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Chapitre 15 : Yandere-chan


...

J'étais tombée dans les pommes...

... à cause d'un coup de batte de baseball.

"Bordel..."

Une affreuse douleur me traversa le crâne quand je repris conscience. C'était si intense comme sensation que je remarquais que quelques secondes après où j'étais.

Je venais de me réveiller dans une pièce sombre et froide, fait de béton et avec des escaliers montant. On aurait dit un sorte de sous-sol.

Mais le sous-sol d'où ? C'était ce que je me demandais :

"Où suis-je...?"

Lorsque j'essayais de bouger mes bras, quelque chose m'empêchait de les mettre en avant. En effet, je réalisais que j'avais les poignets liés derrière mon dos contre une pression froide qui pouvait ressembler à une barre en fer.

J'étais assise sur le sol, encore sonnée, mais je finissais par réaliser ce qui m'arrivait.

En redressant la tête j'ai tenté de me libérer de ce lien. Mais rien à faire... Ce qui semblait être une corde me serrait les poignés et c'était pas mal douloureux.

Les derniers souvenirs me remontaient en mémoire : Chercher dans le gymnase, trouver Osana inconsciente dans un coffre, et m'être fait assommée. Quelqu'un m'avait enlevée.

Et en parlant d'Osana, c'est dans l'agacement de me libérer les poignets qu'un bruit provenait de ma droite. C'était Osana, attachée sur une chaise en bois contenant des accoudoirs, qui était entrain de se réveiller.

"Gnh..." fit-elle.

-Najimi.... Hey, Najimi !

Bien que j'avais envie de lever le ton, je me contentais de chuchoter mais d'essayer d'attirer son attention. La rousse releva doucement sa tête en marmonnant et ouvrit ensuite des yeux.

Et quand elle finit par ouvrir ses yeux, son visage prit une pâleur énorme. Bien que la pièce soit sombre, c'était très visible.

"Hein ? Mais qu'est-ce que je fais là ?! Où suis-je ?! Ishimaru ? Mais... Pourquoi je suis attachée ?! Qu'est-ce qui ce passe ?!"

Elle posait une multitude de questions tout en s'agitant pour se libérer. En effet, les mains et les chevilles d'Osana étaient entouré de cordes contre le bois de la chaise. Une corde plus large maintenait aussi son buste contre le dossier. Mais elle avait beau essayer de se délivrer, ses cordes à elles semblaient très résistantes.

"Najimi, lui dis-je d'un ton bas, s'il te plait garde ton calme. Je vais... Je vais nous sortir de là. Est-ce que tu te souviens de quelque chose ?"

A ma question, Osana tourna sa tête vers moi. Elle avait toujours cet air apeuré au visage et sa respiration était forte. Elle détournait ses yeux mais finissait par prendre une grande respiration pour se calmer.

"Je... Je ne me souviens pas trop... J'ai très mal à la nuque, on dirait qu'on m'a piqué." fut sa réponse alors qu'elle continuait à tirer sur ses poignets.

La suspicion qu'Osana avait été "droguée" pouvait prendre tout son sens. Peut-être que la "piqure" dont elle parlait provenait d'une seringue qui contenait un tranquillisant. Quant-à-moi... Je sentais encore la douleur de la batte de baseball. En revanche, impossible de me souvenir du visage de mon agresseur.

 Je fixais le sol en réfléchissant, tandis que je continuais de tirer sur ma corde. Mais elle était bien serrée.

"Arg..." râlais-je. "J'ai mal au crâne..."

-Qu'est-ce qui va nous arriver, demanda Osana d'une voix tremblante, Ishimaru-chan ? J-j'ai peur... J'ai peur !

Ceux à quoi, elle commença à pleurer tout en se secouant de plus en plus. Mais à part légèrement bouger la chaise, elle n'arriva pas à défaire ses liens. La panique était dans sa voix, mais aussi sur son visage.

"Au secours ! Quelqu'un, à l'aide ! On est deux prisonnières, au secours !!! Venez nous aider !!! AU SECOURS !!!"

-Bordel Osana, TAIS-TOI !

Ces cris m'avaient énervé et sans me rendre compte j'avais moi-même hurlée. Mais au moins, Osana s'était arrêtée. Elle me fixa avec de grands yeux tandis que je poussais un lâche soupir tout en baissant de la tête.

"Excuses-moi." ajoutais-je en expirant. "Je vais te sortir d'ici... On va sortir d'ici. J'ai déjà vécue ça dans le passé."

-C-comment ça...?

-Urg... Je t'expliquerai.

Il est vrai qu'une fois lors d'une affaire, j'avais été prisonnière d'un gang qui était l'origine de la mort d'un homme auquel nous enquêtions. Sauf qu'à cette époque, j'avais un micro sous ma cravate et un géo-localisateur. J'ai vite été retrouvée. Là... Je n'étais même pas sûre d'avoir mon téléphone portable.

C'est alors qu'un bruit de porte mit fin à notre conversation. Osana et moi tournions nos têtes en direction des escaliers où de la lumière s'en évacuait, puis la lumière de la pièce s'allume et des craquements des marches s'entendaient. Quelqu'un arrivait. J'entendais Osana retenir sa respiration, tandis que pour ma part je plissais des yeux à cause de la lumière.

La présence contourna les escaliers et s'approcha ensuite sous la lumière.

"Toi..."

J'en étais sûre, c'était elle.

"Y-Yan-chan...?" prononça Osana d'un ton étonné.

Oui. Osana l'avait immédiatement reconnue.

"Aishi Ayano."

Je n'ai pas pu m'empêcher de prononcer son nom en entier. Mon visage était à moitié aveuglé par la lumière mais aussi rempli de colère. Je fixais la fille avec des yeux plissés mais aussi avec une expression grimaçante au visage.

"Oh. Vous êtes déjà réveillées." furent ses mots d'un ton parfaitement neutre.

Ayano se tenait droit devant nous sous l'ampoule allumée de la pièce, avec ses mains derrière le dos et toujours vêtue de son uniforme scolaire. Son visage était d'un neutre parfait et ses yeux... Ils étaient aussi noirs que ses iris, dans le sens où les émotions n'étaient pas présent.

"Je vois que tu connais mon nom." ajouta-t-elle de sa voix grave en m'adressant la parole.

-La fille de Aishi Ryoba, ajoutais-je froidement, celle qui avait été accusée de meurtre en 1989... Alors j'avais raison ? Tu fais comme elle, pas vrai ?

-Y-Yan-chan ? Qu'est-ce qui t'arrive ? Pourquoi tu nous as emmenée ici ? E-et de quoi parle Ishimaru ?!

Osana était totalement déboussolée. Elle ne comprenait pas ce qu'il se passe et pourquoi elle était ici. Les deux filles se connaissaient, mais Osana n'avait jamais du voir cette facette d'Ayano. Pleins de questions devaient se poser dans son esprit.

Ayano, quant-à-elle, répondit à mes questions d'un ton toujours neutre en ne me lâchant pas du regard :

"Je vois que tu connais l'histoire de ma mère, Ishimaru."

Puis elle tourna sa tête vers Osana de manière si lente et oppressante que la rousse fit un sursaut. Et dans cette lenteur, elle prit le pas et s'avança vers elle en gardant ses mains derrière le dos.

"Je t'ai emmenée ici, Osana-chan, parce que tu es un peu trop proche de mon Senpai." répondit-elle en bougeant.

-Ton... S-senpai...?

-Yamada Taro. Le garçon sur qui tu as des vues amoureux.

Double bingo. J'avais encore raison !

Osana prit une inspiration mais restait fixée sur Ayano qui s'approcha et qui se plaçait bien en face d'elle.

"Je n'aime pas comment tu lui parles." prononça Ayano d'un ton plus profond. "Comment tu te comportes avec lui. Comment tu es proche de lui. C'est mon Senpai. Je l'aime comme jamais tu ne pourras l'aimer. Il est à moi, est-ce bien clair ?"

Elle se penchait vers elle, leurs visages étaient pas mal proches. Le ton qu'elle a prit et le regard qu'elle lui lança fit comprendre à Osana qu'un danger pouvait être présent. Alors que Ayano ramenait ses mains qu'elle avait derrière son dos vers cette dernière, la rouquine eu le réflexe de fermer les yeux en lâchant un geignement de peur.

"Hé ho, je t'interdis de la toucher !" prononçais-je à voix forte.

A mon arrestation verbale, la fille aux cheveux noirs se stoppa dans ses mouvements. Elle restait quelques secondes dans cette position avant de se redresser, baisser ses bras et prononcer avant de se tourner vers moi :

"... Qui va m'en empêcher ? Une apprentie détective que j'ai réussi à ramener chez moi et à ligoter ? Tu as peut-être empêchée Puresu Horuda de tuer Osana-chan, mais tu n'avais pas vue venir la mort de Raibaru-chan, pas vrai ?"

-Alors c'était ça, répondis-je. C'est toi qui lui a dit que Najimi était coupable de son harcèlement ? Mais tu te rends compte des conséquences si je n'avais pas été là ?!

-Bingo, répliqua-t-elle, une photo d'elle et Ronshaku l'a convaincue. Et oui, je connais les conséquences. Si tu n'avais pas été là, Osana-chan ne serait plus là et cette affaire serait réglée.

-T-tu voulais qu'elle me tue ?! Et... C'est TOI qui as empoisonnée Raibaru ?!

J'avais presque oubliée qu'Osana n'était pas au courant des faits d'Ayano. Elle apprenait tout sur le coup. Et savoir que Ayano aurait tuée sa meilleure amie lui mit des larmes aux yeux.

"Comment tu as pu faire ça ?! COMMENT ?! Tout ça parce que suis... amoureuse de Senpai ?! Tu as convaincue une fille que j'étais responsable de ses malheurs pour qu'elle tente de me poignarder ?! Et tu as ASSASSINEE ma meilleure amie ?! Mais POURQUOI tu as fait ça ?! POURQUOI ?! REPONDS-MOIIII !!!"

Voir Osana dans tous ses états me rendaient mal, surtout pour elle. Elle hurlait mais c'était surtout des hurlements liés à la tristesse. Ses joues étaient mouillées de ses larmes, ses yeux étaient brillants à cause de l'humidité. Elle ne comprenait pas la folie de cette... yandere.

Mais alors qu'Ayano restait tournée vers moi, écoutant les hurlements d'Osana, elle eu une réaction qui nous calma toutes les deux.

Elle... ria.

Ayano se mit à rire.

Littéralement.

Mais ce n'était pas un rire joyeux. C'était un rire digne d'un fou.

Quant-à-son visage... Il était associé au rire. Ses yeux étaient grands ouverts et ses pupilles étaient comme rétrécie. Et ils étaient purement vide.

La folie était en elle.

"Tu es complètement folle, prononçais-je en détournant mes yeux d'elle d'un air dégouté, quand je pense que ta mère a été comme toi..."

-Si j'étais toi, coupa-t-elle son rire avec ses paroles, je ne la ramènerai pas. De ce que j'ai compris, ta mère n'était pas une sainte.

-Q-quoi...?

Sur ses mots, je relevais ma tête immédiatement vers elle et je croisais à nouveau son regard qui s'était aussi calmé que son rire. Ayano poursuivit ses paroles par :

"Quand j'étais petite, ma mère me parlait souvent d'une amie qui l'avait beaucoup aidée quand elle était jeune. Elle disait qu'elle avait de longs cheveux rouges et des yeux bleus clairs, auquel elle serait venue d'une autre école. Cette fille aurait été comme elle... C'est ta mère, pas vrai...?"

-Comment tu peux penser cela...? Ma mère n'était pas une tarée !

-Quoi qu'il en soit, ce n'est pas sa fille qui va m'empêcher de vivre heureuse avec mon Senpai...

Ayano lâcha un petit rire à la suite. C'était un ricanement au ton grave, mais court.

"Comment tu peux trouver ça "normal" ?" lui demandais-je de manière sec.

A ma question, Ayano reprit un visage neutre. Elle fit deux petits pas en ma direction, et s'accroupit devant moi pour être à la même hauteur que la mienne.

Elle me regardait droit dans les yeux, la proximité entre nous était très maigre.

Et dans le silence oppressant, elle finit par me répondre :

"Je ne me pose pas la question. Je ne ressens rien depuis que je suis enfant. Ni tristesse, ni joie, ni colère, ni peur, ni dégout. J'ai donc apprit à simuler des émotions, rien pour que mon père ne s'inquiète pas pour moi. Mais j'ai ressentie pour la première fois quelque chose quand je l'ai rencontré. Mon Senpai. De la joie, de l'euphorie... Mais en le voyant avec cette rousse, j'ai ressentie une nouvelle émotion : De la rage. N'as-tu jamais été amoureuse de quelqu'un ? N'as-tu jamais envie de frapper toutes personnes qui s'en approche ?"

Bingo, Ayano avait touché un point sensible.

Je n'avais pas fait le lien mais... Si ma mère était une Yandere, peut-être que la fois où je m'étais battue avec cette fille car elle était trop proche de Yuuta et ma colère incontrôlée avait un rapport avec cette origine découvert. Et la dernière vrai discussion que j'ai eu avec ma mère aurait un sens plus... développée, bien qu'à l'époque je n'avais rien compris.

Mais je le refusais. Je refusais d'être quelqu'un qui avait failli tuée une adolescente par amour. D'accord, j'avais envoyée cette fille à l'hôpital et depuis j'avais énormément de mal à contrôler ma rage. Mais cette fille n'était pas morte, elle a survécue.

Je refusais qu'on me dise que j'étais comme Ryoba, Ayano et... Tara.

"... Je ne suis pas comme ça." lui répondis-je d'un petit ton froid et sec.

-Je parie qu'au fond de toi, si.

L'émotion commençait à devenir maitre de mes moyens. Je commençais à trembler de rage mais j'essayais de canaliser cette colère provoquée par ma kidnappeuse. Je détournais les yeux au sol, serrant la mâchoire, et j'essayais à nouveau discrètement de libérer mes poignets de cette fichue corde.

"Tais-toi..." lâchais-je.

-Mais il fallait que tu sois de l'autre coté de la porte. Tu as sauvé Najimi une fois, mais pas deux.

-Je t'ai dit de te taire...

Ses paroles m'énervaient, sa voix m'énervait, sa présence m'énervait. Tout m'insupportait chez elle. Si bien que je recommençais à avoir ces tremblements de rage, comme avec ces pseudos-délinquants.

J'avais envie de la cogner.

Et il aura fallut une phrase de plus de sa part pour que ça me libère de mes liens :

"Et au fond, je sais que tu peux comprendre mes intentions comme l'a fait ta mère avec la mienne."

A l'idée d'être une potentielle alliée, comme l'aurait été ma mère dans le passé envers la sienne...

C'était non.

"ASSEZ !"

En hurlant, j'avais tiré si fort sur mes liens qu'elles se libéraient miraculeusement. C'était trop tard, la rage me fit de nouveau perdre le contrôle.

Et dans la lancée, je fonçais sur la deuxième année. Je lui saisis le cou en la faisant tomber en arrière avec moi. Osana, spectatrice depuis le début, hurla par la surprise des évènements.

J'ai réussi à la plaquer au sol, le poids de mon corps l'empêchait de se relever. Mes mains étaient contre sa nuque, où ma pression était forte. Ayano essayait de se débattre, mais le plus marquant était l'expression de son visage.

Il était neutre, effectivement sans émotion.

Mais son manque de souffle la faisait tout de même réagir. Quant-à-moi... J'étais trop prise par mon excès d'émotion.

Il y avait une chose que j'avais oubliée de préciser... C'était que j'avais gardé quelque chose sur moi pendant tout ce temps.

Mon mentor n'aurait pas été d'accord, si il le savait. Mais je lui avais volé un de ses vieux pistolets que j'avais conservé sur moi pendant tout le long. Et je profitais de l'occasion pour lâcher la fille d'une main pour attraper le pistolet et de lui plaquer contre sa tempe.

Pourquoi j'en avais pas parlé ? Un oublie.

Je ne faisais plus ce que je faisais. J'agissais de manière primaire, sans réfléchir. Non... C'était autre chose. Une chose que j'avais depuis des années. Cette rage interne me bouffait à chaque fois et me faisait regretter des choses.

Et l'idée d'être comme elle, ça me dépassait.

Le revolver à la main droite, chargé et le bout contre la tempe de l'assassin de Raibaru, où mes poignets divulguaient les marques rouges à cause de la corde. Je menaçais cette meurtrière, qui était la fille de l'amie de ma mère.

Maman... Si gentille, douce, bienveillante et attentionnelle était une fille bien quand elle avait mon âge. Sauf qu'elle cachait une sombre intentions de manipulations horribles quand quelqu'un s'approchait trop de mon père. Et il y avait de fortes chances que cela a continué bien après leur mariage, bien après ma naissance et celle de ma sœur, voir peut-être qu'elle n'avait jamais arrêté cela.

Quand j'avais revue ma tante, il y a environ deux ans, elle m'avait un peu expliqué pourquoi elle détestait ma mère. Elle m'avait dit qu'elle la trouvait étrange et qu'elle n'avait pas du tout confiance en elle. Peut-être que ma tante avait deviné l'obsession de ma mère. Mais en tout cas, elle n'avait pas non plus souhaité sa mort, et encore moins celle de son frère et de sa nièce.

Mais en tout cas, cette nouvelle rage me paralysait. Je restais ainsi, empêchant Ayano de bouger, tandis que ma respiration était très serrée.

Cette dernière, ses mains entourant mon poignet gauche, ajouta entre deux souffles difficiles :

"Ma... mère et la tienne étaient pareils... Sinon, pourquoi ta mère aurait aidée la mienne dans le passé ? Tu penses que ta mère aimerait te voir ignorer tes origines et apprendre que tu as tuée la fille de son ancienne amie ? Ishimaru, regardes-toi. Tu me charges une arme à feux, prête à me tuer. Mais c'est normal. Tu ne comprends pas...? Tu es comme moi... Une fille atteinte émotionnellement prête à tout pour avoir ce qu'elle souhaite. Lâches-moi, s'il te plait... Tu... me fais mal..."

Ses paroles venaient de... me toucher. Je ne savais pas pourquoi, mais j'avais l'impression qu'elle avait raison. Et si j'étais comme elle ? Et si j'étais comme Maman ? Si mes parents et ma sœurs n'avaient pas été tués lors de cet accident, peut-être qu'à l'heure qu'il est au lieu d'être une apprentie détective qui n'arrivait pas à contrôler sa colère...

Je serais une adolescente toujours amoureuse de Yuuta, et je serais... un monstre.

Mais je n'aimais pas l'idée de faire du mal, bien que je l'ai déjà fait. J'aimais cette justice dont m'a apprit Onigawara Sasuka, et j'allais de l'avant dans ma vie malgré la mort de mes parents et de Sayaka.

J'écarquillais des yeux un instant, reprenant le contrôle après les paroles d'Ayano. Elle semblait sincère. Elle semblait vraiment amoureuse de ce garçon. D'accord, sa méthode de faire était vraiment extrême...

Je ne savais pas quoi faire.

Mais...

... Elle avait raison.

Maman était comme ça.

Je ne pensais pas que Papa était au courant, je ne l'ai jamais senti forcé par elle.

Mais toute cette histoire d'éliminer des potentielles rivales... était de la folie.

Ces symptômes, je les avais. C'était comme ça, je n'y pouvais rien.

Alors après un long moment de silence à hésiter...

Je relâchais Ayano.

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