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Chapitre 33

Ça fait trois jours qu'on s'est disputé Michael et moi,
Et voilà donc trois jours qu'il m'ignore complètement.
Ça me fait de la peine,
Parce que la je sais que je l'ai vraiment blessée.

Et je ne tiens pas à faire la victime,
Parce que cette fois je l'ai bien chercher.
Lana m'avait prévenu,
Et Michael aussi.

Je n'aurais jamais dû accepter de le suivre,
Et je n'aurais jamais dû continuer le shooting avec lui aussi.
Parfois je peux vraiment être idiote.

Donc comme je le disais il y a ce froid entre nous.
Il dort dans la chambre d'amis,
Et il me parle à peine.

Les seuls fois où il accepte de me parler c'est devant les enfants.
Il agit comme si on n'avait aucune problème,
Et dès qu'ils ne sont plus là à redevient pareil.

J'en ai assez de cette situation.
Je sais que c'est moi la fautive,
Du coup il faut que j'essaye de lui parler,
Même si lui ne le veut pas.

J'ai horreur d'être fâché avec lui,
Ça me rend complètement folle,
Et il le sait bien.

Les enfants sont déjà à l'école,
Et je sais qu'il est encore à la maison,
Parce que j'ai entendu la porte se fermer il y a quelques minutes.

Je suis donc sorti de notre chambre,
Et j'ai commencé à marcher dans le couloir.

Je ne vous cache pas que j'ai un peu peur,
Parce que je n'ai pas envi qu'il s'énerve.
Les trois gifles m'ont largement suffis,
Vous pouvez me croire.

Mais on ne va pas passer le reste de notre vie comme ça,
Surtout que Noel c'est dans quelques jours,
Alors je ne veux pas qu'on le passé en froid.

Je me met donc à cogner à la porte,
Et j'ai directement ouvert la porte.
Il était allongé sur le lit torse nue,
Avec son ordinateur devant lui.

Il a vaguement regardé la porte, 
Et quand il a vu que c'était moi,
Il a tout simplement reposé ses yeux sur son écran.
Je soupirais.

Moi : Micky...on peut parler s'il te plait ?

Il n'a toujours pas répondu.
J'ai donc pris l'initiative de m'approcher de lui,
Ensuite je me suis assise sur son lit près de lui.

Moi : arrête de me faire la tête s'il te plait, je déteste ça...

J'avais dis ça tout bas.
Ma gorge devenait nouée,
Et je sentais les larmes me monter aux yeux.

Honnêtement je ne saurais vous l'expliquer.
Je ne sais pas si je suis dépendante à lui,
Mais je ne supporte tout simplement pas le fait qu'il m'en veuille.
C'est la pire situation qui soit.

Moi : je suis désolée, tout est de ma faute et je le sais. Mais il ne s'est rien passé tu dois me croire. Arrête de me faire la tête Micky.

Il a refermé son ordinateur,
Avant de le reposer.
Et pour la première fois depuis quelques minutes,
Il m'a regardé.

C'est peut-être parce qu'il a vu que je pleurais,
C'est surement ce qui a dû le faire réagir.

Moi : dis quelque chose je t'en prie.

Michael : j'aurais pu te tuer.

C'est tout ce qu'il avait dit,
Mais c'était suffisant pour moi.

Michael : tu m'as mis en colère, et tu sais que j'aurais pu te faire vraiment très mal ? À quoi tu joue putain ? Tu sais que j'aurais vraiment pu te tuer ?

Je baissais la tête.
Il m'a expliqué que depuis que j'étais à l'hôpital,
Il ne s'était pas mis en colère une seule fois.

Du coup il y a trois jours quand il s'est énervé,
Il aurait vraiment pu me frapper.
Quand il s'énerve à ce point il est capable de tout,
Et j'en suis bien consciente.

J'ai eu de la chance,
Mais c'est fini je ne fais plus de conneries pareilles.
Plus jamais ça m'aura servit de leçon.

Moi : je ne voulais pas te mettre en colère.

Je l'ai longuement entendu soupirer,
Puis il s'est redresser.

Michael : je sais.

Il m'a pris dans ses bras,
Et je soupirais de soulagement.
Il m'a embrassé le front.

Michael : excuse moi, je ne voulais pas non plus te faire mal.

Je hochais la tête.

Moi : je sais.

Il a regardé mon visage,
Avant de grimacer un tout petit peu.

Michael : ta lèvre te fais très mal ?

La dernière fois qu'il m'a giflé,
Ma lèvre à cogné le coin d'un meuble,
Du coup je me suis fait une petite coupure.

Mais ça va ça à cicatriser,
Du coup c'est rien.

Moi : non ça va.

Michael : je suis vraiment désolé bébé, je n'aurais pas dû te frapper comme ça.

Moi : ça va Michael...c'est bon.

J'ai essayé de sourire,
Puis il m'a embrassé le front,
Avant que je n'enfouisse ma tête dans le creux de son cou.

Son odeur m'avait manqué.
Lui aussi il m'avait manqué,
Et beaucoup.

Michael : je ne veux plus entendre parler de lui Killa, tu entend ?

Je hochais la tête.

Moi : je ne lui parlerais plus, c'est promis.

Il hochait la tête lui aussi.

Michael : bien.

Il m'a regardé dans les yeux,
Avant de sourire,
Puis d'approcher ses lèvres des miennes.

Michael : ça ne va pas te faire mal si je t'embrasse ?

Je hochais les épaules.

Moi : on s'en fiche.

Je pouffais de rire,
Puis il a fini par m'embrasser.
C'était à peine douloureux,
Mais il faisait quand même attention.

J'ai trouve ça vraiment très adorable.
Il a fini par réfugier sa tête contre mon cou,
Avant d'y déposer un petit bisou.
Je passais ma main dans ses cheveux tressés.

Moi : tu m'as manqué Micky, je t'aime.

Michael : tu m'as manqué aussi bébé. Et je t'aime encore plus.

Moi : alors c'est bon ?  On n'est plus fâché ?

Michael : c'est trop une phrase de blanc ça.

Moi : euh...je suis blanche Micky.

Il riait.

Michael : ah merde c'est vrai, tu sais parfois j'oublie à force.

Moi : ahah très drôle.

Michael : je rigole mon amour. Et oui tout va bien entre nous. Encore une fois excuse moi pour ce que je t'ai fais.

Je souriais.

Moi : ça va, t'en fais pas.

Il souriait.
Il a fait glisser sa main sur mon bras,
Avant de la poser sur mon poignet.

Il fronçait légèrement les sourcils,
Avant de se redresser.
Merde.

Moi : je me suis cogné le poignet la dernière fois.

Michael : tu as vu un médecin ? C'est douloureux ?

Moi : j'ai mis du gel Michael, ça va.

La dernière fois quand Léo m'a fait mal,
Mon poignet en avait pris un coup.
Mais ça va il n'est plus gonflé,
Et ça ne fait plus mal.
Il reste juste une petite trace rose.

Michael : putain, pardon bébé.

Moi : ça va, c'est rien je te dis.

Il finissait par soupirer.
Honnêtement je ne lui en veut pas pour ça,
Parce que je sais que je l'ai mérité.

Michael : tu as quelque chose de prévu aujourd'hui ?

Je secouais la tête.

Moi : je dois juste commencer à acheter les cadeaux de Noel pour les enfants, et toi ?

Michael : je dois voir des amis dans l'après-midi, mais en attendant je n'ai rien à faire. Si tu veux on peut déjeuner en ville tous les deux ? Et après je pourrais t'accompagner acheter les trucs jusqu'à ce que ce soit l'heure que j'y aille.

Moi : c'est une excellente idée mon amour. Ça fait longtemps qu'on est pas sortie juste tous les deux.

Michael : c'est vrai, mais t'inquiète on aura l'occasion.

Il m'a fait un clin d'œil.

Moi : ça c'est sure.

Michael : il est quelle heure la ?

Je regardais l'horloge.

Moi : dix heures et demi.

Michael : parfait.

Je fronçais les sourcils.

Moi : parfais ?

Michael : le restaurant c'est à midi, du coup on a une demi heure devant nous avant de commencer à se préparer. Allez viens la...

Il m'attrapait par la taille,
Avant de me tirer vers lui.
Je me suis donc retrouvé assise à califourchon sur lui,
Et il a commencé à m'embrasser.

Mais il avait un peu peur pour ma lèvre,
Du coup il préférait m'embrasser le cou.

Je l'ai senti passer ses mains chaudes le long de mes cuisses,
Puis il a fini par me retirer le t-shirt large que je portais,
Me laissant donc à moitié nue devant lui.

Il a commencé à m'embrasser la poitrine,
Et je me mordillais la lèvre pour ne pas rougir.

Je me suis retrouvée en dessous de lui,
Et là il a terminé de me déshabiller,
Avant de se déshabiller à son tour.

Michael : on a qu'une demi heure devant nous, alors pas le temps de traîner.

Il s'est placé au dessus de moi,
Et il n'a pas attendu plus de temps que ça pour s'introduire en moi.

Je me suis cambrée,
Et il a posé ses mains sur ma taille,
Avant de me faire basculer de façon à ce que je sois au dessus.

Je me suis mise à rougir.
A ce moment précis il me regardait d'une façon qui me déstabilisais.
J'ai senti la cadence de mon coeur s'accélérer,
Puis j'ai senti des papillons dans mon ventre.

Michael : tu es magnifique.

Moi : arrête.

Michael : ça fait des années qu'on fait l'amour, arrête d'être aussi timide.

Moi : toi arrête d'être aussi pervers.

Michael : tout de suite les grands mots, je ne suis pas pervers arrête.

Moi : arrête de parler Micky, ça me stresse.

Il riait.

Michael : pour une fois que je te laisse dominer, tu devrais être très contente.

Moi : arrête de parler.

Il pouffait de rire.

Michael : c'est bon bébé, j'arrête de parler. Déchaînes-toi.

Moi : t'es dégoûtant.

Michael : arrête de faire la sainte ni touche bébé, la position dans laquelle en est n'est pas très sainte et tu le sais.

Je rougissait encore plus,
Et là il a mît ses mains sur ma taille,
Pour me faire bouger.

J'ai donc commencé à m'empaler sur lui,
Tout en évitant de croiser son regard de gros pervers.
Au bout de cinq minutes il nous a refais basculer,
De sorte à se retrouver au dessus.
Je savais bien que ça n'allait pas durer.

[...]

Michael : bébé.

Moi : je suis là.

Je descendais les escaliers avec mon sac,
Avant de lui prendre la main.

On est parti avec sa voiture,
Mais son garde du corps nous suivait avec ma voiture.

On arrive devant le restaurant puis on descend.
Des gens ont commencé à le reconnaître,
Et des paparazis aussi étaient là.

Parfois c'est dur de se dire que mon mari est une célébrité.
Parce qu'en ce qui me concerne,
Je ne me suis jamais considérée comme une célébrité ou autre,
Parce que je suis quelqu'un de normal.

On a prit une table à l'étage,
Puis on a commandé.

Michael : j'adore ta robe bébé, elle est jolie.

Moi : c'est toi qui me l'a offert.

Il riait.

Michael : je me disais bien.

Moi : mais merci du compliment.

Il m'a fait un clin d'œil.

Michael : arrête de me remercier à chaque fois que je te dis que tu es belle, bébé. T'es une reine alors c'est normal !

Moi : la modestie, tu connais ?

Michael : j'en ai pas besoin, c'est un truc de blanc ça.

Moi : il faut vraiment que tu arrête avec ça, parce que Saint s'amuse à répéter ça a tout le monde.

Michael : c'est mon fils, il a le droit.

Moi : si tu as autant de problèmes avec les blancs, pourquoi tu t'es mariée avec moi?

Michael : parce que t'es géniale au lit.

Moi : abrutis.

Il riait.

Michael : je rigole, c'est parce que je t'aime et tu le sais bien.

Je souriais.
Bah quoi ?
C'est pas de ma faute,
A force de vivre avec lui je commence à prendre ses sales manières.

Moi : ce n'est pas faux.

Michael : tu vois ? T'es comme moi !

Moi : n'importe quoi.

Michael : si.

Moi : non.

Michael : je t'aime.

Moi : je t'aime aussi.

Michael : je sais.

Moi : oh c'est bon, tu m'as fatigué.

On riait.

Michael : les enfants ont déjà fais leurs listes ?

Moi : oui. Saint a fait la sienne avec ton père alors ne soit pas surpris.

Michael riait.

Michael : mon fils aura tous les jouets qu'il veut, laissez le tranquille.

Moi : n'abuse pas non plus.

Michael : bébé, on est millionnaire. On peut se le permettre.

Moi : ce n'est pas une raison.

Michael : alors c'est claire que tu vas criser pour le cadeau que je vais t'offrir. Tu te rappelle notre petit pari ? Je vais surpasser ta voiture, tu ne vas rien comprendre.

Moi : Micky, qu'est-ce que tu as fais ?

Michael : tu verra à Noel, ne sois pas curieuse.

Moi : mmh.

Michael : et toi ? Tu as déjà trouvé mon cadeau ? Même si je sais qu'il ne sera jamais aussi bien que le mien ?

Moi : oui, je sais déjà ce que je vais te prendre.

En vrai je ne sais pas du tout,
Et il me reste que quelques jours.
Géniale.

Michael : j'ai hâte de voir ca bébé. Je sais déjà le cadeau principal que je vais faire aux enfants.

Moi : ah oui ?

Michael : je vais offrir un poney a Nori, elle en a toujours voulu un. Et à mon petit prince je lui ai fais fabriquer le même model de Lamborghini que moi pour enfant. C'est cool hein ? Il va être trop content. Après bah je vais prendre dans la liste comme toi.

Moi : c'est vraiment géniale, mais un poney tu pense que c'est bien maintenant ?

Michael : bah tu en as eu un aussi, non ?

Moi : oui, mais j'avais dix ans.

Michael : ma fille c'est une princesse, elle a droit à ça plus tôt. Et puis dix c'est pas si loin que sept, donc ça va.

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