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Chapitre 34 : Mise en danger

C'est dans l'angoisse et l'obscurité que nous démarrions notre objectif : Trouver les sacs de photographie et de les brûler.

Le plan fut simple : Ryoba s'occupait du rez-de-chaussée et moi de l'étage. Nous sortions ensemble de la première salle avant de nous séparer aux escaliers.

C'est seule que je montait les escaliers discrètement. J'avais espérée que les toxicos et les sans-abris restent en bas mais à ma surprise, il y en avait plusieurs à l'étage.

J'étais accroupie, me cachant derrière les meubles quand je pouvais les voir et les entendre. Chacun marmonnaient des choses... étrange. Par exemple celui qui était en plein milieu prononçait ceci :

"D-du verre... dans mon cerveau...!"

Sa respiration était manuelle et forte. C'était comme ci il avait beaucoup de mal à respirer. Dans tous les cas, le type n'était pas en état de discuter si il me voyait. J'attendis qu'il tourne le dos afin d'entrer dans une première pièce.

Les pièces de cet asile étaient petits, mais assez remplis. La première, par exemple, étaient un genre d'infirmerie. Un peu comme celle de l'académie... Mais en plus délabré.

En commençant à fouiller les lieux, je finissais par trouver un sac à dos assez lourd, caché derrière un lit retourné. Afin de vérifier que c'était bien ce que je cherchais, c'est anxieuse que je l'ouvris pour voir son contenu.

Et malheureusement pour moi, c'était bien ce que je cherchais. Un mélange d'horreur et de dégout m'envahissait.

Il y avait une dizaine de photos, en vrac, de jeune femmes. Et toutes ces femmes étaient... quasiment nue et apeurées.

"Oh bordel..." marmonnais-je.

Les photos représentaient bien toutes la même chose : Une pose compromettante, fait à contrecœur par la victime et photographiée avec une peur au visage. La plupart de ces femmes sont jeunes... De peut-être mon âge.

J'en ai même trouvé une d'une fille relativement jeune qui n'avait aucun vêtement et comme des bleus fraîches sur le corps.

Ces photos peuvent être une preuve pour enfermer ce psychopathe. Cependant... Ce n'était pas mon but. Alors j'ai allumé le briquet et j'ai mit le feu au sac. Ce bâtiment ne semblait pas avoir d'alarme incendie active. Mais dans le doute, autant se dépêcher.

Je sortis de la pièce et je continuais ma quête. A plusieurs reprises, je devais me cacher de ces rôdeurs. J'ai même du m'enfermer dans un vieux casier quand un de ces malades mental passa devant. Et une fois encore, il traîna les pieds et il était dans ses délires :

"Je... sens... du pain grillé..." disait celui-là qui n'avait pas trente ans. "Pourquoi est-ce... saigne..."

Et sans crier gare, c'est à travers les ouvertures du casier que je vis le drogué s'effondrer au sol.

Surprise, j'ouvris doucement le casier pour en sortir. Le type était allongé par terre, sur le ventre. Dans le but je m'approchais pour voir son état mais... En vu du sang qui coula de son nez et ses oreilles, je compris qu'il a fait un d'accident vasculaire cérébral.

"Merde..."

Dans le doute, j'ai préféré m'éloigné du toxico pour continuer mes recherches. Le seul bruit de cet asile abandonné  fut des bruits de pas et des marmonnements incompréhensible. On aurait dit des zombies.

J'ai trouvé un autre sac caché dans des toilettes. Deux photos de victimes m'ont convaincus de tout brûler dans le dégout et la colère.

Au passage, j'avais trouvé des vieux médicaments. De quoi utiliser si à mon retour, Haran venait à continuer à tourner autours de Yasuo. J'ai pu me remplir les poches sans problèmes.

J'ai passé de longues minutes à attendre qu'un autre sans-abris dégage du passage. J'ai fini par trouver un caillou pour lui balancer à l'opposé de ma direction pour que ce malade se tourne et que je puisse sortir de la pièce.

"Pff. Attardé."

Je reconnais que je n'avais aucune pitié pour ce genre de personne. Je tenais sûrement ça de mon père.

Il y avait divers pièces : Des chambres, des salles de bains communes, des salles de réunions...

Le temps fila dans ces lieux lugubres, et j'avais déjà éliminé quatre sacs. Il me restait une zone à découvrir.

...

"Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi... on-on ne voit jamais... des bébés pigeons ?"

-Qu'est-ce qui raconte, celui-là...?

-...n-non... Je ne veux pas de vos OnlySubs !

-Heeeeein...?

-... vous savez qu'ils appellent ça un jeu gacha parce que, parce que, parce qu'alors ils... ils l'ont eu ! Hehehehe.

-Un jeu... Quoi...?

-Dans le futur... site Blue Bird... est mauvais...!

-Celui-là doit venir d'un autre monde... Un oiseau bleu ? N'importe quoi.

(NOTE : Ce sont réellement des dialogues cité par les toxicos dans le jeu...)

Il y en avait un qui m'avait vraiment fait peur. Il disait tellement n'importe quoi qu'il en était presque convaincant. Bizarre.

Au bout de plusieurs minutes, je réussissais à m'infiltrer dans une large salle. Une pièce longue qui semblerait être une énième autre infirmerie avec des lits un peu partout.

Et au fond de cette pièce, il y avait un autre sac. Le dernier de cet étage. Cependant, un obstacle de taille était juste devant. Et celui-là, il n'avait rien d'un toxico ou d'un sans-abris.

Un type bien trop habillé pour être un de ces sans-abris. Costume noir sous une chemise blanche, cheveux coiffés sombres, une paire de lunettes sur le visage...

Il était de dos, donc aucune chance qu'il me remarque. Je m'approchais alors doucement, rasant les murs et me cachant derrière les lits. Plus je m'approchais et plus j'entendais ce qu'il disait : 

"...Heh heh heh... Qui aurait cru que ce serait si facile..."

Je continuais de m'approcher, jusqu'à m'arrêter quand il se mit à bouger. Le type semblait faire une ronde entre le sac de photos et un coin de la pièce. Il semblait parler tout seul, d'un ton grave et quelque peu agressif.

"Il suffit de lancer une rumeur, et elles affluent directement vers toi..."

Au fil de ma cachette que je longeais pour m'approcher, je comprenais que son histoire de "rumeur" était celle de l'asile hantée. Je commençais donc à comprendre que ce type était...

"Des filles stupides... si crédules."

Ce type était le photographe qui a fait toutes ces photos compromettantes.

"Quand je vendrai enfin ces photos, je vais être si riche." ajouta-t-il avant de soupirer. "Allez... quand est-ce que la prochaine va apparaître ? J'en ai marre d'attendre."

Et sur ces mots, le type se tourna et se dirigea vers la sortie de la salle. En le suivant du regard, c'est un objet qui attira mon attention. Il se trouve que ce qu'il avait en main n'était pas un stylo, comme je le pensais...

Mais un couteau de cuisine. C'était peut-être avec ça qu'il a fait pression sur toutes les filles.

J'ai attendit un moment après qu'il soit sortit pour me relever et enjamber les lits afin de m'approcher du dernier sac.

Une fois en face de ce bureau, j'ouvris le sac à dos afin de bien vérifier que je ne me trompais pas.

Et sur qui je tombais en piochant une des photos ?

Sonoko. En posture de victime.

"Ah ouais..." balançais-je à voix basse. "Et on dirait que ce sac-là il y a presque que des photos d'elle."

Décidée, je sortis mon briquet de ma poche, puis je commençais à faire rouler le mécanisme pour que la flamme apparaisse.

"Allez je brûle ça et je la retrouve pour qu'on se casse."

J'étais tellement dans mes pensées, à l'idée de cramer toutes ces preuves...

Que je ne l'ai pas entendu revenir.

"Qu'est-ce que tu fais ici, toi ?!"

D'un sursaut, je n'ai pu m'empêcher de me retourner face à celui qui m'avait repéré. C'était le photographe.

Et tout est allé si vite par la suite. Son visage d'un étonnement se changea en une colère soudaine lorsqu'il a vu le briquet que j'avais en main.

Et très vite, la situation a dérapé. Soudain, l'homme me fonça dessus et me fit tomber sur le coté avant de m'immobiliser.

Il m'attrapa les deux poignets qu'il plaqua sur le sol, tandis que le poids de son corps et la position de ses jambes me bloqua mon bassin et empêchait mes jambes d'être en mouvement.

J'étais en posture de faiblesse. Rapidement, l'angoisse me monta au nez et le réflexe humain prit le dessus.

"Lâchez-moi !" hurlais-je en essayant de me libérer.

Mais ce type cachait sa masse musculaire, il me tenait si fermement que j'en avais mal. Cette fois, mes compétences de défense étaient purement nul.

"La ferme, petite garce !" persistait-il avant de se saisir de son couteau et de me le mettre au niveau de ma gorge.

Alors, un sourire malsain se dessinait doucement sur son visage. Et bien que son regard était caché par sa paire de lunettes de soleil et l'obscurité de la pièce brouillait à la lumière naturelle de l'extérieur... Je sentais sur le moment que cette menace ne venait pas d'un amateur.

"Si tu ne veux pas que j'abîme ce jolie visage, tu vas m'obéir. Tu vas te déshabiller et te laisser faire, compris ?"

Il était hors de question que je me soumette à cet enfoiré et que ce soit à mon tour de me faire photographié nue. Oui j'avais peur, mais mon visage crispait de colère pour montrer mon désaccord.

"Va te faire foutre !" lâchais-je agressivement avant de lui cracher dessus.

Après avoir reçu ma salive, un bref instance d'immobilisation de sa part fit. Et une fois avoir essuyer sa joue, il m'attrapa par la gorge en s'énervant d'avantage.

"Alors je vais devoir le faire moi-même !" prononça-t-il.

A ce moment, j'ai cru le pire du pire venant d'un homme qui essaya d'ouvrir ma veste. Divers scénarios, du meilleur au pire, apparaissait dans mon cerveau. Un abus, de la violence... jusqu'à la mort.

Alors je me débattais, j'essayais de me libérer, je hurlais. Il était à deux doigts de m'étrangler et mon mouvement me faisait involontairement taillé le cou avec le couteau.

Pour la première fois, j'avais peur pour moi.

Livrée à moi-même, la peur coula dans mes veines face à un tordu qui n'avait même pas de nom. Ma vue se brouillait à cause des larmes d'angoisse.

Mais heureusement, si je vous parle aujourd'hui depuis ma véritable mort presque trente ans après, c'est bien parce que je m'en suis sortie indemne.

Comment ?

Quand une masse sombre apparut soudainement derrière mon agresseur et qu'en un mouvement violant et sanglant,

une batte de baseball me libéra.

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