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Chapitre 62

A/N: Petite surprise pour toi Kaybee98 ! Bonne lecture tout le monde ❤️
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Flashback : Quatre mois après la naissance de Saint...

Narration : Kendall -

J'étais entrain de dormir,
Lorsque j'ai entendu le petit pleurer.
J'ai donc ouvert les yeux,
Et je pouvais voir ses petites mains bougées dans le berceau.

Je me suis levée,
Puis je suis allée le prendre.
Mon pauvre bébé.

Je lui ai embrassé le front,
Ensuite je l'ai serré contre moi pour le calmer.
Il a aussitôt commencé à cesser de pleurer.

J'ai fais un léger sourire,
Puis j'ai regardé autour de moi,
Et Michael était toujours en train de dormir comme un bébé.

Il avait North à moitié endormie sur lui,
Et je les trouvais vraiment très mignons tous les deux.

Je suis allée me laver les dents,
Puis je suis allée dans la cuisine avec le petit.

On est en vacance à Tahiti,
Et on a loué une belle maison près de la plage.
Normalement les enfants dorme dans une chambre que la notre ici,
Mais cette nuit on les a pris avec nous.

On reste encore cinq jours,
Ensuite on doit rentrer à LA parce que j'ai du boulot,
Et Michael aussi doit travailler.

Je me suis assise sur le canapé avec le petit dans les bras,
Et il me regardait avec ses beaux petits yeux noirs.

Il a seulement quatre petits mois,
Mais je vous assure qu'il tient déjà énormément de son père.
En plus il a pleins de petits cheveux bien frisés déjà,
Du coup Michael dit que dès qu'il aura un an,
Il voudrait lui faire des tresses comme lui.

Je me suis adossée,
Puis je l'ai placé contre moi,
Avant de lever mon t-shirt,
Puis de placer mon sein dans sa bouche.

Il s'est mis à manger calmement,
Et il s'amusait à toucher mon sein avec ses petits doigts.

C'est une sensation merveilleuse,
Vous savez ?

Le fait de donner le sein à son enfant,
Ça crée un lien tout simplement magique.

J'aurais aimé partager ça avec North.
Elle avait le droit de vivre ça,
Elle aussi...

Lorsqu'il a fini de manger,
Je me suis mise à lui faire faire son rot.
Ça se voyait qu'il était un peu fatiguée,
Du coup je me suis dis qu'une petite balade tous les deux,
Ne nous ferait sûrement aucun mal.

Donc j'ai ouvert la baie vitrée,
Puis je suis sortie avec lui dans les bras.

On a commencé à marcher sur la plage,
Et le vent était vraiment léger et ça nous régalait.

Hier au couché du soleil je suis venue faire une promenade sur la plage avec North.
Il y avait beaucoup de vent,
Et elle s'amusait à courir sur le sable.

J'ai donc pris une photo d'elle à ce moment,
Et je l'ai envoyé à Hailey hier soir,
Avec comme légende :

Parce qu'une image vaut mieux que des mots,
Tu me manque ❤️.
-K.

Au bout d'un moment j'ai commencé à entendre des voix.
On aurait dit celles d'un homme et d'une femme,
Et vu l'intonation qu'elles avaient on aurait dit qu'ils se disputaient.

J'ai trouvé ça étrange,
Et pour ne pas effrayer le petit j'ai voulu faire demi tour.

Mais là j'ai entendu le gars hurler,
Puis quand je me suis retournée,
Il est entré dans la maison pas très loin de la notre,
Tandis que la fille est tristement allée s'asseoir sur le sable,
Avant de placer sa tête dans ses mains.

Je me suis sentie désolée pour elle,
Du coup j'ai décidé d'aller voir si tout  allait bien.

Je me suis assise avec le bébé sur moi,
Et je me suis tournée vers elle.

Moi : est-ce que...est-ce que vous allez bien ?

Elle reniflait rapidement,
Avant d'essuyer les larmes sur son visage,
Puis de se tourner doucement vers moi.

Elle : ne vous en fait pas, tout va bien.

Moi : non...tout ne vas pas bien, ça se voit.

Elle reniflait encore.
Généralement je ne suis pas le genre à parler à une inconnue,
Mais elle m'a vraiment fait de la peine.

Elle : je suis juste...excusez-moi, je ne veux pas vous embêter avec mes histoires. Vous avez un bébé, vous avez sûrement mieux à faire...

Je regardais mon fils,
Il commençait à s'endormir,
Tandis que les boucles de ses cheveux bougeaient dans le vide,
À cause des légers coups de vent.

Moi : je...je sais ce que c'est...

Elle fronçait les sourcils.

Elle : comment ça ?

Moi : eh bien...je suppose que vous venez de vous disputez avec votre conjoint alors...je sais ce que c'est. Ce n'est pas toujours évident les disputes de couples...

Elle : c'est juste que...je ne sais jamais comment m'y prendre avec lui. On ne peut jamais avoir une discussion normale parce qu'il est toujours sur la défensive, et qu'il peut parfois devenir agressif. Mais le truc c'est que je l'aime. Je l'aime tellement que parfois j'ai l'impression de devenir folle...

Au fur et à mesure qu'elle parlait,
Je me reconnaissais un peu dans ce qu'elle disait.

Je veux dire...
Michael aussi est parfois agressif et souvent sur la défensive,
Un peu comme ce qu'elle est en train de me raconter.

Mais je l'aime de tout mon coeur,
De toute mon âme,
Et bien plus que ma propre vie.

Moi : mon mari est un peu pareil, alors je pense que je sais à peu près ce que vous ressentez...

Elle : il ne veut pas d'enfant. Il dit qu'on n'est pas prêt...mais moi je le suis. J'aimerais tellement un enfant, je voudrais tellement un...un petit garçon. Le votre est vraiment trop mignon...

Je souriais.

Moi : merci beaucoup. Mais vous savez...peut-être qu'il n'est juste pas encore prêt. Parfois les hommes ont peur quand on leur parle d'enfant. Mais vous verrez, à un moment donné il en voudra forcément un.

Elle soupirait.

Elle : ça a été la même chose pour vous ? Je veux dire...il ne voulait pas d'enfant ?

Je secouais la tête.

Moi : Il en était ravi, mais ce n'était pas vraiment les mêmes circonstances...

Lana : je me demande...comment s'est possible d'aimer autant une personne alors qu'on sait pourtant à quel point on est différents l'un de l'autre ?

Je secouais doucement la tête.

Moi : honnêtement, je ne sais pas. Je me suis d'ailleurs toujours posé la même question...sans jamais trouver de réponse adaptée.

Elle pouffait légèrement de rire,
Du coup moi aussi.

On a un peu discuté,
Et son mari me semble vraiment être comme Michael.

Et puis plus elle me parle,
Plus je trouve des similitudes dans nos façons de penser.
C'était comme ci j'avais affaire à une autre moi,
Et qu'il y avait aussi un autre Michael.

Sainty commençait à bouger,
Alors elle s'est tournée vers lui en souriant.

Elle : comment est-ce que s'appelle cet adorable petit ange ?

Je souriais.

Moi : il s'appelle Saint.

Elle : c'est un magnifique prénom.

Moi : merci beaucoup.

Elle : sinon, je m'appelle Lana.

Moi : enchantée Lana, je suis Kendall.

Lana : c'est un très beau prénom...

Moi : merci. J'aime beaucoup le votre aussi.

Lana : merci.

Moi : je suis vraiment désolée, mais il commence à y avoir beaucoup de vent et je ne veux pas que le petit prenne des coups de froid.

Elle hochait la tête,
Tandis que je me levais avec mon fils,
Tout en le gardant bien serré sur moi.

Lana : merci beaucoup pour ça, Kendall. Votre mari doit sûrement avoir beaucoup de chance, ça se voit que vous êtes une femme exceptionnelle...

Moi : c'est vraiment gentil. Mais le votre aussi à de la chance. Je suis sure que tout va rentrer dans l'ordre entre vous, vous verrez...

Lana : je l'espère.

Moi : au revoir.

Lana : prenez bien soin de ce petit ange.

Je lui ai souris,
Puis je suis revenue à la villa avec le bébé.
Michael était déjà réveillé,
Et il avait l'air inquiet.

Quand il nous a vu,
Il soupirait de soulagement,
Avant de se lever pour se diriger face à moi.

Michael : bébé, ou t'étais ? J'étais à deux doigts d'appeler la police ! Je me suis levé et le bébé et toi vous n'étiez pas là...la baie vitrée était ouverte et je ne vous ai pas vu sur la plage et-

Moi : calme toi mon amour, on était juste allé prendre un peu l'air. On a même pas été si long...

Michael : peu importe, la prochaine fois vous ne sortez pas sans moi, hein ? C'est dangereux, il peut y avoir des psychopathes et il est hors de question que ma femme et mon bébé soient en danger.

Je souriais,
Tandis qu'il se rapprochait doucement de moi.
Je le regardais dans les yeux et lui aussi,
Et c'est à ce moment là que tous mes sens se sont éveillés.

Les papillons dans le ventre,
La gorge nouée,
Les frissons,
Tout...

Michael arrive à me les faire ressentir à chaque fois,
Et cela peu importe depuis combien de temps on est ensemble.
C'est de la magie.

Il plaquait doucement ses lèvres sur les miennes,
Tout en commençant à m'embrasser amoureusement.
J'essayais du mieux que je pouvais de répondre à son baiser,
Mais honnêtement avec le bébé dans les bras,
Il faut dire que j'avais un peu de mal.

Moi : mon coeur...doucement.

Il pouffait de rire,
Avant de se détacher de moi,
Puis d'approcher ses lèvres de mon oreille.

Michael : North dort encore tu sais, bébé...

Moi : oui, et alors ?

Il regardait son fils.

Michael : il a l'air fatigué non ?

Moi : il a plutôt l'air d'avoir besoin qu'on lui change sa couche.

Michael : mais non regarde ses yeux, il est fatigué. On devrait le mettre au lit avec North comme ça toi et moi on peut s'amuser un petit peu...

Il me lançais un regard charmeur,
Avant de se mordiller le coin de la lèvre.
C'est fou comme il peut être beau.

Moi : Micky...enfin ! On l'a déjà fais hier soir, avant que les enfants ne viennent nous rejoindre.

Michael : et alors ? Hier c'est hier, et aujourd'hui c'est aujourd'hui bébé. Et puis tu devrais être ravi...parce que mon anaconda est tout à toi mon amour. Dans tous les sens du terme, et pour toute la vie.

Je grimaçais.

Moi : Micky !

Michael : bah quoi ? Je dis juste la vérité bébé...en plus depuis que tu as accouché je ne sais pas mais..j'ai encore plus envie de te faire l'amour que quand tu étais enceinte, ou même avant. Et puis depuis quelques jours que tu as cette chevelure blonde...c'est encore plus excitant tu ne trouve pas ? Enfin je veux dire...c'est comme un petit jeu...

Je suis en blonde en ce moment,
Mais c'est juste le temps de quelques jours.
C'est uniquement pour le boulot.

Je rougissais de gêne,
Tandis qu'il se plaçait derrière moi,
Encerclant ma taille de ses mains.

Je l'ai senti collé son bassin à mon derrière,
Puis il a commencé à m'embrasser la nuque,
Commençant même à suçoter la peau de mon cou par moment.

Michael : si tu me laisse te faire l'amour maintenant bébé, je te promet non seulement d'être rapide, mais je te promet aussi de te procurer les dix orgasmes les plus intenses de toute ta vie, en même pas dix minutes.

Moi : Micky...

Il collait encore plus son bassin contre moi,
Ce qui faisait que je pouvais sentir son érection contre moi.

J'y crois pas,
Mais comment c'est possible ?

Michael : allez bébé...s'il te plaît.

Il a fait passer ses mains sous mon t-shirt,
Tout en me caressant le ventre avec ses doigts froids.
Je frissonnais.

Moi : est-ce que tu te rend compte que j'ai le bébé dans les bras là ?

Michael : alors dépose le...

Il continuait de m'embrasser le cou,
On aurait dit qu'il n'avait rien à faire du fait que je tienne son bébé en main.

Il a monté ses mains jusqu'à ma poitrine,
Et quand il a vu que je ne portais pas de soutient gorge,
Il s'est mis à tenir mes seins dans ses mains.
Je me suis mise à soupirer.

Michael : j'adore le fait que tu doivent le nourrir au sein...parce que comme ça ils sont plus gros que d'habitude et c'est génial.

Je ne répondais pas.
Le petit s'était rendormi entre temps,

Michael : Pourquoi tu fais la dure, bébé ? Je sais que tu en as envi, et peut-être même plus que moi. Juste...laisse toi faire Killa.

Il me mordillait le love de l'oreille,
Et je basculais la tête en arrière.

... : pourquoi tu mange l'oreille de maman, papa ? Tu mange les gens maintenant ?

C'était la petit voix de North,
Et elle venait de nous rejoindre dans le salon.
Sur le moment je me suis dis heureusement qu'on est dos à elle...

Micky a donc retiré ses mains,
Avant de se tourner vers sa fille.

Michael : tu vas bien princesse ?

North : oui et j'ai bien dormi ! 

Moi : c'est bien ma chérie.

Une des employés est arrivée,
Du coup elle est directement allée dans la cuisine,
Pour commencer à préparer le petit déjeuner.

North : maman ? Est-ce que je peux regarder un peu les dessins animés avant le petit-déjeuner s'il te plait ?

Michael : bien sure que tu peux, princesse.

Moi : tu t'appelle maman, maintenant ?

Michael : j'ai contribué à sa conception alors je peux me le permettre.

Non mais n'importe quoi.
Michael je me suis toujours demandé comment fonctionnait son cerveau.

Michael : tu peux regarder les dessins animés princesse. Et regarde...on va déposer ton petit frère dans le landeau, comme ça il fait dodo quelques minutes et toi tu peux le surveiller. Tu es d'accord ?

North : oui ! Et s'il pleure ou s'il bouge je t'appelle toi, ou j'appelle maman, ou j'appelle la dame dans la cuisine.

Papa : c'est bien princesse, tu es vraiment intelligente.

North : oui comme maman. Parce que tonton Yachty il dit que toi tu compris vite, mais qu'il faut t'expliquer pendant très longtemps avant.

Je pouffais de rire,
Et Michael me lançait un scarface,
Avant de me prendre le petit des bras,
Puis de me le déposer dans son landau.

Il a ensuite mis la télé a North, 
Et celle-ci s'est allongée sur le canapé,
Tout en jetant de rapides coup d'œil à son frère.

Michael : toi...tu viens avec moi.

Moi : quoi ?

Michael : je serais rapide, c'est promis.

Il me prenait dans ses bras,
Avant de me porter jusqu'à notre chambre.

Il a refermé la porte,
Puis il m'a allongé sur le lit,
Avant de se placer au dessus de moi.

Michael : Killa...qu'est-ce que tu m'as fais ?

Il me regardait dans les yeux,
Tandis que je fronçais les sourcils.

Moi : de quoi tu parles ?

Michael : qu'est-ce que tu m'as fais ? Comment s'est possible que je t'aime autant ? Parce que je suis complètement fou de toi. Même obsédée par toi...et tu me rend complètement dingue...tu hante mes pensées, mes rêves, mes nuits, mes journées, mes fantasmes mais surtout...tu le hante lui aussi.

Il me prenait la main droite,
Avant de la coller à son entre-jambe.
Il était tellement tendu que j'ai cru qu'il allait exploser.

Michael : Alors je veux que tu me dise ce que tu m'as fais...

Moi : rien du tout.

Michael : menteuse, tu es une sorcière. De toute façon c'est un truc de blanc aussi.

Moi : n'importe quoi, il y a des sorcières noires aussi je te signale.

Michael : ouais mais nous au moins c'est des trucs sérieux. Vous c'est complètement ridicule cette histoire de nez pointu, de verrues, de chapeau et de balaise c'est vraiment ridicule. Mais bon ce n'était pas de ça qu'on parlait bébé...alors on va passer aux choses sérieuses...

Il a fait glisser ses mains sur ma taille,
Avant de me retirer mon short.
Il a fait la même chose avec mon t-shirt,
Puis avec mon bas de sous-vêtements.

Je me suis mise à rougir,
Mais il m'obligeait à le regarder dans les yeux.
Il voulait que je le regarde.

Michael : attend...j'espère que ça ne va pas me faire le coup de la dernière fois, parce que le lait de bébé c'est dégoûtant !

Je pouffais de rire.

Moi : c'était bien fais pour toi, gros pervers.

Il arquait un sourcil,
Tout en arquant un sourcil.

Michael : tu m'as traité de pervers ? Bien...tu vas assumer.

Il n'a pas attendu plus de temps que ça.
Il m'a brusquement tire par la taille pour me coller à lui,
Avant de s'introduire en moins en un coup de rein bien profond.

J'aurais jamais dû lui dire ça,en fait.
Je suis dans la merde totale moi.

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