ils étaient bien plus imposant et plus menaçant que moi.
Je faisais mine de surveiller les environs comme les autres sentinelles puis au détour d'un grand bâtiment, je m'y cachais derrière.

-" Speed Bunnie, tu me reçois ?", dis-je.

-" Oui, t'en fais pas pour moi, je suis déjà entré dans le QG. À présent, on a plus qu'à trouver le fameux bureau du général."

-" D'accord, je te recontacterai dès que je l'aurais trouvé."

-" Pareil pour moi alors. À tout de suite et tâche de ne pas te faire attraper."

Lorsqu'elle arrêta de parler, je repartai pour faire des rondes tout en veillant à ne laisser personne avoir des soupçons sur mon identité.
Après une demi-heure de recherche, j'avais terminé de vérifier dans tous les immeubles, mais je n'avais toujours pas trouvé le bureau de Hawk.
À l'instant où je m'apprêtais à recontacter Hélène, je remarquais un immense taureau coiffé d'un béret militaire sortir d'un bâtiment que j'avais pourtant déjà vérifié.
Tous les gardes qui passaient devant lui se mettaient au garde à vous puis ils reprenaient leurs chemins, signe que c'était bien le général.
J'attendais qu'il s'éloigne pour entré dans le bâtiment par lequel il était sorti mais au même moment, quelque chose me percuta et je me retrouvais par terre avec une lapine en-dessous de moi.

-" Désolé, je t'avais pas vu venir.", dis-je en me levant et en aidant Hélène.

-" C'est rien, moi non plus je ne t'ai pas vu. Mais sinon tu pense que c'est dans ce bâtiment là que se trouve le bureau de Hawk ?"

-" J'avais pourtant déjà vérifié à l'intérieur, mais je ne l'avais pas encore vu ici, avant qu'il n'en sorte."

-" Son bureau doit être secrètement caché dans un endroit où personne ne va, c'est ma seule hypothèse."

-" Je pense qu'on devrait se séparé encore une fois pour cherché, mais par contre, ici, tu n'aura nulle part où te cacher."

Elle afficha alors un petit sourire qui voulait tout dire, elle avait déjà une solution.

-" Ouvres ton sac à dos, s'il te plaît.", me demanda-t-elle.

-" D'accord.", répondis-je en l'ouvrant.

Elle entra dans le sac puis elle s'enferma à l'intérieur en laissant un petit espace à l'ouverture pour respirer et pour pouvoir me parler.

-" Et voilà, problème résolu.", dit-elle sur un ton satisfait.

-" Ouais... je vois, mais qu'est-ce que t'es lourde, dis donc ?", lui fis-je remarqué en me retenant de rire.

Elle me donna un petit coup de pied à travers le sac et elle me répondit d'un air moqueur :

-" Je vais t'apprendre moi, les bonnes manières de parlé à une dame. Maintenant, avance."

En réalité, elle était étonnamment légère, ce qui ne me gênait pas du tout dans mes déplacements.
Je revérifiais le bâtiment en entier comme la première fois, mais alors que j'inspectais le rez-de-chaussé je remarquais un détail troublant, un tableau qui était accroché sur le mur en face de moi, se trouvait à l'envers.

-" Pourquoi tu t'arrête ?", me chuchota Hélène.

-" Il y a un truc qui cloche avec ce tableau que je n'avais pas remarqué avant."

Je m'avançais puis je prenais les bords du tableau et je le remettais à l'endroit.
Soudain un déclic se fit entendre et le mur sur lequel le tableau était accroché s'ouvrit comme une porte, dévoilant des escaliers souterrains.
Je sentais la lapine remuée nerveusement dans mon dos et me murmuré :

-" Je le sens un peu mal, mais on a pas le choix, vas-y."

J'empruntais les escaliers qui menaient vers un sous-sol caché, faiblement éclairé. Le sous-sol formait une sorte de couloir souterrain comme les galeries de notre repaire.
Je continuais de marché dans l'obscurité sans problème grâce à ma vision nocturne mais cela ne m'empêchait pas de buter contre une porte.

-" Ça va ?", me demanda Hélène.

-" Oui, ça va, c'est rien."

Je frottais mon museau endolorie puis j'analysais la porte qui était entrouverte, je la poussais et je pénétrai dans la pièce sombre.
Je pressais sur un interrupteur et une lampe s'alluma dévoilant une scène macabre.
Le général taureau était couché sur son bureau, du sang coulait de sa poitrine mais il respirait faiblement. Autour de lui des feuilles et des fichiers étaient éparpillés. Il tourna la tête vers moi et dit d'une voix rauque :

-" Il m'a eu... Il nous a tous eux... J'ai échoué... Il vient de prendre la seul chose que je devais protéger...il se fait passé pour moi, mais... c'est un imposteur."

Hawk pointa du doigt une mallette, par terre, qui était la même que sur la photo que nous avait montré Lionheart puis il continua :

-" Ne le laissé pas partir... Il ne doit pas... s'échappé... avec la... télécommande."

Il expira une dernière fois et il mourrut en gardant les yeux rivés sur moi, ce qui me mettais mal l'aise.
Sans que je ne m'en aperçoive, Hélène avait déjà quitté le sac pour vérifié la mallette puis elle poussa un juron.

-" C'est pas vrai ! Quelqu'un nous a devancé !", s'exclama-t-elle.

-" Tu pense que ça peut être qui ?"

-" Je ne sais pas, mais on va pas tarder à le savoir. Viens, suis-moi, on a encore le temps de le rattraper avant que..."

Mais elle ne put terminé sa phrase, car nous entendions des bruits de pas venir vers nous et la voix d'un soldat dire :

-" C'est bizarre, j'ai cru entendre quelqu'un parler par ici."

-" Pas moi, mais on dirait que la lumière du bureau du général est allumé, allons voir ça.", lui répondit un deuxième soldat.

Nous étions maintenant coincé.

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