Chapitre 47
Je suis vraiment dégoûtée à cause du fiasco de la PUB avec Pepsi,
Et je ne comprend pas pourquoi est-ce qu'on se prend à moi,
Alors que je n'ai fais que mon travail.
Ce n'est pas moi qui est décidé du décor n'ai rien,
J'ai juste fais ce qu'on m'a dit de faire.
Et puis c'est tellement con que les gens pensent que je suis raciste,
Parce que c'est complètement insensé.
J'ai des enfants à moitié noirs je vous signale.
Bref j'essaye de ne plus y penser,
Et heureusement pour moi j'ai casser mon téléphone,
Du coup je m'éloigne le plus possible des pensées négatives.
Mais je vais m'en racheter un quand je rentre à LA,
Vu que j'ai volontairement jeter le mien contre le mur,
Après une dispute au téléphone avec Micky,
Alors que j'étais déjà énervée de la controverse dont je fais l'objet.
Franchement il m'a mise hors de moi,
Tout ça parce que monsieur est jaloux pour rien.
Moi je ne lui ai jamais fais un coup pareil,
Mais lui il aime s'énerver sans raison.
Du coup comme j'ai cassé mon téléphone,
Il m'a rappeler hier sur le numéro de Hailey pour s'excuser.
D'ailleurs en parlant de Hailey,
On est actuellement assise dans la salle d'attente du cabinet médical,
Et dans quelques secondes c'est à mon tour.
Le médecin ouvre la porte puis il m'appelle.
Hailey voulait venir à l'intérieur avec moi,
Mais je l'ai persuadé de m'attendre du coup j'y vais toute seule.
J'entre donc dans la salle,
Et je m'installe sur le lit médical.
Docteur : alors Kendall, comment vous allé ? Ça fait plaisir de vous voir.
Moi : je vais bien, merci beaucoup.
Docteur : que puis-je faire pour vous ?
Moi : eh bien comme vous devez sûrement le savoir, j'ai eu un accident il y a bientôt deux ans.
Il hochait la tête.
Docteur : j'ai appris cela, mais à vous voir vous avez l'air en forme.
Moi : si on veut.
Docteur : je vous écoute.
Moi : eh bien ces derniers temps je n'arrive pas vraiment à dormir la nuit. Je fais des crises de paralysie du sommeil et ça me terrifie. J'ai peur le soir, et j'ai peur de dormir toute seule. Et puis je suis vraiment stressée, en ce moment le boulot c'est assez compliqué. Et d'un autre côté aussi j'ai un peu de mal à me réadapter à certains choses et ça aussi ça me fait peur.
On a beaucoup discuté,
Puis il a fait des examens et autres.
Il a dit que je devais me détendre,
Et qu'il fallait que je me repose.
Il m'a aussi prescrit des vitamines,
Et il m'a conseiller de boire du Thé et autre infusion le soir avant de dormir.
Il m'a dit qu'un peu de lait aussi ferait l'affaire.
Mais c'est bien beau de me dire de me détendre,
Comme si je n'avais pas essayé.
Franchement parfois je ne comprend pas à quoi servent les médecins.
Il m'a quand même fait une prise de sang,
Et je déteste les aiguilles du coup j'étais en train de grimacer.
Après il a mît un pansement avant de vérifier d'autres trucs.
Docteur : eh bien je vais analyser tous les examens que l'on a fait, et dès que j'ai les résultats je vous appelle pour vous tenir au courant, d'accord ? Votre numéro de domicile à Los Angeles est-il toujours le même ?
Je hochais la tête.
Docteur : bien, alors essayez de faire ce que je vous ai conseillé d'accord ?
Moi : mmh. Merci docteur.
Docteur : je vous en prie, bonne fin de journée.
Je me suis levée,
Puis je suis sortie de la pièce.
Hailey : alors ?
Moi : il a fait des examens, il m'appellera.
Hailey : c'est tout ?
Moi : il m'a prescrit des vitamine, et il m'a donné quelques conseils.
Hailey : et tu sens une différence entre avant que tu ne lui parle et maintenant ?
Moi : pas vraiment.
Hailey : je vois. T'inquiète pas je suis sure que les résultats seront tous bons, t'en fais pas.
Moi : mmh.
On a quitté l'hôpital,
Puis on est allée rejoindre les autres à l'appartement.
J'ai juste eu le temps de boucler mes valises,
Parce que la semaine est terminé,
Du coup on rentre.
Ils ont fait descendre nos bagages,
Puis on est toute montée en voiture direction l'aéroport du Bourget.
On prend un avion privée cette fois-ci,
Parce que je ne voulais pas être harcelée ou embêtée.
[...]
Il est 22 heures heure locale,
Et l'avion vient de se poser à LA.
Autant vous dire que c'était le pire vol de ma vie,
Parce que j'ai fais une crise d'angoisse dans l'avion,
Et ça m'a encore plus mise de mauvaise humeur.
Et comme ce n'était pas suffisant,
Il fallait qu'il y'a il des paparazzis partout dans le hall.
J'entendais des commentaires sur la publicité,
Du coup je me cachais le visage avec mon sac.
Je parcourais le hall du regard,
Tandis que les filles commençaient à partir.
Michael a fini par me voir,
Puis il est venue vers moi,
Après avoir violemment poussé ces idiots de journalistes.
Michael : hey...tu m'as manqué.
Il a voulu m'embrasser,
Mais j'ai tourné la tête,
Du coup ses lèvres ont fini sur ma joue.
Moi : mmh, toi aussi.
Je l'ai vu froncer légèrement les sourcils,
Et c'est à ce moment là que je me suis retournée vers Lily,
Histoire de lui dire au revoir.
Les autres sont déjà partis,
Et elle y va elle aussi.
Michael a pris ma valise,
Puis il la tirait.
Il m'a tenu l'autre main,
Et on a commencé à marcher vers la sortie.
Mais vous le connaissez,
Alors les paparazzis l'ont énervé,
Du coup il commençait à perdre patience.
Michael : mais putain, fichez lui la paix bordel de merde ! C'est quoi votre problème aussi ? Vous n'avez pas de vie ou quoi putain ?
Il posait ma valise,
Avant de s'approcher de lui.
J'ai donc dû le retenir,
Et je l'ai tiré vers moi.
Moi : c'est bon Micky, laisse tomber.
Michael : mais ils me cassent les couilles putain ! Et ils vont poster ça ensuite, et changer le contexte !
Moi : on s'en fiche, laisse tomber s'il te plait.
Il soufflait,
Avant de reprendre mes affaires et ma main.
Michael : c'est vraiment parce que c'est toi.
Je ne répondait pas.
On a réussis à sortir,
Et sa voiture était garée juste devant.
Il m'a ouvert,
Puis il a mis les affaires dans le coffre,
Avant de monter à son tour.
Moi : tu t'es calmée ?
Michael : ouais.
Je n'aime pas qu'il conduise énervé,
Raison pour laquelle j'ai demandé.
Pendant le trajet j'étais silencieuse.
Il avait sa main sur ma cuisse,
Mais je n'avais pas la mienne sur la sienne.
Je ne suis vraiment pas d'humeur.
Michael : vu que c'est à cause de moi que tu as cassé ton téléphone, je t'en ai acheter un autre pour me faire pardonner.
Moi : tu n'avais pas besoin de le faire, je l'ai jeté volontairement.
Michael : attend qu'est-ce qui se passe ?
Moi : de quoi tu parle ?
Il soufflait.
Michael : pourquoi t'es froide comme ça ?
Moi : je ne suis pas froide.
Michael : si, tu l'es Killa. Tu m'en veux toujours pour avant hier ? Je me suis excusé et je sais que j'aurais pas dû t'appeler et te crier dessus.
Moi : je suis juste fatiguée Michael, c'est tout.
Il soufflait à nouveau,
Avant de retirer sa main de ma cuisse,
Pour la poser sur la pommette du levier de vitesse.
Le reste du trajet s'est passé calmement.
J'avais ma tête contre la vitre de la voiture,
Et je regardais le ciel sombre.
Aucun de nous ne parlait,
Et le seul bruit audible était celui de la musique qui résonnait dans la voiture.
Il était 23 heures quand on est arrivé chez nous.
La maison était plongée dans le noir,
Parce que tout le monde dort je pense,
Enfin les enfants surtout.
On est entré à l'intérieur,
Et Michael à refermer la porte à clé,
Avant d'activité l'alarme de sécurité.
Michael montait mes affaires dans notre chambre,
Et je l'ai suivit à mon tour.
Moi : merci.
Michael : bébé, qu'est-ce qui se passe ?
Je commençais à ranger mes affaires,
Parce que oui je défais toujours mes valises quand j'arrive de voyage.
Moi : je t'ai dis qu'il ne se passait rien du tout.
Michael : est-ce que c'est à cause de la publicité ?
Moi : non.
Michael : alors tu m'en veux encore ?
Moi : je t'ai dis que tout allait bien !
Il entrouvrais les lèvres,
Avant d'écarquiller les yeux.
Je lui avais littéralement hurlé dessus.
Pour éviter de continuer à discuter,
Je suis allée dans la salle de bain et j'ai pris une douche.
Ensuite j'ai enfilé un shirt large,
Puis je me suis mise de la lotion de nuit sur le visage.
Lorsque je suis sortie de la salle de bain,
Il était assis sur le lit,
Et il fixait un point quelconque du mur.
Il a ensuite tourné la tête vers moi,
Avant de se lever.
Michael : dis moi ce qui se passe.
Mais c'est quoi son problème ?
Pourquoi il me met sur les nerfs comme ça ?
Michael : tu n'es pas comme d'habitude alors dis moi ce qui se passe, putain.
Moi : rien du tout.
J'avais répondu ça calmement.
Il s'approchait encore,
Sans me quitter du regard.
Michael : j'ai essayé de t'embrasser à l'aéroport mais tu m'as mis un vent. Pendant le trajet dans la voiture tu n'as pas dis un seul mot et tu as été froide. On arrive à la maison, et tu m'envois bouler. Alors c'est mieux que tu me dise ce qui se passe, parce que je commence vraiment à perdre patience Killa !
Moi : Je n'ai pas envi de parler, est-ce que c'est un crime ?
Michael : attend, tu te fiche de ma gueule la rassure-moi ?
Moi : J'ai eu un long voyage, je suis épuisée et en plus de ça je suis en total décalage horaire et je n'ai pas envi de discuter.
Son expression a complètement changé,
Il commençait à perdre patience,
Ce qui fait que son visage était assez tendu,
Ce qui prouve qu'il est énervé aussi.
Je me suis éloignée de lui,
Avant de m'approcher de notre lit,
Et de retirer quelques oreillers de mon côté,
Avant de baisser la couverture.
Michael : putain, il t'arrive quoi ? Tu sais que je déteste ça alors dis moi ce que tu as. Pourquoi tu es désagréable comme ça ?
Je roulais des yeux,
Avant de souffler pour la énième fois.
C'est la crise d'angoisse que j'ai eu qui m'a énervé comme ça,
Et les paparazzi à l'aéroport c'était la cerise sur le gâteau.
Ils m'ont bien soulé,
Et lui aussi il commence à me soûler à être insistant.
J'ai bien le droit de ne pas avoir envi de discuter,
Que je sache.
Moi : je n'ai pas envi de me disputer avec toi, s'il te plait laisse moi tranquille. Bonne nuit.
J'ai commencé à entrer dans le lit,
Et je l'ai vu serrer les poings.
Michael : putain c'est bon tu m'as bien cassé les couilles là, la vie tu pense trop que je suis ton petit pédé toi!
Moi : tu n'es pas obliger de hurler, les enfants dorment.
Michael : tu m'as hurlé dessus tout à l'heure toi aussi, et t'en avais rien à foutre de savoir si oui ou non les enfants dormaient, alors ne commence pas à me prendre pour un con !
Moi : bien.
Il se passait nerveusement la main dans les cheveux,
Avant de contracter la mâchoire.
Michael : putain joue pas à ça avec moi, t'entend ? Arrête de jouer avec mes nerfs.
Moi : mais j'ai le droit d'être fatiguée et d'avoir envie de dormir non ? On est pas obligé de se parler tout le temps non plus.
Michael : t'entend les conneries que tu sors de ta bouche depuis que tu es arrivée ?
Moi : alors dès qu'on est pas du même avis que toi, c'est des conneries ? Tu sais quoi continue de parler si tu en as envi ! Je vais aller dormir ailleurs.
Je me suis levé,
Et j'allais me diriger vers la porte,
Mais il s'est brusquement interposé devant moi.
Michael : tu ne sors pas de la !
Moi : tu t'es pris pour mon père, ou quoi ? Je fais ce que je veux.
Michael : la vie c'est mieux que tu te calme tout de suite, sinon je vais vraiment te faire mal !
Moi : De toute façon c'est toujours la même chose avec toi, t'es toujours en train de t'énerver et d'être agressif.
Michael : tu te fiche de ma gueule la, rassure-moi ?! Parce que t'es vraiment en train de commencer à me chauffer moi je te le dis ! Faudra pas venir faire la victime après si je te fais mal, t'entend ?!
Moi : Tu sais quoi ? T'as qu'à me frapper si je te met tant en colère, parce que tu ne sais faire que ça de toute façon, et ce ne serait pas la première fois que tu t'en prend physiquement à moi . Vas y fais-le qu'on en finisse parce que je commence vraiment à en avoir plus que marre de tes menaces, Michael. T'as qu'à frapper bien fort, tiens ! Comme ça peut être que je pourrais disparaître de ce monde une bonne fois pour toute.
Je suis désolée,
Mais là il m'a énervé au plus haut point.
C'est pas obligé de vouloir parler que je sache.
Du coup je me suis mise à pleurer de colère,
Mais aussi de fatigue.
Michael : tu as dis quoi là ?!
Je ne répondais pas.
Il me lançait un regard noir,
Avant de serrer les poings,
Puis de lever la main.
Je me suis mise à reculer,
De peur qu'il ne me frappe vraiment.
Je l'ai mis sur les nerfs ça c'est sure,
Parce qu'il était à deux doigts de me gifler là.
Michael : Putain de merde !
Il a baisser sa main,
Avant de mettre un énorme coup de poing dans le mur en grognant.
Ensuite il s'est dirigé vers la sortie,
Avant de claquer la porte.
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