J'étais en train de dormir,
Lorsque j'ai senti quelqu'un me tirer vers lui.
C'était Michael.

Je suis rentrée à la maison hier soir,
Et c'est donc la première nuit qu'on passe ensemble depuis qu'il est allé en tournée.

Et c'est aussi la première fois depuis des jours que je dors aussi bien.
Je ne sais pas comment est-ce qu'il fait,
Mais je dors toujours très bien quand je suis à ses côtés.
C'est vraiment de la magie.

Il passait ses doigts froids sur mon ventre,
Avant de commencer à faire des petits ronds sur ma peau.
Ça avait d'ailleurs le don de me chatouiller,
Ce qui explique pourquoi je me suis mise à frissonner.

Comme j'étais dos à lui,
Je ne pouvais pas voir son visage.
Par contre je pouvais le sentir m'embrasser sur la nuque.

Michael : merci d'être rentrer Killa. C'est la meilleure nuit que j'ai passé depuis des semaines et je t'en remercie.

Je me suis doucement retournée,
Avant de planter mon regard dans le sien.

Moi : tu n'as pas besoin de me remercier, mon amour.

Il a sourit.

Michael : ça aussi ça m'avait manqué.

Moi : quoi donc ?

Michael : les petites attentions, les surnoms...nous !

Je souriais à mon tour,
Tandis que j'étais complètement perdue dans son beau regard noir.

Moi : ça m'a manqué aussi.

Michael : tu sais bébé, je te jure que je suis désolé. Tout ce qui c'est passé...je ne sais pas ce qui m'a pris. J'ai agis comme un idiot et je te demande pardon.

Moi : je sais, Micky. Et je voulais m'excuser aussi...je n'aurais jamais dû faire ce que j'ai fais et je m'en veux vraiment.

Il passait sa main dans mes cheveux.

Michael : dis pas ça...c'est pas de ta faute.

Moi : non c'est faux. C'est de ma faute... À chaque fois tu as toujours pensé que c'était à cause de toi, mais non. C'est de notre faute à tous les deux.

Michael : c'est du passé Killa...maintenant tout ce qui compte c'est nous et les enfants. D'accord ?

Je hochais timidement la tête.

Moi : oui.

Michael : je t'aime, mon amour.

Je sourirais,
Avant de me mettre à rougir.

Moi : je t'aime aussi.

Il riait,
Avant de plaquer ses lèvres sur les miennes.
Il a commencé à m'embrasser,
Et moi je répondais à son baiser.

Ça fait tellement longtemps qu'on ne s'est pas embrassé comme ça.
Ça fait tellement de temps que je ne l'avais pas touché comme ça.

Il a commencé à me faire des bisous dans le cou,
Et j'ai reposé ma tête sur l'oreiller.
Il suçotait la peau de mon cou lentement,
Et je pouvais sentir qu'il me faisait un suçon.

Quelques petits soupirs s'échappaient de mes lèvres,
Tandis qu'il passait ses doigts sur mes cuisses,
Avant de les remonter sous le t-shirt large que je portais pour dormir.

Ses doigts caressaient ma peau,
Et mon corps ne cessait de frissonner.

Michael : tu es tellement magnifique...

Il s'est placé au dessus de moi,
Puis il a retiré le t-shirt que je portais.
Je n'avais pas de soutient gorge,
Seulement une petite culotte en dentelle.

Je me suis mise à rougir trois fois plus,
Tandis que Michael regardait mon corps à moitié nue.
Il s'est ensuite rapproché de mon visage.

Michael : tu es sure que tu veux qu'on le fasse ? Si tu n'es pas prête...je peux comprendre. Je sais que j'ai été pas mal agressif ces derniers temps, et je te demande pardon pour ça aussi.

Je hochais la tête.

Moi : ne t'inquiète pas.

Michael : alors ça veut dire que tu es d'accord ?

Je riais.

Moi : mmh.

Michael : ah putain enfin ! Ça fait plus d'un mois qu'on a rien fais tous les deux...d'abord la tournée et ensuite il y a eu tout ça.

Je riais encore.
C'est parce que je suis nerveuse.
On aurait dit que c'était ma première fois haha.
C'est bizarre.

Moi : c'est du passé. Cette fille est en prison, alors on n'y pense plus.

Il hochait la tête,
Avant de recommencer à m'embrasser.

Je l'ai senti passer ses doigts sur la culotte que je portais,
Puis il me l'a retiré très lentement.
Je rougissais encore plus.

Il a commencé à embrasser ma poitrine,
Tout en s'amusant avec la boucle de mon piercing,
Du bout de sa langue.

Je me suis mise à gémir,
Puis il a descendu ses baisers plus bas.
Mon ventre,
Mon bas ventre,
Puis mon intimité.

Moi : Micky...

Pour être honnête,
Je n'aime pas trop ça.
Je trouve ça gênant.

Michael : laisse toi faire bébé...je te promet que ce sera magique.

J'ai fermé les yeux,
Et là il a commencé à faire ce qu'il avait à faire.
Je me suis mise à empoignés les draps,
Puis à me mordre la lèvre pour ne pas gémir.

Lorsqu'il a fini ses petites occupations après quelques minutes,
Il s'est penché vers moi,
Avant de s'allonger sur mon corps nu.

Il ne me quittait pas des yeux.
On aurait dit qu'il avait peur que je m'enfuis.
J'ai trouvé ça tellement adorable.

Il a retiré son bas de pyjama,
Et comme il dort torse nu,
Ça fait qu'il était donc tout nu aussi.

Je pouvais sentir son anaconda sur ma cuisse,
Et il était vraiment très durcit.

Michael : tu lui a manqué.

Moi : idiot.

Il m'a embrassé,
Et j'ai répondu à son baiser.

Ensuite il m'a doucement écarté les cuisses,
Avant de se placer entre mes jambes.

Michael : bébé...regarde moi.

Je posais mes yeux sur les siens.

Moi : pourquoi ?

Michael : parce que je veux te voir.

Il ne m'a même pas laisser le temps de répondre,
Qu'il commençait lentement à entrer en moi.
Je voulais tourner la tête,
Mais il m'a demandé de ne pas le quitter des yeux.

C'est vraiment gênant comme situation,
Mais c'est Michael,
Alors c'est différent.

Michael : je vais y aller lentement, je te promet. Je veux juste que tu te détende mon amour, d'accord ?

Je hochais timidement la tête,
Tandis qu'il recommençait à embrasser mon cou.
Et aussitôt, il a commencé à faire des mouvements de bassins,
Qui ont entraîné dès mouvement de vas-et-vient.

J'ai commencé à gémir,
Puis j'ai placé mes mains sur ses épaules.

Michael : je ne comprend pas comment c'est possible que même après autant de fois à le faire et deux enfants, tu sois toujours aussi serré.

Moi : Hé ! Ne te moque pas de moi...

Michael : je ne me moque pas mon amour, au contraire.

Les battements de mon coeur s'accéléraient,
À chaque coups de rein qu'il me portait.

Michael : tu es tellement sexy.

Moi : arrête de parler, tu me stresse.

Il riait.

Michael : excuse moi bébé...c'est bon je m'applique là.

Il entamait des coups de rein un peu plus profonds,
Mais sans me faire mal pour autant.
En fait il était juste extrêmement doux et attentif,
Et ça m'avait énormément manqué.

Michael : je vais venir mon amour, et pour rendre ça encore meilleur je veux que tu vienne en même temps que moi...

Moi : mais-

Michael : ne t'inquiète pas, je vais t'aider.

Il a un peu accélérer le rythme,
Tout en faisant attention à ne pas me faire mal.
Et il a réussi,
Parce qu'on a eu nos orgasmes en même temps.

Je commençais à reprendre ma respirations après le violent orgasme qui venait de me secouer, mais la Michael s'est réintroduit en moi.
Je le regardais avec des yeux ronds.

Michael : bah quoi ? C'était le première round...tu ne peux pas m'en vouloir bébé...ça fais tellement de temps.

Je soupirais.
Alors lui...
Il n'est pas croyable !

[...]

Je viens de sortir de la salle de bain en peignoir,
Et Michael est assis sur le lit,
Déjà changé.

Michael : mon amour, je ne t'ai pas fais mal j'espère ?

Je me suis mise à rougir.
J'y peux rien, c'est plus fort que moi.

Moi : non.

Michael : tu es sure ?

Moi : sure et certaine mon amour. C'était parfait...vraiment.

Il souriait en coin,
Avant de s'approcher de moi.

Michael : c'est bon à savoir, parce que figure toi que j'ai encore un peu faim.

Je le regardais avec des yeux ronds.

Moi : Micky ! On vient de passer deux heures à ne faire que ça.

Michael : bah deux heures c'est rien du tout... Si ça ne tenais qu'à moi je t'aurais fais l'amour toute la vie.

Moi : t'es vraiment un pervers.

Michael : t'avais qu'à ne pas être aussi sexy, toi aussi !

Je lui donnais une tape sur l'épaule,
Puis la porte de la chambre s'est ouvert sur un Sainty en couche culotte,
Qui courait, poursuivit par sa tante Ashlee.

Saint : maman !

Il s'est accroché à ma jambe,
Du coup je l'ai porté avant de l'embrasser.

Moi : bah dis donc, t'es tout essoufflé toi.

Saint : Tata !

Il pointait du doigt Ashlee.

Michael : qu'est-ce que t'as fais à mon fils, petite sorcière ? Attend papa va te donner de l'eau petit coeur.

Michael me prenait le petit des bras.
Il a courut comme un chef,
Et ça la épuisé.

Ashlee : il ne veut pas qu'on lui changé sa couche, alors qu'il a fait la grosse commission.

Michael s'est mis à grimacer,
Avant de me tendre le petit.

Michael : Eww...tiens !

Moi : Michael !

Michael : je touche pas ça, on avait un accord bébé t'as oublié ? Moi c'est le pipi et toi c'est tout le reste

Je roulais des yeux.
Il est sérieux quand il le dit,
Il n'a jamais changer autre chose que le pipi.

Moi : tu n'as même pas honte !

Michael : vous êtes des femmes vous, vous savez faire ce genre de truc. Au pire si vous pouvez pas vous avez qu'à le déposer chez Justine. Elle habite à deux rues, et elle a peut être envi de s'entraîner. On a qu'à faire ça...

Moi : Micky, enfin !

Ashlee : t'es vraiment pas croyable.

Michael : vous voulez pas le faire ? C'est pas grave moi je vais le faire...

Il m'a pris le petit des bras.
Attendez, il est sérieux ?

Moi : qu'est-ce que tu fais ?

Michael : je vais le déposer chez Justine, elle va le changer et puis elle n'a qu'a le garder pour la journée, elle pourra s'entraîner.

Moi : il est dix heures du matin, Justine est enceinte et elle a surement des choses de prévues aujourd'hui. T'es pas fou de faire ça ?

Michael : c'est ma petite soeur et c'est son neveu. Il est mignon comme tout elle ne pourra pas refuser. Toi Ashlee t'as qu'à sortir de la maison...North est à l'école donc tu peux en profiter pour aller faire du shopping.

Alors là j'y crois pas.
Mais il est vraiment sérieux.

Michael : je te donne ma carte de crédit si tu veux.

Ashlee : t'es sérieux ? Et je peux acheter tout ce que je veux ?

Michael : si ça ne dépasse pas dix mille dollars, oui.

Elle souriait,
Avant de faire un câlin à son frère

Ashlee : je t'adore.

Michael : ouais bon bah tiens et dégage stp.

Il lui tendait sa carte de crédit,
Qu'il avait sorti d'un tiroir.
Alors là, je m'y attendais pas.
Il abuse...

Michael : Et toi Killa surtout ne retire pas ce peignoir...je reviens dans quelques minutes.

Moi : mais tu ne vas pas l'amener chez Justine, quand même ?

Michael : bah si, je viens de te le dire. T'inquiète elle va pas râler, je vais l'amadouer en plus le fils est aussi beau que le père, elle va tomber sous le charme quand il va la regarder dans les yeux et lui dire "Tata ! Porte !" Comme ça toi tu m'attend dans le lit, et quand je reviendrais on pourra continuer ce qu'on a commencé ce matin.

Ashlee : Ewww je suis encore là, je vous signale !

Michael : bah vas t'en !

Ashlee : bon bah bonne chance Kenny...je récupérais North à l'école du coup vous avez tout votre temps.

Mais quelle traîtresse !
Comment elle peut me lâcher comme ça ?

Elle est rapidement sortie en riant,
Et j'ai voulu reprendre le petit,
Mais Michael refusait de me le donner.

Moi : Micky, je dois le changer.

Michael : Justine habite à cinq minutes en voiture, je vais le déposer et elle va le garder.

Moi : mais enfin...on ne dépose pas son enfant chez les gens le matin parce qu'on ne veut pas lui changer sa couche.

Michael : c'est pas pour ça.

Je croisais les bras,
Avant de le regarder malicieusement.

Moi : et c'est pourquoi alors ?

Michael : parce qu'on a un mois à rattraper, et s'il sont dans les parages on est sûr d'être déranger.

Il passait sa main sur la corde de mon peignoir,
Avant de me l'ouvrir,
Dévoilant donc une partie de mon corps nu.

Michael : ne bouge surtout pas bébé...je serais là dans cinq petites minutes pour te faire hurler de plaisir.

Moi : tu es un gros pervers !

Michael : la nature m'a bien gâté, alors il faut bien que je t'en fasse profiter. Ne refermé pas ton peignoir, d'accord ? Juste attend moi la...

Je le regardais en riant.
Il est trop mignon avec sa petite bouille de chien battu.
Mais ça me tue parce qu'on vient juste de le faire pendant deux heures,
Mais monsieur n'est jamais fatigué et il veut déjà recommence.

Michael : Micky Jr, dis bye bye à maman.

Saint : Bye Bye maman !

Je riais.

Moi : mon pauvre bébé...ton papa est fou. On a pas de chance hein.

Saint riait,
Et je lui embrassais le nez.

Michael : tu m'as traité de fou ?

Moi : mmh.

Michael : on verra si tu répète ça quand je vais revenir.

Il s'approchait de mon oreille.

Michael : je vais m'enfoncer en toi tellement profondément que pendant des jours, tu n'auras que cette sensation en tête. Celle de mon énorme anaconda coincé dans ta petite grotte, en train de te faire tellement de bien que tu me suppliera de ne jamais m'arrêter. Et ce n'est pas la peine de nier...parce que je sais que tu en meurs d'envie. Mais je te comprend...parce que moi aussi.

Il s'est ensuite détaché de moi,
Avant de me faire un clin d'œil,
Puis de s'approcher de la porte.

Michael : je ramène des fraise, du Nutella et de la chantilly. Ce sera encore meilleur...

Je n'ai pas répondu,
Je l'ai juste regarder s'en aller.

Alors là,
Il m'a eu...
Je n'aurais jamais du dire qu'il est fou,
Parce que du coup il ne va pas me lâcher de la journée.

Bon bah souhaitez moi bonne chance.
Avec un peu de chance,
Il aura pitié de moi mdr.