Je viens d'arriver chez mes grands-parents,
Aloès avec mon frère on descend de la voiture.
Sainty n'a pas arrête de râler de toute la journée,
Parce qu'il voulait rester avec les garçons,
Mais qu'on était obligé de venir.

Mais je lui ai dis que ce n'était pas grave,
Quand on aura fini ici on le dépose chez Logan.

On entre dans la maison,
Et le premier qu'on voit c'est papy.

Papy : ah, vous voila !

Saint : bonjour papy.

Papy : bah dis donc jeune Young, pourquoi est-ce que tu fais cette drôle de tête ?

Il m'a fait la bise à moi aussi.

Moi : c'est parce qu'il voulait rester avec ses amis.

Papy : alors je ne suis plus de bonne compagnie, maintenant ?

Saint : mais si papy, c'est juste qu'on jouait aux jeux vidéos.

Papy : ce n'est pas grave, tu ira les voir après.

Saint : ouais.

On est allé dans le salon,
Et mamie était là du coup on lui a fait la bise.

Mamie : ah tu as les cheveux frisés aujourd'hui ma puce, ça te va bien.

Moi : merci mamie. Je sortais de la douche du coup je n'ai pas eu le temps de les coiffer.

Mamie : tu devrais les laisser comme ça plus souvent ma puce, tu ressemble vraiment à une petite Young maintenant. On aurait dit Ashlee à ton âge.

Papy : mais non...elle ne ressemble pas à Ashlee. Elle est beaucoup plus claire. Et puis c'est déjà une petite Young alors pourquoi tu dis ça ?

Mamie : oh c'est bon chéri, c'était une façon de parler.

Papy : tu as de drôles de façons de parler, alors.

Mamie : tu dis n'importe quoi.

Saint : ahah tu cherches les ennuis Mamie.

Il riait.

Papy : laisse-là, elle me connaît bien

Mamie : oh la la, c'était pour rire. Tu n'as aucun sens de l'humour.

Bon les enfants allez vous l'avez les mains, on va passer à table.

Saint : d'accord.

On est allé se laver les mains dans la cuisine,
Puis on s'est dirigée dans la salle à manger,
Avant de tous s'asseoir.

En fait Mamie a voulu qu'on vienne déjeuner ici aujourd'hui,
Du coup c'est pour ça qu'on est là.
On va rentrer en début d'après midi.

Mamie : Saint, tu fais le bénédicité ?

Papa : pourquoi tu l'appelle Saint ? Appelle-le Micky Jr.

Mamie : mais il s'appelle Saint.

Papa : eh bien il s'appelle Michael Jr aussi.

Mamie soufflait.

Saint : oh ne vous disputez pas pour moi mdr.

Moi : alors toi...

Saint : je sais que je suis important voyons, et c'est normal ! Je suis le fils de mon père.

Papy : et ton père est le mien hé hé.

Mamie : vous me fatiguez.

Papy : ça c'est parce que tu te fais vieille, chérie. Ce doit être un début de rhumatisme. Vous les femmes vous vieillissez tellement vite.

Elle écarquillait les yeux.

Mamie : alors toi...

Papy : oh c'est bon. Bon Micky Jr, tu nous l'a fait cette prière ou pas ?

Saint : yep. Alors merci Seigneur pour ce repas, bénissez ce qu'il l'ont préparé, et donnez à manger aux enfants qui n'ont en pas. Amen !

Moi : amen !

Papy : pourquoi tu remercie ce qui l'ont prépare, mais pas ce qui ont contribué à l'acheter ? C'est injuste.

Je pouffais de rire,
Mon grand-père abuse vraiment.
Il me tue trop,
Parce qu'il est vraiment sérieux.

Saint : ah j'ai publié papy, mais on a pas besoin de prier pour toi vu que tu es déjà un dieu.

Mon grand-père souriait.

Papy : toi je t'adore.

Saint : je sais papy.

Papy : le digne petit fils de son grand-père.

Saint : et aussi le digne fils de son père.

Papy : oh c'est bon, on a tous compris que tu adorais ton père.

Saint : t'es jaloux ?

Papy : Pfff moi ? Jaloux de quelqu'un que j'ai créer de toute pièce ? N'importe quoi.

Saint : si tes jaloux papy mdr, mais t'inquiète pas je vous aime tous.

Mamie : qu'il est gentil.

On a commencé à manger,
Et en même temps on discutait de tout et de rien.

Le repas était vraiment délicieux,
Ensuite on nous a servit le dessert.
Leur chef cuisinier est vraiment superbe,
Sa cuisine est tout simplement exquise.

On est sorti de table,
Puis on a pris les digestifs dans le salon.
J'ai pris un thé,
Et mon frère aussi.
Papy buvait un café,
Et Mamie aussi.

Après Saint et Mamie sont allés faire je ne sais quoi,
Du coup j'étais seule dans le salon avec papy.

Papy : alors toi ma chérie, est-ce que tout va bien ?

Moi : oui papy, ça va.

Papy : et la copine de ton père, ça se passe comment avec elle ?

Moi : ça se passe assez bien.

Papy : je n'aime pas du tout cette fille, et ça se voit que c'est une profiteuse a plein nez. Je sais qu'elle se sert de l'argent de ton père, et ça ne me plait pas du tout.

Moi : comment ça ?

Papy : ce n'est pas une fille pour lui.

Moi : ils se sont disputés récemment, et elle est allée passer quelques jours à Londres.

Papy : c'est tant mieux, qu'elle y reste d'ailleurs. Cette fille cache quelque chose, au diner ta grand-mère et moi on a tout de suite vu que quelque chose clochait. Je vais fouiner et je trouverais bien ce que c'est.

Moi : mais papa risque de ne pas apprécier.

Papa : eh bien c'est son problème. Et puis j'ai l'impression que tu ne l'aime pas beaucoup non plus, alors j'ai quelque chose à te proposer.

Moi : qu'est-ce que c'est ?

Papy : Tu es le plus souvent exposé à elle vu que vous habitez ensemble, alors en attendant que je trouve ce qui cloche, je voudrais que tu t'arrange à lui mener la vie dur dès son retour.

Moi : mais papy...c'est pas une très bonne idée et si papa apprend ça il va s'énerver contre nous deux.

Papy : il ne se fâchera pas contre toi, tu es sa fille et il t'adore. Moi en l'occurrence j'ai l'habitude alors crois moi que c'est bien le dernier de mes soucis.

Je soupirais.
Grand-père aussi à vu claire à son jeu,
C'est super.

Je vais peut-être pouvoir exhausser la volonté de maman,
Parce que c'est ce qu'elle veut elle aussi.
Elle a dit que Rebecca n'était pas la bonne,
Et je ne peux pas la décevoir.
Pas encore....

Papy : essaye de faire réagir sa vraie personnalité devant ton père, il faut que tu lui tende des pièges, il faut que tu essaye constamment de les mettre en conflit.

Moi : mais papy...c'est pas un peu dangereux ? En plus tu me connais, je ne pourrais jamais être assez courageuse pour le faire.

Papy : oh la la, tu es une Young et déjà toute petite tu étais une petite fille audacieuse qui disait haut et fort ce qu'elle pensait. Tu manigançais souvent des trucs pour tes parents, je m'en souviens très bien. Et tu sais, tu es toujours cette petite fille au fond de moi, ma chérie. Il faut juste que tu t'en rende compte...

Moi : et si je n'y arrive pas ?

Papy : tu vas y arriver ma puce, ne t'inquiète pas. Et si jamais elle ose te poser le moindre problème ou même te faire quoi que ce soit, fais le moi savoir et je m'assurerai à qu'elle passe le restant de ses jours dans une cellule au fin fond de l'Amazonie.

Et croyez-moi,
Il est bien sérieux.
Mon grand-père est quelqu'un de très respecté,
Et il a des tas de relations partout.

Quand j'étais petite je pensais que c'était un espion,
Parce qu'il était toujours au téléphone ou occupé.

Moi : d'accord papy, je vais essayer.

Papy : je compte sur toi ma chérie.

J'espère vraiment que je vais y arriver,
Sinon c'est mort pour moi.

Honnêtement Rebecca a de la chance que personne ne sait qu'elle m'a giflé,
Mais si jamais un jour elle me refait la même chose je vais le dire.
Elle n'a pas le droit de me frapper,
Même mon père ne me gifle pas.

Je hochais la tête,
Et il passait doucement sa main dans mes cheveux.

Papy : ne t'inquiète pas ma chérie...on va y arriver.

Je hochais la tête.
Honnêtement je suis ravi que les gens commencent à comprendre qu'entre elle et moi ce n'est pas la grande joie, vu que j'ai souvent du mal à m'exprimer.
Mais j'ai décidé de changer à partir d'aujourd'hui,
Parce que je commence vraiment à en avoir assez qu'elle me rabaisse comme ça à chaque fois, alors que moi je fais de tout mon possible pour être gentille avec elle.

Ma mère à parlé d'une autre femme,
Et je dois la trouver avant qu'il ne soit trop tard.
Elle compte sur moi,
Et je ne peux pas la décevoir.
Absolument pas.

Saint : c'est bon, il est quatorze heures.

Mamie riait.

Mamie : ce qu'il peut être impatient ce gamin, on sait bien de qui est-ce qu'il tient.

Moi : haha.

Papy : bon allez, rentrez chez vous !

Saint : hé mais tu nous chasse la, papy.

Papy : bah tu voulais rentrer non ? Libre à vous.

Je riais,
Puis on les as embrassé avant de partir.

Il y a l'anniversaire de Tata Hailey et Tata Camila dans deux jours,
Et d'après ce que m'a dit papa ils font une grosse fête.
Mia sera la, mais elle part en voyage le lendemain du coup elle ne reste pas longtemps,
Et Royalty aussi sera la du coup je me dis que je pourrais peut être y aller.

Donc après avoir déposé Saint chez Tata Nalah,
J'ai gentiment demandé au chauffeur de m'accompagner en ville,
Parce que je devais leur prendre un cadeau quand même.

Et je n'avais pas trop d'idée,
Du coup je vais essayer d'improviser.
Mais le truc avec les Baldwin c'est que si tu n'es pas capable de leur offrir un cadeau digne de ce nom, ça ne sert à rien de leur en offrir un tout court. 
Généralement ils ont toujours tout,
Alors c'est difficile de trouver le bon cadeau.

Donc je me suis dit je j'allais faire quelque chose d'original pour Tata Hailey.
Je vais lui faire un book avec des tas de photos de nous deux,
Et je vais le décorer avec des souvenirs.

Du coup je vais mettre tout ça dans une boite,
Puis je vais lui écrire une lettre dans laquelle je lui dirais toute la vérité.
Je n'ai pas le courage de le lui dire en face,
Alors je vais le faire en lui écrivant des mots.

Et pour Tata Camila,
Mia a dit qu'elle adorait les bijoux, les vêtements, les sacs à main et les chaussures.
Mais elle en a déjà tellement,
Je ne sais pas comment être sure de bien choisir.

Donc j'ai décidé de lui prendre une paire de boucle d'oreille,
Et aussi un sac à main Vintage de chez Balenciaga,
J'espère vraiment qu'elle va aimer.

La je sors de la boutique,
Et je crois que j'ai fini ce que j'avais à faire.

... : hey North, quelle surprise ! C'est cool de tomber sur toi.

Je me suis retournée,
Et c'était Ian.

Ian : alors tu vas mieux ?

Je hochais la tête.

Moi : salut.

Ian : c'est vraiment cool de tomber sur toi ma belle...fièvre acheteuse ?

Moi : pas vraiment, je venais acheter des cadeaux pour mes tantes.

Ian : oh, et tu as fini ?

Moi : plus ou moins.

Ian : je suis venu m'acheter des baskets, et j'ai fini aussi. Ça te dis qu'on se pose sur une terrasse ? On pourrait se prendre un petit dessert qu'est-ce que tu en pense ?

Je me suis tournée vers mon chauffeur,
Et au fond de moi j'espérais qu'il dise quelque chose pour m'aider,
Mais il n'a rien dit.

Moi : euh...d'accord mais j'ai pas beaucoup de te,pas.

Ian : oh ça me va parfaitement, t'inquiète.

Il plaçait ses mains sur mes épaules,
Avant de commencer à marcher avec moi.
J'étais vraiment gênée...
C'est pas comme si on était vraiment amis tous les deux.

On est allé se poser dans un café,
Puis on a commandé.
Étant donné que j'ai ,ange il n'y a pas longtemps,
Je me suis juste prise une boule de glace au citron.
C'est mon parfum préférée.

Ian : sinon tu es très jolie, je trouve que ça te va super bien les cheveux frisés. Tu devrais les garder comme ça plus souvent ma belle.

Moi : oh...merci.

Ian : de rien, c'est la vérité. Alors tu vas faire quoi de tes vacances ?

Moi : je vais rester ici, et toi ?

Ian : je vais à Boston ce soir. Tu reste toutes les vacances ?

Moi : oui.

Ian : c'est con, si j'avais su je serais resté aussi. On aurait pu faire des trucs sympas ensemble, je connais plein d'endroit.

Je ne répondais pas,
Je le regardais juste.

Ian : mais c'est pas grave. D'ailleurs à mon retour ça te dis qu'on se voit plus souvent ? Parce que honnêtement t'es une fille spéciale North et je dois dire que j'aime bien les filles comme ça.

Oh mince...

Moi : je...je ne sais pas quoi dire.

Ian : t'inquiète, t'es pas obligé de répondre je voulais juste te dire ce que je pensais de toi. Et pour être honnête avec toi...je nous vois bien en train d'essayer quelque chose tous les deux.

Moi : je suis désolée Ian mais...pour le moment je préfère me concentrer sur d'autres choses que les garçons.

Ian : oh...

J'étais vraiment mal à l'aise,
Mais je préfère être honnête.
En plus avec mon père c'est mort,
Et quand bien même, je ne suis pas intéressé ses.

Le reste du temps était assez calme.
Il y avait un genre de malaise entre nous,
Et c'était vraiment désagréable.

Moi : excuse-moi, mais je dois y aller.

Ian : je vois. On se parle par message ?

Moi : mmh.