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Chapitre 38: La fin de l'enquête

Pdv Nick

Cela faisait plusieurs jours que j'étais sorti de l'hôpital et ça allait un peu mieux. Je n'étais pas non plus mit au placard mais j'avais régulièrement des séances chez un psy. Ça par contre je ne m'y attendait pas. J'étais réticent à l'idée d'aller le voir mais Judy m'avait donné de gros coups de pied aux fesses pour me pousser y aller les trois premières séances. Au final maintenant, j'y allais sans problème et je devais avouer que cela marchait bien. Je ne pensais  pas que parler à quelqu'un que je ne connaissais pas, m'aiderait à ce point. Heureusement que oui car ça me permettait d'aller mieux.
Dès mon retour, j'avais eut aussi le fin mot de l'enquête. Judy m'avait tout raconter.

Flashback quelques jours plus tôt

Nick s'effondra sur le sol, épuisé. Il était simplement évanoui mais Judy n'était pas rassurée. Lorsqu'il toucha le sol, elle se précipita vers lui et le secoua.
«Nick ? Nick ! »
«Hopps ! »
La lapine releva la tête et vit Delgato et Grizzoli devant elle. Ses collègues. Elle était heureuse de les revoir après ces heures de calvaire. Soulagée, fatiguée et encore inquiète au sujet de Nick, elle n'essaya même pas de se lever.
«Je suis contente que vous soyez là. Vous avez réussi à arrêter le loup noir ? »
«Oui on l'a. On a fait comme vous avez suggérer. On a fait une annonce et la taupe est tombée. Il s'agissait de Crocmayer. » expliqua Grizzoli
A cette annonce, elle écarquilla les yeux, choquée. Son collègue, Crocmayer ? C'était pas possible....Mais comment ??
Pour l'instant elle ne pouvait pas poser la question tant qu'elle n'était pas en lieu sûr. Les murs avaient des oreilles. Et puis, il fallait s'occuper de Nick, toujours mal en point. Judy jeta un œil à Nick avant de se relever.
«Il me faut une ambulance au plus vite pour Nick. »
«Tout de suite, on t'appelle ça. » répondit Delgato en prenant son talkie 
«Ici lieutenant Delgato. Agent blessé, demande d'ambulanciers tout de suite sur place. »
Aussitôt qu'il eut prononcé ses mots, le talkie crachota une réponse que Judy ne perçut pas tant elle était mal en point. Elle n'allait pas s'évanouir non, elle voulait rester éveillée pour Nick. Mais en revanche, elle avait faim, elle avait soif et elle avait besoin de se reposer et surtout de se détendre. Le combat avait été difficile pour Nick niveau mental et physique mais pour elle aussi. Elle avait serrer tellement fort les barreaux de la cage, qu'elle en avait les mains douloureuses à présent. Et elle avait aussi, soutenu Nick de toutes ses forces. Pas une seconde, elle n'avait lâcher prise ce qui faisait qu'elle aussi était mal en point nerveusement parlant. C'est pourquoi, elle se contenta de rester assise contre le mur, près de Nick, laissant ses collègues faire le travail. Elle entendait des coups de feu, des cris de rage pendant quelques minutes avant que soudain, le calme revint dans le bâtiment. Quelques minutes plus tard, un ambulancier arriva avec une civière et Nick fut hissé dessus afin qu'il puisse être conduit à l'hôpital.
Judy les suivit, et monta dans l'ambulance avec lui. Durant le trajet, elle somnola un peu jusqu'à l'arrivée à l'hôpital.
Une fois là-bas, Nick fut amené dans une chambre et fut soigné et lavé le visage. Judy se rappela soudain ce qu'il avait dit au sujet de son bain de bouche et sortit un instant pour aller au supermarché d'en face où elle acheta le nécessaire d'hygiène pour lui. Puis elle passa chez eux afin de récupérer quelques affaires à elle et à Nick avant de repartir pour l'hôpital. Après 30 minutes de trajet, elle arriva enfin dans la chambre de Nick, les bras chargées de sacs et de nourriture. Elle mangea un morceau,  but un coup avant de s'étaler sur le sofa et de le fixer un instant sur le lit, paisible avant de s'endormir. Elle avait eut l'autorisation de rester ici autant qu'elle le souhaitait. Étant lieutenant de police, cela n'avait pas été bien difficile pour elle d'obtenir l'autorisation.
La lapine dormit au moins une bonne dizaine d'heure avant de s'éveiller vers 6h du matin le lendemain. Elle était un peu en décalage à cause de ses heures de captivité mais bon...Après une petite douche dans la salle de bain de la chambre, elle partit prendre un café et un petit déjeuner avant de retourner au sujet de Nick. Il lui fallait aller au poste aujourd'hui afin de connaître le fin mot de l'enquête. Il lui restait donc plusieurs heures à tuer avant de pouvoir bouger et puis de toute manière, elle n'était pas pressée de quitter Nick ne serait ce que quelques heures. Plusieurs minutes, elle resta à le fixer avant que soudain, elle sorte un livre. Elle se mit à lire, sans grand intérêt mais au moins ça avait le mérite de lui faire passer le temps. Elle avait tellement hâte qu'il se réveille en fait. Pouvoir lui parler et lui dire que ça y est c'était fini. Malheureusement, il avait besoin de repos et c'était trop tôt  pour qu'il se réveille. Elle devait prendre son mal en patience.

Les heures pour elle, passèrent très lentement, et s'en était horrible. Elle finit par tourner en rond. Alors, vers midi, elle décida d'avancer l'heure de sa visite au ZPD et parti. Une fois dehors, elle profita de l'air de fin d'été pour faire le trajet à pied. Ca lui faisait du bien aussi d'avoir un peu d'air frais et du soleil. Elle avait été enfermée plusieurs heures et depuis qu'elle avait été emprisonnée durant plusieurs jours au sein de la secte, elle ne supportait pas de rester enfermée trop longtemps. Le médecin avait dit que c'était normal et qu'il ne fallait pas trop lutter contre ce besoin irrépressible de sortir des fois.
Ce qu'elle avait fait à cet instant. Avec un rythme régulier, elle arriva au commissariat en une trentaine de minutes. En franchissant les portes, Benji la salua avant de faire signe d'aller voir Delgato et Grizzoli dans leur bureau.
La lapine se dirigea vers les bureaux et entra dans ce dernier, pressé de découvrir la vérité sur Crocmayer. Quand le loup la vit, il écarquilla les yeux et sourit.
«Ah tiens Judy. On se demandait si tu allais tenir jusqu'à cette après midi mais visiblement non. »
«M'en parle pas c'était trop horrible de tourner en rond dans cette chambre d'hôpital. Fallait que je sorte absolument de là où j'allais péter un câble. Et puis faut que vous m'expliquiez la fin de l'enquête. »
«Oui on va tout te dire. »
«Comment ils ont eut Crocmayer ? » demande Judy, légèrement inquiète
«Hé bien très simple. Le système opératoire de la secte était de faire pression sur une de leur cible en utilisant sa famille. Crocmayer a deux fils et un femme, enceinte de son troisième enfant. Il ne nous avait rien dit mais il recevait des menaces depuis quelques temps avant que cela ne commence. Il était devenu totalement parano et se barricadait dans sa maison avec sa famille. Un jour, tu te souviens, il a dit qu'il était malade.... »
«Mais il est jamais malade... » commenta Judy
«Oui. Et bien en fait, il était retenu en otage avec sa famille au sein de la secte. Pour faire pression sur lui, ils ont fini par passer à l'acte et ils ont tué....leur aîné. Après ça, Crocmayer à jurer de faire tout ce qu'ils demandaient et il est rentré chez lui. Mais ils ont gardé son deuxième fils en otage. Sa femme et lui ne pouvaient rien faire, rien dire à part obéir aux ordres de la secte. »
Judy avait écouter sans rien dire, la main sur la bouche, choquée. Mon dieu...C'était vraiment horrible...
«Et qu'est ce qu'il va lui arrivé maintenant ? »
«Il est en prison jusqu'à son procès. Comme la secte l'a tenu sous contrôle et l'a manipulé, il se peut qu'il écope de quelques années tout au plus. On peut espérer aussi qu'il n'ait rien mais bon ce n'est pas gagné d'avance. » finit d'expliquer Delgato
«Mais il a été manipulé, on lui a fait faire ces choses horribles. Les charges devraient être abandonnées pour abus de pouvoir ou manipulation. Il n'était plus lui même à cause de son fils. »
«Oui en effet. Cela peut-être une issue et j'aimerais bien pour eux. C'est déjà suffisamment difficile avec le décès de leur aîné. »
Oui c'était évident. Judy se sentait mal à cause de ça. Elle espérait elle aussi que l'issue du procès serait juste et qu'il n'irait pas en prison. Malheureusement, elle connaissait bien le droit et la justice et dans ces cas là, en général, ça finissait mal.
«Quand a lieu le procès ? »
«Dans quelques mois. D'ici Noël on aura le verdict je pense. »
Judy fit la moue. D'ici la fin du procès, ça allait être tendu ici. Tout le monde se connaissait et s'appréciait alors l'un d'eux qui avait des problèmes, ça craignait un peu.
«Et pour la secte ? Vous avez arrêter tout le monde ? »
«Oui. Tout le monde est derrière les barreaux et on a démanteler le trafic de peaux et retrouver quelques otages aussi. On peut donc dire que l'affaire est finie je pense.. » répondit Delgato

Bon. Ca c'était déjà une bonne nouvelle. Maintenant, il fallait que Nick se réveille. Une fois le compte rendu fini,  Judy proposa à ses collègues d'aller déjeuner avec elle, ce que les deux prédateurs acceptèrent avec joie. Ils passèrent une bonne heure à boire un coup et manger en riant. Tout cela permit à Judy d'achever de se détendre et quand elle sortit du restaurant, elle se sentit mieux.
D'un pas tranquille, elle retourna à l'hôpital et se prit un café post déjeuner avant d'entrer dans la chambre. Nick n'avait pas bouger. Il ronflait même. Au moins, ça prouvait à Judy qu'elle n'avait rien à craindre, il était juste fatigué mais c'est tout. A part une ou deux cotes cassées et des yeux au beurre noir, il n'avait rien de plus mais c'était déjà suffisant...

Fin flashback

En résumé de tout ça, je m'étais réveillé deux jours plus tard. On m'avait mis au courant de tout et depuis notre retour avec Judy, tout allait mieux. Le stress avait disparu, la pression aussi et tout était plus tranquille en villes. A part, une ou deux fugues, quelques vols etc, il ne se passait rien d'autre. Heureusement d'ailleurs. Une grosse affaire de temps en temps d'accord mais si une autre avait dû s'enchaîner, ni  moi ni Judy n'aurions tenu.
En parlant d'elle, à présent, elle conduisait la voiture de patrouille. On avait un peu de musique en fond sonore et elle fredonnait gaiement. Ca me faisait plaisir de la voir comme ça, à nouveau joyeuse et rassurée. En plus de ça, les insultes racistes s'étaient calmées. Oui en fait, dès la fin de l'enquête, une conférence de presse a été organisé et nous avons pris la parole pour expliquer tout ça. Tout s'était bien passé. En revanche, on s'était fait grillés avec Judy par les journalistes qui avaient profiter d'un moment d'inattention de nos collègues pour se faufiler jusqu'aux bureaux. Ils nous avaient vu en train de nous embrasser et avaient tout pris en photo. En quelques jours, elle avait fait le tour de la ville et tous étaient au courant. Sur le coup, on était vraiment mal mais nos proches à chacun ainsi que nos collègues nous ont rassuré sur le fait que eux, ça ne les dérangeait pas et que ça ne posait aucun problème pour notre travail. De plus, depuis quelques jours, on recevait pleins de messages de la part des comités inter espèces de la ville. Ils nous encourageaient à ne pas faire attention aux remarques et insultes des gens. De toute manière, une insulte raciste et insulte à agent en plus était susceptible d'une amende alors les gens se tenaient assez tranquilles en général. Les insultes étaient arrivées une ou deux fois à nos oreilles mais ils s'étaient très vite calmés, voyant bien qu'en fait non seulement on s'en foutait, et se rappelant qu'en plus, on était lieutenants de police. Les comités racistes et contre les couples inter espèces avaient envoyer des centaines de message à la préfecture mais manque de bol, le président de la préfecture est lui même en couple caché avec une proie donc il a ignoré tout ça, se permettant de déclamer à la ville entière que nous étions un véritable modèle de tolérance et de confiance en l'autre avec Judy, racontant à tous nos missions et nos jeux de rôles. Au discours, on avait tous les deux pleurer, tant ça avait été beau et agréable à entendre tous ces compliments. Surtout pour moi, qui n'avait pas l'habitude de ça. A ce moment-là d'ailleurs, j'avais définitivement dit au revoir au renardeau de 9 ans que j'avais été et qui avait été blessé à jamais. A présent, elle était refermée. Ca m'arrivait même de faire des courses poursuite avec Judy dans la maison pour la faire rire. Elle trouvait que le rôle du chasseur ne m'allait pas du tout et que ça ne faisait pas peur. Ce qui ne fallait pas dire car j'avais pris ça pour un défi. On avait passé une bonne heure à faire une partie de cache-cache dans notre nouvelle maison, offerte par la préfecture pour nous remercier. Ca c'était l'autre bonne nouvelle. Comme on avait résolu la grosse affaire de la ville et au vu de nos nombreuses victoires sur les missions précédentes, le nouveau maire et la préfecture ont décidé de nous décorer et nous faire une petite promotion. Résultat : maintenant on a une super maison dans le quartier de Tundratown.
En somme tout allait pour le mieux maintenant. Enfin...Il y avait encore une chose qui me tracassait depuis mon réveil. Mis à part cette histoire de procès pour notre collègue qui était un peu stressante, moi il y avait surtout ce que m'avait dit le fils de Bellwether
«Ce n'était pas un accident... » pensais-je à nouveau
Je n'en avais toujours pas parler avec Judy, je n'étais pas encore prêt. Ca évidemment, elle l'avait compris et l'avait remarqué. Je savais qu'elle me laisserait le temps nécessaire jusqu'à ce que j'en parle et qu'elle comprenait. Et pour ça  je l'en remerciais. Mais je savais aussi qu'elle se posait des questions, rapport à son historique d'ordinateur où j'avais trouvé une recherche sur l'accident de mon père et de ma petite sœur. En bonne enquêtrice qu'elle était, elle était allée fouiller sur internet. Je ne pouvais pas lui en vouloir pour ça. Mais je ne pouvais pas lui dire pour l'instant. Cette histoire, j'y repensais plusieurs par jour en ce moment et je me disais qu'il faudrait que je fasse des recherches maintenant que tout était fini mais j'avais peur de ce que je pouvais découvrir, c'est pourquoi je retardais le moment de mon enquête...
«Nick ? »
La voix de Judy me tira de mes pensées et je tourna la tête vers elle, qui avait arrêter de fredonner.
«Oui Carotte ? »
«On se fait un ciné ce soir ? » demande-t-elle en s'arrêtant au feu rouge
Je haussa les épaules. Oui ça pouvait être sympa.
«Oui tu veux voir quoi ? »
«Oh je pensais à ce nouveau film d'horreur là...Tu sais IT ? »
Au nom de film, je me paralysa net. Non pas lui, pas le clown....Ca non plus Judy n'était pas au courant mais j'étais phobique des clowns depuis tout petit et ma mère ne savait pas d'où ça venait. Elle avait tout essayé pour m'en débarrasser mais rien n'y faisait. J'avais été traumatisé en plus par mon oncle qui, pour me débarrasser de ma phobie, m'avait traîné au cinéma pour voir le premier film original du clown et puis après au cirque. Mauvais idée, ça avait encore plus renforcer ma peur. Au moment même où Judy avait prononcé son nom, j'avais accrocher le tableau de bord de mes griffes et je pâlissais à vue d'oeil. Judy vit ma réaction et stoppa aussitôt la voiture, inquiète, pensant que j'allais être malade.
«Nick ça va ? »
Je ne pus pas m'empêcher de tourner la tête vers elle et de geindre.
«Non pitié pas le clown... »
Elle eut un instant de bug avant de soudain, éclater littéralement de rire. Vexé, je retira mes griffes et croisa les bras sur mon torse.
«C'est pas drôle.... »
«Oh si si ça l'est !! Nicholas Wilde a la phobie des clowns ?? Une grande première. »
«Tout le monde a une phobie je te signale alors on ne juge pas... » répondis-je avant de me rendre compte que j'avais finalement un moyen de pression sur elle moi aussi
«Pas vrai mademoiselle qui a la phobie des piqûres ? »
Comme prévu, elle s'arrêta aussitôt de rire et me lanca un regard noir.
«Qui t'a dit.... ? » commença-t-elle avant de finalement se frapper le crâne de sa main gauche «Mélody...Je vais la tuer... »
«Tu peux rire de moi autant que tu veux mais je te rappelle juste que j'ai plein de contacts pour avoir une info sur toi et j'ai déjà celle de la fois où tu as mordu le médecin lors de ton vaccin contre le tétanos quand tu avais douze ans... » souriais-je en la provoquant
Elle se décomposa encore plus avant de râler
«D'ailleurs, il me semble que tu as bientôt un petit rappel bientôt pas vrai ? »
«Nick ça suffit...Tu m'obligera pas à y aller... »
«Oh que si et je vais t'accompagner... »
«Si tu fais ça, je te traîne au ciné ce soir pour le clown. »
«Ah non pas ça... » gémis-je
«Alors voilà... »
«Je m'en fous j'ai demandé à tes sœurs de venir pour ton rappel... » ricanais-je «On sera pas trop de quatre ou cinq pour te maîtriser. »
«Je te déteste renard crétin... » grommela-t-elle avant de redémarrer la voiture
Je souris tout seul et murmura tout bas
«Tu parles...tu le sais que tu m'aimes... »
«Oh que oui... » répondit-elle en souriant toute seule
Après ça, on se mit plutôt d'accord pour un film d'action et un fast-food après le ciné pour débattre du film. En somme, une bonne soirée en perspective. Le temps de finir notre patrouille, on arrivera largement à temps. Détendu, je me concentra sur la contemplation du paysage de la ville et des passants, cherchant à apercevoir quelque chose en cas de problème.
On fit un petit tour d'une demie-heure avant que finalement, la radio crachote.
«Ici central à agent. Kidnapping à deux rues d'ici près de l'hôpital. Agents demandés sur place.. »
Judy appuya sur le bouton et répondit «Lieutenant Wilde et Hopps en route. On s'en charge. »
Alors qu'elle accélérait et qu'elle mettait la sirène, moi j'enfila mes lunettes de soleil et endossa mon petit sourire de flic sérieux. Le devoir nous appelait...

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