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Chapitre 88

- Narration : Justine -

Je suis dans la cuisine,
Et je viens de finir de préparer le petit-déjeuner de Vic.
Je me sens vraiment mal pour lui,
Parce que je sais qu'il aimait beaucoup Ferg.

Quand je pense que ce Gucci fait ça pour une simple histoire de jalousie.
Ça me choque au plus haut des points.
On parle de mort de personnes,
Et ce n'est vraiment pas rien.

Je place le tout sur un plateau,
Puis je vers du jus d'orange dans un verre,
Avant de commencer à monter les escaliers.

Je suis allée dans notre chambre,
Et j'ai retrouvé Vic en train de parler au téléphone.
Il m'a jeté un bref regard,
Et ensuite il a tourné sa tête.

Vic : ouais bah fais vite [...] t'inquiète on n'est pas con [...] bon je dois te laisser French, rappelle-moi.

Il a ensuite raccroché,
Et moi je me suis assise à côté de lui sur le lit,
Avant de poser le plateau face à lui.

Moi : je t'ai préparé ton petit déjeuner, babe.

Il faussait un sourire.

Vic : merci bébé.

Moi : de rien. Tu vas mieux ?

Vic : pas vraiment.

Je passais ma main sur sa nuque.

Moi : tu as envi d'en parler ?

Vic : non.

Je soupirais.

Moi : babe ? Il faut que tu en parle...

Vic : j'ai rien à dire là dessus. Ce mec a tué un de mes très bons amis, il a tiré sur mon meilleur pote et il a faillit te faire avoir un accident. Bébé...c'est pas rien. On ne peut pas juste faire comme ci rien ne s'était passé.

Moi : je sais bien, et ce n'est pas ce que je dis. En fait j'essaye juste de te faire comprendre que si tu as envi de parler je suis là pour moi.

Je lui caressais la joue.

Vic : je sais bébé.

Je hochais la tête.

Moi : bon, mange ton petit déjeuner avant qu'il ne refroidisse.

Vic : merci ma puce.

Je lui caressais les cheveux,
Avant de lui embrasser le front.

Moi : de rien.

Il a sourit,
Avant de commencer à manger.
J'ai allumé la télé,
Et j'ai mais play sur l'épisode de "American Crimes Story" de hier.

Vic : et mon petit prince ? Il va bien ?

Je souriais,
Avant de passer ma main sur son ventre.

Moi : tu sais quand j'étais dans la cuisine, je l'ai senti me donner des coups de pied.

Vic : c'est vrai ? Putain je rate toujours ça.

Moi : mais c'est pas grave, je suis sûre qu'il le fera devant toi.

Vic : j'espère.

Je lui embrassais la joue.

Moi : ne t'inquiète pas bébé, je suis sure que oui. Allez mangeons.

On a commencé à déjeuner,
Et on même temps on regardait le film.

Vic : c'était délicieux, merci babe.

Moi : de rien. Je suis contente que tu ai passé un bon moment. Ces derniers temps tu te renferme beaucoup sur toi-même, et ça me fais mal aussi.

Vic : je suis désolée bébé. C'est juste que toute cette histoire me soule a un point inimaginable. On va avoir un bébé, on n'a pas besoin de ça en ce moment.

Je soupirais à nouveau.

Moi : je sais bébé, mais je veux juste que tu te détente. Je sais que tu te sens coupable pour la mort de ton ami, mais ce n'est pas de votre faute. Il avait lui-même voulu vous aider...

Vic : parce qu'on lui avait demandé.

Je secouais la tête.

Moi : non. C'est uniquement parce que vous êtes ses amis et qu'il voulait le faire de son plein gré.

Il ne répondit pas.

Moi : arrête de te sentir coupable mon amour.

Je lui ai embrassé la joue,
Tandis qu'il passait la main sur mon ventre,
Avant de me regarder dans les yeux.

Vic : est-ce que j'ai le droit de faire un coucou à mon petit homme ?

Je hochais la tête tout sourire.

Moi : bien sure !

Je me suis complètement allongée sur le lit,
Et Vic a soulevé mon t-shirt large,
Laissant paraître mon ventre arrondi.

Il commençait à passer ses doigts dessus,
Avant d'y déposer quelques baisers.

Vic : coucou toi, j'espère que tu vas bien petit ange ? T'es gentil avec maman, hein? J'espère que t'es pressé de sortir, parce que moi aussi j'ai vraiment hâte de te rencontrer. On va faire pleins de choses ensemble et j'ai déjà des tas d'idées.

Moi : c'est adorable.

Il me fit un clin d'œil.

Vic : c'est normal, je ferais n'importe quoi pour mon futur petit prince.

Moi : et pour ta reine aussi, n'est-ce pas ?

Il pouffait de rire,
Avant de hocher la tête.

Vic : bien sure, bébé.

Il plaquait ses lèvres sur les miennes,
Et on a fini par s'embrasser.
Je répondais à ses baisers,
Tandis qu'il passait ses mains sur mon corps.

Quelques minutes après m'avoir fais des suçons dans le cou,
Il approchait doucement ses lèvres de mon visage.

Vic : est-ce que tu sais ce dont j'ai envi la maintenant ?

Il me regardait tellement intensément,
Que je n'avais absolument aucun mal à comprendre ce qu'il essayait de me dire.
Au contraire, je le comprenais très bien.

Moi : je crois que j'ai ma petite idée là dessus.

Il riait,
Et moi aussi.

Vic : alors ça veut dire que tu es d'accord ?

Je hochais la tête.
Ne me jugez pas,
C'est de la faute des hormones.

Moi : peut-être bien !

Il s'est mis à faire la danse des sourcils,
Un sourire coquin coincé sur ses lèvres.

Vic : j'en conclus que c'est oui.

Il a recommencé à m'embrasser dans le cou,
Avant de me retirer doucement mes vêtements.
Bien sure il devait faire attention à mon ventre,
Parce que ce dernier est vraiment gros maintenant.

Il s'est ensuite déshabillé à son tour,
Avant de m'aider à trouver une bonne position,
Et ce n'est que lorsque ce fut le cas,
Qu'il a prit l'initiative de s'enfoncer en moi.

- Narration : Hailey -

J'ai passé la journée avec ma mère aujourd'hui.
Ça faisait longtemps qu'on avait pas fais ça,
Et ça me fait beaucoup de bien.

La je suis seule à la maison de tout le week-end.
Mes parents ont voulu aller prendre l'air quelques jours,
Et ils ont bien raison de le faire.

Pour être honnête avec vous,
Depuis que je sais que ma mère est malade,
Je ne vois plus du tout les choses de la même façon.

En fait j'ai réalisé à quel point la vie pouvait être dangereuse.
D'une minute à l'autre, tout peut basculer.
J'ai toujours adoré ma mère,
Même si c'est vrai qu'elle a toujours été un peu plus proche de ma soeur.
Mais ça ne change en rien le fait que ce soit la meilleure mère du monde.

Elle m'a vraiment tout appris,
Contrairement à ce que les gens pensent.
Depuis qu'on est petites avec Camila on s'est toujours fais critiquer sur le sujet.
Les gens passaient leur temps à dire que le fait notre père soit multi-millionnaire fait de nous des sales gamines snobes, arrogantes, égoïstes, et matérialistes.
Mais ce n'est pas la vérité du tout.

De toute façon je n'ai pas besoin de me justifier.
Ma famille et mes amis savent qui je suis,
Et c'est tout ce qui compte à mes yeux.

J'ai entendu la sonnerie de mon téléphone portable,
Du coup je me suis mise à le chercher dans la pièce.
Quand je l'ai enfin trouvé,
Il était posé quelques part dans le lit.

Je l'ai donc pris,
Et en regardant l'écran,
J'ai vu que c'était un appel.

Appel entrant : My Baby Love 💕💘

C'est Mia qui m'appelle.
Elle a son propre téléphone,
Afin qu'elle puisse m'appeler ou appeler son père si elle a un problème.
Et je surveille à chaque fois ce qu'elle fait,
Parce qu'on ne sait jamais avec tout ce qui se passe.

J'ai donc décroche.

- allo maman ?

- hey mon bébé. Tu vas bien ?

- oui maman ! Tu me manque !

Je souriais.

- tu me manque aussi mon poussin.

- mais je rentre bientôt à la maison ! C'est dans quelques jours seulement.

- oui poussin, et maman a vraiment hâte que tu rentre.

- moi aussi je veux te voir maman !

- tu t'amuse bien ? Elles sont gentilles avec toi ?

- oui maman ne t'inquiète pas. Et puis si elles sont méchantes je vais les frapper.

Je pouffais de rire.

- Mia !

- mais maman c'est toi qui a dit que quand il y a des gens qui nous embête c'est parce que c'est des satan.

- oui c'est ce que j'ai dis. Mais j'ai aussi ajouté que plutôt que de frapper un satan il faut...

- appeler la police !

- c'est exacte !

Je l'ai entendu rire,
Ce qui m'a fait rire aussi.
Sa voix trop magnifique.
Non sérieux, c'est un pire chef d'œuvre.

- Je t'aime maman, tu me manque beaucoup.

- je t'aime aussi mon bébé et toi aussi tu me manque fort. Mais on se voit dans quelques jours...ne t'inquiète pas.

- mais toi tu vas rester toute seule à la maison de papy et mamie jusqu'à la fin des vacances ?

- non bébé, je vais aller en voyage avec tonton Micky et Tata Kenny. Mais je serais rentrée le même jour que toi, mais un peu plus tôt.

- d'accord maman !

- je t'aime mon bébé, soit sage.

- je t'aime aussi maman, et toi aussi soit sage.

Je riais,
Avant de raccrocher.
Entendre sa voix m'a réchauffé le coeur.

J'aime tellement fille,
C'est mon petit rayon de soleil.

Au même moment quelqu'un a cogné à ma porte.
J'ai répondu et c'était une des domestiques.

Moi : oui ?

Elle : mademoiselle ? Le père de Mia est ici et il aimerait vous voir.

Je fronçais les sourcils.
Justin ici ?
Mais pourquoi ?

Moi : qu'est-ce qu'il veut ?

Elle : vous parler. Il dit que c'est vraiment important.

Je soufflais,
Avant de me lever du lit.

J'en ai vraiment par dessus la tête de Justin.
Il passe son temps à me faire chier,
Et ça commence vraiment à me gonfler.

Depuis toutes ces années j'ai mis ma haine envers lui de côté,
Tout simplement parce que je voulais élever ma fille dans une bonne atmosphère.
Mais lui il me complique la tâche à chaque fois.

Je n'arrête pas de me demander ce que j'ai bien pu lui faire.
C'est complètement insensé, en fait.
Totalement même, si on veut.

Il passe sa vie à me faire mal.
Il pense que je suis son jouet ou quoi ?
Et le pire c'est que ce monsieur a le toupet de se pointer ici,
Dans la maison de mes parents.

Il se fiche vraiment de ma gueule celui-là,
Mais plus pour longtemps moi je vous le dis.
C'est juste une simple question de temps.

Je suis donc descendue en furie,
Avant de faire face à Justin dans mon salon.

Moi : qu'est-ce que tu veux ?

Justin : pourquoi tu m'agresse ?

Il est sérieux là ?
Je vais le tuer.

Moi : pourquoi est-ce que tu ne me fiche pas la paix ?

Justin : hein ?

Moi : je ne suis pas un jouet. Je suis un être humain avec des sentiments, et mieux encore je suis la mère de ton adorable petite fille de six ans et demi. Alors pourquoi est-ce que tu prend toujours un malin plaisir à me faire mal comme ça ? Alors je n'ai pas le droit d'être heureuse moi aussi ? Non...il faut toujours que monsieur vienne Dme taper sur les nerfs.

Justin : ouïr quoi tu te mens à toi même ?

Je roulais des yeux.

Moi : tu te fiche vraiment de ma gueule, toi en fait.

Justin : tu auras beau nier l'évidence Hailey, il suffit juste que je claque des doigts devant toi pour que tu finisse dans mon lit. Cela revient à ce que je t'ai dis la dernière fois, tu n'avais qu'à pas te laisser faire.

Il était tellement en train de m'énerver,
Que j'ai eu une grosse montée d'adrénaline,
Ce qui fait que je l'ai giflé deux fois de suite.

Il me regardait en écarquillant les yeux,
Tandis que moi je bouillonnais de colère.
Je n'arrive toujours pas à croire qu'il m'ait dit ça.

Moi : tu me dégoute ! Ça suffit maintenant, t'entend ? Ça suffit. Je ne ferais plus aucun effort. Tu pourra voir Mia les weekend, mais c'est terminé. Je ne veux plus jamais te voir de ma vie, ni même entendre parler de toi. J'aurais voulu dire que je regrettais tout ce que j'avais vécu avec toi, mais le faire c'est dire que je regrette la venue de Mia et ce n'est pas le cas. Elle mérite un bien meilleur père.

Justin : je suis un bon père.

Moi : tu dégage de chez moi !

Justin : Hailey !

Moi : tu te casse, d'accord ? Juste vas te faire foutre et ne reviens plus jamais. Je ne veux absolument pas de toi dans ma vie. Je n'en veux plus. J'ai besoin que tu me laisser respirer, t'entend ? Tu me laisse respirer !

J'ai grandement ouvert la porte d'entrée,
Avant de violemment le pousser à l'extérieur,
Puis de refermer la porte à clé.

Putain.
Il me dégoute.
Comment il a pu dire un truc pareil ?
Sale con va !

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